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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent Ie journal.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent Ie journal.

Sixième Année. — N

0

76.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Dimanche 18 Septembre 1892.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 27.

A B O N N E M E N T S

Un au : Six mois

Suisso . . . . Fr. 6»— Pr. 3»—

Union postale » 12

On s'abonne à tous les bureaux do poste

Paraissant le Jeudi Bt le Dimanche à la Ghaux-de-Fonds

A N N O N C E S

Provenant do la Suisse 20 et. la ligne de l'étranger 25 » ;>

Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance Organe de la Société i n t e r c a n t o n a l e d e s I n d u s t r i e s du J u r a , d e s C h a m b r e s de c o m m e r c e , d e s Bureaux de contrôle

et d e s Syndicats professionnels.

La Caisse de prêts gratuits

e t l e s p o l e r r x i q u . e s d e p r e s s e ' L'article que nous avons publié dans notro numéro du 11 courant devait, nous somblait-il, éclairer l'opinion publique sur l'état de la question de la Caisse de prêts gratuits. Mais il n'en est rien et les correspondances qui ont paru depuis, dénotent, de la part de leurs auteurs, un manque de connaissance complet du

rôle des pouvoirs publics, dans les dis- cussions qui ont eu lieu jusqu'ici sur cette affaire, ainsi que des responsabili- tés qui leur incombent.

Lo National suisse, dans son numéro du 16 courant, renferme deux correspon- dances dont nous croyons utile de rele- ver les erreurs d'appréciation.

Le premier correspondant dit, parlant du rapport de la Commission extra-par- lementaire :

Or, moi, je demande, — je suis avec ceci l'écho de beaucoup de nos concitoyens — qu'une S1MIiI)IaIiIe affaire soit discutée préala- blement dans le (irand Conseil. Il faut savoir si, en principe, l'Etat peut imposer aux Com- munes l'obligation de monter un office de prêts d'argent à titre gratuit, avec le risque de ne revoir jamais la couleur de cet argent dans la proportion des trois cinquièmes ou quatre cinquièmes. Nous verrons alors ce que la m a - jorité de MM. les députés répondront au Châ- teau de Xcuchàtcl, lorsque la question leur sera posée.

Vraiment, nous ne savons pas où le correspondant *** a vu ou lu, qu'il était question que l'Etat impose quoique ce soit aux communes, dans le domaine des caisses de prêts gratuits ! Il s'est borné à nommer une commission d'enquête sur la crise industrielle et les moyens de soulager ceux qui en souffrent. Cette commission a désigné une sous-commis- sion pour examiner plus spécialement la création de caisses de prêts gratuits et son rapport, concluant à recomman- der cette création, dans les localités où le

besoin s'en fera sentir — on voit qu'il n'y a rien là qui ressemble, même de loin, à une injonction — a été transmis, avec recommandation, aux conseils commu- naux du Locle et de la Chaux-de- Ponds. Voilà tout. Quant au Grand Conseil, il s'est déjà occupé de la ques- tion, puisqu'il a pris en considération la motion sur les caisses de prêts; ce qui, so'it dit en passant, n'a d'autre valeur que celle d'un appui njojal donné au but des motionnaires.

Il n'est nullement question non plus, que la commune doive suivre docilement les indications de la commission extra- parlementaire. Ce que les intéressés lui demandent, c'est de clore la période d'é- tude, et de prendre une décision. Il est vrai que la présence d'un membre du conseil communal dans la sous-commis- sion et le fait qu'il a été d'accord avec ses collègues quant aux conclusions du rapport, a pu être interprété comme un indice que le conseil communal dans son entier, partageait les vues de son représentant.

* * *

Le correspondant Arsène Udens, n'est pas mieux au fait de la situation respec- tive des pouvoirs publics sur la ques- tion ; il le prouve quand il dit :

En face de l'inaction de nos autorités com- munales qui ne paraissent pas disposées à appliquer les mesures prises par les soins gé- néreux de l'Etat, j ' a i pensé qu'il était opportun de rappeler à notre Conseil Communal, etc.

