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Archives des sciences physiques et naturelles de genève; 4e période, t. V et VI; 1898

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HAL Id: jpa-00240391

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240391

Submitted on 1 Jan 1899

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4e période, t. V et VI; 1898

R. Dongier

To cite this version:

R. Dongier. Archives des sciences physiques et naturelles de genève; 4e période, t. V et VI; 1898. J.

Phys. Theor. Appl., 1899, 8 (1), pp.445-452. �10.1051/jphystap:018990080044500�. �jpa-00240391�

(2)

443

ARCHIVES DES SCIENCES PHYSIQUES ET NATURELLES DE GENÈVE;

4e période, t. V et VI; 1898.

W. SPRING. 2013 Sur le rôle des composés ferriques et des matières humiques

dans le phénomène de la coloration des eaux et sur l’élimination de ces

substances sous l’influence de la lumière solaire.

-

T. V, p. 5.

Comme la couleur propre de l’eau pure est le bleu, et que les par- ticules solides extrêmement ténues en suspension dans ce liquide

laissent passer de préférence les radiations de grande longueur d’onde, la lumière ayant traversé un tel milieu aura une teinte ver-

dâtre. Toute cause tendant à faire disparaître le trouble devra rame- ner an bleu la teinte des eaux, si celles-ci ne sont pas déjà colorées

par des substances en dissolution.

Les sels ferriques, sous l’action de la lumière solaire, précipitent

les matières humiques dissoutes dans l’eau, en se convertissant en sels ferreux qui ont un pouvoir colorant sans importance. Les eaux

de fleuves, tels que le Nil, qui contiennent dans les régions supé-

rieures des sels ferriques et des matières humiques, présentent la

teinte verdâtre des milieux troubles, tandis que les eaux deviennent bleues en se rapprochant de la mer, parce que, sous l’influence du

soleil, le travail d’épuration s’est effectué.

Ainsi s’expliquent de même les tons bleus foncés de la haute mer

et en général des grandes masses d’eau.

H. sCHOENTJES. - Sur un pyromètre portatif basé sur l’emploi d’un milli- voltmètre Weston et d’un couple thermo-électrique platine.

-

Platine rhodié 10 0/0.

-

T. V, p. 136.

C’est un instrument de laboratoire dont l’usage est limité à la

mesure de hautes températures (1775°), confinées dans de très petits

espaces.

EDM. VAN AUBEL. 2013 Influence du magnétisme sur la polarisation

des diélectriques et l’indice de réfraction. - T. V, p. 143.

Dans les expériences effectuées, en 1885, par NI. Van Aubel avec la

paraffine, la gutta-percha, la gomme laque, le verre et le soufre,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018990080044500

(3)

l’action du magnétisme n’a pu influencer la polarisation diélectrique

de ces corps. Ce résultat est conforme à ceux obtenus récemment par M. K.-R. Koch (1) et antérieurement par M. Palaz (2), par M. P. Drude (3), lequel opérait avec le sulfure de carbone. Il semble que, s’il existe une action, celle-ci, quoique très faible, devrait être

mise en évidence en expérimentant avec le bismuth.

RAOUL PICTET. - L’automobilisme et la force motrice ; le moteur air-eau.

-

T. V, p. 350, 444, 550 ; et t. VI, p. 46.

Si l’on veut qu’une voiture automobile conserve une vitesse tou-

jours la même, malgré les accidents de terrain d’une route, il faut que le moteur qui l’actionne puisse, le cas échéant, fournir une puis-

sance sept ou huit fois supérieure à celle qu’il donne en belle route

horizontale. Or une telle condition est désastreuse pour le rende- ment du moteur; ainsi une machine à vapeur qui fonctionnerait de manière à fournir seulement le ï /8 de la puissance qu’elle est suscep- tible de donner, aurait un rendement qui ne saurait être plus élevé que

0,05. Un rendement supérieur à ce nombre peut être obtenu en utilisant l’augmentation de pression qui résulte de la vaporisation dans l’air

sec d’une certaine quantité d’eau. Un compresseur à air fonctionne de la pression atmosphérique jusqu’à 10 ou i 2 atmosphères ; de l’eau

est entrainée pendant l’aspiration et se pulvérise dans le cylindre

les gaz subissent l’action de températures élevées avant d’être intro- duits dans les cylindres moteurs. Le rendement est d’autant plus grand que la pression des gaz au moment de l’échappement et âpres

la détente est plus voisine de la pression atmosphérique. M. Pictet

déduit de là les dimensions susceptibles du meilleur rendement.

