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Transcriptions de Clara Transcription n°1

TRANSCRIPTION 1 CLARA

1er extrait : Activité théâtre avec les enfants (16 :56) 11

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L : As-tu comme cela à chaud des commentaires spécifiques à faire ? 13

A : Ben écoute je me rends compte que c’est pas évident à faire cette activité. Ca fait déjà 14

plusieurs entretiens qu’on en parle avec M, je pense bien un mois, deux mois. Puis je 15

devais la mettre en place et il y a eu beaucoup de changement entre les vacances, voilà, 16

je devais présenter mon projet à toute l’équipe enfaite, puis c’est vrai qu’on est pas 17

souvent toutes là et moi j’avais encore les cours donc heu voilà ça a pas été évident.

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Durand cette période là il y avait beaucoup d’enfants qui étaient là et j’avais le temps de 19

le proposer, mais les dernières semaines les enfants qu’il y avait c’était soit des tout 20

petits, donc heu qui savent pas parler ou qui peuvent pas tenir une marionnette dans la 21

main donc heu c’était impossible de le réaliser. Et puis donc je l’ai toujours pas réalisé 22

enfaite, donc heu j’attends toujours le bon moment pour le faire, qu’il y ait assez 23

d’enfants et qu’il ait, que c’est bien qu’il y ait des plus petits mais aussi des plus grands et 24

puis qu’il y ait une collaboration entre eux. Voilà.

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L : Donc tu es toujours dans une phase d’anticipation du projet et qui s’est toujours pas 26

réalisé enfaite ? 27

A : Voilà ! 28

L : Et puis justement par rapport à ça, comment est-ce que tu comptes t’y prendre ? Les 29

étapes, débuter comment, terminer comment ? 30

A : Alors je pense que là, il faut vraiment que je le fasse car j’ai quand même un délai 31

dans mes objectifs d’apprentissage. On est obligé de fixer un délai, donc fin août je dois 32

l’avoir fait, donc je pense que si ça continue comme ça ben va falloir que je prévois un 33

autre jour, puis ma fois m’adapter aux enfants qu’il y a et vu que j’ai dû 34

tout écrire sur un papier ce que je pouvais faire, ben peut-être que ça changera au cours 35

de l’activité, ben voilà si il y a personne ben voilà peut-être qu’il faudra que je dise il y a 36

eu qu’une personne, ben voilà peut-être que j’ai fait l’activité théâtre avec un enfant de 4 37

ans ben que les deux. Et peut-être que il y aura plein d’enfants, on pourra peut-être 38

écrire un scénario le matin, eux ils auront peut-être le temps de faire les marionnettes, 39

on pourra les présenter ben devant les parents ou d’autres enfants durant le goûter mais 40

peut-être que y’aura personne. Mais je pense qu’il faut vraiment que je m’oblige à 41

trouver un jour, un moment et puis y aller.

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Parce que sinon…

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L : Mmm… mais donc enfaite si j’ai bien compris, il y a donc aussi une phase ou il faut 44

que tu improvises, même si tu as écris ton activité, tu sais pas si ça va vraiment se passer 45

comme ça ? 46

A : Non.

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L : Et heu, l’improvisation c’est, ça te fais un peu peur ? Ou pas spécialement ? Tu penses 48

gérer ça comment ? 49

A : Alors ben au début ça me faisait un peu peur, mais j’ai des cours interentreprises 50

justement où on a eu des cours de théâtre, donc là-bas ils nous ont appris, voilà à savoir 51

anticiper, voilà s’adapter aux enfants, aux pathologies à tout. C’est vrai que j’ai eu 4-5 52

cours donc j’ai pu entrainer ça et bah c’est vrai que par rapport à ce lieu qui est différent 53

d’une garderie, voilà il y a tout le temps du changement, voilà on sait jamais qui il y aura 54

le matin, combien d’enfants, donc ouais il faut avoir une grande capacité d’adaptation. Je 55

pense que ça ira enfin…

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L : Donc enfaite il faut une grande capacité d’adaptation par rapport à un lieu où tu sais 57

déjà à l’avance le nombre d’enfants et combien de temps ils restent, etc.

