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Prix du numéro : 10 centimes. Bureaux : Rue de la S e r r e , 58

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Prix du numéro : 10 centimes. Bureaux : Rue de la S e r r e , 58

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S U I S S E

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Un an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3,—

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Paraissant le Mercredi et le Samedi à la Chaux-de-Fonds On s'abonne a tous les bureaux de poste.

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suisses 20ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 49, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Un point du problème horloger Genève, le 19 niai 1909.

Monsieur le Rédacteur de la

Fédération Horlogère, La Chaux-de-Fonds.

Monsieur,

Dans votre numéro de ce jour vous publiez sous le titre pour remplacer l'horlogerie, diverses appréciations dont l'une surtout est à mon sens de nature à encourager dans une fausse route une bonne parlie du monde horloger.

Sans prétendre vous apporter un remède à tous les maux je pense bien faire au point de vue des intérêts généraux, en vous faisant part de mon point de vue qui est sûrement aussi celui de nom- breux confrères ayant une longue expérience.

C'est une grave erreur de croire que nous ra- mènerons la prospérité dans notre industrie en produisant mieux et à meilleur compte même si cela arrive sans diminuer les salaires des ouvriers.

La produclion actuelle de l'horlogerie suisse dans les articles que je dénommerai sous le nom de bon courant et qui font je l'estime la grande base de notre production, ces articles ou cette production sont je l'estime offerts actuellement sur le marché à un prix trop bas de 20 à 30 pour %•

Quand vous aurez encore abaissé ce prix met- tons à une limite extrême 10 à 1 5 % par exem- ple qu'arrivera-l-il — tout simplement que tous les pays dans lesquels nous devons exporter pour pouvoir exister élèveront leurs droits de 15 à 20°/° et que nous serons gros Jean comme devant.

Les affaires ne vont pas pour nombre de cau- ses bien diverses mais les trois suivantes sont bien je crois les principales, soit:

1. Celle que vous signalez si justement est que nous n'avons pas de marché intérieur suffisant.

2. Notre produclion dépasse de beaucoup les demandes et il y a en somme forte surpro- duction.

3. Les barrières douanières qu'élèvent tou- jours plus hautes, tous les pays où nous pour- rions placer nos produits sont le véritable et le seul réel obstacle à notre exportation.

Que faut-il faire contre ces maux. Pour la cause 1, je ne vois guère de remède. Nous ne sommes pas un pays à colonies et avant que no- ire marine quittant Genève, Bàle ou autres villes suisses devenues ports de mer pour aller porter au loin la pénétration pacifique et nos produits il y a encore du temps.

Pour la cause 2, il n'en est pas de même et il y a vraiment un remède sérieux, ne pas faire d'avance des montres sans savoir oit. on les placera.

. A ce point de vue de la surproduction, les ex- positions, la fabrication des montres de tir, la

création de stocks de détail chez les fabricants tout cela a beaucoup contribué à celle surproduc- tion qui fait un tort immense en avilissant les prix et en leur ôlant surtout la stabilité qui se- rait désirable.

Pour la cause 3 c'est celle, je l'estime, ou il y a le plus à faire en refusant absolument de con- clure des traités de commerce avec les pays dont les tarifs sont de véritable prohibition comme il y en a. — A ceux qui ne veulent pas nos produits répondons nous ne voulons pas les vôtres.

A avoir une allilude ferme et juste nous avons j'en suis certain tout à gagner.

Si celte opinion n'est pas parlagée par lous vos lecteurs ou vous même, Monsieur le Rédac- teurs, vous ne trouverez sûrement pas mauvais qu'elle figure dans votre journal qui ne recher- che qu'à être utile à notre industrie.

Veuillez excuser ces lignes trop longues et agréer, Monsieur le Rédacleur, mes salutations

empressées. A. PAVID.

