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Les consulats suisses a l'étranger reçoivent' le journal.

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pa Bibliothèque dn Collège, Chaux-de-Fonds

Les consulats suisses a l'étranger reçoivent' le journal.

Cinquième année. — N0 72

P r i x du numéro IO centimes

Samedi 5 Septembre 1891

B u r e a u x : R u e Neuve, It)

Uu au : Six mois : Suisse . . . fi fr. 3 fr.

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O n s abonne à tous les bureaux de poste Paraissant le mercredi et le samedi, a Bienne

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e t d e s S y n d i c a t s i n d u e t r i e l s .

««•••ce, d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e

Convocation

Les comités de la Société des fabricants d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds, du Syndicat des fabricants d'horlogerie des cantons de Berne et de Soleure et du Syndicat des fabriques d'ébauches, sont convoqués pour mercredi 9 septembre courant, à 10 heures du matin, à l'hôtel de la Couronne, à Sonceboz.

Ordre du jour.

Examen des avis exprimés par les intéressés sur les deux points suivants:

4. Réparation du dommage causé aux fabricants d'horlogerie, par la rupture, de la part du syndicat des fabriques d'ébau- ches, de la convention du 26 février.

2, Reconstitution du syndicat des fa- riques d'ébauches et constitution d'une bourse des ébauches et finissages.

L'assurance en cas de maladie et d'accident

Le secrétariat ouvrier suisse, vient de publier le résultat de l'enquête à laquelle il s'est livré, .ensuite d'une demande du comité central de la Fédération ouvrière suisse, sur la position de la classe ou- vrière vis-à-vis de la législation fédérale sur l'assurance en cas de maladie et d'ac- cident.

Nous extrayons de ce rapport très complet, les chapitres qui ont trait aux indemnités.

I n d e m n i t é s d ' a s s u r a n c e e n c a s d e m a l a d i e

Il faut partir ici de la supposition qu'une assurance en cas de maladie, qui veut at- teir.dre son but social, doit couvrir aussi complètement que possible le dommage éco- nomique causé par une maladie — repré- senté en première ligne par la perte du sa- laire ou du gain. (Voir à ce sujet les dévelop-

pements dans la « Statistique des accidents», pages 444 et suivantes.) La législation en Allemagne limite le montant de l'indemnité de maladie et autorise par exemple les « cais- ses locales Î à n'élever cette indemuité qu'aux trois quarts du salaire journalier moyen, pour autant qu'il ne dépasse pas 3 marks, au plus 4 marks, pour la journée de travail. La limite supérieure de l'indemnité de maladie serait à peu près de fr. 2. 80 à fr. 3. 75 au plus et ne serait ainsi nullement réglée d'après le salaire réel. En Autriche, l'iniiemnité de maladie est à calculer sur la base du 60 0J0 au moins du salaire.

Il doit être compréhensible qu'une assu- rance qui aurait à payer les indemnités de maladie à un centime proche du montant du salaire, serait une institution par trop com- pliquée. Il faudra introduire des classes, avec des chifires plus ou moins arrondis, où on tiendrait compte des demi-francs seulement dans les classes inférieures; le salaire jour- nalier serait alors déterminant pour la répar- tition dans les classes.

Avant de donner un exemple d'une pareille classification, il faut encore éclaircir quelques questions préliminaires. On peut admettre sans autre que pour les taux les plus minimes du salaire, l'indemnité de maladie doit être égale à peu près au montant total du salaire journalier, car elle ne représente malheureu- sement pas plus que l'équivalent de ce qui est absolument indispensable à l'existence et dont on ne peut naturellement pas se pri- ver en cas de maladie ; ceci serait applicable au salaire qui reste en dessous de fr. 2. 50.

C'est seulement depuis cette limite en dessus que l'on admettrait que l'indemnité de mala- die reste un peu en dessous du salaire jour- nalier, et que l'on pourrait peut-être la ré- duire graduellement et proportionnellement, c'est-à-dire que pour un salaire de 4 francs cette indemnité représenterait encore les trois quarts du salaire, soit 3 francs par jour.

