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Janvier . Février .
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Total
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Total
42,996 46,887 43,147 48,762
Total
22,408 25,877 25,423 28,480
Total
18,143 17,835 19,671 20,105 Le commerce suisse en 1910 Le tableau provisoire du mouvement commer- cial de la Suisse en 1910 témoigne de la reprise des affaires et d'un développement nouveau de notre activité industrielle. La dépression de 1908 avaient été sans doute accidentelle et les chiffres de 1909 l'avait prouvé: mais ils restaient encore au- dessous de ceux de 1907 et c'est è l'année 1910 que revient le mérite de dépasser 1907, qui était jusqu'ici l'année-record. Voici au reste le tableau de notre commerce des six dernières années (les chiffres sont indiqués en millions de francs):
Ainire Importation Exportation
1905 1380 969 1906 1469 1071 1907 1687 1153 1908 1489 1038 1909 1502 1098 1910 1714 1196
Il est à noter que si le moulant de l'exporta- tion, de 1910 est calculé sur les prix d'unités réels, il n'est pas de même de l'importation quia été provisoirement établie sur la base des prix de 1909. Le relèvement général des1 prix permet d'es- compter, d'après M. Geering, de Bàle, un chiffre d'importation total de 1750 à 1800 millions.
Au chapitre de l'importation, la part la plus importante de l'augmentation ast fournie par l'or en barres dont s'est approvisionné la Banque na- tionale; ses achats ont été de 63 millions contre 39 millions en 1909. L'année dernière accuse de nouveau une augmentation considérable d'im- portation des animaux vivants; le montant de nos achats, qui était de 53 millions en 1908 et de 63 en 1909, a passé à prés dé 82 millions ! Il est vrai que l'importation des chevaux participe pour 2 millions à cette augmentation et que celle delà viande fraîche a diminué de plus d'un million, mais le développement de notre approvisionne- ment de bétail de boucherie à l'étranger n'en reste pas mois considérable. La mauvaise qualité de nos fourrages a provoqué une augmentation de 4 millions sur l'importation de cet article.
Nous avons acheté pour 8,7 millions de pommes de terre, contre 3,9 millions en 1909. L'importa- lion des vins a passé de 1.560.703 à 1.675.427 hectolitres, ce qui, au prix de 1909, représente- rait déjà une augmentation de 3 millions. Le su- cre, le cacao, sont également en augmentation de 3 millions.
Quant à l'exportation, elle accuse une augmen- tation de 98 millions, qui se répartit sur nos prin- cipales industries. Les broderies tiennent tou- jours la tète; elles dépassent, avec 204 millions, de 11 millions le chiffre de 1907 qui n'avait plus été atteint. L'horlogerie, vient en second rang avec 147 millions, mais il s'en faut encore de 2 è 3 millions qu'elle se hausse au chiffre de 1906 et de 1907. Enfin, les soieries, notre troisième branche d'exportation , accusent 111 millions contre 106 en 1909. L'augmentation la plus étonnante est celle des produits de l'industrie de la paille; l'exportation de ces articles, qui attei- gnait pas 10 millions en 1908, et qui s'était éle- vée à 15 millions en 1909, est montée d'un nou- veau bond à 19,5 millions ! L'industrie des ma- chines, avec 73 millions, est en avance de 6 millions sur 1909. Le chocolat, délivré du sabot du cartel, accuse une augmentation de prés de 10 millions, qui porte l'exportation à 42 millions.
L'exportation de produits agricoles n'est pas moins satisfaisante. Le lait condensé est en avance de près de 2 millions; le lait frais lui- même pénètre au loin dans l'Allemagne du Sud et accuse un chiffre de plus de 2 millions. Quant au fromage, l'exportation en est restée station- naire mais, grâce à l'augmentation du prix, elle est montée de 57,8 à 62,5 millions. En somme, l'année 1910 enregistre une avance générale de notre exportation dans tous les domaines et il faut remonter à l'année 1906 pour retrouver une
augmentation aussi élevée que celle de l'an der nier sur 1909.