Mais je m'aperçois qu'il y a encore quantité de choses bonnes à dire sur ce sujet. Gardez-vous par contre de laisser supposer que la montre suisse a besoin d'être perfectionnée car ce n'est pas le cas (j'entends en général et il y a partout des exceptions). Je ne suis pas de ceux qui nient le progrès et j'ai toujours cherché à perfectionner les moyens de travail et le travail lui même, mais on doit affirmer ici une vérité. C'est que dans l'ensemble la qualité de la montre suisse dé- passe sensiblement son prix. Dans aucun autre

article le public n'est mieux fourni.

A ceux qui vous conseillent de produire tou- jours mieux, toujours davantage et encore meil- leur marché, demandez leur si par exemple ils donneraie1 t le même conseil quand il s'agirait de la mévente des blés.

Si notre pays était encombré de celte marchan- dise et qu'il soit impossible de l'exporter conseil- leraient-ils aux producteurs de blé de produire toujours davantage el mieux pour améliorer leurs affaires. Le même.

La lettre ci-dessus, est intéressante à plus d'un titre. Le point de vue qu'y dé- fend son auteur, se peut soutenir victorieu- sement, s'agissant de la montre de qualité soignée, de la haute horlogerie, comme on en produit à Genève, et où la concurrence est moins intense, en raison du petit nom- bre dé producteurs.

Il n'en est pas absolument de même pour les fabricants de montres de qualité moyenne ou courante, qui sont légion et rencontrent, dans certains pays d'exporta- tion, une concurrence redoutable.

A moins que l'on veuille se confiner dans les anciennes méthodes de fabrication et dans la produclion des montres de grand prix, qui n'intéressent q u ' u n petit n o m b r e de consommateurs, il faut bien reconnaître que le machinisme et la division du travail ont ce résultat naturel, de permettre de produire mieux el à meilleur compte, tout en permettant de conserver, aux ouvriers, des salaires rémunérateurs.

O r , en produisant à meilleur comple, on peut, si la concurrence étrangère l'exige,

— et il le faudrait faire seulement dans ce cas

— vendre à meilleur compte aussi, tout en réalisant le même bénéfice qu'auparavant.

Si l'on se place au point de vue exclusi- vement patronal, on peut dire que l'idéal serait de produire moins, en augmentant le bénélice de vente pour arriver au môme résultat.

Mais si l'on considère le problème, tout à la fois au point de vue patronal et à ce- lui de l'ouvrier, on arrive bien vite à celle conclusion, qu'il faut chercher à augmen- ter la vente, p o u r pouvoir dévevopper la production, et occuper ainsi, un n o m b r e d'ouvriers.toujours plus grand.

Admettons, pour un instant, que nos fabricants d'horlogerie arrivent à doubler leurs bénéfices, mais à vendre deux fois moins de montres. Qu'arriverait-il?

Nos fabricants, avec moins de tracas, de travail et de risques, réaliseraient, à la lin de l'année, les mêmes bénéfices qu'aupa- ravant.

Mais la vente ayant diminué de moitié, la produclion se trouverait réduite dans la môme proportion et nos fabricants de- vraient congédier la moitié de leur person- nel ouvrier ; résultat : quelques milliers de travailleurs jetés sur le pavé et tombant à la charge de la charité publique.

Il faut donc, avant lout, songer à occu- per tous nos ouvriers ; c'est, notre corres- p o n d a n t voudra bien le reconnaitre, tout aussi important que d'augmenter le pour cent des bénéfices des patrons.

Et, comme la consommation d'un article augmente en raison de son utilité — ce qui est le cas de la montre — mais en rai- son aussi de son prix de vente ; comme,

(2)

d'autre part, nous sommes en présence d'une concurrence avec laquelle nous de- vons compter, secondée qu'elle est par des droits de douane élevés et, dans certains pays, par des conditions d'existence plus favorables que celles que nous pouvons offrir à nos ouvriers, nous devons aug- menter nos ventes, ce qui est la seule ma- nière de prendre la place de la concur- et d'en diminuer l'importance.

