Vingtième Année. — N° 11 P r i x d u n u m é r o : 1 0 centimes

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Vingtième Année. — N° 11 P r i x d u n u m é r o : 1 0 centimes

Jeudi 9 Février 1905.

Bureaux : R u e d e l a S e r r e , 5 8

S U I S S E

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suisses 20 cl., offres et demandes de place 10 et. la ligne, . étrangères 25 centimes la ligne Les annonces se paient d'avance.

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l . -

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 32, rue Leopold Robert. CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger.

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A propos de mesures métriques En publiant, dans noire numéro du 2 février c o u r a n t , l'intéressant article de l'un de nos collaborateurs sur «l'outil aux douzièmes», nous avons dit que ses con- clusions nous inspiraient quelques réser- ves et que n o u s les formulerions dans un prochain numéro. Nous le faisons aujour- d'hui;

Sur le fond même de la question, tout Je monde est d'accord. A pari quelques exceptions — e n existe-t-il réellement? — il n'est pas d'horloger ou de mécanicien qui ne désire voir la suppression des me- sures autres que celles dérivant du mètre.

Aussi voulons-nous, aujourd'hui, discuter seulement les moyens de réaliser, dans la pratique, une réforme désirée par tous et que le plus grand nombre de nos fabriques applique depuis un temps plus ou moins long.

. '^ofcre collaborateur envisage que les pouvoirs publics sont sullisannnent armés par la loi fédérale sur les poids et mesures, du l'

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janvier 1877, parce qu'elle donne, aux gouvernements cantonaux, non seule-

ment la possibilité mais l'obligation de poursuivre l'emploi d'unités non métriques et d'empêcher la vente d'instruments des- tinés à les mesurer.

L e . b u t de cette loi nous parait cire d'em- pêcher la vente d'objets manufacturés ou autres, — quand l'unité de vente est le poids, le volume ou l'une ou l'autre de leurs di- m e n s i o n s , — en les mesurant avec d'autres instruments que ceux qui donnent les dimensions ou les poids prévus dans la loi et son règlement d'exécution.

Il est défendu, pour prendre deux exem- p l e s , £ d e vendre de l'étoffe à l'aune; le marchand doit la mesurer au mètre.

Il est interdit aussi, de vendre des boites de montres en pesant l'or avec d'autres poids^que le kilogramme et ses subdivi- sions ; |en employant, par exemple, Y once cqmme unité de poids.

Et pourquoi ?

PaFceJque" l'étoffe se vend selon sa lon- gueur si que les boites de montres se vendent selon leur poids et que les unités

de longueur et de poids sont prévues dans la loi.

La loi a donc une portée essentiellement commerciale.

Aussi la réserve que fait le règlement d'exécution de la loi prouve bien que la loi n'est pas transgressée, quand d'autres mesures sont utilisées pour la fabrication et non pour la vente. Et cela se comprend fort bien.

Il est indifférent à l'acheteur, que le fa- bricant- d'étofftMrtihsc-fnnneou t o u t e anrrc^

mesure dans sa fabrication, pourvu que cette môme étoile lui soit facturée au mètre.

Et l'exemple est plus typique encore, s'agissant des boites de montres : Le mon- teur de boites ne facture pas des dou- zièmes d'or au fabricant d'horlogerie mais bien des grammes de matière précieuse.

Dans ce cas comme dans le premier, il est indifférent à l'acheteur qu'au cours de leur fabrication, ces boites aient été mesurées an douzième ou au millimètre, ce détail est tout de fabrication et n'a rien à voir avec les transactions, comme dit dans le règlement d'exécution de la loi.

L'outil aux douzièmes, — puisque c'est de cette antiquité qu'il s'agit — nous pa- rait donc rentrer dans-; les exceptions pré- vues, à la condition; bien e n t e n d u , de n'être pas employé comme unité de mesure se multipliant par un prix y correspondant, quand l'objet est vendu au consommateur.