Mais l'Etat n'a pris aucune mesure dans le sens des caisses de prêts gra- tuits, il s'est contenté, comme c'était son rôle, de faire étudier la question et de transmettre à qui de droit, c'est-à-dire aux conseils communaux de nos deux grands centres horlogers, les conclusions du rapport des commissions qu'il avait nommées.

Un mot encore : On parait surpris que la sous-commission n'ait pas pré-

avisé dans le sens de l'institution, par l'Etat, des caisses de prêts gratuits. Si nous sommes bien renseignés, c'est sur l'avis exprimé par le représentant du Conseil communal de la Chaux-de-Fonds, clans la sous-commission, que celle-ci a préconisé la création de ces caisses par les communes.

En résume:

Une motion a été déposée au Grand Conseil et prise en considération par ce corps.

Le Conseil d'Etat a désigne des orga- nes pour étudier la question et taire rap- port.

Les conclusions do celle élude cl le rapport qui les contient ont été transmis à qui de droit.

Il s'agit donc de savoir, si, dans nos centres industriels, la création de caisses de prêts gratuits correspond oui ou non à une nécessité.

A la Chaux-de-Fonds, les ouvriers di- sent oui; le Conseil communal, qui pour- suit encore l'étude de la question, semble disposé à dire non.

Eh bien, pour en iinir, qu'on porte donc toute l'affaire à l'ordre du jour d'une prochaine séance du Conseil général. S'il dit non sur la question de fond, les inté- ressés sauront du moins à quoi s'en te- nir. S'il dit oui, restera à examiner si, conformément aux conclusions de la sous- commission, c'est à la Commune qu'in- combe le soin d'alimenter la Caisse de prêts gratuits, ou s'il est plus naturel que l'Etat intervienne.

Et si, la question de fond étant résolue

affirmativement, c'est à cette dernière

opinion que le Conseil général se rallie,

on pourra être assuré du concours ef-

fectif de l'Etat, qui n'a négligé aucune

occasion de témoigner de sa sympathie

pour toutes les mesures destinées au sou-

lagement des victimes de la crise.

(2)

.

318 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

Mais qu'on en finisse une fois avec celte question qui soulève déjà des polé- miques irritantes, inutiles et dangereuses.

C'est assez de tergiversations; il faut dire oui ou non.

Les musées commerciaux en France

M. Jamais, sous-secrétaire d'Etat aux colo- nies, vient <lo prendre une mesure destinée à compléter l'organisation récemment créée des musées commerciaux et à favoriser l'exporta- tion des produits français dans les colonies.

Des instructions sont adressées aux gouver- neurs des colonies pour qu'ils envoient en France, en môme temps que les produits de visite courante dans la colonie, tous les ren- seignements pouvant intéresser l'industrie et le commerce français: prix, mode et conditions de vente, chiffre moyen des affaires qui se trai- tent sur chaque article, époque les plus favo- rables pour les expéditions et les ventes, droits et règlements de port, de douane, d'octroi, etc.

Les mêmes renseignements seront fournis sur les articles de production étrangère. Pour les articles où Ie commerce français se trouve en concurrence avec l'importation étrangère, M. Jamais demande aux gouverneurs de lui faire connaître à quelle cause tient la supério- rité du.commerce étranger:

Les envois des gouverneurs et les renseigne- ments accompagnant chaque produit seront exposés dans une salle publique de l'exposi- tion permanente des colonies au Palais de l'In- dustrie.

On étudie au sous-secrétariat les moyens d'installer dans quelques grandes villes indus- trielles et commerciales une section de l'expo- sition permanente des colonies, ou l'industrie et le commerce français trouveraient les mê- mes renseignements qu'au Palais de l'Industrie.

11 est probable que l'on commencera d'abord à l'établir dans les grands ports de commerce où l'administration des colonies a un service et un personnel. Un essai a déjà été tenté à Marseille.