Depuis là on peut peut-être encore introduire une plus grande réduction graduelle, de fa- çon à ce que pour un salaire de 6 francs, l'in- demnité de maladie soit fixée aux deux tiers, soit 4 francs par jour. Enfin il y aurait lieu de fixer une limite supérieure d'indemnité de maladie, pour les classes de salaires les plus élevées. Les limites des chiffres de salaires indiquées ne doivent naturellement pas avoir d'autre importance que celle d'une proposi- tion et se laissent modifier, cela se conçoit,

aussi bien en haut qu'en bas. Probablement aussi qu'elles ne sont pas applicables à toutes les circonstances ; 3 francs par jour seront aussi indispensables à un homme marié que 2 francs à un célibataire. Il sera bon, en tous cas, de ne pas trop compliquer la question et il faudra prendre le salaire comme mesure des besoins de secours.

En prenant les idées développées ci-dessus comme base d'une classification pour l'assu- rance en cas de maladie, il en résulte le ta- bleau de classes suivant, qui n'est cependant cité qu'à titre d'exemple :

=°/0 du salaire 100,0

90,0 83,3 78,6 75,0 70,7 66,0 64,3 62,5 Le % se rapporte sans doute à la limite inférieure du salaire journalier dans les clas- ses II à III et la personne qui, par exemple, p o u r un salaire de fr. i. 40 ne reçoit que 4 franc d'indemnité de maladie, ne perçoit na- turellement pas IeIOO0J0, mais seulement le 7 4 , 4 % de son salaire. De pareilles injustices ne pourraient complètement disparaître q u ' a - vec une classification encore beaucoup plus étendue ; mais celle-ci augmenterait consi- dérablement les difficultés de l'administra- tion. Ge tableau avec douze classes paraîtra déjà très compliqué ; mais si l'on établit moins de classes, les différences entre le ,salaire journalier et l'indemnité de maladie, a p p a - raîtront encore plus considérables dans un grand n o m b r e de cas.

Ces injustices peuvent être quelque peu diminuées si, en prenant la limite inférieure du salaire journalier dans le tableau ci-dessus comme moyenne, on calcule l'indemnité de maladie d ' a p r è s cette moyenne, comme c'est le cas dans le second exemple suivant:

Classes I II III IV V VI VII

vin

IX X XI XII

Salaire journalier Indemnité de maladie minimum

fr. 1. — à 1. 40

„ 1.50 „ 1.90

„ 2 . - „ 2 . 4 0

„ 2 . 5 0 „ 2 90

„ 3 . - „ 3.40

„ 3 . 5 On 3.90

» 4. - „ 4 90

„ 5. - „ 5. 90

„ 6 . - „ 6.90 . 7 . - „ 7.90

„ 8 — et plus fr.

n

n

„ „

—.50 1.—

1 50 2.—

2.25 2.50 2.75 3 . - 3.50 4.—

4 50 5.—

Classes III

n

IV V VI

Salaire journalier Indemnité de maladie fr. —. 75 à 1. 25 fr. 1. 25

„ 1.25 „ 1 . 7 5 „ 1.50 , 1.75 „ 2.25 „ 2 . -

„ 2.25 „ 2.75 „ 2 25

„ 2. 75 „ 3. 25 „ 2 50 et ainsi de suite.

= % du salait) 100,0 100,0 100,0 90,0 83,3

(2)

354

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

Dans cet exemple éclate une autre irrégu- larité Une partie des personnes dans les deuxième, troisième et quatrième classes, dont le salaire est en dessous de la moyenne adoptée pour la classe, perçoivent davantage d'indemnité de maladie que le montant de leur salaire. Peut-être se trouvera-t-il des personnes qui, malgré cela, préféreront le second exemple au premier.

