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Secretariat de I'Organisation des Nations Unies

Presente par Ie Departement de fa cooperation technique pour Ie developpement du Secretariat de l'Organisation des Nations Unies

Le programme de mise en valeur des res sources ffiinerales execute par Ie Departement de la cooperation technique pour Ie developpement du Secretariat de I'Organisation des Nations Doies, finance notamment par Ie Programme des Nations Uoies pour Ie Developpement, a permis d'appuyer pres de 200 projets executes dans environ 80 pays au cours des 20 dernieres annees. Outre la prospection de divers meraux et mineraux, les activites au titre de ces projets comportaient des etudes de faisabilite, la mise en place de laboratoires chimiques et la fourniture de materiel, la creation et Ie renforcement d'institutions, la formation et la prestation de services de conseil de courte duree.

Plus de 50% du budget des projets en cours d'execution ont ete affectes

a

des pays de la region de la Commission Economique pout I' Aftique. Au debut de 1980, plus de 20 projets appuyes par ['ONU, reptesentant un budget total d'environ 28 millions de dollars, etaient en cours d'execu-tion. Dans Ie present document, on trouvera recapitules les objectifs et la portee de certains de ces projets et l'on illustrera les activites non operationnelles du Oepartement de la cooperation technique pour Ie developpement.

LE SECTEUR DES RESSOURCES MINERALES : HISTORIQUE ET PERSPECTIVES

Les objectifs de la mise en valeur des ressources minerales dans un pays dependent de nombteux facteuts tels que la situation geographique, la doration en ressources minerales, Ie personnel qualifie disponible, l'importance du secteur minier, la mesure dans laquelle les revenus publics et prives sont tributaires de ces secteurs, les objectifs nationaux generaux et I'existence de marches locaux pour absorber les ressources minerales. En consequence, les strategies adop-tees differeront d'un pays a l'autre et la priorite accordee au secteur minieur sera fonction de la politique generale du pays.

Malgre cette diversite, la majorite des pays en develop-pernent s'accorderont

a

penser que Ie secteur des res sources minerales cloit contribuer au developpement economique et social national, fournir

a

l'Etat des revenus et des recettes en devises, ouvrir des debouches a tous Ies niveaux et aider au perfectionnernent de la main-d'oeuvre qualifiee, promou-voir Ia transformation sur place des mineraux dans les limites permises par les capitaux, les comperences et les marches disponibles, fournir des matieres premieres a l'industrie locale, diversifier les produits et les marches d'exportation et, enfin, protegerl'environneme~tetI~ s~nte

de la population. Les ptogrammes de l'ONU vlsent a ..det

D'apd~sIe document E/CN.14/MIN.80/12; prepan~par la Division des Ressources nature lies et de l'Energie.

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les pays a atteindre ces objectifs,

a

ameliorer la connaissance . qu'its ont de leurs ressources minerales potentielles, et a accroltre leur part des benefices provenant de ce secteur.

Tendances recentes de la demande et de I'offre

Depuis que Ie ptix des produits de base a atteint des sommets en 1973-1974, la situation est difficile pour nombre de pays producteurs et exportateurs de ressoures minerales car les cours du cuivre, du minerai de fer, du nickel et autres metaux sont restes bas. La production a depasse la demande et des stocks excessifs se sont accumules et n' ant commence a diminuer que recemment. 0'autres grandes res sources minerales d'exportation des pays en developpement, telles que les phosphates et Ie minerai de manganese, ant egale-ment pari de la baisse des cours.

Tout Ie monde semble s'accordera penser que l'instabilite des prix va persister meme si les cours du cuivre, du plomb, du nickel, de l'aluminium, de 1'0r, de l'argent et d'autres metaux ont augmente. A moyen et a long terme, on prevoit souvenr que Ies prix seront plus favorables; toutefois, il est desormais plus difficile d'evaluer les tendances

a

long terme

en raison de I'incertitude qui pese sur l'expansion econo-mique de Ia plupart des pays consommateurs de matieres premieres. S'il est vrai que la demande de certaines matieres premieres augmente rapidement dans plusieurs pays en developpement, les effets de cette progression sur les marches mondiaux resteront moderes pendant de nombreu-ses annees

a

cause du niveau relativement bas de la conSOm-mati on actuelle.