Q u a n t à la conclusion des futurs traités de commerce nous ne savons qu'elles dif- ficultés nous sont réservées ; mais on peut dire, qu'en principe, un pays n'est protec- tionniste qu'autant qu'il a quelque chose à proléger et que si on ne produisait des montres qu'en Suisse, on ne pourrait in- voquer aucun argument solide en faveur de droits de douane élevés sur notre horloge- rie... ce qui ne veut pas dire qu'on n e les relèverait pas, car il faut remplir la caisse, ce qui domine toute considération de logi- que ou de principe.

Notre correspondant nous semble n'avoir envisagé que l'une des faces de la question.

Mais nous sommes pleinement d'accord avec lui, quand il s'élève contre la création de stocks ne correspondant pas aux be- soins de la vente et dont l'écoulement forcé, produit toujours une perturbation sur le marché.

Le problème est très complexe, .nous le reconnaissons et ne se résond pas par une correspondance ou un article de j o u r n a l ; nous n'en sommes pas m o i n s reconnais- sant à notre correspondant de l'avoir abor- dé de front.

Et nous concluons en disant que l'une de nos préoccupations principales doit être de procurer du travail au plus grand nom- bre possible d'ouvriers et dans des condi- tions qui, tout en leur permettant d'en vivre, procure à nos industriels et à nos commerçants, des bénéfices normaux.

Enseignement commercial

Il y a quelque temps déjà, nous avons, dit la Feuille officielle suisse du commerce, attiré l'attention de nos lecteurs sur les cours interna- tionaux d'expansion commerciale, qui seront or- ganisés au Havre du 2G juillet au 21 août de cette année par la société internationale pour le développement de l'enseignement commercial.

Le programme détaillé de ces cours vient de pa- raître et sera livré gratuitement à tous les inté- ressés par le président de la société précitée, M.

A. Junod, à Berne. Nous en extrayons les notes historiques qui suivent sur la genèse et le but de ces cours.

Le 8e congrès international pour l'enseigne- ment commercial, réuni à Milan, en 190(5, avait adopté un vœu tendant à l'organisation de cours internationaux de vacances pour le développe- ment des études commerciales, à l'usage des commerçants, des étudiants des facultés commer- ciales et des professeurs d'écoles de commerce.

Ces cours devaient avoir lieu successivement dans divers pays, et être donnés dans la langne du pays où ils seraient organisés.

La société internationale pour le développe- ment de l'enseignement commercial, ayant été priée de donner suite à ce vœu, elle organisa successivement à Lausanne (1907) et Mannheim (1908), deux cours dont le succès fut complet.

Elle avait auparavant défini comme suit le but des cours: 1° Etudier le développement écono- mique d'une nation et ses relations avec l'étran- ger; 2° familiariser les auditeurs avec la langue du pays où se donnent les cours; 3° approfondir les questions relatives à l'enseignement des sciences commerciales et des langues vivantes;

4° faire connaître, au moyen d'excursions, le pays et ses entreprises commerciales et industri- elles; 5° créer des relations entre les personnes qui, dans les divers pays, s'occupent de questions commerciales.

Les cours d'expansion commerciale de Lau-

sanne et de Mannheim ont été précédés de cours préparatoires à l'usage des auditeurs désirant ra- fraîchir et compléter leurs connaissances linguis- tiques, afin de les mettre à même de suivre avec fruit les conférences du cours principal. Malgré la durée de ces cours préparatoires — 2 semaines à Lausanne, puis 3 à Mannheim — les expérien- ces faites ont démontré qu'ils ne répondaient pas complètement au but visé.

Pour des auditeurs connaissant imparfaitement la langue dans laquelle les conférences sont fai- tes, deux ou trois semaines d'études prépara- toires ne suffisent pas à les mettre en état de suivre tous, les conférences dans leurs développe- ments. Il est préférable de se borner à un cours de langue, tous, en donnant aux auditeurs de ce- lui-ci l'occasion d'entendre quelques conférences et de prendre part aux visites et excursions, en commun avec les auditeurs du cours d'expansion commerciale. Cette division parallèle des cours internationaux a aussi l'avantage: de répondre à ce que cherchent les deux catégories d'auditeurs qui les suivent. Les uns désirent avant tout étu- dier et parler la langue du pays ; les seconds ont en vue l'élude du développement économique et de l'organisation commerciale de la ville, de la région et du pays où les cours ont lieu.