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Mais admettons, pour un instant, que la loi puisse empêcher l'emploi du douzième de ligne dans la fabrication. Ou'arrivc- rait-il ?

Un objet quelconque ne se mesure pas seulement par l'une de ses dimensions : l'épaisseur par exemple. Il se mesure aussi par son diamètre. C'est le cas, par exemple, des platines de montres, dont l'une aura 10 douzièmes d'épaisseur et 18 lignes de diamètre.

Or, l'unité de mesure de la grandeur, soit du diamètre des m o u v e m e n t s de mon- tres, est la ligne, mesure prohibée au sens de la loi, et de son application comme la préconise notre correspondant.

Mais ici encore, on ne vend pas des lignes de montres ; mais bien des instru- ments pour la mesure du temps, appelés montres, qui sont composés d'un mouve- ment et d'un boîtier.

Si, au point de vue de la vente, le prix peut varier en raison du nombre de lignes, ce n'est pas pareequ'on a vendu et facturé un plus ou moins grand n o m b r e de lignes de platines, mais bien parce que à un plus ou moins grand nombre dé lignes corres- p o n d soit un Trenctiénssement b u m i e di- minution du prix de fabrication du mou- vement, soit un poids plus grand ou plus petit du métal précieux de la b o u e , ou ces deux causes réunies de renchérissement ou de diminution du prix de la montre.

Si l'on pouvait, armé de la loi, inter- dire en horlogerie, l'emploi et la désigna- lion du douzième — mesure d'épaisseur

—, l'on pourrait aussi interdire l'emploi et la désignation de la ligne — mesure de diamètre.

La prohibition absolue du douzième dans la fabrication ne causerait aucune per- turbation grave. Tout au plus dérarigerail- elle, dans leur routine, quelques attardés.

Mais pour l'imposer olliciellement et en s'inspiranl de la loi. il y faudrait la sup- pression de l'une des exceptions prévues par le règlement d'exécution.

Mais voit-on, — une fois celte exception et la faculté qu'elle donne supprimée — voil-on un gouvernement cantonal décré- ter, qu'à partir du l

01

janvier 1906, il sera interdit de fabriquer et de mentionner e n lignes le diamètre des mouvements ?

Ce serait apporter une grande perturba- tion dans l'existence de nos fabriques d'ébauches, de montres et de tous les établissements utilisant des outillages pour la fabrication en lignes ; car la difficulté ne serait pas vaincue en changeant sim- plement le nom des mesures, parce que la ligne utilisée comme mesure dans l'hor- logerie ne se réduit pas exactement en millimètres:

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et encore approximativement, croyons- nous. Or, il en est de même des mesures employées aux Etats-Unis d'Amérique p o u r

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80 LA F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E

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désigner le diamètre des moiivemenls de m o n t r e s ; mesures qui servenl à la produc- lion d'une énorme quantités de montres suisses.

Il est vrai qu'à propos des mesures amé- ricaines, on pourrait invoquer que les montres étant .ïin article d'exportation, on les peut l'aire rentrer dans l'exception sui- vante prévue au règlement d'exécution :

« Les poids et mesures des pays étrangers

«qui sont utilisés dans la fabrication pour

•«'là confection d'articles d'exportation sont

«autorisées comme par le passé.»

Par contre la ligne qui sert à désigner le diamètre de nos mouvements, ne pour- rait plus être utilisée, au sens de la loi.

L'auteur de l'article que nous commen- tons nous dit' qu'en France le gouverne- ment agit, par moments, avec une énergie à laquelle rien ne peut résister, pour ex- tirper quelques anciennes unités qui se perpétuent et il cite, à titre d'exemple, le ministre Millcrand infligeant par simple mesure de police, une amende de plus de deux millions de francs à un lunetier cou- pable d'avoir, sur son catalogue, indiqué en pouces et lignes du pied de Roy, les dimensions de ses verres d'optique !

