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Presente par Ie Gouvernement du Nigeria

Les longues et laborieuses recherches entreprises au Nigeria en 1956 ont abouti

a

la decouverte de petrole commer-cialement exploitable. La production a commence en 1958 avec un debit moyen de 5 134 barils par jour. Elle a atteint 2 054 000 barils par jour en 1973, et est demeuree depuis superieure a 2 000 000 barils par jour, sauf pendant deux breves periodes de flechissement. Les autorites ontdecide

d'intensifier les travaux de recherche

a

la fois sur terre et en mer afin d'accroitre lesreservesnationales depetroleet de gaz nature!.

La participation de FErat aux travaux d'exploration et de production adebuteen 1971 avec I'acquisition de 35% des parts de la societe Elf et de 33,5% des parts de la societe Agip Oil. Depuis lors, la part de l'Etat est passee a 80% dans la societe Shell et a 60% dans chacune des sept autres compagnies petrolieres qui produisent aujourd'hui du pe-trole et du gaz en quantites commerciales.

La Nigerian National Petroleum Corporation est Ie seul organisme charge d'executer tous les programmes petroliers de I·Etat. Outre les accords de co-entreprise qu'elle a passes avec les autres compagnies petrolieres, elle a entrepris seule des travaux d'exploration et rempone des sucd~s impres-sionnants dans Ie delta du Niger. Un Service d'Inspection de la Corporation remplit

a

titreindependantdes fanctions de reglementation et autres fanctions statuaires, notammentla conservation du perrale.

Le demarrage d'une troisieme raffinerie fin 1980 ainsi que

l'expansion envisagee de la raffinerie de Port Harcourt porteront a 300 000 barils par jour environ la capacite locale de raffinage. Un vaste reseau d'oleoducs facilite la distri-bution des produits petroliersaUKcentres de consommation du pays. On etudie la construction d'une raffinerie dont la production, destinee

a

l'exportation, serait de quelque 350 000 barils par jour.

Une usine de GNL d'une capacite de 60 000000 m3/jour devrait entrer en activite en 1985. Avec divers autres projets d'exploitation commerciale de gaz, elle devrait utiliser la quasi-totalite du gaz associe que produit actuellement Ie Nigeria et encourager les recherches actives de gaz naturel.

La construction d'un complexe petrochimique alimente au gaz naturel et au gaz de raffinerie est prevue dans Ie quatrieme plan national de developpement 1980-85. . Ces developpements ont leurs problemes specifiques qUi sont avant tout l'insuffisance de main-d'oeuvre technique et la pollution de l'environnement. De gros efforts sont faits pour y remedier.

TENDANCES DE L'EXPLORATION ET DE LA PRODUCTION

Pour bien se rendre compte de la situation petroliere au Nigeria et faire une projection raisonnable de ses futures perspectives, il est necessaire de passer brievement en revue les tendances anterieures.

Les premiers travaux de recherches petrolieres au Nigeria ont eu lieu au debut du sieele lorsqu'un groupe allemand decida de suivre des indices de petrole brut presents en

D'apresIe documentECA/NRD/MIN.80/INF.15

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surface dans la zone cotlere d'Okitipupa (a l'epoque la Western Region) avec pour resultat la decouverte de sables asphaltiques. Le deuxieme grand programme de recherches commen'ra juste avant la deuxieme guerre mondiale lorsque Shell d'Arcy concentra ses efforts de recherches geologiques et geophysiques dans Ie bassin du delta du Niger, convaincu

a

l'epoque que tout Ie petrole du delta devait avoir migre vers les points les plus eIeves du bassin, c'est-a.-dire vers sa peripherie. Peu apres, Shell s'associa avec la British Petro-_

leum pour former la Shell-BP Petroleum Development Company of Nigeria, Ltd., association qui fut pendant longtemps la seule compagnie de prospection petroIiere dans Ie pays. Des travaux de recherches se poursuivirent sans succes a. l'echel1e commerciale.