Du fait de 1a faiblesse des prix et de la reduction de la demande constatee depuis 1974, les investissements dans de nouvelles capacites de production ont ete serieusement amputes. A I'heute actuelle, seuls quelques grands projets approchent du stade de production et d'autres, moins nombreux encore, devraient etre eIabores prochainement.

On ne saurait exclure l'eventualite de penuries de certains metaux, ce qui entralnerait des hausses de prix et perpetue-rait Ie cycle d'instabilite connu dans Ie passe, caracterise par de brusques fluctuations des revenus des pays en developpe-ment exportateurs.

Rale de la prospection

La prospection (depuis les travaux de terrain jusqu'a l'achevement d'une etude de faisabilite et la decision de commencer Ia mise en valeur) est Ie premier maillon d'une longue chaine d'activites. Si Ia prospection ne repnfsente qu'environ 5% des depenses totales de l'industrie minerale, elle est en revanche decisive pour les perspectives

a

long

terme du secteur, car Ies projets de mise en valeur minerale s'etalent sur de longues periodes

a

partir du moment ou un gisement est decouvert jusqu'au momentOUla production demarre vraiment, un minimum de deux ans etant la norme dans Ie cas des grandes mines et des grandes installations de transformation. Ce n 'est qu'au terme des phases de prospec-tion et d'evaluaprospec-tion que Ie choix est fait entre des gisements concurrents, Ies mieux connus d'entre eux ayant une

preference certaine. .

II est beaucoup plus risque d'investit dans la prospectIOn des res sources minerales que dans des projets de construc-tion ou dans des travaux vis ant

a

augmenter la production.

En effet, si un grand nombre de gisements sont connus, tres peu d'entre eux peuvent etre rentablement exploites. Pour que l'industrie miniere mondiale soit efficace, il faut explo-rer de nombreux gisements. Tout ajournement au retard dans la prospection d-G. a un manque de ressources finan-cieres retanient done tous les stades ulterieurs ou

augmen-tent Ie co<it des projets. Les societes internationaless\~tant .retirees de nombreux pays en developpement ou ayant reduit leur participation, (en partie

a

cause du «risque .politique»per~uet en partie a. cause de la stagnation de la . demande mondiale des principaux mineraux) ce sont les gouvernernents, les societes nationalisees ou privees, ou encore les organisations internationales qui doivent assumer la responsabilite de la prospection dans les pays en develop-pernent.

AcnVITES DE L'ORGANISAnON DES NAnONS UNIES DANS LE DOMAINE DE LA MISE EN VALEUR DES RESSOURCES MINERALES

Au cours des20dernieres annees, Ie programme d'assistance technique en matiere de mise en valeur des res sources minerales finance

a

I'aide de fonds du Programme des Nations Unies pour Ie Developpement (PNUD) et d'autres sources a ete execute par Ie Departement de la cooperation technique pour Ie developpement, qui a entrepris une garnme etendue d'activites, allant des etudes regionales jusqu'aux etudes de prefaisabilite, en passant par la forma-tion et Ie renforcement des instituforma-tions, la prestaforma-tion de services de conseils techniques, l'etablissement d'etudes sur les tendances de la demande et de I'offre des substances minerales, et l'analyse du role du secteur minier dans Ie developpement economique en general. Par Ie passe,l'effort avait essentiellement porte sur la prospection de gisements de metaux communs aI' appui de grands projets miniers qui contribueraient a. faire rentrer des recettes d'exportation.

Environ 200 millions de dollars provenant du PNUD ont ete consacres a. la mise en valeur des ressources minerales, avec un montant comparable, bien que legerement moins eleve, fourni en contre-partie par les gouvernements.

