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Les consulats suisses à PéUan-er reçoivent le journal.

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pa Bibliothèque do Collège, Chaux-de-Fonds

Les consulats suisses à PéUan-er reçoivent le journal.

Cinquième a u u r e . — N0 42

P r i x du n u m é r o 10 c e n t i m e s

Samedi 23 Mai 1891

B u r e a u x : R u e N e u v e , 19

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Union postale . 12 » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

* ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la lig e de l'étranger. . 25 » >•·

Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonceb se paient d

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avance

O r g a n e «le l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , îles C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

AVIS

J O l . l e s m e m b r e s a c t i f s , p a s s i f s e t s u b v e n t i o n n a i r e s d u s y n d i c a t d e s p a t r o n s m o n t e u r s d e b o i t e s a r g e n t , n u i n ' o n t p a s e n c o r e r é p o n d u à l a c i r c u l a i r e q u e n o u s a v o n s e u l ' h o n -

—netir- d e l e u r a d r t l H f I''eH' dWMrdu'8' m a i c o u r a n t , s o n t p r i é s d e b i e n v o u - l o i r l e f a i r e , e n u t i l i s a n t Ie b u l l e t i n e t l ' e n v e l o p p e a f f r a n c h i e , j o i n t s à l a c i r c u l a i r e .

L'administration du journal.

L e t r a v a i l e n A n g l e t e r r e Les ouvriers en bâtiment, les ouvriers des docks, ceux des briquetteries et enfin tous ceux qui travaillent de leurs bras, commencent la journée à 6 heures du matin; interruption de midi à 1 heure et demie.

La majeure partie mangent sur place, emportant leurs vivres le matin; reprise jusqu'à 5 heures et demie. Donc journée de dix heures de travail.

Pour les ouvrières, couturières, mo- distes, etc., la journée commence à 8V

3

heures et finit à 8 heures du soir. Il n'est pas permis de les faire travailler plus tard sans rétribution spéciale. La journée est donc aussi pour elles de dix heures.

La paie a lieu chaque semaine le sa- medi, entre midi et une heure pour la première catégorie ; après ils sont libres et ont le temps de faire leurs provisions, les magasins étant fermés le dimanche, excepté ceux des confiseurs et des mar- chands de tabacs.

La seconde catégorie est aussi payée le samedi à 5 heures, et généralement libre depuis ce moment.

Dans le commerce de détail, les magasins ne s'ouvrent guère avant I

1

I

2

heures, même en été, et ferment à 8 heures le soir. Il faut en excepter le mercredi et le samedij où la plupart res- tent ouverts jusqu'à 5 heures du soir.

Les commis vont prendre leurs repas à tour de rôle. La pai| se fait également Les employés de bureaux et d'études (offices) vont à l'ouvrage à 9 h., ils ont une interruption d'une heure et demie qui varie, suivant les maison? et le nom- bre des commis, entre midi et une heure. Leur journée, qui se termine à 5 ou 6 heures, n'est donc que de 7 à 8 heures de travail ; ils reçoivent aussi leurs appointements le samedi, à la clô- ture des bureaux.

La semaine est le terme général pour les engagements des employés, pour les locations d'appartements meublés et pour les chambres garnies.

Quatre fois par an, il y a un jour de congé, le lundi de Pâques pour les em- ployés, ouvriers et ouvrières, le lundi de Pentecôte, le premier lundi d'août et le jour après Noël pour tous les travail- leurs. Ce dernier, appelé Boxiny Day, est consacré par les facteurs de la poste, les balayeurs, allumeurs de gaz, etc., à la tournée des étrennes, le premier jan- vier étant jour de travail comme tous les autres. De cette façon, tout ce monde laborieux bénéfice de deux jours et de- mi de repos à ces quatre grandes épo- ques, du samedi à midi jusqu'au mardi matin.

Les sociétés et les particuliers utilisent leurs congés pour faire des excursions ou des parties de plaisir. L'année dernière, une société des ouvriers des docks de Londres, qui ne comptait pas moins de 12,000 membres, a profité d'un lundi pour faire une sortie collective avec fem-

mes et enfants, de nombreuses bannières et huit corps de musique.

Les trains des chemins de fer partent alors de dix minutes en dix minutes avec quatorze et jusqu'à dix-huit voitures de 50 places. Un soir, de sept à huit heures et demie, on a compté onze trains pouvant contenir ensemble 9000 voyageurs et au- delà.

Quelquefois des familles, parties le samedi soir pour leur promenade et ar- rivées à destination, ne trouvent pas de logements et sont obligées de coucher à la belle étoile. En été cela n'a pas grand inconvénient, à moins qu'il ne survienne un orage.