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A : Voilà. Car dans un autre lieu et ben on peut organiser ben voilà vraiment savoir cette 59

semaine c’est à peu près tous les mêmes enfants qui viennent, par exemple le jeudi ben 60

voilà il y a une vingtaine d’enfants alors que là ben ça change et aussi suivant leur 61

maladie, leur pathologie adapter les activités à ça.

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L : D’accord. Et donc du coup c’est une des compétences qu’il faut avoir enfaite pour 63

mettre en place une activité de ce genre, l’adaptation. Et est-ce que tu en vois d’autres 64

par rapport à cet atelier marionnettes en l’occurrence, est-ce que tu vois des 65

compétences clés que l’ASE ou la future ASE devrait avoir ? 66

A : Ben pour moi aussi pourquoi je fais ce projet là c’est parce que je suis aussi timide 67

observées, donc voilà pour moi il faut avoir une bonne capacité et avoir de la confiance 72

en soi et puis une bonne capacité à animer les activités…Ouais.

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L : Est-ce que il y a d’autres choses par exemple par rapport à des phases-clés de 74

l’activité, est-ce que il y a des étapes de l’activité qui méritent une attention et donc une 75

compétence particulière qu’il faudrait avoir, à part l’animation et l’adaptation ? 76

A : Je pense aussi prendre en compte les envies des enfants et leurs besoins, voilà moi je 77

vais leur proposer des choses si ils préfèrent voilà créer eux aussi. Ben Stimuler leur 78

imagination et leur créativité, si eux veulent faire un scénario eux-mêmes et écrire une 79

histoire eux, puis après la représenter ou si ils veulent prendre une histoire connue et 80

après la représenter ou si ils veulent que moi je participe avec eux, vraiment prendre en 81

compte leurs besoins.

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L : Oui c’est ça, c’est pas quelque chose que tu vas toi mettre en place et ils n’ont pas leur 83

mot à dire, c’est vraiment une co-construction entre les enfants et toi enfaite ? 84

A : Oui ! 85

L : Donc tu sais pas enfaite réellement ce que ça va être l’activité.

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A : Non. Et c’est vrai qu’avec M, on disait moi je pensais que c’était bien de le faire sur un 87

long terme, voilà parce que de toute façon il y aura toujours des imprévus, puis comme 88

ça ben comme je l’ai prévu là du tac au tac et ça sera comme ça et comme ça, sur ça moi 89

ça m’aiderait aussi à apprendre, voir qu’est-ce qu’on peut changer et 90

améliorer.

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L : Et quand tu dis « Ca m’aiderait à apprendre », c’est le fait de l’écrire ? 92

A : Non à apprendre par exemple de mes erreurs. Si je fais des erreurs durant l’activité, 93

voilà les améliorer et peut être que ça deviendra une activité régulière 94

à l’EE.

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L : Puis alors du coup pour cerner si tu fais entre guillemet des « erreurs » durant 96

l’activité, comment tu peux en être consciente de ça ? 97

A : Alors parce que justement j’ai dû écrire, voilà tout ce que je dois faire attention 98

durant l’activité, puis après voilà je vais faire mon activité et sur ce, je vais devoir 99

réécrire voilà voir qu’est-ce qui s’est bien passé, quel objectif a été atteint pour moi et 100

pour les enfants, puis sur la base de cette activité, je devrais dire voilà ça, ça été atteint 101

ou pas atteint, qu’est-ce qu’on pourrait améliorer ou changer ou…ça me fera une petite 102

idée pour les prochaines fois 103

L : Mmm. Et puis est-ce qu’il y a d’autres types d’aide que tu peux mobiliser ou que tu 104

pourras peut-être à ce moment là mobiliser par rapport à des compétences, je pense à 105

l’adaptation. Pour adapter ton activité, sur quoi, sur qui, comment tu comptes t’y 106

prendre ? Y-a-t-il des stratégies d’aide ? 107

A : Ben il y a les collègues ben voilà, M, N, ou A, je peux leur dire, déjà je dois les avertir 108

quand je veux faire mon activité et puis je peux m’appuyer sur elles si j’en ai besoin. Ou 109

sinon ça peut être totalement libre, comme elles m’ont dit ben je peux utiliser la salle de 110

classe où c’est un peu plus fermé et prendre un groupe d’enfants et gérer moi, vraiment 111