La prospection et la mise en valeur des res sources minerales erant une activite de longue haleine, les benefices escomptes ne reviennent aux pays qu'au terme d'une longue periode. Neanmoins, on a plusieurs exemples de projets dont l'Etat retire actuellement des benefices: la mine de cuivre de Mamout en Malaisie a commence a. produire en 1975 et sa capacite est etendue; Ie projet de production de cuivre de La Caridad au Mexique est devenu operationnel I'annee derniere et, au Panama, la decouverte du gisement de cuivre de Petaquilla (dont la mise en valeur est aussi a.

l'etude) a incite Ie pays

a

intensifier ses efforts de prospec-tion. Il en est resulteladecouverte du gisement de cuivre de Cerro Colorado qui a fait I'objet d'une etude de faisabilite et qui requiert un investissement estime a. environ 1,6 milliard de dollars.

II existe d'autres projets de prospection finances par Ie PNUD qui sont en bonne voie : Ie projet d'exploitation de manganese

a

Tambao en Haute-Volta (qui en est au stade de l'etude de faisabilite); Ie gisement de cuivre de Los Pelam-bres au Chili (etude de faisabilite en preparation); les gisements de minerai de fer du Mt. Nimba (Guinee), de nickel au Burundi et en Tanzanie, de potasse au Maroc, d'etain en Indonesie et en Birmanie, et de marbre au Togo.

Des etudes de prefaisabilite vis ant

a

determiner la rentabilite de projets miniers ontete entreprises au Burundi (nickel), en Birmanie (etain) et au Pakistan (cuivre). La construction d'une usine pilote qui aidera Cuba dans la production de nickel fait l'objet d'un autre projet du PNUD, Quelques-uns des projets entrepris dans des pays de la region de la Commission Economique pour I' Afrique sont exposes plus loin.

Les relations entre pays en deve10ppement et investis-seurs et importateurs etrangers se sont modifiees au cours

des dernieres annees et les conditions du marche, Ies modes de financement et la structure du secteur minier dans de nombreux pays ont d<i erre adaptes a. ces transformations.

En premier lieu, les depenses de prospection ont diminue dans les pays en developpements pris collectivement et elles sont main tenant principalement assurnees par un petit nombre de pays industrialises et en deve1oppement. En second lieu, du fait de la diminution de la teneur du minerai et de la degradation de I'infrastructure, les projets sont de plus grande envergure, exigent des investissements plus importants et des delais d' execution plus longs. L 'une des consequences est que les erudes de prefaisabilite et de faisabilite reverent une importance 'accrue. En troisieme lieu, les societes privees estiment dorenavant trop risque d'investir dans de nombreux pays en developpement car elles redoutent une eventuelle renegociation des accords une fois que la production a commence. Enfin, les conditions defavorables du marche de nomhreuses substances minera-Ies non combustibles et de nombreux metaux ont conduit

a

une reduction des depenses de prospection en general ou

a

une reorientation des activites de prospection vers les combustibles fossiles (charbon) et I'uranium.

Cette evolution aboutit a. une diversification de I'assis-tance technique des Nations U nies qui porte notamment sur(a) l'exploration de mineraux metalliferes;(b) !'evalua-tion des ressources en mineraux non metalliques destinees a.

l'industrie locale ou a. I'exportation; (c) I'amelioration des bases des donnees geoscientifiques dans les pays ou Ies regions, non seulement pour ce qui est de la mise en valeur des res sources minerales mais aussi pour la planification de I'agriculture et de I'industrie; (d) l'encouragement de la transformation des matieres premieres minerales dans les pays producteurs; (e) I'etablissement d'etudes de prefai-sabilite et, dans cetains cas, de faiprefai-sabilite;if)Ia formation du personnel national et la creation et Ie renforcement des institutions nationales; (g) la prestation de services de conseil, a. la demande des pays, pour les negociations avec les investisseurs, la legislation miniere et les etudes de marche.