C'est au moment ou les compagnies perrolieres allaient mettre fin

a

leurs travaux de recherches qu'eut lieu en 1956la premiere decouverte commerciale : Ie gisement d'Oloibiri.

Suivirent d'autres decouvertes et, en 1958, commencerent la production et I'exploration de petrole brut au rythme de 5 134 barils par jour. Depuis, la production n'a cesse de progresser pour atteindre Ie chiffre record de 2 400 000 barils/jour au premier trimestre de 1979.

Vint ens-uite la ruee des annees 60 lorsque les premieres compagnies (Gulf et Mobil) commencerent a faire des recherches en mer et decouvrirent d'importantes reserves dans la partie immergee du delta du Niger. Puis, ce fut la ruee sur les concessions au debut de la derniere decennie, epoque a. laquelle, en application des lois nigerianes sur Ie petrole, 50 des concessions existantes etaient venues a.

echeance. Apres I'adjudication de vastes zones de prospec-tion a six nouveaux venus, les pouvoirs publics deciderent de ne plus en octroyer. Toutes les zonesabandon~eesa~nsi que celles qui seraient deIaissees par les conc~sslOnnalres furent alol's confiees a la Nigerian National 011 Corpora-tion, qui etait habilitee a condure des accords appropries avec d'eventuels exploitants pour I'exploitation des conces-sions jusque-la non allouees. En 1977, ces droits furent transferes

a

la Nigerian National Petroleum CorporatIon nee de la fusion de l'ancienne NNOC et du Ministere des ressources petrolieres.

II convient de rappeler que, tout au long de cette periode, Ie petrole etait l'objectif principal des recherches. Le gaz n'interessatt pas Ie pays. II importe par ailleurs de SIgnaler que, lors de laru~e sur lescon.ce~si,ons a.uNiger~a, Iec~oix des sites dependalt de la proxlmlte des mstallatlOns d~va­

cuation plus que de tout autre facteur. Cela est partIcu-lierement vrai dans Ie cas des socieres deja en activite.

Panni les facteurs qui ont influe sur l'ampleur et l'inten-site des travaux de recherches au Nigeria figurent :(a)l'etat d'avancement des techniques, tant pour I'exploration que pour la logistique; (b) la reglementation publique et (c) la demande de produits petroliers. .

Plus recemment (fin 1979), 12 nouvelles conceSSlQns ont ere accordees dans Ie cadre d'un contrat de service. Elles sont situees sur terre et en mer dans Ie delta du Niger, clans Ie bassin d'Anambra et dans celui de Sokoto. II s'agit de provinces petroliferes deja reconnueso~les dernieres tech-niques d'exploration permettront vral~embla?leme~tde nouvelles decouvertes de petrole. A cet egard, II y a heu de mentionner qu'entre aotIt 1976 et fin 1978, la Nigerian National Petroleum Corporation a decouvert en mer 7 grands gisements de gaz et de petrole. Les travaux plus re-cents a terre ont donne des resultats tres encourageants.

Bien que la production actuelle de petrole du Nigeria vienne du delta du Niger, il existe d'autres baSSInS qUIconstltu~nt des provinces petroliferes en puissance. Ce sont les baSSInS

d'Anambra, du Tchad, de Sokota-Rima, de Benue et du Niger, ainsi que les zones sOlls-marinesprofondes.

Actuellement, 229 champs deperrale ont

ete

decouverts au Nigeria dont 140 produisent par jour quelque 2 100 000 barils de petrole et 56 700 000 m' de gaz associe. Six champs jadis productifs ont

ete

fermes tandis que 71 attendent d'etre relies

a

des installations de production et que 12 nouveaux champs ont

ete

decouverts.

L'Etat controle de plusieursfa~onsl'industrie du petrole, 'essentiellement par l'intermediaire de la NNPC et de ses deux branches (Service commercial et Inspection). Les entreprises de recherches et de production sont dans une large mesure controlees par la NNPC qui possede un interh majoritaire de 60% dans des co-entreprises et de 80% dans Ie cas de la Shell Petroleum Development Company of Nigeria. Le controle des entreprises conjointes se fait par Ie jeu de contacts quasiment quotidiens entre associes et, de maniere plus formelle, par I'etude et l'approbation du budget et des activites.