Celle fantaisie administrative — qui n'eût d'ailleurs aucune sanction pratique pour le lise français — nous parait assez peu re- commandable. Si les lunetiers méritaient d'être visés, combien plus le devraient être les horlogers français, dont lous les catalogues, annonces et prix-courants, etc., mentionnent, — comme ceux de nos fabri- cants du reste, — en lignes de pied de Roy le diamètre des montres qui y figurent ! Nous serions bien surpris qu'un ministre français s'avisât, par Une simple mesure de police, d'empêcher l'horlogerie fran- çaise d'employer les subdivisions du pied de Roy pour sa fabrication el la mesure du diamètre des montres. Fl pourtant, ce qui est défendu aux lunetiers ne devrait pas être permis aux horlogers.

Nous croyons avoir établi, qu'en Suisse loul au m o i n s , le problème de la suppres- sion complète du douzième ou des mesu- res dont il dérivé, ne peut être résolu par la loi sur la matière qui nous régit actuel- lement.

Celle loi ou plutôt son règlement d'exé- cution , formule une distinction formelle entre les mesures employées dans les transactions el celles utilisées dans la fa- brication.

Répétons l e : Quand un marchand vend du drap, il fait une transaction avec son acheteur, auquel il est tenu de facturer ce drap à tant le mètre parce (pie le mètre est l'unité de longueur reconnue par la loi.

De même et pour les mêmes motifs, quand un monteur de boiles facture des boiles, il doit en mentionner le poids en grammes.

Niais, quand un fabricant d'horlogerie eominissionne des boite.; el que le bulletin de commande mentionne, en douzièmes, l'épaisseur à attribuer à chacune des par- lies de ces boite, il ne l'ail pas une transac- tion commerciale, mais donne simplement des indications à suivre au cours de la fa- brication. C'est l'exception que prévoit le règlement d'exécution de la loi.

Autre chose serait l'indication en onces, deniers cl grains, soit sur la commande, soit sur la facture, du poids des boites. La

loi serait transgressée, parce que le poids des boiles intervient comme l'acteur essen- tiel de la transaction commerciale entre le monteur de boites el le fabricant d'hor- logerie.

A notre avis-, la loi sur les poids el me- sures ne permet pas aux gouvernements cantonaux, de supprimer l'emploi des me- sures non métriques dans la fabrication el, par conséquent, dans les bordereaux de commandes, qui sont l'un des actes de la fabrication.

Four que celle loi soit, entre leurs mains, l'arme puissante (pie dit. notre correspon- dant, il faudrait en modifier le règlement d'exécution et supprimer les deux excep- tions (pie voici de l'article 11.

I. Les mesures, poids ou balances employés non pour les transactions, mais pour la fabrication ne sont, pas réputés instruments servant au commerce.

Supprimez ces quatre lignes el ajoutez cpialre mots à l'article !) de la loi et l'outil aux douzièmes aura vécu.

I'm eilet, l'article

(

J dit : (pie les gouver- nements cantonaux doivent veiller avec la plus grande sévérité à ce qu'on ne fasse usage dans le publie d'aucun poids et d'au- cune mesure (pic ceux vérifiés. Il sullirail d'ajouter, après les mois « d a n s le public»

les quatre mots « et dans la fabrication».

Mais si celte suppression à l'article 11 du règlement d'exécution et celle adjonc- tion à l'arlicle i) de la loi marquent la disparition de l'outil aux douzièmes, elles éliminent du même coup, la mesure en lignes du diamètre des mouvements des montres (pie nous fabriquons.

La seconde exception prévue au règle- ment d'exécution de la loi est la suivante :

II. Les poids etinesures des pays étrangers qui sont utilisés dans les fabriques pour la confec- tion d'articles d'exportation sont autorisées com- me par le passé,'et ne sont soumis ni à la véri- fication ni à l'inspection.

Un grand nombre de nos fabricants mentionnent sur leurs factures et utilisent dans leur fabrication, des unités de me- sures américaines pour les mouvements de montres s'emboilant dans les boiles américaines. Ft, comme les Américains n'adapteront, pas pour nous être agréables, les divisions métriques à leur horlogerie, nous serons bien obligés, avec ou sans au- torisation de la loi, de les employer et de les mentionner aussi, si nous voulons con- tinuer à expédier des mouvements dans ce pays.