Prospection de mineraux metallifches

La valeur torale de la production mondiale de mineraux metalliques

a

la mine (c'est-a.-dire avant que la matiere premiere soit enrichie ou traitee) est d'environ 50

a

60

milliards de dollars par an (aux prix de 1977). La part des pays en developpement s'eIeve a. environ 30% et devrait augmenter d' environ un tiers au cours des cinq

a

six annees

a

venir. Le cuivre et Ie minerai de fer representent environ 50%de ce total et l'or (la production etant concentree dans les pays developpes) 15%. Les pays en developpement ont de bonnes possibilites d' accroltre encore leur part de la produc-tion mondiale de ces mineraux si I'on considere Ie volume de leurs ressources pour Ia plupart d'entre eux. Vu l'impor-tance des projets miniers modernes, les revenus que chacun peut assurer a. I'Etat sont considerables, en particulier dans Ie cas des pays les moins developpes, 11 importe done au plus haut point de continuer a. prerer une assistance technique aux pays pour les aider

a

prospecter ces gisements, si l'on veut que les benefices virtuels se realisent.

Prospection et evaluation des mineraux non metalliques La valeur annuelle de la production mondiale de mineraux non metalliques est d'environ 75 milliards; ces mineraux sont importants pour une gamme etendue d'aetivites indus-trielles et agricoles. Les principaux groupes de mineraux non metalliques sont (a) les materiaux de construction (sables et graviers, pierres d'ornement, concasses et

pierrail-les, matieres premIeres necessaires

a

la production de ciment, de marbre, d'amiante, etc.); (b) les matieres pre-mieres utilisees dans la fabrication de la ceramique et du verre (argiles, sables siliceux, feldspath, talc, chaux, dolo-mie,barytine); (c) les materiaux refractaires et metallur-giques (fluorite, magnesite, chromite, bauxite, graphite, cyanite); (d) les matieres premieres destinees

a

l'industrie chimique (sel, lithium, rutile, ilmenite, kaolin, zircon, barytine);(e)les matieres premieres destinees

a

la fabrication d'engrais (phosphates, potasse, soufre); (j) les abrasifs naturels (diamant, corindon, tripoli, grenat); et plusieurs autres mineraux tels que Ie mica, la bentonite et les pierres precieuses..

Ces mineraux peuvent erre classes en deux groupes :(1) les materiaux tels que ceux qu'on utilise dans la construc-tion et les travaux publics, la fabricaconstruc-tion de ceramique et de verre et la fabrication de produits chimiques en vrac, qui sont generalement destines ala seule consommation locale et doivent etre produits aussi pres que possible du centre de consommation car leur faible valeur unitaire interdit leur transport sur une longue distance; (2) les mineraux dont la valeur unitaire est plus elevee, qui peuvent etre commercia-lises dans des centres de distribution plus eloignes du lieu de production et oHrent de bonnes possibilites d'exportation.

L'assistance des Nations Unies au titre des projets de cooperation technique tient compte des emplois finaux et des priorites nationales de developpement. Pour les mine-raux exportables, il conviendra de mener une etude de marche simultanement

a

la prospection sur Ie terrain et

a

l'evaluation technique et economique. Comme les marches sont souvent tres specialises, il est essentiel que les prescrip-tions soient respectees pour que la production du pays puisse entrer en concurrence avec celIe de producteurs bien etablis. Les programmes de prospection sont en general axes sur un mineral particulier ou sur un petit nombre de mineraux plutot que sur I'evaluation du potentiel de I'ensemble d'une region. Pour les materiaux destines

a

un

usage local, les marches sont souvent choisis par les autorites nationales de planification ou par les societes locales. Dans ce cas, les projets d'assistance peuvent comprendre plusieurs elements importants : l'identification des mineraux appro-pries, la definition des tonnages et des teneurs, Ie choix des procedes d'enrichissement et l'ameIioration des operations d'extraction et de transformation presentes et futures.

