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Les membres actifs 220 Devenir membre-adjoint

Dans le document Florent Palluault (Page 98-105)

Il est difficile de savoir comment les candidats potentiels apprenaient l’existence de la Société anatomique. La Société ne connaissait pas la célébrité de l’Académie de Médecine ou, plus tard de la Société de Biologie, dont les travaux portaient bien au-delà du seul public médical. Elle se faisait aussi plus discrète que ne l’avait été la Société d’Instruction médicale : le doyen n’y faisait pas référence lors du discours de rentrée de la Faculté. La Société anatomique arrivait donc sans doute à la connaissance des étudiants par l’intermédiaire d’autres étudiants plus avancés dans leur cursus. Dans la course à l’externat puis à l’internat, certains des meilleurs étudiants, internes des hôpitaux et accessoirement membres de la Société anatomique étaient montrés en exemple. La séance solennelle et publique de la Société pouvait aussi attirer des étudiants. Une certaine publicité venait ensuite de médecins prenant le titre de membre de la Société anatomique dans leurs ouvrages ou leurs articles dans les journaux et des Bulletins de la Société anatomique. CRUVEILHIER présentait aussi la Société anatomique dans son cours sur l’histoire de l’anatomie pathologique mais ce cours n’avait lieu que pendant la dernière année d’études.

Présentateurs

Pour se porter candidat au titre de membre de la Société anatomique, il fallait, selon le règlement, être présenté à trois membres. La plupart des étudiants connaissaient déjà des membres de la Société parce qu’ils fréquentaient les mêmes cours, les mêmes salles d’hôpital et les mêmes amphithéâtres de dissection. Il ne devait donc pas être très difficile, pour un candidat, de trouver des présentateurs qui veuillent bien l’introduire au sein de la Société. Cependant, justement parce que le candidat était déjà connu de plusieurs membres, la présentation formelle perdait de l’importance. Si par hasard un candidat ne trouvait que deux présentateurs un membre pouvait toujours lui venir en aide en acceptant de le présenter.

La règle des trois présentateurs fut donc constamment violée, mais sans que cela portât vraiment à conséquence. Pour ne pas pénaliser un candidat qui n’avait que deux présentateurs, on lui en adjoignait un troisième — sans que ce dernier en fût nécessairement informé. Or, comme il fut envisagé, à plusieurs reprises, de rendre les présentateurs solidaires du paiement du diplôme et des cotisations du candidat, cette manière de faire pouvait entraîner des dissensions au sein de la Société. Le 24 juin 1840, MAZET se plaignit que l’on n’exigeât pas, suivant la lettre du règlement, la présence des membres chargés de présenter les candidats.221 Il lui était arrivé de trouver son nom sur la liste des présentateurs d’un membre qu’il ne connaissait même pas. On décida que le secrétaire veillerait à ce que le règlement soit plus rigoureusement suivi à cet égard. CRUVEILHIER, LIVOIS et TARDIEU proposèrent en outre qu’à l’avenir toute présentation fût accompagnée de la signature des trois présentateurs.222 Cette proposition, adoptée dans la séance suivante, ne reçut pas d’application.

Le 30 mai 1851, le Comité discuta l’exclusion de BATTEMBERG, qui n’avait pas payé ses frais d’entrée et n’avait pas donné de réponse aux lettres que le secrétaire lui avait envoyées. Le trésorier, BLAIN DES CORMIERS, demanda s’il fallait faire payer la dette à ses présentateurs. MOREAU lui répondit que cela serait injuste « à cause de l’usage qui s’[était] introduit dans la Société de prendre les présentateurs un peu au hasard et souvent sans leur aveu ».