être autonome ou bien… mais c’est vraiment sur les collègues si j’ai besoin d’aide voilà, 112

si il y a trop de monde, même les parents.

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L : Oui donc tu t’appuies vraiment sur les ressources extérieures qui sont présentes 114

autours. Et puis sur ton écris au préalable ? 115

A : Oui.

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L : Car tu vas pas le prendre avec toi ton écris pendant l’activité.

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A : Non, non j’ai pas le droit.

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L : Tu es obligée de l’avoir intégré avant. Et après coup il y a une certaine analyse que tu 119

feras en fonction de tes objectifs ? 120

A : Voilà et après on en reparlera avec N qui me suivra et on verra les, on fera tout le 121

temps au début ça c’est passé comme ça et je l’écrirai et la deuxième fois on verra qu’est-122

ce qui joue ou pas et après on verra l’évolution de moi et de mes objectifs et de ceux que 123

j’ai posés pour les enfants.

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L : Et puis est-ce que tu vois dans le fait d’écrire l’activité au préalable, ces objectifs et 125

tout donc ça t’aide dans quelles mesures exactement par rapport à l’activité en tant que 126

telle ? 127

A : Ben ça m’aide vu que je l’ai déjà écrit, je l’ai dans la tête et puis voilà si il y a des 128

moments où je m’éparpille un peu, je peux me représenter ce que j’ai écris et me dire 129

« ha mais ça c’est comme ça, oublie pas de faire ça ! » Je sais que si j’y vais comme ça du 130

tac au tac ben ça se passera peut-être pas aussi bien que si j’ai pu écrire.

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L : T’as déjà eu des expériences où tu as déjà dû faire un projet écrit, puis aller sur le 132

terrain le faire réellement ? 133

A : Oui. Alors j’avais déjà fait un premier projet c’était une activité cuisine, à Noël ben le 134

matin c’était faire une petite boîte, une boîte à biscuits et j’avais amené plein de matériel 135

que les enfants pouvaient choisir pour stimuler leur créativité. Et puis l’après-midi 136

c’était faire les biscuits avec les enfants et puis j’avais de nouveau écrit, je devais écrire.

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Et le jour d’avant il y avait plein de monde et le jour de l’activité ils ont pu faire les 138

boîtes, puis l’après-midi ils n’étaient plus là ! Donc heu je me suis retrouvée avec des 139

boîtes vides et l’après-midi il n’y avait qu’un enfant d’une année et demi donc voilà. Mais 140

j’ai quand même fait les biscuits avec lui mais voilà c’est plus toi qui fais que lui donc ça 141

c’était pas du tout passé comme je l’avais prévu.

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L : Et à ce moment là tu as eu aussi la présence d’esprit de te représenter ton écrit avant 143

comme tu dis « si je m’éparpille moi j’essaie de me représenter 144

mon écrit ».

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A : Ben oui j’y pensais dans ma tête mais je me disais ben toute façon voilà il n’y a qu’un

A : Oui alors ça s’est bien passé, j’avais aussi une collègue qui était là, voilà pour m’aider 150

par exemple j’avais prévu d’utiliser le four de la salle de classe qui est à côté de l’EE, 151

donc il fallait avoir un œil sur l’enfant et ça j’avais pas écris dans mon dossier donc là j’ai 152

pu me rendre compte « ha j’ai oublié ça », donc j’avais l’aide de N, qu’elle jette un œil sur 153

l’enfant pendant que moi je vérifiais les biscuits ou comme ça. Et oui ça fait penser à des 154

petites choses qu’on oubli, qui sont toutes bêtes et puis après pour les prochaines fois on 155

y pense.