Etudes de prefaisabilite et de marche

En general, on decide d'exploiter tel ou tel gisement metallique ou non-metallique une fois que les etudes des facteurs techniques, financiers et commerciaux en ont demontre la viabilite technique et economique. Dans Ie cas des grands projets miniers, Ie cout de la mise en valeur est eIeve et peu de pays en developpement ont Ie personnel technique et les ressources financieres requises pour mener

a

bien une telle entreprise. Les organismes d'aide et de financement ne sont generalement disposes

a

appuyer ces projets qu'une fois etabli un rapport indiquant que les recherches preIiminaires ou approfondies ont donne des resultats favorables.

D'ordinaire, on commence les recherches par une phase initiale de forage et de prelevement d'echantillons defa,on

a

confirmer que Ie gisement est suHisament important et que les materiaux receles ont la teneur en metal requise; ensuite, on selectionne les techniques d'extraction et de transfor-mation et on caIcule les besoins en electricite, eau, trans-ports, main-d'oeuvre et logement. L'etablissement des couts de revient de lOus ces postes debouche sur Ie caleul des 64

depenses d'equipement et des couts d'exploitation qui:oo apres estimation de recettes escomptees, permet d'estimer le_

rendement de l'investissement, la periode d'amortissement et les recettes fiscales et redevances. Une etude de faisabilite complete ftant tres onereuse, on fait dans la plupart des cas une etude preliminaire qui coute moins de 500 000 dollars et indique l'importance approximative de chacun des ele-ments avec une precision de 30

a

40% et qui permet de determiner s'il est justifie d'entreprendre une etude com-plete. Une etude complete de faisabilite (qui, dans Ie cas des grands projets, pourrait couter de 10

a

50 millions de dollars) permet d'I'lablir Ie cahier des charges detaille et les couts estimatifs qui subordonnentladecision de commencer les travaux.

A moins que des sources supplementaires de financement ne soient disponibles, Ie role des Nations Unies se limite normalement

a

Ia phase preliminaire de faisabilite en raison"

du cout eIeve des etudes definitives; il arrive toutefois que des etudes de faisabilite approfondies soient envisagees dans Ie cas de projets de moindre envergure. En raison des effectifs reIativement reduits du personnel minier dont dispose la Division des ressources naturelles et de l'energie du Departement de la Cooperation technique pour Ie developpement, ces travaux sont generalement confies

a

des

bureaux d'etudes exterieurs. Le role de l'ONU est de conseiller Ie gouvernement quant aux termes de references appropries et au choix du bureau d'etudes; par la suite, l'ONU surveille les progres et la qualite des travaux et enfin, si Ie gouvernement Ie demande et, au besoin, elle lui fait part de ses obs(~rvations sur les conclusions du rapport final.

Services consultatifs pour les accords miniers et la legislation miniche.

Les renseignements et les conseils mis

a

la disposition des pays en developpement repondaient pour l'essentiel

a

des

propositions d'exploitation de gisements presentees par des compagnies minieres. Quelques livres et articles sont parus sur ce sujet mais aucun ne donne suffisamment de details pour celui qui est charge de negocier un accord minier au d'elaborer un texte de loi ou pour Ie pIanificateur qui veut integrer Ie projet minier

a

d'autres plans nationaux de developpement.

II convient done de preter des services consultatifs qui completent les services disponibles et d'assurer en outre la diffusion de l'information dans les domaines suivants : structure de l'industrie des mineraux, legislation, reglemen-tation et controle, activites minieres et leur insertion dans les plans nationaux de developpement. Il est possible d'inclure tous ces elements dans les projets de cooperation technique ou de fournir aux gouvernements qui Ie deman-dent des services consultatifs speciaux.

L'information sur la structure de I'industrie minerale mondiale doit comprendre I'identification des grandes compagnies et des entreprises d'Etat, Ia portee des relations

L'information sur la structure de I'industrie minerale mondiale doit comprendre I'identification des grandes compagnies et des entreprises d'Etat, Ia portee des relations