Vingt-septième Année. — N° 99 Prix du numéro : 10 centimes
Samedi 14 Décembre 1912 Bureaux : R u e de l a S e r r e , 58
D A N I E L JEAN RICHARD
M1EDMTI0M0RL0GERE
S U I S S E
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suisses 20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne
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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.
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Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger
Un curieux document
Sous ce titre, le journal Solidarité Hor- logère, organne officiel de la F . O . I. H., publie les lignes suivantes : '
«La tyrannie des syndicats ouvriers est sans conteste un fait reconnu d'une foule de gens qui en sont les victimes.
«On voit des patrons en souffrir horriblement;
car, souvent, être tenu de payer des salaires convenables, cela constitue la pire des tyrannies.
« Dimjnnp.r IRH hpiires da t r a v a i l « mpsnrp. qua
la machine produit davantage, en prenant le travail à l'ouvrier, cela, par exemple, est une monstruosité sans pareille.
«Enlever la liberté individuelle de l'ouvrier pour l'enrégimenter dans un syndicat qui défen- dra ses conditions de travail, cela encore consti- tue une de ces infamies sans nom.
« De tous côtés tyrannie, tyrannie ! ! I Cepen- dant les syndicats patronaux se forment, mais en montrant l'exemple de la douceur, en témoi- gnant toute la bonté, toute la bienveillance à ceux qui les entourent.
« La tolérance, le respect de la liberté indivi- duelle est poussée très loin. Jamais l'ouvrier syndiqué ne risque une vengeance patronale, tout est largesse de sentiment, hauteur de vue, bonté profonde.
«La preuve est d'ailleurs farile à établir et j'ai trouvé un document qui désormais restera la pièce à conviction de toutes les bontés antityran- niques des groupements patronaux».
Voici ce «curieux d o c u m e n t » , tel q u e le d o n n e l'organe ouvrier, auquel nous lais- sons la responsabilité de ce texte :
« Recommandé.
Société des fabricants de boîtes métal et acier Comité central
Monsieur et cher collègue,
Nous avons l'avantage de vous remettre sous ce pli les statuts de notre société, avec prière de signer la feuille d'adhésion ci-jointe, et de la re- tourner de suite au secrétaire. Monsieur Jean Meyer, de la maison G. Pfund & Co à Madretsch.
Vous trouverez ci-joint également une certaine quantité de Cartes de sortie à employer des maintenant. Selon décision de l'assemblée géné- rale du 11 mars 1911, chaque ouvrier quittant votre établissement doit recevoir une carte de sortie qui servira de renseignement sur la valeur de chaque ouvrier. Afin qu'il ne puisse avoir de confusion ni de malentendu, nous vous prions de prendre bonne note des instructions suivantes, quant à la signature des cartes de sortie.
Pour un bon ouvrier qui vous quitte en règle et avec lequel vous étiez content, vous signerez la carte de sortie à droite, pour un mauvais ouvrier par contre, sur lequel il y aurait lieu de
demander des renseignements auprès de vous, vous signerez la carte au milieu.
Nous vous prions instamment de prendre bonne note de ces instructions et de vous y con- conformer strictement pour éviter comme déjà dit des confusions.
Annonces dans les journaux : A l'assemblée générale du 11 mars 1911 il a été décidé à l'una- nimité de se servir des journaux ci-apré3 pour les annonces concernant l'engagement des ou- vriers :
1. Pour'Bienne et environs:' L'Express.
- -2= Eou*4e=-VaLderTravers v^ourrier du Val- de-Travers. .
3. Pour les Franches-Mon îagnes : Franc- Montagnard.
4. Pour Soleure et environs : Solothurner- Tageblatt.
5. Pour la France : Petit Comtois.
On ne doit surtout plus se servir de la Solida- rité Horlogère qui écrit à chaque occasion des articles malveillants à l'égard des patrons.
Pour terminer, vous êtes informé que nous prendrons en remboursement ces premiers jours, la cotisation pour le premier semestre 1911 et nous vous prions d'ores et déjà de vouloir réser- ver bon accueil à ce remboursement.
Recevez, Monsieur et cher collègue, nos salu- tations les plus cordiales.
Bienne, le 30 septembre 1911.
Pour le Comité central :
Le secrétaire-trésorier : J. Merer..
Annexes : 1 règlement, cartes de sortie. » L'auteur de l'article de la Solidarité, M.