S. GUGGENHEIMEH. - Contributions expérimentales à l’étude

des rayons Rôntgen. - T. V, p. 222.

Le fait le plus intéressant signalé par M. Guggenheimer dans la première partie de son mémoire qui traite « de l’influence des rayons

Röntgen sur la distance explosive de l’étincelle électrique » est que

.

B1) KocH, Annalen dei Physik, t. LXIII, p. 132 ; 1897.

(2) Archives de Genève, (3), t. XVII, p. 422 et 427 ; 1887.

(3) Annalen der PhysilE, t. LII, p. 498 ; 1894.

(4)

447 l’effet des radiations actives s’exerce principalement sur le pôle négatif du micromètre, sans toutefois que l’effet sur le pôle positif

soit négligeable.

Dans la seconde partie, qui traite « des effets actinoélectriques des

rayons Rôntgen », l’auteur conclut de ses expériences que, si l’on

plonge deux électrodes identiques dans un liquide, et si l’on expose l’une des électrodes à l’action des rayons Rôntgen, il se produit un

courant électrique qui va généralement de l’électrode exposée aux

rayons X à l’autre électrode en passant par le circuit extérieur.

L’intensité de ce courant augmente avec l’intensité du rayonnement qui frappe l’électrode.

HENM VEILLON. - Quelques expériences avec les cohéreurs.

-

T. V, p. 416.

Le rôle joué par les conducteurs interposés entre l’excitateur et le cohéreur est très complexe, et quelques singularités intéressantes méritent d’être signalées.

I. L’axe du tube du cohéreur étant horizontal, deux demi-parois

verticales empiétant l’une sur l’autre laissent traverser l’action

inductrice sur le cohéreur, tandis que deux demi-parois horizontales

empiétant l’une sur l’autre la suppriment.

II. Une ouverture pratiquée dans un écran laisse passer l’action

inductrice ; un tuyau de même diamètre fixé à l’écran et dirigé comme

le cohéreur l’intercepte comme si l’écran était plein.

III. L’action inductrice, empêchée par le tuyau, réapparaît aus-

sitôt que l’on place un écran près du cohéreur normalement à la droite (axe fondamental) qui joint le cohéreur au centre de l’excita-

teur. Elle réapparaît de même lorsque le plan de l’écran passe par l’axe du cohéreur et par l’axe fondamental ; elle ne réapparaît pas

lorsque le plan de l’écran, passant, par l’axe fondamental, est perpen-

diculaire à l’axe du cohéreur.

IV. L’induction, interrompue par le tuyau, réapparaît en plaçant parallèlement au cohéreur et près de lui un conducteur linéaire isolé; dans les deux autres directions principales, perpendiculaires

à celle-ci, le conducteur linéaire ne jouit pas de cette propriété

(5)

E. GUTTON. - Sur les écrans électro-magnétiques.

-

T. VI, p. 549.

M. Gutton complète les expériences de M. Veillon, signalées plus haut, et donne un aperçu de l’explication des faits, contenu dans

l’énoncé suivant : « Si un écran de dimensions peu considérables, placé en avant d’un excitateur, empêche les ondes d’agir sur un

cohéreur placé en avant de l’écran, l’action sur le cohéreur peut être rétablie au moyen d’un second écran ou d’un fil métallique placé près de ce cohéreur, à condition toutefois que l’écran ou le fil

ne soient pas dans le plan perpendiculaire à l’axe de l’excitateur en son milieu. »

Dans les ondes issues de l’excitateur, les lignes de force électrique

aboutissent normalement aux surfaces conductrices, et les lignes de

force magnétique sont tangentes à ces surfaces.

D’après le théorème de Poynting, l’énergie électro-magnétique se

propage, en un point du champ hertzien, normalement au plan

déterminé par les directions de la force électrique et de la force magnétique ; il en résulte qu’au voisinage d’une surface conductrice

l’énergie se propage parallèlement à cette surface. M. Gutton ayant vérifié directement ce résultat par l’expérience, on peut conclure qu’une partie de l’énergie rayonnée par l’excitateur longe la surface

du premier écran, qu’elle contourne par ses bords, et se répand dans l’espace situé en avant, du côté du cohéreur. puis, atteignant le second écran, les ondes sont détournées et ramenées le long de la surface de cet écran, d’où elles arrivent jusqu’au cohéreur placé très près

de là.