La Foi syndicaliste
— Du Petit Comtois — Q u a n d on s'avise de comparer le collec- tivisme ou le syndicalisme à des religions, avec, comme toutes les religions, des dog- mes aussi obscurs qu'aveuglement accep- tés, nos braves révolutionnaires se fâchent tout rouge. Pur esprit de contradiction car eux-mêmes, à l'occasion, soulignent cette assimilation. Q u ' o n lise plutôt ce qu'écri- vait dans son dernier n u m é r o la Voix du Peuple :
« Si l'Eglise catholique, à l'origine de sa puissance, lorsqu'elle luttait encore contre la barbarie des guerres, a pu triompher de ses adversaires, c'est qu'elle a su inspirer une foi ardente aux h o m m e s qu'elle endoc- trinait et qu'elle su faire jaillir de leur ano- nyme enthousiasme ces grands vaisseaux de pierre, où leur foi s'exaltait dans l'orgueil de l'effort et de l'idéal satisfaits. Si elle a pu résister, malgré tant d'abus, de crimes, de haines amoncelées contre sa domina- tion, c'est parce qu'elle sut constituer une organisation puissante, active et discipli- née, qu'elle eut ses maisons communes, où la foi se retrempait, ses journaux militants, qui répandirent partout sa doctrine, l'impo- sèrent pour l'œuvre d'asservissement que l'on connaît.
« Saurons-nous, pour l'œuvre de réno- vation annoncée par le syndicalisme, sus- citer la même foi, inspirer les mômes en- thousiasmes...?»
Il serait difficile de faire entendre plus nettement qu'on ne songe point à faire œu- vre de raison et de pensée libre. C'est à la foi dogmatique, irréfléchie, aveugle; c'est aux enthousiasmes fanatiques que les apô- tres de la Cité future font appel. Ils avouent eux-mêmes que leur méthode d'ac- tion, celle qu'ils emploient et celle qu'ils désirent employer toujours plus, est la vieille méthode catholique.
On s'en doutait déjà quelque peu. Mais il n'est pas mauvais de l'entendre dire aux pontifes de la C. G. T.
114 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE
A propos de débats récentsL'un de nos abonnés, très au fait de nos affaires horlogères, nous écrit la lettre sui- vante, dont les aperçus méritent d'être mé- dités par plusieurs.
Le 2 mars 1911.
Monsieur le rédacteur,
Voulez-vous accueillir avec votre amabilité coutumière, quelques réllexions d'un technicien au sujet des articles publiés par l'Impartial, re- produits et commentés par la Fédération hor- loger e du 22 courant?
Il va sans dire que toutes les causes qui peu- vent porter préjudice à notre industrie horlogère doivent être envisagées objectivement dans leurs conséquences, par tous ceux qui ont à cœur son développement et qui en vivent. Partant, l'opi- nion du technicien do Schramberg, qui conseille de retenir au pays les bons ouvriers et de sur- veiller les admissions dans nos écoles d'horloge- rie, est tout-à-fait respectable... et discutable.
Cependant, il me semble que c'est prendre les choses par leur petit côté que de s'alarmer au point de crier à la trahison du fait que quelques ouvriers, voire même quelques techniciens, ac- ceptent des engagements à l'étranger. Je con- viens qu'il y a une distinction à faire entre ceux qui vont travailler dans des usines toutes mon- tées, existant depuis nombre d'années, et ceux qui prêtent leur concours pour créer de toutes pièces de nouvelles fabriques, là où l'horlogerie n'est pas encore implantée. Mais ces derniers vont au devant de tant de déboires, tant de dé- ceptions les attendent, qu'on se demande com- ment il s'en trouve encore qui tentent l'aventure.
Je suis d'autant plus à mon aise pour en par- ler, que je suis déjà venu à cette même place, à la suite d'expériences personnelles, mettre en garde mes concitoyens contre les risques qu'il y a à courir pour ceux qui, trop à la légère, s'em- bauchent à l'étranger.
Je ne vois pas non plus, dans le fait que les jeunes gens d'autres pays sont admis dans nos écoles d'horlogerie, le grand danger que cer- tains y trouvent.
Vos réflexions à ce sujet sont fort justes et je crois votre manière de voir partagée par la grande majorité des intéressés, notamment par les chefs et directeurs de nos principaux établis- sements horlogers.
A côté des pessimistes, qui ne voient que péril et ruine de tous côtés, il est réconfortant de cons- tater que notre industrie, loin d'être en déca- dence comme d'aucuns le prétendent, se déve- loppe au contraire constamment, grâce à l'esprit d'initiative, à la volonté, au courage et à l'intel- ligence des chefs de la plupart de nos grandes fa- briques, qui ont su consentir des sacrifices sou- vent très lourds, pour amener leurs établisse- ments à même de lutter avantageusement contre la concurrence du dedans et celle du dehors.
La marche réjouissante de nos exportations, dont la Fédération a publié les résultats pour 1910, en est la preuve.