A. Grospierre, l'un des secrétaires de la F . O. I. H., termine sa communication par des aménités à l'adresse des patrons de la boîte argent :
« Les collègues sont informés : si la carte de sortie est signée à droite, on est content de l'ou- vrier, il peut se replacer sans trop de difficulté;
il n'y a pas de tyrannie ! Mais si la signature tient le milieus, alors sans explications, sans en con- naître les causes, sans que les patrons auxquels l'ouvrier s'adresse pour du travail prennent des informations, il est refoulé, renvoyé et cela avec une carte constatant qu'il quitte son patron libre de tout engagement. Lorsque le syndicat ouvrier met un patron à l'interdit, on discute au préalable on cherche une entente, il y a lutte même, mais le patron sait toujours pourquoi il est boycotté.
Dans le monde des patrons monteurs de boites métal rien'de semblable à l'égard des ouvriers ; hypocritement, lâchement, on lui délivre une carte et l'ouvrier est boycotté, sans qu'il puisse y penser le moins du monde et à plus forte rai- son s'en défendre.
«Ce n'est pas dejla tyrannie !
& C'est tout simplement de [la canaillerie. Les
patrons boîtiers métal feraient bien de s'ingénier à vendre leurs produits un peu plus intelligem- ment, ils joueraient un rôle plus élégant qu'en boycottant sournoisement les ouvriers. »
Nous n ' é p r o u v o n s aucune hésitation à dire qu'il est profondément regrettable, que les rapports entre patrons et ouvriers de l'horlogerie, se soient modifiés au point que des procédés semblables à celui qu'em- ploie le comité central de la Fédération, des fabricants de boites argent, doivent entrer dans n o s m œ u r s et q u e leurs auteurs les puissent considérer comme u n e nécessité.
Le temps n'est plus, et c'est grand dom- mage, ou patrons et ouvriers pouvaient traiter directement les questions q u i se rattachent à l'embauchage, à la quinzaine donnée et aux conditions du travail. Au- jourd'hui, les organisations ouvrières s'in- gèrent, trop souvent d'une façon abusive, dans ce qui peut être considéré comme étant du ressort du patron et le b u t avoué du mouvement ouvrier moderne, qui est la disparition d u patronat et son rempla- cement par l'exploitation collectiviste des industries, conduit n o m b r e d'ouvriers à se considérer n o n plus comme les collabora- teurs de leurs patrons, mais comme leurs ennemis naturels et irréconciliables.
L'organisation syndicale ouvrière est chose naturelle et correspond à u n e néces- sité de notre état social. Mais les méthodes employées p o u r assurer la sauvegarde des intérêts ouvriers, laissent souvent fort à dé- sirer, si on les considère au point de vue du respect d u droit individuel et de la liberté des opinions.
Si tout ce qui concerne les rapports en- tre employés et employeurs est désormais placé sur le terrain de la lutte des classes, la responsabilité en remonte à ceux qui l'ont voulu ainsi. Il est juste de dire q u e le patronat est longtemps demeuré sur la défensive, n e rendant pas m ê m e toujours les coups qui lui étaient portés et q u e lors- qu'il prend des mesures de défense perma- nente, c'est le plus souvent qu'il y est obligé par les circonstances.
Les grèves ouvrières ont produit le boy- cottage patronal.
658 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE
Les mises- à l'interdit de fabriques cou- pables d'occuper des ouvriers n o n syndi- qués et celles d'ouvriers n o n en règle avec leur Fédération, ont inspiré l'idée du Livre noir et de la carte de^sortie.
Certes, de tels procédés ont u n côté fâ- cheux ; et, n o u s le répétons, sont profon- d é m e n t regrettables. Mais qui a commencé?
E t puis, il y a, dans ces mesures prises tantôt en grand mystère, tantôt ouverte- ment, quelque chose d'enfantin.
Nous connaissons des maisons de fabri- cation, grandes, m o y e n n e s et petites, qui ont eu les h o n n e u r s du signalement et de la mise à l'interdit dans les colonnes de la Solidarité Horloger e, et Idont la marche et le développement n ' e n ont nullement été entravé.
E t ce qui se passe chez les fabricants de boites métal et acier — si le document pu- blié est authentique — prouve q u e les cir- culaires m ê m e expédiées sous pli chargé, peuvent p r e n d r e un chemin autre q u e celui prévu : négligence ou soustraction.
