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AUTOUR DU DESIGN (ARCHITECTURE) DE LA RECHERCHE

Pour conclure, et en lien avec la notion de design telle qu’elle est définie par Royer et Zarlowski (2007a)324, nous pouvons mettre au jour la cohérence globale existant entre la problématique de recherche, portant sur la compréhension fine de la manière (question de type « comment ? ») dont le dirigeant et sa PME agissent pour générer de la croissance et sa déclinaison en trois questions de recherche opératoires et complémentaires (questions également de type « comment ? ») portant respectivement : 1) sur la participation de la Perspective Temporelle dans la vigilance entrepreneuriale du (de la) dirigeant(e), 2) sur la participation de cette vigilance dans l’orientation entrepreneuriale de la PME et 3) sur la participation de cette orientation dans la croissance de la PME.

Pour répondre à cette problématique et à ces questions de recherche, un dispositif méthodologique qualitatif (Hlady-Rispal et Jouison-Laffitte, 2014; Suddaby, Bruton et Si, 2015) constitué, pour l’essentiel, d’entretiens semi-directifs centrés auprès des dirigeants de

324 Royer et Zarlowski (2007a, p.143) définissent le design comme « l’architecture de la recherche, […] [c'est-à-dire] la trame qui permet d’articuler les différents éléments d’une recherche : problématique, littérature, données, analyse et résultat ».

189 PME) et une démarche abductive (faite d’allers-retours entre le terrain de recherche et la théorie) sont particulièrement adaptés. Par ailleurs, le positionnement épistémologique interprétativiste est particulièrement adapté à cette recherche portant sur le contenu et se focalisant non seulement sur une compréhension fine des motivations et des interprétations des acteurs en présence325 mais également sur la mise en évidence des hyper-spécificités du contexte étudié326.

Ainsi, suivant Giordano et Jolibert (2008), nous arrivons à une cohérence globale dans notre projet327 entre le statut de la recherche (une recherche davantage liée à l’exploration qu’au test), les techniques de collecte et d’analyse des données (plus précisément, l’usage du logiciel NVivo pour analyser les données qualitatives constituées par les retranscriptions d’entretiens semi-directifs centrés avec les dirigeants de PME) et une posture épistémologique (l’interprétativisme pour mieux comprendre les motivations et les interprétations des acteurs en présence).

L’objectif de ce deuxième point est notamment de choisir, parmi les différentes postures épistémologiques possibles, celle qui, selon nous, semble la plus adaptée et de justifier ce choix au regard de notre problématique portant sur la croissance de la PME et des composantes des questions de rcherche liées (Perspective Temporelle, vigilance envers les opportunités, orientation entrepreneuriale)328.

325 En effet, dans son ouvrage épistémologique, Von Mises (le directeur de Thèse d’Israel Kirzner) précise : « Dans les sciences se rapportant à l’action humaine […], nous comprenons les phénomènes de l’intérieur. Parce que nous sommes des êtres humains, nous sommes en mesure de comprendre la signification de l’action humaine, c’est-à-dire la signification que l’acteur a associée à son action. C’est cette compréhension qui nous permet de formuler les principes généraux par lesquels nous expliquons les phénomènes de l'action ». [« In the sciences of human action […], we comprehend phenomena from within. Because we are human beings,

we are in a position to grasp the meaning of human action, that is, the meaning that the actor has attached to his action. It is this comprehension of meaning that enables us to formulate the general principles by means of which we explain the phenomena of action » (Von Mises, 2003, p.137-138)].

326 Dans une optique de généralisation, la prise en compte d’un contexte particulier constitue la principale limite de l’approche qualitative (voir Baumard et Ibert, 2007).

327 Notre projet est lié à notre problématique de recherche qui porte sur « comment le dirigeant et sa PME agissent-ils pour générer de la croissance ? ».

328 Pour une présentation de l’épistémologie, des trois paradigmes épistémologiques et des critères de validité de chaque posture, le lecteur pourra consulter l’annexe n°4.

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2 LE CHOIX DE LA POSTURE ÉPISTÉMOLOGIQUE

2.1 La posture positiviste : un choix possible

Il est possible d’adopter une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive. Cependant, cela impose d’admettre certains présupposés. Premièrement, il faut alors admettre que les opportunités existent (Verstraete et Fayolle, 2005; Avenier, 2012) de manière objective et qu’elles sont saisies davantage par des entrepreneurs vigilants (Alvarez, Barney et Young, 2010) plutôt que créées de manière plus collective (Alvarez et Barney, 2007). Deuxièmement, il est possible de choisir une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive liée, mais il faut alors admettre des questions de recherche qui comprennent, de manière explicite, la notion d’influence. Troisièmement, il est possible d’adopter une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive, mais il faut alors admettre que l’échelle développée par Tang, Kacmar et Busenitz (2012) permet de répondre, de manière claire, à toutes les objections concernant les aspects métaphoriques (Dimov, 2011), théoriques (Davidsson, 2008) et non opérationnels de la théorie de la découverte.