ROLE DE L'INSPECTION DU PETROLE

L'inspection du Perrale est un organe alltonome de la NNPCqui reglemente Ie fonctionnement des compagnies d'exploration et de production pour garantir Ie respect des bonnes methodes d'exploitation. Ses responsabilites sont les suivantes : (1) assurer la conservation des ressources en petrole principalement et, a long terme, celIes en gaz naturel du pays, et veilIer au respect de methodes st1res et efficaces dont l'industrie se sert pour localiser, delimiter, forer, equiper, completer, remanier, essayer, exploiter, et aban-donner les puits; (2) planifier et reglementer en permanance les volumes de petrole extraits pour satisfaire les besoins de consommation du pays et ses besoins en devises, ce qui se fait en fixant la production maximale autorisee de chaque puitS; (3) luner contre la pollution superficielle ou sous-terraine pendant Ie forage des puits et la production de petrole et de gaz; et (4) encourager les travaux de recherches propres a elargir la base des reserves.

Dans la realisation de ces objectifs, les pouvoirs ont au cours des ans formule etmodifie leurs politiques, sous forme de directives officielles et, au plan plus formel, de decrets et de lois. Le respect de ces lois et decrets n'est pas limite-aux tierces parries. La NNPC elle-meme est tenue de s'y conformer.

Avant d'entreprendre des activites d'exploitation petro-liere, l'exploitant doit en soumettre les details pertinents

a

l'Inspection, laquelle en assure la confonnite avec les reglementations appropriees avant de donner son autorisa-tion. Ce n'est qu'une fois cette autorisation obtenue que l'exploitant peut commencer les travaux. La reglementation touche

a

I'espacement des puits et a leur nombre ainsi qu'au rythme d'extraction du petrole.

II arrive parfois qu'en cas de flechissement des recher-ches, comme cela s'est produit entre 1974 et 1976, les pouvoirs publics adoptent des mesures d'encouragement selectives aux exploitants. Celles-ci sont constituees soit par une remise sur tous les frais lies aux forages de reconnais-sance et de premiere evaluation, soit par un abattement fiscal dans certaines regions. Ces mesures ont pour effet dJintensifier les travaux de recherches, comme en temoigne Ie nombre de plate-formes et de puits d'exploration qui jalonnent Ie pays et la quantite de lignes sismiques realisees chaque mois. Par exemple, desireux de stimuler l'explo-ration en mer, Ie Nigeria a mis sur pied un regime echelonne de redevances; au lieu du taux uniforme de 20%, Ie taux applicable a l'exploitation en merest de 18,5% jusqu'a 100 m

de fond et de 16,66% au-dela de 100 m.

PERSPECTIVES DE LA PRODUCTION DU GAZ AU NIGERIA

Le pays ayant decide d'exporrer du gaz naturelliquefie, Ie gaz qui erait jadis considere comme «indesirable» est devenu un produit commercial. Les puits abandonnes ou rebouches devront etre reevalues afin de pouvoir determiner leurs possibilites dJexploitation.

A I'heure actuelle, les reserves mondiales de gaz sont estimees a 64 x 1012m' (400 x 109barils d'equivalent-petrole ou un tiers des reserves mondiales de petrole). La consom-mation mondiale est d'environ 1,21 x 1012 m3 par an (soit I'equivalent de 20,5 x

la'

barils par jour de petrole).

On estime que les reserves de gaz du Nigeria atteignent plus de 3% des reserves mondiales. Cela represente suffisam-ment de gaz pour faire du Nigeria un gros exportateur de gaz naturelliquefie (GNL).