Mais si les syndicats ouvriers se croient en droit de signaler et de mettre à l'inter- dit les patrons qui ne marchent pas à la baguette o u qui o n t cessé de leur plaire, ils doivent admettre q u e les patrons d'un m ê m e groupement se renseignent récipro- quement sur la valeur des ouvriers qui de- , m a n d e n t l'embauchage ; qu'ils puissent
connaître en m ê m e temps q u e leurs méri- tes professionnel, le rôle utile ou néfaste qu'ils sont susceptibles de jouer dans u n établissement industriel,
Qu'ils le fassent par téléphone, par cor- respondance ou par le moyen de la carte de sortie, le b u t est le même. Mais nous accordons volontiers que le système em- ployé, qui met si fort en colère la Solida- rité, comporte des risques d'erreurs et de confusions, grâce à sa simplicité même.
Or, l'erreur sur la capacité professionnelle ou la valeur morale d'un ouvrier, doit être évitée; les conséquences en peuvent être t r o p graves.
L'acte d'un patron qui se renseigne n'est ni u n e hypocrisie, ni une lâcheté, ni une canaillerie, comme le dit le secrétaire ou- vrier en son langage imagé. P a s plus que n'est hypocrite, lâche ou canaille, l'acte d'un syndicat ouvrier ou de la F . O. I. H., signa- lant ou mettant à l'interdit un patron, u n e localité, une région même, ou ordonnant à des ouvriers de se mettre en grève, pour des motifs qui n'en valent pas toujours la peine.
Ce sont là mesures de guerre qui, comme telles, ont leur très vilain côté. Les ouvriers les annoncent à son de trompe et les éta- lent dans leur organe pour que nul n'en ignore; les patrons y apportent plus de discrétion et moins de mise en scène.
11 y a là, du côté patronal, une différence de méthode qui ne comporte pas la mise en batterie de la grosse artillerie syndicale et q u e l'on peut qualifier autrement que par des gros mots.
Information
Certains de nos fabricants ont conservé le souvenir — cuisant — d'un nommé Alexandre Zeier, qui avait fondé à Berlin, une maison d'horlogerie sous la raison; «Fabrique de mon- tres Helvetia ». puis sous la nouvelle raison :
«Deutsche Uhren-Industrie G. m. b. H.» Son genre d'affaires (?) consistait à acheter à crédit de la marchandise qu'il réglait au moyen d'ac- ceptations de complaisance sans aucune valeur, et qu'il engageait au mont de piété. A la faillite
de la «Deutsche CJhren-Industrie G. m. b. H.»
Il y avait un passif de 100.000 mk. et UH actif insignifiant qui ne permit la distribution que d'un dividende de 2 à 3 % .
Zeier fut condamné au mois de novembre der- nier à 2 */i ans de détention, 2.000 mk. d'amende, et 5 années de privation des droits civiques.
Or, au cours des débats, on fit la constatation intéressante que Zeier avait profilé de la liberté qui lui avait été laissée aux cours des derniers mois pour créer de nouvelles entreprises appare- ment dans le but de faire des dupes. C'est ainsi qu'il fonda :
I. «Berliner Gold und Silber-Scheideanstalt, G. m. b. H. dont le siège a été d'abord «Neue . Friedrichstrasse 2, puis « Schicklerstrasse 6 » et
en dernier lieu, « Beuthstrasse 23.
II. La Deutsche Uhren-Industrie G. m. b. H., Lindenstrasse 1617.
III. A fin octobre, c. a. d. peu de jours avant son jugement, la «Uhren- und Goldwaren-In- dustrie G. m. b. H., Lindenstrasse 16-17, toutes à Berlin.
Les tribunaux de Berlin ont jugé utile en con- séquence d'ouvrir une nouvelle enquête au sujet des agissements de Zeier, en faisant appel à cet effet au Gréditoren-Verein de Pforzheim. Tous les fabricants suisses qui auraient été en relations avec l'une ou l'autre des créations de ce chevalier d'industrie, ou qui pourraient fournir des ren- seignements à ce sujet, sont priés de vouloir bien les communiquer au Crêditoren-Verein à Pfor- zheim, ou au Secrétariat soussigné, qui les trnns- mettra à qui de droit: il n'en résultera aucun frais pour eux.