Notre correspondant qui vise la suppres- sion de l'outil aux douzièmes, utilisé sur- tout pour mesurer les épaisseurs, ne s'est sans doute pas aperçu (pic sa suppression ollicielle entraînerait aussi celle de l'outil aux lignes, mesure de diamètre, et des men- tions de ces mesures; de même que la suppression des mesures américaines et de leur mention.

Mais répélons-lc : si même on voulait aller jusque-là, il faudrait commencer par reviser la loi el 'son règlement d'exécution, dans leurs dispositions qui établissent une distinction entre une transaction commer- ciale el une opération de fabrication.

Nous n'en exprimons pas moins, à notre correspondant, lous nos remerciements pour son très intéressant article el nous pensons, pour conclure, que le meilleur moyen de faire disparaître à jamais l'outil aux douzièmes consiste à persuader aux fabricants d'horlogerie, de n'en plus jamais parler dans leurs bulletins de commandes.

Pour les Suisses qui iront à Liège

La société suisse de .Liège informe les Suisses désireux de se rendre à Liège en vue de l'exposition universelle de l'JOo qu'elle sera heureuse de se tenir à leur dis- position pour tous les renseignements dont ils pourraient avoir besoin. Ils sont priés de s'adresser au [»résident de la société, M. A. Senarclens, professeur à l'Université, Boulevard F r è r e Orban, n° 1).

La journée de 10 heures

au Reichstag allemand M. Trimborn développe l'interpellation présen- tée par le centre. Il réclame la fixation à 10 heu- res au maximum de la journée du travail des ouvriers, et à plus forte raison des ouvrières.

M. de Posudowski déclare que jusqu'ici les gouvernements confédérés se sont refusés à h'ixer un maximum pour la durée de la journée de travail à cause des conditions locales el liigié- niques différentes dans les diverses industries.

«J'ai questionné récemment, dit M. de Posadows- Ici, tous les gouvernements confédérés. Jusqu'ici, huit seulement ont répondu. Les uns repoussent formellement cette innovation, les autres décla- rent que la question doit être étudiée encore plus à fond. En ce qui concerne la durée maximum du travail des ouvrières dans les fabriques, c'est la concurrence étrangère qui décide de la ques- tion. J'ai interrogé au sujet d'une action com- mune sur ce point les gouvernements de la Suisse, de l'Aulriehe-Hongrie, de l'llaliejet de la Belgique. La Suisse a répondu favorablement, on pourrait presque dire d'une manière affirma- tive. S'il était possible d'arriver à une entente avec les gouvernements précités, les difficultés principales seraient supprimées. Nous voulons espérer que les négociations aboutiront à un résultat heureux. »

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Diminution de 8.1SG boites or et augmenta- tion de 7,025 boiles argent, sur lemois corres- pondant de 11)04. •..-.• -

Industrie horlogère locloise <

Nous avons parlé, dit la Feuille d'Avis des Montagnes, du développement d'une dé nos grandes manufactures d'horlogerie et de l'essor que pourrait prendre chez nous l'industrie de la montre et de ses parties annexes. Il nous re- vient, a ce propos, que l'activité horlogère lo- cloise va se manifester une fois de plus par la créa-

lion prochaine d'une autre nouvelle fabrique.

Une ancienne maison, bien connue par l'expor- tation exclusive de ses produits en? Russie, où elle jouit d'.une considération legitime, est sur le point de donner plusd'çxtension a.sa.fabrication.

Elle s'apprête à construire au printemps, sur le

Plateau du Stand, un bâtiment qui sera consli-

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L A F E D E R A T I O N H O i t L O G E R E S U I S S E 87

tué dans la période de'<début, par un corps prin- cipal et une première-aile. Ce balimenl sera amé- nagé pour être en mesure de recevoir 2()0 ou- vriers.