La décision de 1840 ne fut mise en pratique qu’à partir de 1861 et de la réforme du règlement. A partir de cette époque, les membres devaient présenter des pièces anatomiques comme titre antérieur puis, par une lettre écrite à la Société, requérir le titre de membre adjoint. Les trois présentateurs devaient signer cette lettre et soutenir formellement le candidat. On possède certaines de ces lettres dans les archives. Auparavant, aucune lettre au Président de la Société n’était exigée des candidats, comme cela était le cas dans la plupart des sociétés savantes. La Société anatomique était donc loin d’être une société inaccessible. Il suffisait qu’un étudiant demandât à deux ou trois de ses amis de

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Nous entendons par membres actifs les membres adjoints et titulaires, qui étaient tenus de participer aux séances hebdomadaires. Faute d’un vocable plus satisfaisant, nous avons adopté celui de non-actifs pour désigner les membres qui ne participent pas aux séances.

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Un mois auparavant, le 20 mai 1840, le Comité avait « regretté que dans les règlements la présence des présentateurs du candidat ne [fût] pas exigée ».

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l’introduire auprès des autres membres. Il fallait bien entendu qu’il fît ensuite ses preuves avec les pièces pathologiques, mais la présentation elle-même n’offrait rien de difficile.

Présentation de pièces

L’article 25 du règlement de 1826 précisait les conditions d’entrée : après avoir été présenté par trois titulaires, il fallait « soumettre à la Société une ou plusieurs observations [et] remettre son travail à une commission chargée de l’examiner et d’en faire un rapport à la Société ». La plupart du temps, les candidats présentaient une première pièce pathologique puis, jugeant de l’impression qu’ils avaient faite sur la Société, en présentaient une nouvelle si nécessaire.

Dans la pratique, le candidat montrait une pièce pathologique, en donnait les principaux caractères puis lisait l’observation correspondante. Celle-ci comprenait divers renseignements concernant l’histoire de la maladie, l’état clinique du malade, le compte-rendu d’autopsie, les conclusions d’ordre pathologique et l’intérêt général de la pièce.223

Pour prétendre au titre de membre adjoint, il était absolument nécessaire de présenter une pièce anatomique. Seuls les médecins étrangers à la Société qui ne demandaient que le titre de membre correspondant pouvaient envoyer un manuscrit. Le 4 janvier 1837, le Comité décida d’ajouter au règlement un article stipulant que les travaux présentés par les membres adjoints ou titulaires devraient être « originaux manuscrits et non publiés ». Ces observations étaient nécessaires pour alimenter les publications de la Société, en plus d’être un garant du sérieux et du niveau d’études du candidat. Le 12 juin 1846, la présentation de CAHEN et LEFEBVRE pour le titulariat fut annulée, car les observations à l’appui de leur pièce n’avaient pas été remises. Le secrétaire du Comité fut aussi chargé d’écrire à VERNEUIL que sa présentation pour le titre de candidat admissible serait annulée s’il ne remettait pas, dans le plus bref délai, l’observation que la commission attendait depuis sept mois.

Observations

Il était de l’intérêt du candidat de fournir au plus tôt l’observation accompagnant la pièce pathologique, pour que le rapport pût en être fait rapidement. Le règlement exigeait d’ailleurs que ce rapport fût fait dans les trois semaines suivant la présentation. Cependant, comme l’altération menaçait la pièce, les candidats se devaient de la présenter rapidement et ils n’avaient pas toujours le temps de rédiger complètement leur observation, se contentant de notes pour leur présentation. Le 15 mai 1846, la Société rappela qu’une candidature serait considérée comme non avenue si l’observation accompagnant les pièces n’était pas remise dans l’intervalle de la séance de présentation à la séance suivante ou dans les huit jours de l’avis donné par le secrétaire. Malheureusement, les mises en garde du Comité ne portaient que rarement leurs fruits. Le 23 novembre 1849, MACQUET fut chargé de prévenir les membres de la Société que « afin de régulariser le travail des rapporteurs, tous les candidats ser[aie]nt tenus de déposer leurs observations écrites sur le bureau le jour même de la présentation de leurs pièces anatomiques. Dans le cas contraire, les pièces présentées ne pourr[aie]nt être considérées que comme [un] titre antérieur » à leur candidature.