2.2 La posture positiviste : un choix critiquable et risqué

Le choix d’une posture épistémologique positiviste et d’une démarche hypothético-déductive « traditionnellement » liée (construire des hypothèses à partir de la théorie et les tester à l’aide de méthodes statistiques appliquées à des données quantitatives issues de questionnaires collectés auprès d’un échantillon représentatif) n’est pas exempt de critiques et de risques. En effet, il faut premièrement noter que la vigilance kirznerienne est reliée à l’école d’économie autrichienne (Hayek, 1945; Kirzner, 1983, 1985; Von Mises, 1996; Kirzner, 1997, 1999, 2005; Von Mises, 2008; Kirzner, 2009). Bien que cette école soit en réaction face à l’orthodoxie quantitative et statistique régnante en Sciences Économiques, et qu’elle défende l’usage des méthodes non quantitatives pour mieux comprendre (verstehen en allemand) l’action humaine (Von Mises, 2003), le risque plus global est ici de méconnaître le fait que les Sciences de Gestion329 se sont précisément détachées des Sciences Économiques (Martinet, 1988, 1990a). Deuxièmement, adopter une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive peut mener au risque d’obtenir une représentation

191 simplifiée et réductrice du phénomène étudié (Lindgren et Packendorff, 2009) ne prenant que partiellement en compte les nombreuses idiosyncrasies et contingences de la situation de gestion (Sandberg, 2005; Martinet, 2008). Troisièmement, adopter une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive liée peut mener au risque d’oublier que les événements entrepreneuriaux ne sont pas linéaires, qu’ils ne sont pas ordonnés et qu’ils ne changent pas de manière constante (Bygrave, 1989)330. Quatrièmement, adopter une posture épistémologique positiviste et une démarche hypothético-déductive liée peut mener au risque, lorsque les hypothèses sont validées, de perpétuer, voire de renforcer, l’image de l’homo economicus (Lindgren et Packendorff, 2009).

2.3 Choix final : la posture interprétativiste

Dans cette recherche, nous prenons position (Avenier, 2011, 2012; Avenier et Thomas, 2012) et adoptons une posture épistémologique interprétativiste. Pourquoi pouvons-nous adopter cette posture ? Parce que, au-delà de la difficulté mais de la valeur de mettre au jour une représentation collective, culturelle, contextuelle et relativiste de la situation de croissance de la PME, résultante de nombreuses confrontations entre des représentations et interprétations individuelles, elles-mêmes multiples, déjà complexes et équivoques (Weick,

330 L’idée est contenue dans la citation suivante : « L'envie de physique consiste à considérer que la progression

de l'entreprise peut être décrite par des modèles déterministes, linéaires, qui évoluent en douceur, et susceptibles d’être analysés au moyen d’équations de régression. Or, une telle philosophie ne permet pas de gérer les événements disjoints de l’entrepreneuriat qui perturbent la stabilité » (Bygrave, 1989, p.17). [« Physics envy assumes that business progress can be described by smoothly changing, linear, deterministic models that can be analyzed with regression equations. That philosophy is unable to handle entrepreneurship’s disjointed events that disrupt stability » (Bygrave, 1989, p.17)]. Cette idée, développée sous une forme similaire par d’autres auteurs (par exemple, voir Kelly et McGrath, 1988), renvoie également à une approche causale (par exemple, voir Sarasvathy, 2001; Fisher, 2012) du processus entrepreneurial (Shane et Venkataraman, 2000; McMullen et Dimov, 2013). Or, cette approche causale n’est pas exempte de critiques. En effet, Denzin et Lincoln (2005) expliquent que : « Le mouvement de recherche SBR (recherche fondée sur une base scientifique), lancé ces

dernières années par le National Research Council, a généré un environnement politique hostile à la recherche qualitative. En lien avec la législation fédérale […], le SBR représente un scientisme réémergent […], une

épistémologie positiviste fondée sur les preuves. Ce mouvement encourage les chercheurs à employer […] une

méthodologie rigoureuse, systématique et objective en vue d’obtenir des connaissances fiables et valides […]. La méthodologie préférentielle consiste à utiliser des modèles causaux bien définis et des variables indépendantes et dépendantes. Les chercheurs examinent les modèles causaux dans le contexte d’expériences aléatoires, qui permettent la réplication et la généralisation des résultats […] » (Denzin et Lincoln, 2005, p.8-9). [« The scientifically based research (SBR) movement initiated in recent years by the National Research