République Argentine

U s a g e s c o m m e r c i a u x d e B u e n o s - A y r e s M.-Breton écrit au ministre du commerce français :

« Dans son ensemble, le commerce présente des allures beaucoup plus libres qu'en Europe.

A part ipiclques rares exceptions, il n'existe pas à Bucnos-Ayrcs de coutumes réglées comme par exemple en France. Il n'exiâte pas à proprement parler de maisons ayant des habitudes fixes desquelles elles ne se dé- partent que rarement et seulement lorsque l'intérêt de la maison l'exige réellement.

Buenos-Ayres offre d'ailleurs, dans ce cas, l'exemple de ce qui se passe dans tous les pays encore neufs, où l'exploitation du sol et de l'industrie est encore incomplète. On est obligé en quelque sorte, par la force des cho- ses, de se départir de ses habitudes, d'user de moyens différents et plus variables qu'en E u - rope ou la production est dans son plein déve- loppement, tant pour le commerce et l'indus-

* trie que pour l'agriculture.

Toute entreprise, industrielle, commerciale ou agricole offre ici beaucoup plus d'aléa dans sa réussite; les risques à courir sont plus g r a n d s qu'en Europe. L'intérêt que l'on de- mande aux capitaux est en retour plus élevé.

Alors qu'en France la moyenne du taux de l'intérêt ne dépasse pas 3 et 4%, cette moyenne est ici de 10 ou 12°/0 au moins. Il est vrai que, depuis le commencement de la crise qui pèse sur le pays, les revenus ont diminué. Mais l'intérêt que nous avons cité est, au moins, celui qu'espèrent que calculent retirer de leurs capitaux les fondateurs d'une entreprise.

L'escompte ordinaire fait par les banques

pour traites et billets à ordre est «le 12%, et elles exigent les mêmes garanties de signa- tures qu'en Europe. Elles n'escomptent que rarement au-dessous de ce taux. L'intérêt qu'elles accordent pour les dépôts est, d'une manière générale, le suivant :

P o u r dépôts en compte courant à vue 2 aja. Id. avec délai de 30 jours 3 %·

60 - 4 % . 90 - 5 % .

— 180 — 60/0·

Pour de plus longs délais il n'y a pas d'in- térêt fixe. L'intérêt cité ci-dessus est celui pour les dépôts en papier-monnaie. Pour les dépôts en monnaie d'or ou d'argent, l'intérêt est, en général, inférieur de 1 % au précédent, c'est-à-dire ,qu'il sera en gardant les mêmes délais successivement 1, 2, 3 et 4 %· »

Nouvelles diverses

G r è v e d e s m o n t e u r s d e b o î t e s à B e - s a n ç o n . — Le Petit Comtois annonce que le conflit qui existait à Besançon entre les p a - trons et les ouvriers monteurs de boites d'or vient de prendre fin. Il a été décidéfcque tous les ouvriers syndiqués rentreraient sans excep- tion dans leurs ateliers respectifs. Un tarif unique a été élaboré et accepté d'un commun accord. Ce tarif suivra les fluctuations des tarifs suisses.

C o m m e r c e a v e c l a S y r i e . — On nous communique que plusieurs maisons suisses d'exportation ont subi des pertes par le fait de manœuvres frauduleuses de maisons de commerce établies en Syrie.

C'est pourquoi nous recommandons aux intéressés de s'informer, avant de nouer des relations commerciales avec des maisons do ce pays, sur leur solvabilité, etc. Le Vorort de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, à Zurich, est à même Je leur fournir à cet égard des renseignements plus détaillés.

Feuille officielle suisse du commerce.