Il y a ici une question de la plus haute im- portance. Si la Confédération prdscrit l'obli- gation d'assurance en cas de maladie, elle assume par là une certaine responsabilité ; elle devra intervenir, au moyen de prescrip- tions appropriées, pour que les personnes soumises à l'obligation d'assurance et attein- tes de maladies temporaires et curables ne soient pas victimes dans leur existence éco- nomique (standard oflife), qu'elles ne de- viennent pas appauvries par la maladie. Dans ce but, l'indemnité de maladie doit se rap- procher autant que possible du salaire perçu précédemment et la Confédération ne pourra pas, sous ce rapport, se soustraire à certaines prescriptions légale s. Les ouvriers qui reçoi- vent un salaire élevé, ont en général adopté un genre de vie supérieur ; ils sont logés plus cher, s'habillent et se nourrissent mieux ; ils laissent leurs enfants fréquenter les écoles secondaires et même les écoles moyennes ; dans les cas de maladie prolongée, avec une indemnité de maladie par trop minime, ils seraient rejetés de cette position acquise pour tomber dans une pauvreté relative. Mais le grand but du mouvement ouvrier n'est pas d'abaisser les couches élevées de la classe ouvrière à des conditions d'existence moin- dres, mais au contraire de relever les couches inférieures ; ce but ne peut être atteint dans l'assurance que par une classification un peu étendue. Des 12 classes précitées, les plus inférieures sont toutes représentées dans les caisses de malades actuelles ; le progrès de l'assurance en cas de maladie devrait préci- sément consister dans l'irJroduclion des classes de salaires les plus élevées.

Il est compréhensible que dans l'assurance obligatoire personne ne pourrait s'assurer dans une classe qui serait supérieure à celle correspondant à son salaire. Cette disposition apparaît comme une limitation injuste du droit des ouvriers à l'assurance, mais elle est commandée pour la protection des caisses de malades contre la simulation. L'ouvrier qui, sans travailler, peut retirer davantage d'indemnité de maladie que ne lui rapporte en salaire son travail, tombe facilement dans la tentation de se déclarer malade, ou bien après une maladie terminée de continuer, durant un certain temps encore, à se déclarer malade. Mais par ces procédés les co-assurés sont en perte et les cotisations sont poussées à un taux si élevé, que les ouvriers ne peuvent plus s'en acquitter.

Il faudra accorder aux caisses de malades certains droits de protection contre les abus de la simulation. Le droit d'expulsion est sans doute imcompatible avec l'obligation d'as- surance, mais il est permis de se demander si le retrait temporaire du droit aux secours ne serait pas admissible. En tous cas ou pour- rait accorder aux caisses de malades le droit de permuter les simulants dans une classe inférieure. Une fraude envers des co-assurés ne peut absolument pas rester impunie.

On ne pourra pas défendre une double assurance dans une autre caisse, à ceux des membres auxquels l'indemnité qui ',leur re- vient est inférieure à ce que leur rapporte leur gain journalier ; par contre il faudra pres- crire qu'une double assurance soit déclarée.

Il faudra aussi accorder à la caisse de mala- des reconnue le droit de contrôler, que le montant de l'indemnité totale de maladie, résultat de la double assurance, — pour

autant que le genre de maladie, n'entraîne pas des besoins extraordinaires, — ne dépasse pas considérablement le grain journalier.

Il y aura lieu naturellement de tenir compte des circonstances, notamment lorsque le genre de maladie éloigne totalement toute supposition de simulation.

(A suivre.)

Congrès international des accidents du travail à Berne

du 21 au 26 septembre 1891 PROGRAMME :

I .

Lundi, 21 septembre, à 11 h. du matin.

Ouverture du Congrès dans la salle du Conseil national au Palais fédéral. Constitution du bureau.

Deux séances auront lieu par jour, l'une de 9 h. à midi, l'autre de 3 h. à 6 h. Les séances du matin seront, dans la règle, con- sacrées à entendre des rapports sur l'état de la question des accidents du travail dans les divers pays, au point de vue législatif, ad- ministratif, statistique, préventif, judiciaire, etc. Ces exposés seront suivis d'un échange de vues et de discussions éventuelles. Dans les séances de l'après-midi, on abordera des questions spéciales de diverse nature. Cer- taines Commissions pourront être constituées pour l'étude de points particuliers.

Jeudi, 24 septembre, aura lieu une excur- sion dans l'Oberland bernois, offerte par le Conseil fédéral suisse.

Samedi, 26 septembre, à midi. Clôture du Congrès.

Un règlement ultérieur fixera d'une ma- nière plus spéciale l'ordre et la répartition des travaux du Congrès.

I I .

Liste des rapporteurs. — Sujets de leurs travaux.