Pour les raisons qui précèdent, les cours du Havre ont été divisés en deux sections parallèles, dont les auditeurs respectifs assisteront en com- mun à certaines conférences, ainsi qu'aux visites d'usines et aux excursions. Ces deux cours sont de quatre semaines chacun et ont lieu du 26 juil- let au 21 août 1909.

Fédération industrielle

Une centaine de délégués des différentes fédé- rations ouvrières horlogères s'étaient réunis di- manche à Bienne pour jeter les bases d'une fédération industrielle. La discussion des statuts a duré toute la journée et a été interrompue pour être reprise en automne dans un congrès extraor- dinaire.

L'horlogerie et les bazars

On sait que les associations d'horlogers alle- mands mènent une.vive campagne, depuis long- temps déjà, contre là vente des montres de qua- lité un peu convenable par les bnzars. La plupart des grandes maisons d'horlogerie suisses, pour lesquelles la clientèle des détaillants allemands est une force considérable, aident au reste ces derniers dans celte lutte.

Nous en trouvons un exemple typique dans la relation du fait suivant, dit l'Impartial:

Au commencement d'avril, la maison Leonhard Tielz, ouvrit à Düsseldorf un nouveau bazar avec un rayon d'horlogerie. On se figure l'étonnement des horlogers de cette ville à la nouvelle que le bazar vendait des montres «Omega». Au reçu d'une plainte, la fabrique Omega envoya immé- diatement un représentant à Düsseldorf Celui-ci put établir que le bazar en question avait reçu ces montres de troisième main. C'était un vague commerçant en horlogerie, en môme temps mar- chand de meubles, qui avait servi d'intermédiaire.

Il se fit adresser par un grossiste, contre rem- boursement, les montres en question et les passa au bazar avec un mark de bénéfice par pièce.

La fabrique Omega n'y était donc pour rien ; elle a d'ailleurs pour principe de ne pas fournir ses produits aux établissements en cause. Elle racheta immédiatement jtout le stocks des mon- tres Oméga se trouvant au bazar et donna en outre à ses représentants l'ordre de ne plus rien fournir au commerçant pris en défaul et de se renseigner auprès des acheteurs inconnus sur la destination de la marchandise.

L'uttilude de la fabrique Oniega, de même que le succès du syndical de Düsseldorf dans sa lutte contre les bazars, ont été accueillis avec une grande satisfaction dans les milieux intéressés.

Les détaillants se rendent parfaitement compte qu'il est impossible d'empêcher les bazars de vendre des montres, mais ils veulent s'opposer de toutes leurs forces à ce qu'ils obtiennent les mômes produits que ceux vendus par les hor- logers.

Un remède contre la crise horlogère C'est La Feuille du Dimanche, parais- sant à la Chaux-de-Fonds, qui l'indique dans son dernier n u m é r o ; nous citons :

« Jeunes gens, donnez-vous la sainte jouis- sance de provoquer pour le braver, le sourire des incrédules et des satisfaits de notre époque.

Pour cela dites dans tous lés milieux où vous vivez et où vous travaillez, ce seul mot, que vous défendrez et expliquerez et illustrerez ensuite de voire vie : « La solution de la crise horlogère, comme de toute notre crise économique, sociale, morale et religieuse, est en Jésus-Christ ! » 'lui, dites qu'il faut que notre ville, avec ses citoyens, et ses autorités, et ses hommes d'affaires, et toutes sa jeunesse revienne au Christ ! que re- vienne l'âge d'or ! »

Le moyen est très simple; le malheur est qu'il n'est pas à la portée de tout le monde et il est probable que les citoyens de notre ville, ses autorités, ses hommes d'affaires et sa jeunesse, n'espéreront guère à son efficacité.

L'élucubration de La Feuille du Di- manche n'en est pas moins curieuse et té- moigne d'un singulier état d'esprit.