Council (NRC) has created a hostile political environment for qualitative research. Connected to the federal legislation […], SBR embodies a reemergent scientism […], a positivist, evidence-based epistemology. The

movement encourages researchers to employ […] rigorous, systematic, and objective methodology to obtain

reliable and valid knowledge […]. The preferred methodology employs well-defined causal models and

independent and dependent variables. Researchers examine causal models in the context of randomized controlled experiments, which allow for replication and generalization of their results […] » (Denzin et Lincoln, 2005, p.8-9)].

192 1979), nous soutenons, d’une façon non neutre, que la Perspective Temporelle (construit psychologique d’ordre individuel et même intime) joue un rôle significatif puisqu’elle est, selon nous, l’antécédent de la découverte, de l’exploitation des opportunités et, finalement, de la croissance de la PME.

Répondant au premier présupposé, nous soutenons en effet que le débat entre la découverte et la création peut être relié à celui de la marge de manœuvre (Dupuy, 1982; Astley et Van De Ven, 1983) d’un (ou même de plusieurs) individu(s). À ce titre, la présence du construit de niveau organisationnel (Covin et Slevin, 1991; Slevin et Terjesen, 2011; Wales, Patel, Parida et Kreiser, 2013; Anderson, Kreiser, Kuratko, Hornsby et Eshima, 2015) d’orientation entrepreneuriale laisse une place à une action plus collective331, plus enchevêtrée, plus intentionnelle et plus propice au développement de l’effectuation (Sarasvathy, 2001, 2008), du bricolage (Baker et Nelson, 2005) ou encore des capacités dynamiques (Teece, Pisano et Shuen, 1997). Répondant au deuxième présupposé, nous soutenons également que nos questions de recherche contiennent la notion de participation – notion plus « lâche » et moins « stricte » que la notion d’influence. Enfin, répondant au troisième présupposé, nous soutenons que le caractère récent de l’échelle de Tang, Kacmar et Busenitz (2012) constitue une avancée mais ne permet encore pas, à notre sens, de répondre à toutes les objections concernant les aspects théoriques, métaphoriques et non opérationnels de la théorie de la découverte, rendant ainsi une posture épistémologique (totalement réaliste) liée à cette théorie, difficilement cohérente, tenable et souhaitable.

CONCLUSION DU DEUXIÈME POINT

Dans ce deuxième point, nous avons explicité et justifié le choix de notre posture épistémologique. Ce choix s’est fait au regard de notre problématique et des constituantes de nos questions de recherche, notamment : Perspective Temporelle, vigilance et orientation entrepreneuriale.

L’objectif principal du troisième point est d’expliquer comment nous avons construit l’échantillon des 22 Petites Entreprises interrogées.

193

3 LA CONSTITUTION DE L’ÉCHANTILLON

3.1 La sélection des entreprises

Tout d’abord, il convient de définir la notion d’échantillon. Sur ce point, Royer et Zarlowski (2007b) précisent qu’il s’agit de « l’ensemble des éléments sur lesquels des

données [sont] recueillies » (Royer et Zarlowski, 2007b, p.192). Ensuite, il faut noter que la sélection des entreprises a un impact sur la validité interne et externe de la recherche. En ce qui concerne la validité externe (liée au potentiel de généralisation)332, les mêmes auteurs observent qu’elle peut s’obtenir soit par inférence statistique, soit par inférence théorique, cette dernière étant « une autre forme de généralisation […] qui ne s’appuie plus sur les

propriétés de la statistique mathématique. L’objectif n’est [donc] pas de généraliser des résultats statistiques à une population, mais de généraliser des propositions théoriques sur la base d’un raisonnement logique » (Royer et Zarlowski, 2007b, p.195).

Ensuite, nous devons préciser que la méthode de sélection retenue dans cette recherche doctorale est la méthode de sélection par choix raisonné.Pourquoi pouvons-nous retenir cette méthode ? Parce qu’elle est fréquemment employée dans les travaux doctoraux qualitatifs (Jaouen, 2005). À propos de cette méthode, Royer et Zarlowski (2007b, p.195-196) expliquent qu’elle « repos[e] fondamentalement sur le jugement. Ell[e] perme[t] de choisir

de manière précise les éléments de l’échantillon afin de respecter plus facilement les critères fixés par le chercheur. Les résultats d’un échantillon sélectionné par choix raisonné peuvent [ainsi] se prêter à une généralisation de type analytique ». Nous pouvons également retenir cette méthode car, comme le précisent ces auteurs (p.201) : « Pour les petits échantillons, une

méthode par choix raisonné donne d’aussi bons résultats qu’une méthode probabiliste. En effet, le recours au jugement pour sélectionner les éléments est à l’origine de biais mais, dans un petit échantillon aléatoire, la variabilité des estimations est tellement élevée qu’elle occasionne des biais au moins aussi importants […] ».