Lie c o m m e r c e e x t é r i e u r «le P E s p a g n e ; u n m u s é e c o m m e r c i a l à B a r c e l o n e . — L'Académie scientifique et mercantile de Bar- celone a proposé au Conseil de ville Ia créa- tion d'un musée commercial que l'on pourrait inaugurer pendant les fêtes du Centenaire. Cc Musée serait installé dans la galerie des ma- chines construite au milieu du parc. Les objets' qui pourraient figurer dans ce musée seraient divisés en plusieurs classes : produits miné- raux, végétaux et animaux et leurs transfor- mations; produits ouvrés et leurs applications;

moyens de communication et de transport et mode d'emballage ; instruments de poids et m e s u r e s ; documents industriels et commer- ciaux et cadres graphiques relatifs aux centres producteurs, aux marchés, aux statistiques d'exportation, à la législation douanière, etc.

Le projet de règlement prévoit la communi- cation, par le musée, aux Chambres d'agricul- ture, d'industrie et de commerce de tous les renseignements reconnus utiles au développe- ment des affaires.

Procédés industriels

C o n s e r v a t i o n d e s o b j e t s e n a r g e n t . — Les objets en argent se noircissent, comme on sait lorsqu'ils sont exposés au contact d'une atmosphère chargée d'hydrogène sulfurée ou d'acide sulfurique ou même lorsqu'ils se trou- vent dans des appartements éclairés au gaz, celui-ci étant toujours impur.

Pour remédier à cet inconvénient, il est bon d'envelopper ces objets dans un papier préparé comme suit : On dissout, parties de soude caustique dans de l'eau, de telle sorte que la dissolution indique 20 degrés B e a u m é ; on l'ait bouillir cette dissolution pendant une heure avec 4 parties d'acide de zinc, on ajoute de l'eau jusqu'à ce qu'elle n'indique plus que 10 degrés Beaumé et l'on \ plonge ensuite le pa-

pier ou la matière dont on veut entourer les objets en question. Ces objets sont préservés, par là, de toute influence de gaz délétères.

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

L I S T E DES B R E V E T S E N R E G I S T R É S E n r e g i s t r e m e n t s

Cl. 64, no 5067. 18 mai 1892, 8 h. p. — Nouveau système de fermeture (Spcrrvorrichtung) pour montres de poches. — Fabrique d'horlo- gerie Laniiendorf, Langendorf près Soleure (Suisse). Mandataire: Furrer Gottfried, Bien- ne.

Cl. 64, no 5070. 4 juin 1892, 6 h. p. — Mise à l'heure par la tige de remontoir. — Buëche, Boillat Sf C>°, Rcconvillier (Suisse). Manda- taire: Imer-Schnieder, E,. Genève.

Cl. 64, no 5073. 27 février 1892, 11 h. a. — Mon- tre réveil-matin et avertisseur avec un seul barillet. — Voland Wtl/ielm, Eschenz, Thur- govie( Suisse).

Cl. 64, no 5096. 20 mai 1892, 6 h. p. — Nouveau mécanisme d'encliquetage. — Buëche, Boillat

«V O , Rcconvillier (Suisse). M a n d a t a i r e : Imer-Schnoider Ii., Genève.

Cl. 64, no 5101. 5 juin 1892 11 V2 h. a. — Quan- tième perpétuel pour boites et cuvettes de montres. — GoscMer Sf C'e, successeur de l'rc-

•res Goschler, fabrique d'horlogerie, Bienne (Suisse). Mandataire: Furrer Gottfried, Bien- ne.

CI. 64, no 5102. 7 juin 1892, 6 h. p. - Mécanis- me perfectionné de mise à l'heure. — Kuhn ty Tièche, fabricants, Rcconvillier (Suisse).

Mandataire: Imer-Schneider E., Genève.

Cl. 64, no 5110. 10 mai 1892, 8 h. p. — Boite de montre en aluminium sans soudure. — Bo- billier Louis-Emile, 78», rue du Pare, Cliaux- dc-Fonds.

Cl. 64, no 5111. 25 mai 1892, 9 V1 h. a. — P e r - fectionnement apporté aux mouvement re- montoirs montés sur piliers. — Obrecht <y C'">

P., Granges, Soleure (Suisse).