Secrétariat de la Chambre cantonale du commerce.
La Chaax-de-Fonds.
L'Invar
En dépit de son allure vaguement exotique, ce vocable est bien français, dit le Matin. Abré- viation d'invariable, il désigne un alliage de fer et de nickel dont la température n'affecte pas les dimensions. C'est un fil de ce métal qui, tout ré- cemment, me permit de déceler les fantaisies auxquelles se livre la tour Eiffel : la narration que j'en fis a éveillé quelques curiosités, et très volontiers je vais chercher à les satisfaire.
La découverte de l'invar, vieille déjà de quinze ans, trouva plus d'un incrédule, car nous admet- tions alors comme parfaitement établie cette vé- rité que tout corps se dilate par la chaleur. Quel- ques années d'investigations sur de nombreux alliages, mis gracieusement à ma disposition par les aciéries d'Imphy, ont vu s'évanouir le mys- tère ; les propriétés de l'invar semblent aujour- d'hui fort naturelles.
Le fer est un métal plein de caprices, et ce n'est pas une des moindres conquêtes de l'homme que de l'avoir discipliné. Curie, Omond, M. le Châtelier nous ont révélé ses bizarreries, dont la plus curieuse est peut-être le brusque retrait qu'il éprouve lorsque, en le chauffant, on franchit la température de 890°.
Or, dans la nature, tout s'enchaîne de la plus merveilleuse façon. Si l'on refroidit de l'eau sa- léei elle devient pâteuse et se prend progressive- ment, à une température très basse, en une glace plastique, bien connue de ceux qui ont patiné dans les fjords.
D'une manière toute analogue, lorsque au fer ou ajoute du nickel, le retrait de brusque qu'il était, s'étale dans l'échelle des températures, en y descendant de plusieurs centaines de degrés.
Se superposant aux dilatations ordinaires, il les affaiblit et parvient è les annuler dans un alliage spécial, contenant de 35 à 36°/° de nickel. Telle est la genèse intime de l'invar.
Les dilatations des métaux sont si souvent une gène que certaines industries devaient accueillir avec faveur le métal qui en est exempt. Malheu- reusement, le nickel est cher ; l'invar est donc, par là-même, exclu de la construction métallique, et c'est grand dommage. Mais les sciences et les arts de précision, l'horlogerie notamment, lui laissent encore un domaine étendu d'intéressan- tes applications. Nous en choisirons une qui en marque en quelque sorte les limites.
Toute mesure d'une portion plus ou moins étendue de la surface terrestre part d'une base, c'est-à-dire d'une ligne droite, de quelques kilo- mètres d'étendue, déterminée avec toute la préci- sion possible. Autrefois, l'action de la tempéra-
ture sur les appareils opposait à semblable me- sure de tels obstacles, que l'accumulation néces- saire des précautions la rendait fort coûteuse.
L'invar, insensible à la température, dispense des plus élémentaires protections. A un matériel lourd et encombrant, on a substitué des fils li- brement suspendus permettant, avec un person- nel très réduit, de franchir rapidement de grands espaces.
Ici les chiffres sont plus éloquents que les pa- roles ; les méthodes nouvelles, dont la première idée fut donnée par le géodésien suédois Jaderin, et à l'élaboration desquelles le Bureau interna- tional des poids et mesures a consacré des cen- taines de milliers d'observations, ont réduit de 9 8 % le coût ancien de la mesure d'une base.
C'est au Spilzberg que fut inauguré le fil d'in- var, dans une opération vieille de treize ans, et déjà classique: celle dans laquelle les géodésiens russes et suédois déterminèrent une portion d'arc de méridien formant la contre-partie de celui de l'équateur, qu'avaient mesuré autrefois Bouguer, La Condamine et Godin, et auquel le service géo- graphique de l'armée française a consacré, dans les premières années de ce siècle, un énorme et fructueux labeur.
•
Mais aucune opération, peut-être, n'a montré la souplesse d'emploi du fil d'invar aussi bien que la mesure du Simplon, effectuée par les soins de la commission géodésique suisse. Le perce- ment du tunnel avait été, pour cette commission, l'occasion de très importantes études tout autour du massif que domine le Monte-Leone; et l'ex- traordinaire accord des équipes de percement, arrivées pour ainsi dire pic à pic, avait fourni une sanction éclatante au soin extrême apporté à ces travaux.