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L : Donc c’est par l’expérience, en faisant que finalement tu te rends comptes de toutes 157

ces petites choses et autrement on se serait pas rendu compte si on a pas testé 158

enfaite.

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A : Oui.

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L : Ok. Donc avant tu as mentionné les cours interentreprises qui t’ont aidé et comme ça 161

est-ce que tu as d’autres cours qui t’on été utiles ou qui vont t’être utiles pour réaliser 162

ton activité marionnettes ? 163

A : J’ai eu un cours sur les contes aussi donc on a appris pas mal de jeux qu’on pouvait 164

faire, voilà on a un petit groupe et un donne un bout d’histoire, une première phrase et 165

les autres doivent suivre et ça fait des scénarios pas mal et puis comme pour l’activité 166

théâtre par exemple j’avais pas prévu ça dans mon activité mais ça pourrait très bien 167

partir par un jeu et finir par un scenario et le mettre sur pied 168

comme ça ! 169

L : Mmm. Donc tu serais prête dans ce cas là, si l’activité tourne dans ce sens à réutiliser 170

tes savoirs-faire liés aux contes ? 171

A : Oui.

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L : Ok. Et tu m’as dit que tu avais eu des petites expériences déjà de faire des activités 173

avec des enfants et c’était dans quel contexte ? 174

réussie j’imagine. Qu’est-ce qui t’as aidée enfaite ? A part N qui jetait un coup d’œil sur 181

l’enfant.

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A : Ben je pense que avant de faire mon activité déjà j’avais confiance en moi, en ce que 183

j’avais mis en place, en mes compétences personnelles, donc j’étais confiante sur ça et 184

A : Alors je ne sais pas encore (rires) ! Sincèrement je ne sais pas.

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L : Par exemple si il y a en un qui dit « c’est nul » ou « je veux pas faire ça », qu’est-ce que 195

tu comptes faire ? Je te mets dans un scénario possible (rires).

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A : Alors ça peut arriver mais déjà je vais pas les forcer à faire et si ils veulent arrêter 197

parce que je sais très bien que les petits ils se lassent vite mais même qu’ils participent 198

un petit moment ou qu’ils fassent une moitié de marionnette ou juste qu’ils soient 199

présents dans l’activité ou qu’ils soient spectateurs enfin je les forcerais pas. Ou si ils 200

veulent aller jouer à la dinette ou arrêter ben il n’y a pas de souci, c’est des choses que je 201

dois prendre en compte, je lui dirais pas « non tu restes assis, tu finis l’activité que tu as 202

A : Ben suite à cette expérience, j’ai pu le recoucher, ben c’est vrai que cette situation ça 212

m’a aidé, parce que oui j’avais fait des siestes, ben voilà quand j’ai commencé en août 213

j’en faisais pas et puis j’avais commencé par faire des siestes dans l’EE en ayant toujours 214

le regard d’une éducatrice au coin détente. Ben c’est vrai qu’au début ben voilà vu que je 215

venais de commencer j’étais pas encore à l’aise dans le lieu, avec les collègues, puis c’est 216

vrai que suivant les enfants voilà tu lui dis « tu vas aller dormir », en plus il voit tout le 217

monde qui est en train de jouer encore puis il se dit « mais pourquoi je dois aller dormir 218

alors que les autres sont en train de jouer, en train de faire du bruit », donc tu le couches 219

et il commence à pleurer ou tu essaies ben voilà de les laisser coucher, de les maintenir 220

coucher mais voilà, ils y en a qui hurlent et il y a toujours le regard des parents et des 221