Les bureaux des postes fonctionnent de sept heures du matin à neuf heures du soir les jours ouvrables. Il y a de nombreuses distributions journalières, mais, le dimanche, le service se borne à celle du matin et les bureaux principaux sont seuls ouverts au public de cinq à six heures du soir.

Quant aux ouvriers des mines et des chemins de fer, les journaux ont assez parlé d'eux pour qu'il soit superflu d'en rien dire.

La question de la journée de 10 heu- res, discutée dans nos colonnes depuis quelques jours, donne un intérêt tout particulier et d'actualité aux renseigne- ments qui précèdent sur ce qui se passe en Angleterre.

C O N G R È S

Le congrès de l'Union postale univer-

selle vient de s'ouvrir à Vienne sous la

présidence de M. de Bacquehem. ministre

du commerce de l'empire d'Autriche. A

l'ordre du jour de cette réunion figurent

des décisions importantes, celle entre au-

tres qui aurait pour effet de faire de tous

(2)

204

LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE les pays civilisés un seul territoire postal

et de réaliser ainsi sur ce terrain spécial le rêve utopique de la république univer- selle.

N'est-ce pas un des phénomènes les plus singuliers de notre époque que l'existence simultanée de ce double courant; l'un qui tend à tout simplifier, à rapprocher les dislances, à supprimer les barrières, à tout mettre en commun ; l'autre qui s'ef- force au contraire de tout diviser, de tout compliquer, d'enfermer chaque peuple dans un parc soigneusement clos et bari- cadé? l'un qui a pour moyens d'action le timbre-poste, le chemin de fer, le télégra- phe, le téléphone, l'autre qui a pour outils les gros tarifs ; l'un qui pousse à la liber- té, l'autre qui retourne au privilège.

Le jour même où le congrès interna- tional des postes se réunissait à Vienne, l'Union nationale des sociétés ouvrières américaines, représentant quatre millions de membres, réclamait à Cincinnati la promulgation d'une loi interdisant à tout étranger d'acheter de la terre aux Etats- Unis. Et nous avons vu, l'autre jour, le gouvernement français insérer dans la charte de concession d'une compagnie anonyme pour l'exploitation du Congo, une clause s'inspirant du même esprit et exigeant que la majorité des actions de la compagnie fussent entre les mains de Français. C'est le vieux principe des ser- vitudes et des privilèges qui reparaît à l'improvisle dans un monde qui paraissait s'en être affranchi. S'il y eut jamais une génération divisée contre elle-même, ne pouvant arriver à savoir ce qu'elle veut, c'est bien celle à laquelle nous appartenons.

La situation économique du Mexique

Le président du Mexique, ouvrant la session du Congrès le 1e r avril, a lu un message du- quel nous détachons les passages suivants, ayant trait au développement économique du pays:

«Le Mexique compte actuellement 1,377 bureaux de postes, soit une augmentation de 255 depuis le 30 juin 1890. Le service postal a produit pendant l'exercice compris entre le 4 " juillet 1889 et le 30 juin 1890 1,010,19g dollars, contre 900,965 pour l'exercice pré- cédent.

« Le réseau ferré continue à se développer sans aucune interruption.

« Depuis septembre 1890 jusqu'au 1er avril 1891 le réseau de la république s'est accru de 6*25 kilomètres, ce qui le porte à 10,025 kilomètres.

« On travaille activement aux routes de Santa-Rosa à Linarès, TuIa et Ciudad-Victo- ria, de Tehuacan à Oaxaca et ds Tabasco à Chiapas.

« De septembre 1890 à avril dernier il a été établi 827 kilomètres nouveaux de fils télé- graphiques. Le réseau actuel compte ainsi 31,700 kilomètres.

« Depuis le mois d'août de l'année dernière dans 12 Etats on a réclamé l'enregistrement de la propriété de 600 mines. Des fonderies de minerai ont été établies à Monterrey et à San-Luis de Potosi.

« Pendant le premier semestre de l'année fiscale en cours les Hôtels des Monnaies ont frappé 12,680,231 dollars. La part de l'or dans ce chiffre n'est que de 109,680 dollars, celle du cuivre de 137,236 ; le reste est de l'ar- gent.

« Pendant cette même période les recettes fédérales se sont élevées à plus de 18 millions de dollars et ont suffi pour couvrir les frais administratifs et faire face au service de la dette. L'emprunt de 6 millions de livres ster- ling contracté l'année dernière pour consoli- der les dettes envers les chemins de fer ga- rantis a été une opération heureuse pour l'Etat. Celui-ci non seulement économise an- nuellement une somme de 5 millions de dol- lars, mais il trouve une augmentation de re- cettes.

« Les banques fonctionnent régulièrement, ne faisant que des opérations utiles à la pros- périté du commerce et de l'industrie. »

—»:»*««·

T r a i t é s de commerce

Une partie de la presse russe ne croit pas à la possibilité de la conclusion d'un traité de commerce entre l'Allemagne et la Russie.