Ayons le courage de le dire : Si notre industrie devait être menacée, ce ne serait pas tant par la concurrence étrangère, réduite à ses propres for- ces ou même secondée par quelques éléments suisses, que par nos propres fautes.
Tenons plus largement compte des leçons de l'expérience et développons toujours plus et tou- jours mieux nos moyens de production. Soute- nons davantage l'effort méritoire de ceux qui ont compris qu'il fallait progresser constamment, en modifiant nos procédés de fabrication et en por- tant au dernier point la perfection de notre ou- tillage.
Mais à côté de cela il faut une main-d'œuvre habile... et raisonnable.
Je veux dire par là qu'il ne suffit pas, pour qu'une industrie prospère et se développe, qu'on ait des chefs de manufactures conscients de leurs devoirs envers leurs personnel et sachant consen- tir les sacrifices nécessaires pour acquérir le pre- mier rang et s'y maintenir. Il faut aussi que dans son ensemble, la main-d'œuvre, c'est-à-dire les ouvriers de toutes catégories, soient cons- cients, eux aussi, de leurs devoirs envers l'indus- trie qui les fait vivre et que tout en cherchant, par les moyens légaux et honnêtes, à améliorer leur position— ce qui est leur intérêt particulier
— ils ne perdent pas de vue l'intérêt général, qui est de ne pas affaiblir nos moyens de concur- rence par des revendications exagérées ou des grèves mal enmanchées, comme celles que nous
avons vues échouer dernièrement, manifestations qui n'ent d'autres résultats que de créer des rui nés, de creuser des fossés entre les divers grou- pements et démettre notre industrie en mauvaise posture en face de la concurrence étrangère.
Aussi combien, à mon point de vue, les deux ou trois personnages, meneurs par tempéram- ment et gréviculteurs par intérêt, qui ne perdent pas une occasion de semer la discorde entre les patrons et leurs ouvriers, sont-ils plus fautifs et trahissent-ils davantage les véritables intérêts de l'industrie, que les quelques ouvriers ou contre- maîtres que l'amorce d'un gain plus rémunéra- teur ou d'autres motifs, ont attirés à l'étranger et qui. pour la plupart, en sont revenus désa- busés.
Je résume ma pensée comme vous l'avez fait souvent vous-même et comme Y Impartial l'a fait récemment, en disant: Nous pouvons avoir confiance dans l'avenir de notre industrie, si nous sommes vigilants cl si nous ne nous relâchons pas un instant ; si nous avons l'œil ouvert sur ce qui se passe au dehors, et si les progrès de nos concurrents sont un stimulant qui nous engage à faire constamment de nouveaux efforts, en vue d'une production toujours plus parfaite.
Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur, l'ex- pression de mes sentiments distingués.
B.
La situation du commerce et de l'industrie en France
L'administration des douanes françaises vient de publier les statistiques du commerce extérieur de la France pendant l'année 1910.
A les parcourir, ce qui frappe tout d'abord, c'est l'étonnante prospérité industrielle et com- merciale qu'elles accusent, en une année qui fut si néfaste à l'agriculture.
Au total, malgré de cruels déficits en blé et en vin, 1910 aura été, par le formidable essor éco- nomique dont elle s'est accompagnée, une an- née comme on n'en avait guère vu jusqu'ici.
Depuis des années et des années, le commerce extérieur de la France n'avait été aussi florissant.
Les importations et les exportations (du com- merce spécial) se chiffrent, en effet, à 12.765 millions de francs, contre 11.964 millions en 1905.
J'ai sous les yeux, dit M. Marcel Géraud dans le Siècle, les chiffres du commerce extérieur de la France depuis 1880. Jamais encore le chif- fre de 1910 n'a été atteint. Qu'on en juge : de 8.500 millions en 1880, ce chiffre descend à 7 milliards en 1885 et en 1895, remonte à 9.650 millions en 1905, atteint près de 12 milliards en 1907, pour retomber, en 1908, par suite de la crise, à près de 11 milliards. En 1909, reprise des affaires : le douzième milliard est presque at- teint. En 1910, pour la première fois, il est dé- passé de près de 800 millions de francs.
Mais voici le plus curieux. Dans l'année désor- mais fameuse de la grève des chemins de fer, les recettes des 7 grands réseaux français sont mon- tées à 1.636 millions de francs, contre 1.600 mil- lions en 1909, 1.565 millions en 1908, et 1.319 millions en 1901.
Si le trafic fut plus intense, c'est que l'on tra- vailla davantage. Et si le travail fut plus abon- dant, le chômage des ouvriers dut être moindre.
