M.-G.-J. I GUILLEN GARCIA. — Telefono sin hilos (Téléphonie sans fil). La Energia Electrica, Madrid, t. IX, n° 10, p. 183-186, le 25 mai 1904

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Submitted on 1 Jan 1906

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M.-G.-J. I GUILLEN GARCIA. - Telefono sin hilos (Téléphonie sans fil). La Energia Electrica, Madrid, t.

IX, n° 10, p. 183-186, le 25 mai 1904

A. Gradenwitz

To cite this version:

A. Gradenwitz. M.-G.-J. I GUILLEN GARCIA. - Telefono sin hilos (Téléphonie sans fil). La Energia

Electrica, Madrid, t. IX, n° 10, p. 183-186, le 25 mai 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1),

pp.152-153. �10.1051/jphystap:019060050015202�. �jpa-00241093�

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liquide ^{est enfermé entre deux} parois cylindriques concentriques, ^la paroi intérieure tournant par ^{un moteur} d’un mouvement uniforme.

Il a étudié le collodion, l’luile d’olive, ^{l’huile de} paraffine ^{et l’huile}

de lin. Ses résultats confirment la théorie de Natanson.

Ch. TOUREN.

O. SCARPA.

Alcune experienze ^sulle pile campione (Quelques expériences

sur les piles ^el

Alli dell’ Associazione elettrotecnica italiana,

18 mars 1904.

L’auteur a étudié les piles ^du type Weston, préconisées ^{en Alle-}

magne ^comme ayant ^{toutes les} qualités requises ^d’une pile ^{étalon, et}

les piles Clark, répandues ^en Italie, pour savoir si elles réalisent les conditions suivantes : facilité de leur reproduction, certitude d’obte- nir une force électromotrice constante et déterminée. Les expériences

ont confirmé les qualités exceptionnelles ^{et la} supériorité ^du type ^de

Weston.

Ch. TOUREN.

M.-G.-J. ^I GUILLEN GARCIA. 2014 Telefono sin hilos (Téléphonie ^sans fil).

La Energia Electrica, Madrid, t. IX, ^n° 10, p. 183-186, ^{le 25 mai 1904.}

L’auteur résume d’intéressantes expériences qu’il ^{vient de faire}

avec la collaboration de son fils. Au cours de ses recherches sur la

télégraphie ^sans fil, le fils de l’auteur remarquait par hasard que, dans le téléplione ^du cohéreur Tommasi placé ^{â la station} réceptrice, ^il

se produisait ^une différence de _son, suivant la distance explosive ^de l’interrupteur ^{de la} bobine lihtimkorff. Ce fait lui suggéra ^l’idée qu’un appareil analogue ^serait capable ^de transmettre la voix hurnaine ^au loin sans le concours d’un fil, et, après avoir dû différer cette expérience pendant quelque temps faute d’un dispositif approprie, ^{il obtint du} professeur Marcel, ^{du séminaire de Barce-} 10n(B, 1(~, ressources expérimentales nécessaires pour ^{mettre son} idée à exécution.

Le dispositif expérimental ^{était assez} simple : à la station récep-

ti>1.> ^~11 (rouvrit un appareil ^{Rhumhorff d’une distance} explosive ^de

li centinn trc’s avec l’oscillateur relatif, ^une petite antenne et ^un conduch ui mis à terre. Entre le transformateur (c’est-à-dire ^la

bobine }{hun1h.OrfT et une petite’ batterie de piles ^{Grenet, on a dis-}

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050015202

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posé ^un microphone spécial fonctionnant soit comme manipu-

lateur, soit comme interrupteur. L’interrupteur automatique ^{de la}

bobine d’induction étant mis hors de service. le condenseur est

employé pour renforcer l’étincelle de l’oscillateur.

À la station réceptrice, il y ^{a un} cohéreur Tommasi relié à l’an- tenne réceptrice ^{et au} conducteur mis à terre. Dans un récepteur téléphonique ^on perçoit ^{les bruits} produits parles ondes hertziennes.

Lorsqu’on appliquant la bouche ^au microphone ^{l’on chante ou} parle, ^{toute vibration} acoustique s’accompagne ^diiiie interruption

dans le passage ^{du courant} électrique ^{à travers} le circuit pri-

maire du transformateur, le nombre d’étincelles dans l’oscillateur étant ainsi varié. Le principe fondamental présente par conséquent quelque analogie ^avec le mécanisme d’un téléphone ^ordinaire.

Les résultats obtenus jusqu’ici ^{dans la} reproduction ^{du chant} paraissent ^être très satisfaisants, ^tandis quela reproduction ^du langage

est loin d’être parfaite. ^Le point ^{faible est,} semble-t-il, ^{la difficulté}

qu’il y ^a de construire ^un microphone ^{d’une intensité} suffisante ; ^il

est vrai que NI. Garcia a remédié dans nne certaine mesure aux imper-

fections de son appareil ^en employant ^un condensateur et en

augmentant ^la différence de potentiel ; ^{en raison} toutefois des

arcs électriques qui peuvent ^se produire, il n’a pas pu aller trop loin dans cette voie.

A. GRADENWITZ.

E. GEHRCKE. 2014 Einfluss elektrischer Schwingungen auf die Breite der Spek-

trallinien (Influence des oscillations électriques ^{sur la} largeur des raies du

spectre).

Société allemande de Physique, ^{séance du 9} décembre 1904.

l~I. Lilienfeld vient de mettre en évidence, ^au moyen de l’analyse spectrale,la présence ^de l’argon renfermé dans l’air atmospliérique.

Le tube ^sans électrodes dont il se servait était excité non pas par ^l’efiluve ordinaire, mais par les oscillations d’un circuit de vibration électrique. Comme le tube spectral ^était placé ^{en dérivation}

par rapport à la self-induction du circuit ^en question, les oscillations

pouvaient s’accomplir ^sans perturbations appréciables, l’énergie

traversant le tube étant très petite par rapport ^{à celle} du circuit.

S’inspirant ^{de cette} expérience, l’auteur s’est proposé ^{d’étudier la}

structure tiae prennent ^{les raies} spectrales ^les plus ^{tines sous l’in-}

t1uence de l’excitation par oscillations électriques. Les observations