Pourquoi cette méthode de sélection est-elle adaptée ? Parce que le critère théorique majeur de sélection des entreprises est lié à l’effectif salarié d’une Petite Entreprise (effectif

332 Nous rappelons que, du fait de son application à un contexte particulier, la généralisation constitue la principale limite de l’approche qualitative (voir, par exemple, Baumard et Ibert, 2007).

194 compris entre 10 et 49 salariés)333. In concreto, les informations relatives aux effectifs disponibles dans les annuaires consultés ou encore sur le site internet www.societe.com ont permis de constituer un échantillon répondant à ce critère spécifique (voir Royer et Zarlowski, 2007b). Plus précisément, ont été contactées :

 certaines entreprises issues de l’annuaire d’entreprises représentant les secteurs en croissance de la Banque Publique d’Investissement appelée BPI Excellence;  certaines entreprises issues de l’annuaire du réseau Entreprendre;

 certaines entreprises membres du pôle de compétitivité énergie appelé Energivie;  certaines entreprises membres du pôle santé appelé Medicen Paris Région;  certaines entreprises membres du pôle numérique appelé Numélink;  certaines entreprises membres du Pôle des Technologies Médicales;

 certaines entreprises membres du réseau dédié aux hautes technologies en Île-de-France appelé Opticsvalley;

 certaines entreprises membres de l’association française des entreprises de biotechnologies appelée France Biotech.

Enfin, il convient d’introduire le critère d’homogénéité et d’hétérogénéité de l’échantillon, à propos duquel Royer et Zarlowski (2007b, p.202) expliquent qu’il « […] porte

sur la similitude ou, au contraire, [sur] le caractère dissemblable de certains éléments entre eux. Ce critère de choix est guidé par la volonté de constituer un échantillon homogène ou hétérogène. Un échantillon homogène favorisera la mise en évidence de relations et la construction d’une théorie. Pour le constituer, on veillera à ne sélectionner que des éléments similaires. Lorsque des recherches présentant une forte validité interne ont permis d’établir une théorie, on peut souhaiter étendre les résultats. Pour ce faire, l’échantillon sera constitué d’éléments dissemblables ». Comment homogénéité et hétérogénéité ont-elles été prises en

compte ? Dans notre recherche, l’homogénéité et la validité interne ont été prises en compte au travers du contact de plusieurs entreprises appartenant à un même secteur comme l’industrie manufacturière, les industries extractives et les autres industries ou encore les activités spécialisées, scientifiques et techniques et les activités de services administratifs et de soutien. L’hétérogénéité et la validité externe ont été prises en compte au travers du contact

333 Ces deux bornes correspondent par ailleurs aux seuils (10 et 50 salariés) considérés dans les travaux doctoraux portant respectivement sur les Très Petites Entreprises (Jaouen, 2005) et sur les Moyennes Entreprises (Le Vigoureux, 1997).

195 de plusieurs entreprises dissemblables comme une startup appartenant au secteur de l’information et de la communication ou encore une entreprise appartenant au secteur de la production et la distribution d’eau, l’assainissement, la gestion des déchets et la dépollution.

3.2 L’accès aux entreprises

Il faut ici noter que plusieurs possibilités ont été considérées pour accéder aux entreprises. À ce titre, nous précisons que l’approche du terrain par contact des responsables de réseaux et d’associations de PME (CGPME, Centre Francilien de l’innovation, association 100 000 entrepreneurs…) a échoué. Cela nous a conduit à privilégier un accès direct aux entreprises. Comment avons-nous procédé ? Cet accès s’est alors principalement concrétisé par l’envoi de deux mailings334 identiques successifs. Nous rappelons que les entreprises ont été sélectionnées selon leur effectif salarié (compris entre 10 et 49 salariés)335. L’objectif de ce mailing étant d’obtenir un premier contact, il a été rédigé en s’inspirant 1) de la lettre électronique initialement envoyée aux « têtes de pont » et 2) d’autres mailings (voir Jaouen, 2005) mais toujours dans un style plus court, plus direct et plus professionnel. Le tableau suivant présente les différentes informations liées à l’accès direct par mailing :

334 Publipostage, en français. Nous avons choisi cet outil de marketing direct, car « il permet une grande

sélectivité, une personnalisation et une flexibilité maximales […] » (Kotler, Dubois et Manceau, 2004, p.676). 335 Lorsque l’annuaire ou la fiche de l’entreprise membre du pôle de compétitivité, de l’association ou du réseau concerné ne contenait pas d’informations sur l’effectif salarié, le site www.societe.com a été consulté.