Cl. 85, no 5066. 17 mai 1892, 4 V2 h. p. — Mon- tre-bijou. — Montandon Louis, 13, Boulevard du Petit-Château, Chaux-dc-Fonds (Suisse).

R a d i a t i o n s

Cl. 53, no 2217. Perfectionnement apporté aux tours à fendre les claviers de boites à musi- que.

CI. 64, no 2226. Mise à l'heure par la tige .le remontoir au pendant.

Cl. 64, no 3531. Montre de poche avec aiguilles compas,

Cl. 65, no 2395. Montre avec calendrier auto- matique.

Cl. 65, no 2458. Machine à percer les platines des montres.

AVI S

Nous prions nos abonnés et nos lecteurs de bien vouloir prendre note que toute demande de rensei- gnement doit être accompagnée d'un timbre de 10 centimes.

Cote de l'argent

du 17 sejnembre 18.92 facturé aux monteurs de boite- L'argent 800 laminé et fil à IV. 114285 le kilo.

» 805 » s· J> 11δ»δό >

» 875 » •» » 125*25 »

» 900 » » > 128»80 >

» 935 » » » 133*70 >

Fin en grenailles .> 141. 80 »

(3)

'ITr ψ)φ

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 319

Aperçu de l'importation et de l'exportation des horloges et montres en 1891

Horloges communes . .

Horloges, autres . . . .

Montres de p o c h e à boîte de métal non p r é c i e u x

,

Montres do p o c h e à boîte d'argent

Montres île p o c h e à boîte

C h r o n o g r a p h e s , m o n t r e s à répétition, etc. . . .

Mouvements finis, sans

F o u r n i t u r e s de montres,

Boîtes de m o n t r e en mé- taux non p r é c i e u x . .

Roîtes de m o n t r e m anrtnt . Boîtes de m o n t r e en or .

I m p o r t a t i o n :

A l l e m a g n e . . A u t r o s p a y s .

A l l e m a g n e . . A u t r e s p a y s .

A l l e m a g n e . . A u t r o s p a y s .

A u t r e s p a y s .

— —

A l l e m a g n e . . G1'0 B r e t a g n e . A u t r e s p a y s .

•—

— —

— —

A l l e m a g n e . . G'i° B r e t a g n e . F r a n c e . . . . A u t r i c h e . . . A u t r e s p a y s .

— —

— —

Franco . . . . A u t r e s p a y s .

A u t r e s p a y s .

F r a n c e . . . . A u t r e s p a y s .

Pièces . 17,575

1,996 19,571 . 18,800

4,545 23,345 6,010 2,365 8,375 . 150,784

4,863

— —

— —

155,647 6,981 6,053 8,492

— —

— —

— 21,526

7,159 2,857 2,607 2,329

— —

— —

— 18,467

— — 17

— 4,839

303 27

— — 330 07,785 3,865 70,850 4,721 . 24,783

1,037 25,820

Valeur en 1000 fr.

171 20 191 470 114 584 287 118 405 1,282 41

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— —

1,323 127 110 15(J

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— 393 405 228 186 IUO 152

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— 1,200

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7

— 41 1,667 147

— —

1,814 85 4 89 37 1,115 47 1,162

E x p o r t a t i o n :

Gdo B r e t a g n e . A l l e m a g n e . . E t a t s - U n i s . . F r a n c e . . . . Italie

R u s s i e . . . . A u t r i c h e . . . E s p a g n e . . . I n d e s b r i t a n n . A u t r e s p a y s . .

A l l e m a g n e . . Gll° B r e t a g n e . A u t r i c h e . . .

E t a t s - U n i s . . Asie orientale F r a n c e . . . . T u r q u i e d'Eur.

Belgiquo . . . E s p a g n e . . . Hollande . . . I n d e s b r i t a n n . Brésil . . . . A u t r e s p a y s .