C'est ainsi que le Nouveau Temps dit :

« Rien ne nous pousse à la conclusion d'un pareil traité; ni sympathies, ni intérêts. La mauvaise récolte de l'année présente pousse le gouvernement allemand à nous tendre ce piâg^ en nous faisant quelques concessions.»

« >Iais tandis que nous serions tributaires des produits fabriqués de l'Allemagne, elle n'exporterait de notre pays que le blé dont elle aurait besoin. Nos autres produits ne sont p;is du goût des Allemands ; donc notre commerce extérieur languirait, tandis que notre marché intérieur tomberait entre les mains allemandes. i>

Le journal russe conseille, en concluant, au gouvernement, de tenter la conclusion d'un traité de commerce avec la France,

«dont les besoins peuvent facilement être satisfaits par nos matières premières et dont l'amitié est autrement précieuse aux sympa- thies de la nation russe. »

NOUVELLES DlVERSKS

T a r i f e d o u a n i e r s . — La Ligue contre le renchérissement de la vie se réunira le jeudi 4 juin, à 2 heures, à l'Hôtel de la Ci- gogne à Berne, avec l'ordre du jour suivant : 1° les traités de commerce avec l'Allemagne et Γ Autriche-Hongrie ; 2° la demande de ré- férendum.

V i l a i n e s p é c u l a t e u r s . — Des spécula- teurs allemands, anglais et italiens ont acheté tout le blé disponible dans la Russie méridio- nale, pour une somme de plus de 50 millions de francs. Cet accaparement a pour but de faire hausser le prix des blés sur le marché européen, en spéculant sur les probabilités de mauvaises récoltes.

l i e c h e m i n d e fer T r a n s s i b é r i e n . — Voici une intéressante appréciation des chan- gements qu'amènera l'ouverture du chemin de fer transsibérien dans le trafic européen avec la Chine. Nous empruntons cette appré- ciation au Moniteur industriel :

Cette ligne amènera, après achèvement, dit notre confrère, une véritable révolution dans certaines communications.

La route la plus courte par mer, de Londres à Shangaï, est celle via Suez et demande 44 jours de voyage ; en prenant par New-York et le chemin de fer du Pacifique on peut faire le trajet en 34 jours.

Quand la ligne transsibérienne sera établie dans toute son étendue, il ne faudra plus que 20 jours, soit 3 jours de Londres à Wierjbo- lowo ; 14jours de Wierjbolowo àVladivostock (11,362 verstes) et 3 jours de Vladivostock à Sanghaï.

Tout porte à croire que la plus grande par- tie du trafic européen, sinon le trafic entier avec la Chine prendra la route du chemin de fer sibérien.

l i a !Norvège e t l e s t r a i t é e d e c o m - m e r c e . — La Commission du Storthing nor- végien a décidé à l'unanimité que la Norvège négociera de nouveaux traités de commerce indépendamment de la Suède, qui inspire sa politique douanière à des principes opposés à celle de la Norvège.

E x p o s i t i o n d e C h i c a g o . — Selon toute apparence, la Suède ne participera pas à l'ex- position universelle de Chicago en 1893.

Après avoir reçu l'invitation officielle de Washington, le gouvernement avait chargé le Collège de commerce de demander, sur l'opportunité de la participation, l'avis des grandes corporations industrielles et com- merciales du pays (Association des industriels ferrugineux, chambres et sociétés commer- ciales et industrielles des principales villes, etc.). Il résulte des réponses parvenues que les envois de l'industrie suédoise seraient nuls ou du moins très faibles, et le Collège de commerce informe par conséquent le gouver- nement que selon lui il serait inutile de prendre des mesures en vue de la participa- tion officielle delà Suède à l'exposition men- tionnée. — Tout porte par conséquent à faire supposer que la Suède déclinera l'invitation faite par le gouvernement américain.

T r a n s p o r t s . — Colis postaux. On peut désormais expédier par la voie de France, aux mêmes taxes et conditions que par la voie d'Allemagne, des colis postaux à desti- nation de la Colombie (Amérique du Sud).

Toutefois, le poids maximum des colis expé- diés par la France est limité à 3 kg.

Les expéditions directes de colis postaux de France pour la Colombie se font par les paquebots partant de St-Nazaire le 9, de Mar- seille le 12 et de Bordeaux le 26 de chaque mois.

J o u r n é e «le I O h e u r e s . — La société industrielle de Moulier Grandval — manu- facture d'horlogerie, nous informe qu'elle à introduit la journée normale de 10 heures depuis le 23 mars écoulé.