Souvent les observations n’étaient remises que plusieurs semaines après la présentation de la pièce. Elles étaient même parfois rédigées après coup et souvent « elles se ressent[ai]ent, ce qui ne devrait pas être, de la discussion qui [avait] eu lieu à la séance ». Le 30 mars 1849, DEVILLE demanda que toute pièce sans observation fût considérée seulement comme titre antérieur.

Titres antérieurs

A partir de 1837 les candidats prirent l’habitude de présenter leurs premières pièces pathologiques sans demander formellement le titre de membre adjoint. Cela leur permettait de prendre date dans la Société et de juger si leur travail avait été bien accueilli. Cela leur permettait aussi, dans l’intervalle, de découvrir une pièce plus intéressante et de rédiger une observation de manière plus satisfaisante, tout en comptant ces premières présentations dans les titres à l’appui de leur candidature.

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En 1831, un autre système fut adopté pendant quelque temps. Le candidat présentait d’abord une pièce pathologique et remettait une note. Dans la séance suivante, il lisait l’observation en entier. Ensuite, la commission procédait au rapport à l’issue duquel les membres votaient sur son admission. Ce système fut rapidement abandonné car certains membres assistaient irrégulièrement aux séances et il leur était difficile de prendre part à la discussion s’ils n’avaient pas vu la pièce dans la séance précédente.

PICARD, le 6 décembre 1837, fut le premier à se présenter sur ce mode. Ce système de présentation était uniquement un usage de la Société car il n’apparaît dans aucun règlement.

La procédure des titres antérieurs pouvait retarder la nomination de plusieurs mois. Le 24 juillet 1839, DEBROU fit un rapport sur des pièces anatomiques présentées par MOLLOY et conclut à son admission comme adjoint de la Société. Mais certains membres firent observer qu’il n’avait présenté ces pièces que comme titre antérieur et la nomination fut remise à l’époque où il se présenterait définitivement. MOLLOY fut finalement nommé le 15 janvier 1840.

Lorsqu’un étudiant avait présenté plusieurs pièces, il était plus difficile de lui refuser l’admissibilité. Certains candidats, confiants dans leur première présentation, se dispensaient de cette seconde chance, et parfois la commission aurait préféré un comportement plus prudent. Cependant, ce n’était pas au rapporteur de juger si la pièce pouvait être considérée comme un titre antérieur. Le 5 avril 1850, la Société se vit obligée de préciser de nouveau ces dispositions. BLONDEAU lut un rapport sur les pièces et le travail de LAFARGUE, candidat au titre de membre adjoint. Ce rapport concluait à la prise en considération de l’observation de LAFARGUE comme titre antérieur « pur et simple » et au renvoi de sa note écrite au Comité de rédaction. Comme CRUVEILHIER allait mettre aux voix les conclusions du rapport, BROCA intervint.

La commission a exprimé son opinion. La Société doit exprimer la sienne. Dans le cas auquel je fais allusion, le candidat fut inscrit sur la liste des admissibles malgré le rapport de la commission. En se présentant, M. LAFARGUE demandait à devenir admissible. La commission était appelée à examiner s’il en était digne ou non. Je demande donc que la Société vote par oui ou par non sur l’admissibilité de M. LAFARGUE.

BLONDEAU répondit que la non admissibilité de LAFARGUE était implicitement contenue dans le rapport et qu’en demandant la prise en considération pure et simple comme titre antérieur, la commission n’avait voulu « qu’atténuer cette conclusion ». CAUDMONT proposa alors de voter successivement sur le renvoi de l’observation au Comité, l’admissibilité du candidat, et en cas de refus de prendre en considération l’observation comme titre antérieur. A l’issue du vote, LAFARGUE ne fut pas inscrit sur la liste des membres admissibles.224

La procédure d’admission

Commission d’examen des candidatures

Le règlement de 1826 prévoyait dans son article 27 que les commissions chargées d’examiner les titres des candidats à la place d’adjoint devraient être composées de cinq membres dont un rapporteur. Le rapport devait être fait dans une des deux séances suivantes, « tant sur le mérite scientifique, que sur le caractère moral du candidat. » Après la lecture du rapport, la Société délibérait immédiatement sur l’admission au scrutin secret. Le 9 avril 1826, COMTE proposa à la Société que la partie scientifique des rapports fût dorénavant séparée de la partie relative à la moralité des candidats, et que la première partie seule fût déposée dans les archives de la Société.225 Ainsi nous ne connaissons aucun de ces rapports sur la moralité des candidats.