Légations

Le nouveau ministre de Suisse à Tokio, M.

Ferdinand de Salis, a quitté Berne le 12 mai, avec sa famille, pour rejoindre son poste.

Son prédécesseur à Tokio, M. le Dr Ritter, a été reçu en audience de congé, le 4 mai, par le ministre des affaires étrangères du Japon. Il a dû sambarquer le 5 pour San Francisco pour ga- gner ensuite Washington, son nouveau poste. Il y trouvera encore M. Vogel, qui doit présenter, dans les derniers jours de mai, ses lettres de rap- pel au président Taft, tandit que M. Ritter pré- sentera ses lettres de crédit.

D'ici au 1er juin, nos nouveaux ministres à Tokio et à Washington auront pris possession de leurs fonctions.

Retrait des monnaies divisionnaires d'argent grecques

La convention additionnelle à la convention monétaire internationale de 1885, conclue à Pa- ris le 4 novembre 1908 par les états de l'Union monétaire latine, aux termes de laquelle la Grèce s'engage à retirer de la circulation des autres étals de l'Union ses pièces de 2 francs, 1 franc, 50 centimes et 20 centimes, a été ratifiée le 29 avril 1909 pour entrer en vigueur le 15 mai suivant.

D'après cette convention additionnelle, le délai accordé aux particuliers pour se défaire de ces monnaies expirera le 15 septembre 1909 ; les per- sonnes qu', après l'expiration de ce terme, se- ront en possession de monnaies divisionnaires d'argent grecques, auront à supporter elles-mê- mes la perte résultant de ce fait.

En conséquence, nous portons à la connais- sance du public ce qui suit:

1° D'après notre loi sur les monnaies et la con- vention monétaire internationale du 6 novsmbre 1885, aucun particulier n'est obligé d'accepter en paiement des monnaies divisionnaires d'argent étrangères; chacun a donc le droit de refuser des monnaies divisionnaires d'argent grecques.

2° Par contre, les caisses publiques de la Con- fédération sont obligées, d'après l'art. 6 de la convention monétaire, de recevoir en paiement les monnaies divisionnaires d'argent grecques, mais seulement jusqu'à concurrence de 100 francs pour chaque paiement.

Cette obligation des caisses publiques cessera toutefois le 15 septembre 1909. A partir de ce jour, les caisses publiques n'accepteront donc plus les monnaies divisionnaires d'argent grec- ques.

3" Le public est dè3 lors invité à remettre en paiement, avant le 15 septembre 1909, aux cais- ses publiques et à celles qui sont désignées ci- après et dont le concours nous est assuré, toutes les monnaies divisionnaires d'argent grecques qui ne peuvent être renvoyées dans leur pays d'origine par la voie du commerce.

4° Sont désignées comme caisses publiques tenues d'accepter en paiement jusqu'au 15 sep- tembre 1909 les monnaies divisionnaires d'ar- gent grecques, mais seulement jusqu'à concur- rence de 100 francs pour chaque paiement:

La caisse d'état fédérale, les caisses princi- pales des douanes et les caisses d'arrondisse-

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ment des postes, les caisses de l'administration fédérale des poudres, les bureaux de douanes, des postes et des télégraphes, la caisse princi- pale et les caisses d'arrondissement et les caisses des gares des chemins de fer fédéraux et les caisses publiques des cantons qui seront dési- gnées à cet effet par les gouvernements canto- naux.

En outre, la Banque nationale suisse, avec ses succursales et agences, les banques suisses d'é- mission faisant partie du concordai des banques cantonales, ainsi que les compagnies de chemins de fer à voie normale et les compagnies de che- mins de fer secondaires se sont déclarées prêtes à recevoir en paiement à leurs guichets les mon- naies divisionnaires d'argent grecques pendant la période fixée pour leur retrait, soit du 15 mai au 15 septembre 1909.

5° La publication qui précède révoque la circu- laire du Département fédéral des finances du 1er

février 1909 relativement au retrait provisoire des monnaies divisionnaires d'argent grecques.

Berne, le 15 mai 1909.