Seule, la longueur du tunnel n'avait pas été mesurée dans les conditions de la précision géo- désique. En cinq jours et nuits, cette mesure fut accomplie, avec un accord au millionième, sur les vingt kilomètres ainsi parcourus au fil à l'al- ler et au retour.
Depuis lors, le fil d'invar a servi en tous pays à mesurer d'innombrables bases ; mais c'est sur- tout dans le continent noir qu'il fait merveille.
Grâce aux méthodes nouvelles, on a pu songer à entreprendre la gigantesque liaison géodésique du Cap au Caire, conçue par sir David Gill. Et partout où la civilisation pénètre l'Afrique, sui- vant les armées et parfois les précédant, le fil sert à fixer les distances, donnant à la carte le pre- mier canevas solide des points gé"désiques. Les missions qui se sont succédées au Congo pour en dresser la carte, celles, toutes récentes, du Gabon et du Sangha-Oubangui, l'équipe peu nombreuse mais très active qui a suivi la superbe marche de la colonne Mangin, emportaient avec elles de ces fils légers, qui leur faisaient connaî- tre avec précision les distances, et ont fait qu'en une large mesure les opérations préliminaires ont pris un caractère définitif.
Si l'on songe que ce résultat a pour point de départ un phénomène délicat et très caché dans la liaison tout intime du fer et du nickel, on se dit que de plus en plus, dans la science, tout s'en-
chaîne, tout se relie, tout est dans tout.
CH.-ED. GUILLAUME,
Correspondant de l'Institut.
L'office des assurances sociales au Conseil national
M. Usteri (Zurich) est rapporteur. Voici un résumé de son discours :
M. Usteri démontre que le nouvel office des assurances sociales est nécessaire pour permettre au Conseil fédéral d'exercer utilement sa mission comme autorité de haute surveillance. Pour preuve, le rapporteur énumère les nombreuses tâches que la loi assigne au Conseil fédéral:
Examens des statuts des caisses-maladies, con- trôle de leur comptabilité, surveillance de l'em- ploi des subsides fédéraux, garantie du libre passage, etc. Si l'on songe qu'il existe plus de 3.000 caisses et que ce nombre ira toujours en augmentant, la surveillance fédérale ne sera pas une sinécure. Les compétences attribuées par la loi au Conseil fédéral vis-à-vis de la Caisse na- tionale d'assurances-accidenls justifient aussi la création d'un organe spécial. Il y aura par exemple, à examiner et à approuver les 25 lois cantonales de procédure; il faudra définir les maladies professionnelles, s'assurer si les statuts organiques de la Caisse nationale sont conformes
LA FÉDÉRATION HORLOGÊRE SUISSE 659
à la loi, pourvoir aux élections, veiller sur les rapports de la caisse nationale avec les caisses- maladie, trancher les recours, etc.
M. Usleri s'est demandé, au début, si le Bu- reau fédéral d'assurance, adjoint actuellement au déparlement de justice et police ne pourrait pas suffire, moyennant une augmentation du personnel, aux lâches nouvelles qui incombent a l'autorité fédérale dans le domaine de l'assu- rance. Jusqu'à présent, ce bureau était chargé uniquement de la surveillance des compagnies et entreprises pvi vées d'assurance. Bien différentes sont les attributions conférées à l'autorité de sur- veillance par la nouvelle loi. Il ne faut pas ou- blier qu'outre le contrôle des caisses et le rôle technique du nouvel organe, il y aura encore la jurisprudence des recours, il'organisation médi- cale et les subsides aux contrées montagneuses, etc. Il importe de créer un office autonome, dont le chef relève directement d'un unique départe- ment. Il B'agit de concentrer sous la haute di- rection du déparlement du commerce, industrie et agriculture tout ce qui concerne la matière de l'assurance. Le rapporteur conclut en faveur du projet du Conseil fédéral, légèrement amendé par la commission.