On explique de même qu’un écran secondaire ou un fil métallique

normaux à l’axe du cohéreur et passant par l’axe fondamental ne pro- duisent aucun effet. En effet, en tous les points de ce plan, qui est

un plan de symétrie des appareils, les lignes de force électrique sont

normales au plan, et les lignes de force magnétique sont dans le plan ; si on y place un écran métallique mince, les ondes se trouvent

avoir leurs lignes de force électrique normales aux surfaces métal-

liques de l’écran et leurs lignes de force magnétique tangentes à

ces surfaces ; tout se passe donc comme si l’écran n’existait pas.

(6)

449

F.-Luuis PERROT. - Thermo-électricité du bismuth cristallisé.

- T. VI, p. 105 et 229.

Les échantillons de bismuth cristallisé ont été obtenus après

fusion et refroidissement lent ; des parallélipipèdes trirectangles ont

été taillés de façon à présenter une face normale aux plans de cli-

vage et une face normale à l’axe.

La détermination des forces thermo-électriques a été effectuée entre

le bismuth et le cuivre dans deux cas différents : 1° lorsque la ligne

des points d’attache du cuivre est parallèle à l’axe du cristal Il ;

2° lorsque la ligne des points d’attache du cuivre est perpendicu-

laire à l’axe du cristal1..

On obtenait des températures différentes aux points de contact du

bismuth et du cuivre, en faisant reposer le parallélipipède de bismuth

par sa base inférieure sur la partie horizontale parfaitement polie

d’une plaque de cuivre épaisse dont les prolongements, coudés en

fer à cheval, plongeaient verticalement dans un grand vase plein

d’eau froide, et en appliquant sur la face supérieure du prisme de

bismuth le fond d’une boite métallique en cuivre, parcourue par un courant d’eau cliaude.

Afin d’obtenir un contact convenable entre le cuivre et le bismuth,

l’ensemble de l’appareil était serré, jusqu’à premier refus, entre les

mâchoires d’une presse à coussinet.

La force thermo-électrique était proportionnelle à la déviation

constatée avec un galvanomètre Wiedemann-d’Arsonval ; la diffé-

rence des températures était mesurée au moyen de couples cuivre-

maillechort.

Résultats.

-

1° La force électromotrice, pour un degré de diffé-

rence entre les températures t et t’ des soudures, va en augmentant

avec la température entre 10, et 4 00° ;

2° Cette augmentation est plus rapide pour les soudures 1 que pour les soudures Il ; il en résulte que le rapport des forces électro- motrices 11 va en diminuant à mesure que t -!- t’) augmente ;

1

3° Les courbes entre 0° et 100, sont des paraboles dont la con-

vexité est tournée du côté de l’axe des températures, contrairement

aux faits classiques ;

4° Les valeurs moyennes des valeurs absolues des forces électro-

(7)

motrices sont représentées dans le tableau suivant où t = 11°:

Il y a lieu de signaler toutefois des écarts appréciables entre les

résultats obtenus avec les différentes échantillons de bismuth, dus évidemment à des différences dans la cristallisation et dans la trempe des échantillons au moment du refroidissement.

M. Perrot fait, dans l’introduction de son mémoire, un exposé très complet des recherches antérieures effectuées sur ce sujet.

EDM. VAN AUBEL. - Sur la mesure des températures au moyen du couple thermo-électrique fer-constantan.

-

T. VI, p. 169.

L’auteur énonce la liste des savants qui ont fait usage du couple

fer-constantan. Ce sont M. H. Rubens (1), Czermak et Rubens (2),

Fuchs (3), Kleiner (1), Iiolborn et Wien (3), et Troost (6).

L. DECOMBE. - La résonnance multiple des oscillations électriques.

-

T. VI, p. 121.

Un excitateur émet une onde électrique de période unique, comme

le pensent MM. Roincaré et Bjerkness, et non un ensemble de radia-

tions, formant une sorte de spectre continu, comme le croyaient

MM. Sarrasin et de La Rive. Pour le démontrer, M. Décombe a repris l’expérience de Feddersen en dilatant par la rotation rapide d’un

miroir concave l’image de l’étincelle explosive d’un excitateur.

Ces images se forment sur une plaque photographique et l’obser-

vation de chacune des épreuves obtenues démontre nettement qu’il

existe une période parfaitement déterminée pour chaque excitateur.

(1) Zeilschrift für Instrumentenkunde, t. XVIII, p. 65.

(2) Zeitschrift fÜI’ Instrumentenkunde, t. XVIII, p. 135 et 137.

(3) FUCHS, Ueber das lhetrnoeleklrische Vel’halten einiger Nickel-Kupfer Legier’ungen. Graz, 1893.