Au nom du Conseil fédéral suisse, Le Département fédéral des finances :

COMTESSE.

Correspondance particulière

On nous écrit de Genève :

Vous avez commenté, dans votre dernier nu- méro, un article sur «La vente de la bijouterie en Suisse, 3n faisant ressortir l'illogisme des ar- guments mis en avant, pour justifier la différence de traitement qu'une loi prochaine réserverait à la bijouterie et à la boîte de montre.

J'abonde dans votre sens: mais je puis vous assurer, pour être en mesure de le constater, que de criants abus existent en Suisse, dans la vente de la bijouterie. N'ètes-vous pas de l'avis, qu'il faut chercher à les extirper?

Un lecteur assidu de la « Fédération ».

Nous sommes absolument d'accord avec notre c o r r e s p o n d a n t ; mais il faut trouver le moyen de supprimer ce qui est mauvais, sans atteindre ce qui ne l'est pas.

Variété

On peut t r a n s m e t t r e de l'écriture par T. S. F.

La transmission de l'écriture à dislance à l'aide des. fils télégraphiques a été depuis long- temps réalisée au moyen des «lélautographes».

Mois on n'avait pas pu encore transmettre l'écri- ture ou le dessin à distance par la télégraphie sans fil. Les ondes hertziennes n'avaient point encore accompli ce miracle.

Des expériences fori interessantes de «radio- lélautographie», tel est le nom de la nouvelle in- vention, viennent cependant d'être faites par deux jeunes télégraphistes militaires, MM. de Mailly-Ghalon et Louis Chantelot, qui font en ce moment leur service dans les forts de l'Est.

Ces jeunes électriciens ont imaginé un appa- reil spécial destiné à permettre la commande des télaulographes ordinaires par les ondes de Hertz.

Cet appareil, combiné de façon à être robuste et facilement transportable, ressemble entièrement aux postes de télégraphie Morse communément employés. L'avantage considérable qui semble devoir résulter de l'emploi du « radiotélautogra- phe», c'est qu'il rend la télégraphie sans fil se- crète. Aujourd'hui, on le sait, le secret des com- munications hertziennes ne peut être assuré, une synlonisation parfaite des deux poste de télégra- phie sans fil étant impossible à réaliser. Par la transmission sans fil de l'écriture, cette synloni- sation, cet accord parfait des deux postes devient absolument inutile, puisque la suite des signaux transmis est tout à fait incohérente et que seule la réunion de ces signaux sur le papier enroulé autour du tambour récepteur constitue des signes

intelligibles. MM. de Moilly-Ghalon et Chantelot affirment de plus qu'avec cet appareil on pourra correspondre même si l'espace est sillonné par des ondes étrangères. En effet, au poste récep- teur, il s'imprimera des signaux parasites, mais qui dans la plupart des cas ne rendront pas l'écriture normale illisible.

L'appareil des deux jeunes télégraphistes militaires est simple. Ils ont combiné un appa- reil télautographique quelconque avec des cir- cuits permettant de le mettre en marche par les ondes.

Pour comprendre le fonctionnement du radio- lélautographe, imaginez un tambour mû par un mouvement d'horlogerie; ce tambour porte à la transmission une feuille de papier métallisé, à la réception une feuille de papier blanc ordi- naire qui sera la dépèche. Pour l'envoyer, il suffira d'écrire sur le papier métallisé avec une encre isolante. Chaque fois que la pointe d'un style passera sur un des caractères, le circuit étant ouvert, il y aura interruption du « train d'ondes» émis. Pendant toute la durée des in- terruptions, la molette d'impression de l'appareil récepteur sera brusquement appliquée contre le papier blanc et aura pour effet de reproduire les caractères tracés au poste transmetteur. La dé- pèche est ainsi obtenue.

Les expériences faites par les jeunes inven- teurs ont été réalisées il y a environ deux mois avec des appareils de fortune. Us ont obtenu des résultats encourageants qui permettent d'espérer que la ccradiotélaulographie» pourra bientôt en- trer en application pratique.

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