Voici un autre son de cloche :
M. le Dr Paul Scherrer, de Bàle, esl l'adver- saire déclaré du nouveau rouage administratif, dont on n'a jamais parlé pendant les débats sur la loi d'assurance. L'orateur est effrayé de l'ac- croissement prodigieux de la bureaucratie. De- puis dix ans, le coût du ménage fédéral a aug mente de 32 millions. Ce n'est pas que M. Scherrer trouve les traitements trop élevés, mais il juge qu'on pourrait élaguer nombre d'emplois peu chargés et qu'il y aurait une sérieuse simplifica- tion à introduire dans l'appareil compliqué de notre administration. Et voilà qu'au contraire on institue tout un nouvel état-major de fonc- tionnaires? Le Bureau actuel d'assurance ne peut-il pas être chargé des occupations, en réalité peu importantes, que réclame la haute surveil- lance dont est investi le Conseil fédéral? La seule besogne qui compte, c'est l'élaboration des sta- tuts des caisses maladie.
M. Winiger (Lucerne) n'est point partisan non plus de l'extension da la bureaucratie. Mais les alarmes de M. Scherrer sont peu fondées dans le cas présent.
Le nouvel office, appelé à décharger les chefs de département de leur trop lourde besogne, ré- pondit-il, au réquisit de la réforme administra- tive. Quoi qu'en dise M. Scherrer, cette nouvelle fonction a été prévue lors de l'élaboration de la loi. On n'a qu'à lire page 26 du message accom- pagnant le projet adopté par les Chambres et le peuple. On avait même alors évalué à 100.000 fr.
les frais de l'organe chargé de la haute surveil- lance. Or, le budget du nouvel office des assu- rances sociales comporte une dépense de 70.000 fr. Nous savons que le Conseil fédéral appellera à la tète du futur office un homme compétent, point du tout animé d'idées étroites et obscures, La manière dont le message conçoit l'activité de ce fonctionnaire est tout à fait sympathique.
Ainsi constitué, le nouvel office sera bien vu des assurés et du peuple.
En terminant, M. Winiger se fail l'interprète des vues de la droite au sujet de clause référendaire et se prononce pour l'adoption du projet.
Choléra en Turquie
En date du 6 décembre, le Conseil fédéral a rendu l'arrêté suivant :
Article premier. La Turquie d'Europe est dé- clarée contaminée par le choléra.
Sont en conséquence applicables aux prove- nances de cette circonscription les dispositions de l'ordonnance du 30 décembre 1899, 4 février 1908, qui ont été déclarées en vigueur par arrêté du Conseil fédéral du 1er septembre 1908 (articles 33 à 3 5 : Surveillance des voyageurs au lieu d'arrivée et art. 37 à 48 : Marchandises et bagages).
Art. 2. Le présent arrêté entre en vigueur le 9 décembre 1912.
Consulats
Le Conseil fédéral a érigé le consulat suisse à Budapest (Hongrie) en consulat général, et nommé consul général suisse Monsieur FrançoisKienasl, junior, de Soleure, négociant, à Budapest.
Vingt-sixième concours ouvert par le „Journal suisse d'horlogerie"
Programme.
Le Comité de rédaction du «Journal suisse d'horlogerie» ouvre un nouveau concours pour des travaux écrits concernant un sujet indéter- miné ayant trait soit à l'horlogerie et à ses di- verses branches, soit aux industries similaires, boites de montres, bijouterie, joaillerie, travail des pierres précieuses, fabrication des pièces à musique, phonographes, machines parlantes, etc.
Les mémoires présentés devront être inédits;
ils peuvent être écrits aussi simplement que pos- sible, même en langage d'atelier, mais il est re- commandé d'y joindre à l'appui, s'il y a lieu, des figures ou des photographies. Les objets en na- ture seront également admis, à condilion qu'ils soient accompagnés d'un texte descriptif. Les mémoires et textes, rédigés en français, en alle- mand ou en anglais, devront être remis ou expé- diés au Conseil d'administration du «Journal suisse d'horlogerie, à Genève, jusqu'au 31 août 1913.
Les inventions brevetées dont la description aurait été publiée au moment du prononcé du concours sont naturellement exclues, mais il est loisible de les rappeler et de donner des extraits de cette description à l'occasion d'un travail s'y rattachant.
Les concurrents restent libres de choisir telle matière qui leur paraîtra appropriée à leurs con- naissances ; toutefois les travaux techniques pri- meront, à valeur égale, les travaux purement théoriques, littéraires et artistiques. Comme su- jets que nous désirerions voir traités, nous signa- lerons, outre des procédés originaux pour le Nettoyage des montres et des pendules, le Mécanisme de mise à l'heure pour faire suite à celui de la minuterie traité par notre regretté collaborateur F. Balavoine, que la maladie avait empêché de compléter à cet égard; puis toujours la Fabrication des poinçons et matrices, et enfin, en vue de satisfaire à la mode actuelle, un projet de Montre-bijou sortant de ce qui s'est fait jusqu'à ce jour tant comme combinaison de la montre et du bijou que comme décoration de l'ensemble.