Cette déduction est confirmée amplement par les statistiques du chômage des ouvriers syndi- qués, que publie chaque mois l'Office du tra- vail.
Pour le sixième mois de l'année, le mois de juin, qui est un mois de grande activité écono- mique, la moyenne des chômeurs accusée par l'Office du travail était, en 1910, de 4,2%.
Cette moyenne était, en juin 1909, de 6,8 °/°» en juin 1908, de 7,8 %, en juin 1904, de 10,7 °/o !
Prenons le onzième mois de l'année, le mois de novembre. La proportion du chômage a été de 6,1 °/o. Rarement on avait vu en novembre aussi peu de chômeurs. La proportion de chô- meurs en novembre avait été en moyenne de 10°/o.
Ces chiffres montrent, avec une netteté saisis- sante, combien 1910 fut une année privilégiée.
La demande de main-d'œuvre a été partout très forte. Aussi les grèves ont-elles été plus nombreuses que d'ordinaire et les augmentations de salaires plus facilement obtenues. Ainsi, tout s'explique: si les grèves ont été plus nombreu- ses, elles n'ont guère duré.
Voilà longtemps qu'on a observé le retour, à intervalles à peu près constants, et selon un or-
dre connu, de périodes de prospérité et de pério- des de dépression économique.
Depuis 50 ans, les années 1857. 1864, 1873, 1881-1882, 1890-1891, 1900 et 1907, ont été mar- quées par des crises qui ont gravement affecté le monde du travail et des échanges.
La dernière, celle de 1907, a fait sentir ses ef- fets depuis l'automne de cette année jusqu'au printemps de 1909 : surproduction, débâcles, faillites, moindre consommation, baisse des prix, stagnation industrielle et commerciale, chômage intense, baisse des salaires, etc.
Depuis le printemps de 1909, les affaires ont repris, une nouvelle période d'essor économique s'est ouverte, et c'est pendant l'année 1910 que semble avoir atteint son maximum, ce mouve- ment d'essor de l'industrie et du commerce.
Emigration
Le nombre de ceux qui émigrenl, d'Europe notamment, dans les contrées d'outre-mer, où la population est le moins dense, et qui reviennent de ces pays, a tellement augmenté que le rap- port du Département politique fédéral sur sa ges- tion en 1910 croit devoir en dire quelques mots.
Plus de 2 millions de personnes quittent cha- que année leur patrie pour les Etats d'outre-mer, et il en revient chaque année environ un demi- millions.
Les principaux buts d'émigration sont les Etats-Unis (nombre des emigrants en 1910 : 1.198.037), le Canada, l'Argentine (environ 300.000 immigrants dans chacun de ces pays), l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Ce va-et-vient est une conséquence de l'extension "du marché du travail. Grâce aux moyeus de communica- tions modernes, l'offre et la demande de travail s'équilibrent assez vite et relativement à bon compte.
Tandis que précédemment la plupart des emi- grants se rendaient dans les Etats d'outre-mer avec l'intention de s'y établir comme colons, au- jourd'hui se rencontrent de plus en plus parmi eux des journaliers, des ouvriers de l'industrie, des artisans, des employés de commerce, des techniciens, d?s ingénieurs, etc., qui vont offrir leurs services là où ils sont le mieux rétribués.
Aussi, par emigrants, on n'entend plus seule- ment ceux qui quittent leur pays pour se créer une nouvelle existence au..delà des. mers, mais ceux aussi qui quittent l'Etat, où le gain est in- suffisant, les salaires trop bas, pour des pays d'outre-mer où, temporairement du moins, le travail est mieux rétribué.
Beaucoup d'émigrants, dès que le travail vient à manquer dans le pays où ils étaient venus, s'en retournent dans leur patrie, quelques-uns pour y rester, la plupart pour émigrer de nou- veau au bout de peu de temps. A l'expédition de ce grand nombre d'allants et de venants, ainsi qu'à l'expédition de passagers, qui s'accroît aussi, les agences d'émigration et bureaux de passage suisses prennent une part considérable.
Des 5178 emigrants suisses, il s'en est rendu 4072 aux Etats-Unis d'Amérique, 683 dans l'Ar- gentine, 184 au Canada, 72 au Brésil. 40 dans l'Urugay, 28 en Australie et en Polynésie, 25 en Asie, 22 en Colombie, 16 en Afrique, 11 au Me- xique, 9 au Chili, 8 à Panama, 6 dans l'Améri- que centrale, 2 au Pérou.