196 Tableau 18 : L’accès direct aux entreprises de BPI Excellence par l’envoi de mailing

Région Nombre de mailings envoyés Nombre d’entreprises ayant répondu favorablement

Nom des entreprises ayant effectivement participé à

l’étude336 Île-de-France 123 2 Flyus; Vegetalinnov

Rhône-Alpes 59 3 Industrial Grafix; Coffre; Pools

Provence-Alpes-Côte d’Azur 31 0 Centre 11 0

Bretagne 19 1 West n’ Tools Champagne-Ardenne 6 0 Basse-Normandie 7 0 Haute-Normandie 11 0 Picardie 10 0 Limousin 12 0 Franche-Comté 11 0 Bourgogne 12 0

336 Cette liste inclut uniquement les entreprises dont les entretiens ont réellement abouti et exclut les quatre entreprises qui ont été abandonnées en cours de route.

197 Tableau 18 : L’accès direct aux entreprises de BPI Excellence par l’envoi de mailing (suite) Région Nombre de mailings envoyés Nombre d’entreprises ayant répondu favorablement

Nom des entreprises ayant effectivement participé à

l’étude337 Alsace 14 1 Soin Santé

Lorraine 29 1 Solim

Languedoc-Roussillon

14 1 Health Industry Midi-Pyrénées 26 1 BT Sud

Auvergne 14 2 Start Knowledge; Prodisol

Poitou-Charentes

8 0

Aquitaine 18 2 Water Plus; Du Bois

Nord-Pas-de-Calais

22 1 Chtite Entreprise en Croissance (CEC)

Pays de Loire 10 0 Total 467338 15339

Il faut également noter que le deuxième mailing a été adressé aux entreprises membres de l’annuaire du réseau Entreprendre, aux entreprises membres des Pôles de compétitivité, des réseaux et des associations liés à la santé, aux Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication et à l’énergie. Les deux tableaux ci-après les présentent successivement.

337 Cette liste inclut uniquement les entreprises dont les entretiens ont réellement abouti; elle exclut les quatre entreprises qui ont été abandonnées en cours de route.

338 Les 467 mailings ont été envoyés les 29 et 30 janvier 2015. 339 Soit un taux de réponse de 3,21%.

198 Tableau 19 : L’accès direct aux entreprises membres de l’annuaire « Entreprendre » par l’envoi de mailing

Secteur340 Nombre de mailings envoyés entreprises ayant répondu favorablement

Nom des entreprises ayant effectivement participé à l’étude341 IMIEA 36 1 Solutec ASSTASAS 26 1 Condo IC 7 0 Total 69342 2343

Tableau 20 : L’accès direct aux entreprises membres des pôles, réseaux et associations spécifiques par l’envoi de mailing

Pôle, réseau ou association344 Nombre de mailings envoyés entreprises ayant répondu favorablement

Nom des entreprises ayant effectivement participé à l’étude345 Energivie (P) 15 0

Medicen Paris Région (P) 17 0 Numélink (P) 17 0 Pôle des Technologies

Médicales (P)

11 0 Opticsvalley (secteur

industrie) (R)

38 1 Cabletech France Biotech (entreprises

des sciences de la vie) (A)

20 0 Total 118346 1347

340 ASSTASAS : Activités Spécialisées, Scientifiques et Techniques et Activités de Services Administratifs et de Soutien; IMIEA : Industrie Manufacturière, Industries Extractives et Autres; IC : Information et Communication; PDEAGDD : Production et Distribution d’Eau, Assainissement, Gestion des Déchets et Dépollution (selon le code NAF révisé n° 2).

341 Cette liste inclut uniquement les entreprises dont les entretiens ont réellement abouti; elle exclut les quatre entreprises qui ont été abandonnées en cours de route.

342 Les 69 mailings ont été envoyés le 23 février 2015. 343 Soit un taux de réponse de 2,89%.

344 P : Pôle; R : Réseau; A : Association.

345 Cette liste inclut uniquement les entreprises dont les entretiens ont réellement abouti; elle exclut les quatre entreprises qui ont été abandonnées en cours de route.

346 Les 118 mailings ont été envoyés le 23 février 2015. 347 Soit un taux de retour de 0,84%.