Le règlement de 1834 réduisit le nombre de membres de la commission à trois. Pour chaque nouveau candidat on élisait une nouvelle commission d’examen, formée de trois membres choisis dans l’ordre alphabétique. Mais cet ordre était rarement suivi. Parfois, le peu de membres présents obligeait à choisir un membre qui avait déjà été chargé d’un rapport peu de temps auparavant. D’autres fois un membre désirait faire ce rapport en particulier parce qu’il était spécialement intéressé par la pièce. Cependant, il arrivait que l’intérêt du membre résidât plus dans son amitié avec le candidat que dans la nature de la pièce. Le 3 juillet 1846, MAILLIOT réclama l’exécution rigoureuse de l’article prescrivant la nomination des commissions par ordre alphabétique. Selon lui on « éviterait ainsi certains faits de

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Archives de la Société anatomique de Paris, Carton n°2, Procès-verbaux pour 1850, Séance du 5 avril 1850. 225

Il est assez difficile de savoir à quoi se rapportaient exactement les jugements moraux portés sur les candidats. Portaient-ils sur le comportement de l’étudiant, sur le sérieux de ses études médicales et son honnêteté intellectuelle uniquement ? La conduite personnelle, la fréquentation des bals ou des grisettes entrait-elle en ligne de compte ? Il ne semble pas en tout cas qu’une considération politique ou religieuse ait empêché un étudiant de se faire accepter à la Société anatomique. Nous ne disposons d’aucun de ces rapports sur la moralité et en l’absence de tout texte et de toute autre preuve matérielle, nous en sommes réduits à des hypothèses. C’est d’autant plus regrettable que plusieurs candidats furent refusés après un rapport défavorable sur leur moralité. Voir p. 107.

camaraderie qui ne devraient pas avoir lieu ». BONNET lui fit observer combien la Société et les candidats avaient à gagner à ce que les commissions fussent composées surtout de membres ayant étudié les questions relatives aux pièces anatomiques présentées, mais il promit néanmoins, en tant que vice-secrétaire, que l’on ferait plus attention à l’avenir.

Le 5 juillet 1844, lors du débat sur la réduction du nombre de membres, on discuta une proposition demandant que les commissions chargées d’examiner les candidatures fussent composées de deux adjoints et d’un titulaire pour les membres adjoints et de trois titulaires pour les titulaires. JAMAIN demanda en outre que le premier membre sorti de l’urne fût le rapporteur. CAUDMONT s’opposa à ce qu’on adjoignît un titulaire à deux adjoints, ce mode tendant, selon lui, à faire supposer que la commission se composait d’un supérieur et de deux inférieurs. TARDIEU lui répondit qu’il s’agissait seulement de composer les commissions proportionnellement au nombre des membres, de manière à répartir également les travaux sur tous les membres. L’amendement présenté par CAUDMONT et l’article 6 furent tous les deux rejetés.

Les commissions n’avaient souvent de commission que le nom. La plupart du temps, seul le rapporteur effectuait le travail, les deux autres membres se contentant de l’aider s’ils étaient intéressés par la pièce ou s’ils étaient particulièrement zélés. Souvent ces deux membres ne prenaient connaissance du rapport que lors de sa lecture devant la Société, et il arrivait, rarement toutefois, qu’un désaccord apparût entre le rapporteur et les autres membres de la commission. Le 20 décembre 1850, PIOGGEY lut un rapport sur une observation de fracture du crâne par TRELAT. Il proposa de déposer l’observation dans les archives sans l’imprimer. Après une discussion à laquelle HOUËL, BARTH, CAUDMONT ET MAILLIOT prirent part, on décida que le rapport, « qui suivant les habitudes de la Société a[vait] été fait par M. PIOGGEY seul sans consulter les deux autres membres de la commission », serait renvoyé avec l’observation à la commission entière composée de PIOGGEY, HOUËL et LEUDET.