Chaque mémoire devra porter une devise ou un chiffre répété sur un pli cacheté renfermant le nom et l'adresse de l'auteur.
Une somme de 300 francs en espèces sera ap- pliquée, s'il y a lieu, à un ou plusieurs prix. Elle pourra être augmentée ou diminuée suivant le nombre et la valeur des mémoires présentés. Un diplôme spécial sera remis aux concurrents qui auront obtenu un prix ou une mention.
Les travaux récompensés restent la propriété du Journal suisse d'horlogerie, qui se réserve le droit de les publier en tout ou en partie. Les autres, ainsi que les objets en nature, seront renvoyés à ceux de leurs auteurs qui les récla- meront.
Nouvelles diverses
Le commerce extérieur de l'Espagne.
— Pendant les neuf premiers mois de 1912, les importations totales se sont élevées à 746.759.446 piécettes et les exportations à 762.192.459 pié- cettes contre 739.052.820 piécettes et 684.286.675 piécettes respectivement pendant la même période de 1911.
T a x e s u r l ' e n r i c h i s s e m e n t . — Il a été distribué à la Chambre le rapport fait par M.
Javal au nom de la commission de législation fiscale, sur sa proposition tendant à l'institution d'une taxte sur l'enrichissement, en France.
Celle taxe, qui va de V« 7» à 10°/o, est établie sur l'enrichissement constaté entre deux décla- rations successives du contribuable.
La déclaration serait facultative ; seulement, à défaut de déclaration, tout ce que le contri- buable laisse à son décès serait réputé enrichis- sement et frappé d'une taxe double. Tel est le principe de la loi.
Nouveaux filons d e platine. — La «Ga- zette de Perme» communique qu'on a trouvé du platine au district d'irbit (Sibérie), où jus- qu'à ce jour il n'y a pas eu d'industrie de platine, A base de recherches préliminaires, entreprises par M. V. Imchénetzky, il a été prouvé qu'aux alentours du village de Pokrovskoïe sur la rivière Bobrowka, surtout sur les affluents du côté droit, on a trouvé de beaux filons de platine et d'or.
M. Imchénetzky a conclu un bail à long terme avec la commune et a l'intention de commencer sous peu les travaux d'exploitation.
La population du Tonkin en 1911. — Le total de la population du Tonkin était en 1911 de 6.119.620 habitants dont 5.334 français nés en France, 1.878 français nés dans la colonie, 242 étrangers européens. 6.067.508 indigènes proté- gés français, 41.883 chinois, 115 japonais, 964 métis français, 1.267 métis étrangers etc.
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Cote de l'argent
du i3 Décembre 19m
Argent fin en grenailles . . . fr.116.— le kilo Argent fin laminé fr. 2.— par kilo de plus.
Change sur Paris fr. 100.44 IMPORTATION ET EXPORTATION D'HORLOGERIE
pendant les mois du 1er janvier au 3o septembre igia/i 1.
Quantité Valeur
13,776 59,790 3,093 142,149 10,172 6,624
47,554,752 6,440,890 9,591,075 28,430,047 2,951,036 9,915,186 1,535,911 Métaux, orfèvrerie et bijouterie
Or non ouvré kg netto Argent non ouvré . . . Or monnayé
Argent monnayé
Orfèvrerie et argenterie . . . Bijouterie vraie
Bijouterie fausse Horloges et montres Boites de montres, finies, nickel,etc.
— — — argent
— — — or . . Montres nickel, etc
— argent . . .
— or
Chronogr., montres à répétit., etc.
T o t a l . . . Pièces détachées finies . q netto Boites à musique, finies . . .
Verre
Verre à vitres, de coul. naturelle Verrerie de verre mi-blanc . .
— — incolore . . ' — polie, gravée, e t c . . .
Observations : i* Où l'exportation dépasse l'importation, V Les valeurs ne sont communiquées que trimestriellement.
Importation
Pièces
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1,998 462 10,797 764 962 46 138,929
Exportation Quantité
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10,054,430 1,252 857
648 295 139
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