Mais il demeure que Ces estimations des reserves de gaz du Nigeria sont obligatoirement imprecises et pessimistescar : (a) Ie gaz decouvert a ce jour au Nigeria l'a ete pendant les travaux de recherches petrolieres, aucun effort delibere n'ayant ete fait pour decouvrir du gaz(b)jusqu'en 1974, les compagnies petrolieres avaient pour habitude de ne pas donner suite aux decouvertes de gaz qui n'ont donc pas ete prises en compte dans l'evaluation des reserves;(c)Ie forage des puits de delineation et de developpement a ere arrete a proximite des zones ou les compagnies pensaient devoir trouver des reservoirs primaires de gaz seul; et (d) les travaux d'exploration ont soit ete ralentis soit abandonnes lorsque les etudes sismiques plus poussees revelaient la presence d'un gisement contenant essentiellement du gaz.

Tout porte donc a croire que les reserves de gaz du Nigeria pourraient doubler ou meme tripler au cours des prochaines annees. Le petrole restera certes a l'avant-plan jusqu'a la fin du siecle maisilne fait aucun doute qu'entre 1985 et les annees 90, Ie gaz revet ira de plus en plus d'importance tant au Nigeria que sur Ie marche mondial de l'energie. Le gaz offre tant de promesses que Ie delta du Niger a ete qualifie de province de gaz recelant peu de petrole. LJequivalent-perrole de ces reserves de gaz pourrait valoir une fois et demi les reserves de petrole ou davantage.

ACTIVITES EN AVAL

On a I'habitude de decrire tres justement Ie Nigeria comme l'un des dix plus grands producteurs de petrole du monde et Ie deuxieme exportateur de perrole brut vers les Etats-Unis.

Description flatteuse, certes, mais Ie Nigeria n'ignore pas que pour tirer Ie meilleur pani de son industrie petroliere il do itabsolument maximiser l' emploi «en ayah de son petrole et de son gaz dans des entreprises locales afin d'assurer son autonomie energetique et d'alimenter les autres industries connexes du secteur.

La NNPC intensifie ses efforts dans ce sens.

]usqu'en 1970, une seule raffinerie fonctionnait au Nige-ria; d'une capacite de 60 000 barils/jour, elle appanenait conjointement a l'Etat nigerian et a BP-Shell pour 60 et 40%

respectivement. Fin 1978, la NNPC ouvrait la raffinerie de Warri qui lui appartiend 100% avec une capacite de 100 000 barils/jour. Avec Ie demarrage en 1980 a Kaduna de la troisieme raffinerie, d'une capacite de 100 000 barils/jour egalement, et l'aggrandissement envisage de la raffinerie de Porr Harcourt, la capacite locale de raffinage devrait s'etablir a pres de 300 000 barils/jour. Des etudes sont en cours pour la construction d'une raffinerie de 350 000 barils/jour environ pour l'exportation.

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Pour s'assurer que les differents produits raffines atteig-nent sans delai les consommateurs du pays, la NNPC a fait construire un reseau complet d'oIeoducs qui acheminent les produits vers douze centres de consommation tous situes strategiquement sur Ie territoire national. Ces centres sont en effet bien situes pour desservir les consommateurs.

L'usine de 56 700000 m'/jour de GNL qui doir demarrer en 1985 formera Ie principal noyau de l'industrie gaziere locale. De surcro!t, il existe un grand nombre dJautres projets commerciaux qui devraient utiliser la quasi-totalite du gaz associe actuellement produit au Nigeria pour produire de l'electricite, alimenter les villes en combustible et desservir les complexes petrochimiques, outre bien sur Ie gaz de raffinerie. En fait, Ie gouvernement a promulgue un decret selon lequel, Ie pr janvier 1'984, Ie gaz associe ne pourra plus etre bnlle

a

la torche au Nigeria. De gros efforts sont actuellement faits pour atteindre cet objectif.

LIMITATIONS

Le developpement de I'industrie petroliere du pays ne se fait pas sans les problemes qui lui sont connexes et dont Ie principal est la penurie de techniciens. Dans Ie passe, les societes d'exploitation formaient du personnel local en fonction essentiellement de leurs besoins de main-d'oeuvre.