éducatrices aussi qui attendent que tu arrives à 222

la coucher, c’est vrai ben au début j’ai fait pas mal de siestes ici puis voilà durant les 223

entretiens que j’ai eu avec M, on avait déjà parlé de différentes techniques par exemple, 224

faire des bulles de savon, ça calme assez les enfants, chanter des chansons, raconter des 225

histoires donc voilà, après une fois que ça, ça allait mieux, ben elles m’ont laissée aller en 226

chambre et puis là-bas c’est aussi un autre contexte que l’EE. Voilà j’ai commencé par les 227

siestes où les enfants sont tout seul en chambre ou à deux en chambre, donc il y a 228

toujours la possibilité de tirer les rideaux donc euh ça fait quand même un petit cocon, 229

puis voilà quand j’ai fait ces siestes avec d’autres enfants je me rappelais des différentes 230

techniques que j’ai pu utiliser à l’EE. Et puis c’est vrai que aux soins continus on a pas 231

l’habitude d’y aller souvent parce que généralement les enfants peuvent pas venir à l’EE 232

car ils sont aussi pas mal appareillés voilà. Donc là c’était une exception pour cet enfant 233

et vu que je m’étais occupé de lui au repas, c’est toujours la même personne qui voilà lui 234

donne à manger et lui fait la sieste pour qu’il y ait la continuité avec la même personne.

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Et puis c’est vrai qu’il était aux soins continus donc j’étais encore jamais allé.

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On arrive il y a plein de monde, plein d’infirmières, plein d’autres enfants, parents, puis 237

cet enfant (M) on savait déjà qu’il était un peu difficile, capricieux dû à ce qu’il a vécu en 238

étant aux soins intensifs. Donc c’est vrai que quand il commence à hurler tout le monde 239

regarde, au début je me suis dis « mon dieu il y a tout le monde qui me regarde (rires) ! » 240

et voilà je me disais « ah ils vont se dire que celle là elle sait pas faire avec cet enfant, elle 241

sait pas le calmer ».

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Il y a pas mal de questions qui trottaient dans ma tête dû à un manque de confiance, c’est 243

toujours ça. Et puis après j’ai quand même réussi à me recentrer, à penser enfaite à tous 244

les entretiens que j’ai fait avec M, tous les conseils qu’elle m’a donné et puis voilà à 245

appliquer tout ce que j’avais appris. C’est vrai qu’aussi j’avais déjà fait des siestes dans 246

d’autres stages en garderie mais où le contexte est totalement différent, voilà ils sont 247

tous ensemble dans une même pièce, ils sont pas malade car normalement ils sont en 248

bonne santé et oui c’est pas le même moment, à l’hôpital c’est plus des moments 249

privilégiés ou on est vraiment seule avec l’enfant, en garderie c’est voilà, tu fais un peu la 250

police « t’es debout, tu restes couché sur ton matelas ! » mais qui est non plus pas 251

évident parce que là ils sont 20 à ta charge et tu dois les faire dormir, donc j’avais déjà 252

une petite expérience professionnelle qui m’a quand même aidée là-dedans pour les 253

siestes. Puis ouais enfin là maintenant je vois que je suis de plus en plus à l’aise avec les 254

siestes, avec M après les suivantes ben je savais comment il faisait, il pleurait un petit 255

coup, il voulait pas enlever ses chaussures mais je voyais qu’il était fatigué, donc 256

maintenant j’arrive vite à voir de quoi ils ont besoin.

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L : Mmm 258

A : J’ai plus une plus grande capacité d’observation et après de me dire « ha ben voilà, M 259

comme ci ou comme ça avec celui-là » enfin c’est…

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A : Voilà ouais vraiment chaque enfant, aussi on observe par rapport au matin quand ils 264

viennent voilà il y en a qui montrent différents signes, voilà il y en a peut-être qui vont se 265

gratter les yeux quand ils sont fatigués, il y en a qui vont peut-être s’encoubler partout et 266

après voilà dans mes objectifs aussi c’était d’être attentif aux besoins des enfants

après voilà dans mes objectifs aussi c’était d’être attentif aux besoins des enfants