(t) Ar°claives de Genève, (3), t. XXXII, p. 280.

(b) Annalen deo Physik, t. LIX, p. 213.

(6) C. R., p. 1751 (1898).

(8)

451

L.-M. VANDEVYVER. - Appareil pour la détermination du point de fusion.

-

T. VI, p. 129.

Si un corps qui fond imbibe une plaque diffusant par transparence (papier, verre dépoli, etc.), il est pratique d’utiliser cette propriété

pour déterminer exactement la température de fusion; on le place

sur la plaque diffusante qui est portée par une tige à laquelle est

fixé un miroir plan incliné réfléchissant la plaque. Le tout est en-

fermé dans une enceinte réchauffante (tube à essai plongé dans un

bain de liquide chaud et transparent).

C.-E. GUYE. - Méthode pour déterminer la puissance dans un appareil

parcouru par des courants sinusoïdaux de puissance élevée. - T. VI, p. 446.

La méthode de MlB1. Ayrton et Sumpner (1), publiée en 1891 et dite

« méthode des trois voltmètres », présente l’inconvénient d’absorber dans la résistance auxiliaire R sans self-induction au moins autant

d’énergie que dans l’appareil d’utilisation lui-même. Il en est de mème de la méthode dite des trois ampèremètres. Dans le cas de

courants alternatifs d’amplitude sinusoïdale et de fréquence élevée,

M. Guye propose de remplacer la résistance auxiliaire R par une bobine à grande self-induction L. Une construction graphique simple

permet alors de déterminer la pmissance consommée dans l’appareil

d’utilisation à l’aide des indications des trois voltmètres et de la connaissance du coefficient L de la bobine. Cette méthode présente l’avantage de n’absorber qu’une puissance négligeable dans la résis- tance auxiliaire e[ de n’exiger, avec les puissances élevées, que des

appareils peu encombrants.

(1) La méthode de NINI. Ayrton et Sumpner consiste dans la détermination des

voltages efficaces : V2 aux bornes d’une résistance R dépourvue de self-induction

disposée en série sur l’appareil utilisé aux extrémités duquel on mesure la ten-

sion V1. Le voltage V mesuré aux bornes de l’ensemble des deux appareils, ter-

mine la série des déterminations qui conduisent au calcul de la puissance con-

sommée représentée par :

Eric GÉRARD, Mesures électriques, p. 245.

(9)

Ch. DUFOUR. - Phénomènes intéressants constatés pendant l’éclipse de lune

du 3 juillet 1898.

-

T. VI, p. 437.

Dans l’éclipse de lune du 3 juillet 1898, on voyait bien la cou-

leur rouge sombre qui est donnée par les rayons réfractés par

l’atmosphère de la terre. Il y a lieu de conclure que notre atmosphère présentait ce jour-là quelque transparence et n’était pas rendue opaque par des poussières en suspension, comme après l’éruption du volcan

de l’ile de Sumbrava, près de Célèbes, le 5 avril 1815, phénomène qui fût constaté par la disparition complète de la lune dans l’éclipse

de 1816, comme aussi après l’éruption du Krakatoa, qui produisit le

même effet dans l’éclipse de 1884. Ce phénomène d’absorption des

rayons solaires est explicable si l’on remarque qu’une épaisseur de

fumée de 692 millimètres suffit pour qu’à trois heures de l’après- midi, en temps clair, on ne puisse pas apercevoir la moindre trace du disque du soleil.

R. DONGIER.

WIEDEMANN’S ANNALEN ;

T. LXVII, n° 4; 1899 (suite).

F. KURLBAUJB1. - Aenderun; der Emission und Absorption von Platinschwartz und Russ mit zunehmender Schichtdicke (Influence de l’épaisseur sur L’émis-

sion et l’absorption du noir de platine et du noir de fumée). - P. 816-858.

Cette question est importante, puisque ces substances servent à recouvrir les piles thermoélectriques, bolomètres, etc., qui servent

à étudier le rayonnement, et qu’il importe de savoir si leurs pro-

priétés se rapprochent assez de celles d’un corps « parfaitement noir».

Élnission.

-

Comme l’avaient fait pour le noir de fumée MM. Crova et Compan(1), M. Kurlbaum étudie l’émission à 100° d’une surface recouverte de couches d’épaisseurs variables de noir de fumée ou

de noir de platine. Le principe de la méthode employée est le même.

On compare l’émission de la surface à étudier à celle d’un corps par- faitement noir réalisé par nne enceinte fermée percée d’une petite

(1) C. R., t. CXXVI, p. i07 ; 1898.

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