A l l e m a g n e . . G'io B r e t a g n e . A u t r i c h e . . . Russie . . . . Italie . . . . F r a n c e . . . . B e l g i q u e . . . Etats-Unis . . Brésil . . . . Hollande . . . E s p a g n e . . . A m é r i q u e centr P a y s d a n u b i e n s Asie orientale A u t r e s p a y s .

Giio B r e t a g n e . A l l e m a g n e . . E t a t s - U n i s . . A u t r e s p a y s .

E t a t s - U n i s . . . A m é r i q u e brit. . A l l e m a g n e . . A u t r e s p a y s . .

A l l e m a g n e . . E t a t s - U n i s . . A u t r e s p a y s . .

Etats-Unis . . . A u t r e s p a y s . .

Gi'0 B r e t a g n e . . F r a n c e

Autres p a y s . .

Pièces

— 832 _

— 298

— 651 266,993 237,323 270,498 135,034 72,852 47,505 71,543 38,G98 46,874 218,376 1,405,756 650,779 472,443 287,099 194,492 113,863 132,124 90,159 51,958 53,782 62,093 30,253 43,014 39,288 21,372 21,220 97,444 2,367,389 200,090 94,000 79,369 31,412 38,998 11,467 23,602 10,406 6,798 14,582 4,364 2,978 5,233 3,128 23,504 555,937 2,028 815 377 891 3,011 200,325 25,438 7,229 14,515 247,507 153 90 44 118 411 01,419 35,217 96.G30 16,280 3,959 0,131 3,931 14,021

Valeur en 1000 fr.

— 9

— 24 _

— 52 2,495 2,354 2,146 2,976 840 788 098 579 480 2,339 14,695 10,039 8,412 4,919 2,818 2,630 2,112 1,925 1,091 1,010 809 749 711 492 473 415 1,923 40,588 10,450 5,804 4,800 2,909 2,198 1,254 1,088 919 700 5IG 462 434 427 409 1,684 34,114 438 153 137 31G 1,044 2,159 228 188 150 2,725 1,291 696 385 662 3,034 214 03 277 120 271 248 261 780

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320 LA FEDERATION HORLOGÈRE "SUISSE

PDUR FABRIQUES D'ÉBAUCHES ET SPÉCIALISTES

Appareil à revenir les pièces d'acier après la trempe avec ther- momètre indiquant le degré de revenu.

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«Le mouvement est fixé dans un cercle fileté à l'extérieur fflg.2) uni l'entoure sur toute sa hauteur, et qui une l'ois vissé dans la boite, vient s'appuver au fond de celle-ci, constituant ainsi un garde-pous- siére dont l'efficacité va même jusqu'à la plus complète imperméa- bilité.

« U ressort de. l'innovation de M. F. Borgel un avantage qu'il est bon de constater, c'est la solidité acquise par une boite légère duc au l'ait que le cercle appuie au fond de la boite, tendant ainsi et le fond et la carrure. Ce fait, joint à la simplicité de la construction de la boite et à la suppression de la cuvette, justifie la mention d'écono-

mique dont nous avons qualilié cette nouvelle boîte. 1789-43 L'emboîtage du mouvement dans ce cercle est l'ait de manière que

lorsque le vissage est opéré à fond, le midi se trouve à s a place vis- à-vis du pendant. Un petit ressort d'arrêt en assure du reste Ia stabi- lité.»

NB. Les mouvements étant fermés hermétiquement, il en résultera une économie de nettoyage pour le particulier. — Il est également fa- cile de sortir son mouvement pour en retoucher le réglage, et pour l'acheteur en reconnaître la qualité; une application très heureuse a été jointe pour les personnes qui désirent supprimer la vis au pendant.

11 suffit de tirer la couronne disposée à ressort pour en dégager la tige du mouvement, qui maintenue ainsi au dehors par un retien à l'in- térieur du pendant, permet de dévisser et de remettre le mouvement avec facilité. La couronne ne peut s'échapper de son pendant.

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