Une fois que l'Etat a eu decide de paniciper

a

toutes les

activites de l'industrie petroliere,iletait necessaire d'inten-sifier la formation d'un plus grand nombre de techniciens locaux dans diverses disciplines. On prevoit que les besoins de main-d'oeuvre qualifiee augmenteront encore

a

l'avenir.

Conscients de la situation, les pouvoirs publics ont cree en 1974 un Institut de formation (Petroleum Training Insti-tute) charge de former principalement des techniciens specialises pour I'industrie du petrole. Les diplomes de l'Institut ont commence

a

marquer de leur impreinte l'industrie locale. II va de soi que cette formation est un processus continu qui ne prend pas fin

a

leur sortie de l'e-cole,

Trois universites dans Ie pays offrent des cours de genie petrolier, mais Ie nombre de leurs dipl8mes ne suffit pas encore

a

satisfaire les besoins de l'industrie. On y remedie en faisant appel aux nombreux nigerians formes

a

I' etranger, en particulier

a

ceux qui possedent une experience post-universitaire dans les disciplines du petrole. Les autorites esperent qu'en formant et en recyclant des nigerians, dans Ie domaine des techniques comme dans celui de la gestion,il sera possible dans un avenir peu eloigne d'assurer la direction administrative et technique de l'industrie du petrole avec Ie personnel essentiellement nigerian.

Au deuxieme rang des problemes figure la lutte contre la pollution par les hydrocarbures. En regie generale, c'est seulement en cas de deversement important de petrole (eruption au degats • un oleoduc) que Ie public s'inquiete tout. coup de la pollution. En fait, la pollution est un processus continu qui doit faire l'objet d'un contr8le constant. Des efforts sont faits pour etablir des normes plus rigoureuses que les exploitants seront appeles

a

respecter

dans leurs differentes operations. De surcrolt, des plans nationaux dJurgence ont ete etablis pourpermettre de lutter aussi rapidement que possible contre les grandes catastro-phes ecologiques et veiller' ce qu'elles ne se propagent pas.

des zonesOUelles risquent de mettre en perilles personnes et les biens.

Un troisieme probleme, rarement mentionne mais dont I'importance n'echappe

a

personne, est celui du finance-ment. Le Nigeria n'est pas un pays riche, nonobstant les recettes quJil tire de son industrie petroliere. Le revenu par 152

habitant y est de 400 naira seulement (720 dollars), chiffre nettement inferieur

a

celui de la plupart des autres pays membres de I'OPEP. L'inflation est forte et les coilts d'investissement dans l'ipdustrie petroliere augmentent chaque jour. On estime par exemple que Ie projet de.

production de GNL de Bonny exigera un investissement de pres de 10 milliards de dollars, somme qu'il est difficile' un gouvernement, quel qu'il soit, de fournir

a

lui seul. C'est pourquoi de tels projets doivent etre entrepris dans Ie cadre -d'accords conjoints. Ce faisant, la mobilisation des credits est plus facile et les risques sont partages. Notre seule consolation reside dans Ie fait que nous pourrons rembour-ser ces pretS sur Ie produit des projets.

CONCLUSION

11 est evident qu" la lumiere (a) de I'ampleur et de la puissance des sediments petroliferes qui restent

a

explorer;

(b)du desir de la NNPC de sunir' de nouveaux partenaires pour exploiter les bassins sedimentaires; (c) du climat economique qui regne au Nigeria pour l'industrie du petrole; et (d) des plans de developpement executes par Ie secteur public petrolier en vue d'integrer l'industrie petro-liere

a

l'economie nigeriane, les possibilites de succes de I'exploration et dJun elargissement marque de la base des reserves petrolieres sont tres prometteuses.

Nous invitons les compagnies petrolieres internationales de bonne reputation et dotees de larges res sources

a

s'associer • la NNPC pour tirer parti dans Ie cadre de nouveaux accords de travail de ces perspectives favorables dans I'interet mutuel du pays d'accueil et des partenaires errangers.

Les objectifs et Ie role des