35me concours de chronomètres de l'Amirauté allemande de l'Observatoire
naval de Hambourg
Suivant une décision du 9 février der- nier, du Ministère de la marine allemande, il a été décrété qu'à partir du 35m c con- cours de chronomètres de 1911-12, les chro- nomètres de provenance étrangère sont ex- clus de la participation aux concours.
Concours de chronomètres
Dans sa séance du 31 janvier dernier, le Conseil d'Etat du canton de Neuchàtel a décerné les prix pour le concours dejehro- nomètres à l'Observatoire astronomique de Neuchàtel en 1910. Nous les avons publiés dans notre n u m é r o du h février.
Parmi les résultats, nous remarquons
a v e c p l a i s i r l e s p r i x a t t r i b u é s à l ' E c o l e d ' h o r l o g e r i e d u L o c l e ( s e c t i o n d u T e c h n i - c u r a ) q u i l i g u r e e n t r è s b o n r a n g .
E n effet, c e t t e E c o l e o b t i e n t 6 p r i x , s o i t 4 d e l, e c l a s s e e l t d e 2m c c l a s s e , p o u r l e s c h r o n o m è t r e s q u ' e l l e a f a b r i q u é s e t r é g l é s . E n p l u s d e c e s c h r o n o m è t r e s p r i m é s , elle o b t i e n t e n c o r e 1 5 b u l l e t i n s d e li e e t d e 2m e
c l a s s e .
R a p p e l o n s p o u r t e r m i n e r l e s p r i x o b t e - n u s p a r c e t é t a b l i s s e m e n t d e p u i s q u e l q u e s a n n é e s :
E n 1904, 1 p r i x d e lr e c l a s s e .
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1905, 1 1906, 1 1907, 2 1 1908, 1
1 1909, 1
3 2 1910, 4
2
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p1 chronomètres de bord.
de li e classe.
p1 chronomètre de marine.
de 2me classe.
1 prix de série p1 0 chro- nomètres de li e classe.
de lr e classe.
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Brevets d'invention
E n r e g i s t r e m e n t s * .
Cl. 71 f, n° 49935. 6 novembre 1909, 7 h . p. — Boîte de montre. — Dr Anton Parizek, K. K.
Amtsrichter, ßeneschau près P r a g u e (Autri- che). Mandataire : H . Kirchhofer ci-devant Bourry-Séquin & Go, Zurich.
Cl. 71 f, n° 49936. 21 janvier 1910, S3/., h . p. — Montre. — Schwob frères & Co, 156, rue Numa-Droz, La Ghaux-de-Fonds (Suisse).
Mandataire : A. Mathey-Doret, La Ghaux-de- Fonds.
Gl. 71 f, n° 49937. 21 janvier 1910, S'A h . p. — Montre-savonnette. — Robert Gj'gax, fabri- cant de boîtes de montres, rue du Vallon, St- Imier (Suisse). Mandataire : A. Malthey-Do- ret, La Ghaux-de-Fonds.
Modi l i e n t i o n s .
Gl. 8 5 , n» 33378. 8 avril 1905, 8 h . p. — Montre-bracelet perfectionnée. — Grumbach
& Go, fabricants d'horlogerie, La Ghaux-de- Fonds (Suisse). Mandataire : A. Mathey-Do- ret, La Ghaux-de-Fonds. Transmission selon déclaration du 28 janvier 1911, en faveur de M.-P. Dreyfus & Co, La Ghaux-de-Fonds (Suisse); enregistrement du 30 janvier 1911.
Gl. 7 1 g , n° 46356. 22 janvier 1909, 8 h . p. — Dispositif de fonctionnement de la sonnerie aux montres à répétition. — Hermann Sandoz, Les Ponts-de-Martel (Suisse). M a n d a t a i r e : A.
Mathey-Doret, La C h a u x - d e - F o n d s . Trans- mission selon déclaration du 20 janvier 1911, en faveur de la Manufacture d'horlogerie « Le P h a r e », C. Barbezat- Baillod, Le Locle (Suisse). Mandataire : A. Mathey-Doret, La Ghaux-de-Fonds, enregistrement du 27 janvier 1911.
i t n c l i n t i o n s .
Cl. 64, n° 27050. Perfectionnement aux montres.
Cl. 64, n° 31883. Mécanisme de remontoir et de mise à l'heure.
Cl. 64, n° 37770. Perfectionnement aux échappe- ments à goupilles.
Cl. 71 d, n° 45344. Raquetterie.
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Augmentation de 4.896 boites or et de 759 boîtes argent sur le mois correspondant de 1910.
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