R e s p o n s a b i l i t é d e s c o r r e c t e u r s . — La presse allemande, même conservatrice, se montre émue d'un jugement rendu par le tribunal d'empire, à Leipzig, et en vertu du- quel le correcteur d'imprimerie d'un journal est déclaré responsable pour sa part des ar- ticles qui lui ont passé sous les yeux. Une juridiction inférieure avait condamné un cor-

recteur comme complic3 d'une diffamation commise par la voie d'un article corrigé par

lui. En dernière instance, la haute cour de Leipzig a confirmé ce jugement par les mo- tifs suivants: «L'accusé, en remplissant au service du coaccusé ses fonctions de correc- teur, a pris connaissance du contenu de l'ar- ticle qui lui a passé sous les yeux: il a, par conséquent, eu connaissance du caractère offensant pour l'honneur d'un tiers de cet ar- ticle.

Il a donc consciemment coopéré à la pu- blication d'un écrit légalement punissable.

La Post, de Berlin, journal peu suspect d'ex- cès de libéralisme, déclare « avoir peine à comprendre ce jugement. »

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LA FÉDÉRATION HORLOGÉRE SUISSE

205 V A R I É T É

P r o t e c t i o n n i s m e a o u t r a n c e . — -« Américain ! rien qu'Américain ! »

La Nouvelle Gazette du Commerce de New- York écrit sous ce titre facétieux : « Le dîner d e s champions du protectionnisme américain a eu lieu mercredi, dans la salle des concerts du Madison Square Garden.

On n'y a c o n s o m m é absolument q u e d e s m e t s et des vins indigènes, dans d e l à porce- laine indigène, sur des tables indigènes, avec d e s couverts indigènes. La carte avait été i m p r i m é e au moyen de caractères de métal indigène. Dès que le ca:"é indigène fut servi, neuf orateurs md gènes, triés s u r le volet, répandirent s u r l'assistance d r s flots d ' é l o - q u e n c e alternant avec les accords d ' u n e mu- sique de cuivi e indigène de première qualité.

Les SOO convives avaient payé 10 dollars,.

américains, valant bien chacun 75.4 cents, les délices de c e festin, destiné à porter aux n u e s le protectionnisme vainqueur. Et, pour q u e le plaisir fût sans mélange, on avait pro- hibé tout ce qui n'était pas marchandise a m é - ricaine.provenantde matières toutes exclusive- m e n t américaines, travaillées par des Améri- cains authentiques, et cela jusqu'aux moindres détails, des linges de tables a u x cure-dents.

Mais la tâche avait été a r d u e . L e s o r g a n i - sateurs avaient dû, par exemple, faire fabri- quer tout exprès, à grand renfort d e dollars, u n e bonne partie de la vaisselle. Et le m a n q u e de sommeliers américains au fait du service les força d e recourir à l'étranger a b h o r r é , d'enrôler toute u n e brigade d e sommeliers français et anglais ! ! !

Le b a n q u e t finit à minuit. Et les convives, reconduits chez eux dans des cabs américains, I I U P O R T A T I O K r E T E X P O R T A T I O N D ' H O M O K E B I E

pendant le iet trimestre i89l.

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bijouterie vraie Bijouterie fausse

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127 27U 18,550 384,003 78,495 195,136 858,700 1,527,552 17,202,800

!1,980,825 227,780 731,683 188,155

Quantité importée dans

la môme période 4890

3 643 228 24182 3,395 3,520 763 2,133 10,961 14,045 1,693 2,109 5.780

Exportation Pièces

24 31,048 320,659 648 812 127,448 254 229 36,800 2,081 344 728 203

Valeur 3,020 482,169 3,276,500 9,140.500 7,656,954 788 820 713,810 7,359,918 337,937 685,296 607,159 16,979

Quantité exportée dans

la même période 1890

139 33,201 266,660 535,744 125,327 252 985 27,603 1,978 948 637 194

furent couchés dans des lits américains, où ils se réveillèrent, sans doute, le jeudi matin, avec u n mal aux cheveux américain, authen- tique et du meilleur crû. »

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2° Le pignon de champ sur lequel repose l'aiguille qui compte les cin- quièmes est central et n'a pas d'autres aiguilles superposées.

3° Le mécanisme n'a aucune roue deniurée.

4° Son fonctionnement est à deux temps :

1er temps, pousser la poussette qui est placée sur 11 heures et fait pendant à la pousette de mise à l'heure placée sur 1 heure ; cette pression arrêie instantanément l'aiguille des cinquièmes et son compteur.

2'"°' temps, une pression sur la couronne ramène les susdites aiguilles à leur point de départ et les remet instantanément en

marche. IiIo 5° Son extrême précision s'explique par le fait que l'aiguille indi-

quant les secondes et leur c nquièmes ainsi que celle du cadran enregisireur, reposent directement sur des mobiles et se mettent instantanément en marche ce qui n'a pas lieu tant que subsiste un engrenage.

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Références

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