A l l e m a g n e .

M. le Dr·Bôdiker, président de l'office impé- rial des assurances, à Berlin :

« Die Gestaitung der Unfallversicherung in Deutschland. (L'assurance contre les ac- cidents en Allemagne. Ï

M. Bodenheimer, publiciste, ancien conseiller d'Etat bernois, à Strasbourg:

<t Des rapports de l'assurance allemande contre l'invalidité et la vieillesse avec les assurances contre les accidents et la ma- ladie. »

M. Engel-Gros, président de la société alsa- cienne pour prévenir les accidents de fa- brique, à Bàle :

t De la nécessité d'inspections officielles dans les usines et manufactures pour ar- river à l'application sérieuse des mesures préventives contre les accidents de ma- chines, et de la convenance d'une législa- tion spéciale destinée à rendre obligatoire l'emploi des appareils reconnus pratiques. »

A u t r i e l i e .

M. Michel Kulka, inspecteur impérial et royal des industries, à Vienne :

«Ueber die Frage der Unfàlle bei der Arbeit in Oesterreich. (Etat de la question des accidents du travail en Autriche.) »

A n g l e t e r r e .

M. Batemann, chef du Département commer- cial au Board of Trade, à Londres, et M. F. H. Whymper, Superintending Inspec-

ter of Factories, Home office, à Londres :

« Some accidents in English factories.

(Quelques accidents dans les fabriques anglaises.) »

B e l g i q u e .

M. Ch. Dejace, professeur à l'Université de Liège :

« Etat actuel de la question des accidents du travail en Belgique. »

M, Félix Jottrand, ingénieur à Bruxelles :

« Les bases de la statistique des acci- dents du travail. »

E s p a g n e .

M. Sigismundo Moret, ancien Ministre de la Couronne, membre de la chambre des dé- putés, à Madrid :

« Etat de la question des accidents du travail en Espagne. »

E t a t s - U n i s d e l ' A m é r i q u e d u N o r d . M. Carroll D. Wright, commissaire au Dé-

partement du travail, à Washington :

<t La législation des Etats-Unis sur les accidents du travail. »

F r a n c e .

M. Cheysson, inspecteur général des ponts et chaussées, professeur à l'école des sciences politiques et à l'école des mines, à Paris :

« Etat présent de la question des acci- dents du travail en France. »

M. 5 . Périsse, président, et M. II. Hamy, directeur de l'association des industriels de France contre les accidents du travail, à Paris :

α Du rôle de l'initiative privée dans l'or- ganisation de la prévention des accidents. Ï M. Octave Relier, ingénieur en chef des mi-

nes, ancien président de la société de sta- tistique, à Paris :

« Conditions d'une statistique rationnelle des accidents du travail. »

M. Albert Gigot, membre honoraire du co- mité des forges de France, à Paris :

« Des caisses syndicales d'assurance mu- tuelle dans les différentes industries. » M. E. Grimer, ingénieur des mines, secré-

taire général du comité permanent du Con- grès international des accidents du travail, à Paris :

« Le rôle et les travaux du comité per- manent depuis le congrès de 1K8ÎI. » M. de Cœne, fondateur et président de l'as-

sociation de Rouen pour prévenir les acci- dents, à Rouen :

« De la nécessité de créer des associa- tions régionales pour prévenir les acci- dents. »

M. Fiere, agent principal de compagnies d'as- surances, a Romans :

« L'industrie des assurances doit-elle être libre'?

I l o l l i m d e .

M. Westerouen van Meeteren, président de l'association néerlandaise ,peur la préven- tion des accidents, à Amsterdam :

« La question des accidents et la législa- tion ouvrière dans les Pays-Bas. »

I t a l i e .

M. Bodio, commandeur, directeur général de la statistique du royaume d'Italie, à Rome :

« Etat de la question des accidents du travail en Italie. »

R u s s i e .

M. de Keppeu, ingénieur des mines, à St- Pétersbourg :

<t Aperçu sur la question des accidents du travail en Bussie. »

S u è d e e t N o r v è g e .

M. Bœt:mann, ancien commissaire général de Norvège à l'exposition universelle de Paris en 1889, à Asnières :

« De la question ouvrière dans les Etats Scandinaves. »

(3)

^.

LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE 355

S u i s s e ·

M. le Dr Guillaume, directeur du Bureau fé- déral de statistique, à Berne :

« La statistique des accidents en S u i s s e ; état actuel des travaux, κ

M. le Dr Kummer, directeur du Rureau fédé- ral des a s s u r a n c e s , à B s r n e ?

« Der gegenvvârtige Stand der Unfallver- sicheruiig in der Schweiz. (Etat actuel de de l'assurance contre les accidents en Suisse.) »

M. le Dr Schuler, inspecteur fédéral des fa- b r i q u e s , à Mollis :

« Kranken-, Unfalls- und Invaliditâts- . versicherung und ihre Verbindung. (Assu- rances contre la maladie, les accidents et l'invalidité, et les rapports qui existent e n t r e elles.) »

NOUVELLES DIVERSES

L ' o f f i c e d u t r a v a i l e n F r a n c e . — L'office du travail aura pour mission de r e - cueillir, coordonner et publier toutes les informations relatives au travail, au d é v e - loppement de la production, à l'organisation et à la rémunération du travail, à ses rapjiorts avec le capital, à la condition des ouvriers, à la situation comparée du travail en F r a n c e et à l'étranger; d'effectuer tous les traveaux se rattachant à cet ordre d'idées qui lui se- raient d e m a n d é s p a r l e ministre du commerce et de l'industrie.

Il constituera au ministère du commerce un service distinct, sous l'autorité immédiate du ministre, et il se divisera en service c e n - tral et en service extérieur, sotis l'autorité d'un directeur.

I M P O R T A T I O J V I i T E X P O R T A T I O N D ' H O R L O G E R I E pendant le mois de juillet 4891.

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nickel, etc

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Montres de poche à boîle d'or Métaux, orfèvrerie et bijouterie

Or monnayé

Or non ouvré, môme allié . . Argent monnayé

Argent non ouvré, môme allié.

Or, argent, platine, laminés etc.

Orfèvrerie d'or et d'argent;

bijouterie vraie

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Valeur

Quantité importée dans

la même période 1890

1,842 137 10 452 1,123 1,126 Kilo

143 274 10,307 4,755 734 1,409 3,202

Exportation Pièces

21 17,382 119,548 185,001 38.855 Kilo

74 94 10,155 793 84 384 61

Valeur

Quantité exportée dans

la même période 1800

13 21,215 108,194 186,337 40,898 81 283 8,163 661 166 247 9 )

Des fonctionnaires ou agents des diverses administrations publiques pourront être tem- porairement attachés à l'Office du travail.

Le service central recueillera, par tous les moyens en son pouvoir, les r e n s e i g n e m e n t s utiles aux travaux de l'Office, les coordon- nera avec ceux qui lui seront fournis par le service extérieur et mettra le tout en œ u v r e pour la rédaction des documents à publier ou à fournir au ministre.

Les délégués p e r m a n e n t s du service exté- rieur feront des enquêtes s u r place et r e - cueilleront des informations sous l'autorité et suivant les instructions du directeur. Mais les enquêtes à faire dans les établissements ou industries placés sous la direction ou le contrôle de l'État resteront confiées à l'ad- ministration compétente.

Quant aux r e n s e i g n e m e n t s recueillis par l'Olfice du Travail, ils serviront d'éléments à u n e publication périodique aiiîsi qu'à des publications spéciales s u r des questions d é - t e r m i n é e s .

T r a i t é e d e c o m m e r c e · — D'après une lettre de Berlin à la Correspondance politique la reprise des négociations avec la Suisse aura lieu aussitôt que les p o u r p a r l e r s de Munich seront t e r m i n é s .

L i s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux·de-Fonds à l'hôtel de la Fleur - de - Lis ; Liste dressée mercredi 2 septembre 1891, à 5 heures du soir: MM.

Trilla, Espagne. — B e r l o g l i o , Turin. — Cur- gimi Rolandi, Milan. — Calwino, Italie.

Le rédacteur responsable : Fritz H U G U E N I N .

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(4)

356 LA FEDERATION HORLOGEBE SUISSE

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