Les rapports sur les candidatures

Dans certaines séances, beaucoup de pièces étaient présentées et il était urgent d’examiner celles qui menaçaient de se détériorer. La lecture d’un rapport de candidature pouvait donc être repoussée. Le 3 avril 1846, RICHARD et LEFEBVRE se présentèrent pour faire chacun un rapport, le premier sur LUNIER, le second sur PONS, tous deux candidats au titre de membre adjoint. Mais comme l’ordre du jour de la séance était très chargé, la Société renvoya la lecture de ces rapports à la séance suivante. On vota seulement sur l’admissibilité des candidats qui furent inscrits sur la liste des candidats admissibles. Le Comité décida d’ailleurs le 12 juin suivant que le secrétaire aurait « le droit de rapporter, dans les procès-verbaux, les faits présentés à l’appui d’une candidature avant que les rapports des commissions [eussent] été faits ». Cette tradition fut entérinée par une décision du Comité du 27 décembre 1850 : lorsqu’on aurait la certitude qu’un rapport serait fait avant l’élection et que ce rapport serait favorable au candidat, « lorsque par conséquent l’admissibilité de ce candidat ne [serait] pas douteuse, on [pourrait] placer le candidat non encore admissible mais certain de le devenir sur la liste présentée à l’élection par le Comité ».

Les commissions étaient bien souvent indulgentes. Pour ne pas décourager de futures candidatures et ne pas être tenus pour responsable d’un éventuel rejet par la Société, les commissaires hésitaient à refuser l’admission du candidat, laissant les membres prendre la décision finale. Il leur répugnait de couper court aux ambitions de leurs camarades étudiants. Le rapporteur ne pouvait pourtant guère conclure qu’à l’admissibilité ou la non-admissibilité. Seule la Société pouvait prendre une décision différente et en quelque sorte racheter un candidat dont l’observation était insuffisante. Le 19 juin 1846, HILLAIRET lut un rapport sur DELARUELLE. Après quelques observations de MAILLIOT sur la rédaction générale et médicale de l’observation, la Société consultée par un vote décida que le travail de DELARUELLE serait renvoyé à son auteur pour correction et que le vote sur sa présentation n’aurait lieu que dans la séance suivante.

Les conclusions du rapport avaient parfois du mal à rester confidentielles. Le 16 février 1842, CRUVEILHIER donna lecture d’une lettre de DELINEAU qui déclarait se désister de sa candidature en alléguant que la commission chargée d’examiner ses titres avait jugé son observation incomplète. Il demandait en outre la restitution de son travail. Ambroise TARDIEU, PIGNE et COMIN rappelèrent que

le rapport n’avait pas encore été fait, que le candidat ne pouvait en aucun cas avoir connaissance de ses conclusions et combattirent, au nom du règlement, le précédent que DURAND-FARDEL voulait établir en agréant à la demande de DELINEAU. La Société refusa de considérer la demande et passa à l’ordre du jour. COMIN lut ensuite le rapport relatif à la candidature de DELINEAU. Les conclusions proposant le dépôt du travail aux archives et la non-admissibilité du candidat furent adoptées à l’unanimité.

Retards dans les rapports

Certains membres, en particulier les membres titulaires et les membres du Comité comme PIGNE et BROCA, prenaient part à la rédaction de très nombreux rapports. Toutefois, toutes les commissions n’étaient pas aussi impatientes de donner leur temps à la Société. Le problème des rapports en retard ne cessa de perturber le bon fonctionnement des candidatures et des élections. Le

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