Chambre cantonale bernoise du commerce et de l'industrie

Nous apprenons que le Conseil exécutif du

canton de Berne vient de ratifier la nomination faile il y a quelque temps déjà à titre de présen- talion, par la Chambre cantonale de .M. Ford.

Degoumois, notaire à Sl-Imiér, au litre de sécré- tai re-adjoi ni delà Chambre, avec siège à Bienne.

Nous souhaitons la bienvenue au nouveau titulaire de ce poslc important pour l'horlogerie bernoise.

Cote do l'argent

du 8 Février IQOÔ

Argent fin en g r e n a i l l e s . . fr. 107.— le kil- . A r g e n t fin l a m i n é , devant, servir de base pour

le calcul des titres de l'argent Ar» boites de montres fr. 109.— le kilo.

Change sur Paris fr. 100.32'/,

C o m m e r c e d e s d é c h e t s d ' o r e t d ' a r g - e n t

Tableau des opérations d'achat, de fonte et d'essai de déchets d'or et d'argent faites pendant le 4 trimestre de l'année 1904.

Arrondissements

Achclcurs, fondeurs ci essayeurs autorisa

Opérations (Bordereaux renin's)

Ou'(ili. Novemb. : Dccerab. TOTAL

Déchets a c h e t é s (valeur payée)

Ocliib.ï Novembre Décembre TOTAL

Résumé de l'année 1904

Bordereaux Déchets de la valeur

1. Bienne

2. Chaux-dc-Fonds . .. . 3. Delémont

4. Fleurier 5. Genève

6. Granges (Soleure) 7. Locle . . . 8. Neuchàlel

9. Noirmont 10. P o r r e n l r u y 11. St-Imier

12. Schaffhouse . . 13. Tramelan . . .

4e trimestre 1904

4e » 1903

Dillerene« en faveur du 4 ' Iriineslrc 1 9 0 4

» » » » 1903 5 20

/ 2 10 6 2 2 4 3 1

221 ,079

• 4 22 74 30 103 30 45 02 .111 il 120

230 779 5 30 74 20 9Ô 24 20 OS 58 10 50

313 1,123 14 24 99 41 147 39 51 108 103 8 108

770 2,981 23 70 247 91 105 93 110 238 272 29 278 1,972

1,792

1,409 ! 2,178 1.968 ! 2,227

.5,019 ' 5,987 180

499 ^{49 l| 308} Fr.

40,520 25' 252,121 60 2,485 2(V 2,531 SO 15,319 40 3,105 40, 04,770 35,

1,089 30 I 11,290 15' 3,811 90 i!

13,077 15/

8,451 90 0,293 6Q :

Fr.

63,438 15 205,290 25

3,290 90 j 3,077 15 , 10,117 45 | 803 80 j 21,599" 70

3,SOI 15 ' 0,154 00 5,925 00 8,874 40 2,384 15 1.810 90 430,877 —

334,930 20 :

342,097 20 \ 439,917 90

Fr.

j 59,213 05 194,208 15 .5,057 70

3,217 05, 21,830 75

1.895 30 32,788 90 3,333 90 11,552 45 7,185 75 27,711 — 5,319 10 4,082 20 377,995 90 307.349 40 i

Fr.

109,171 45 051.020 —

10,839 So 8,829 (il) 53,207 00

5,804.50 119,104 95

8,287 35 28,997 20 16,923 25 49,662 55 10,155 15 12,780 70 151,570 10 142,197 50 95,940 80 10.040 50 9,372 00

97,220 70

2,032 9,903 111 257 936 292 1.435 281 30S 807 819 122 903 18,860

Fr.

585,273 — 2,070,48S 05

10,404 25 26,930 50 220,041 75

17,738 20 444,140 95 21,342 25 101,844 80

47,077 95 115,100 40

01,855 05 38,219 —

15,4 54,0 1,-1 0,7 5,8 0,5 11,7 0.0 2,7

1,3 3,0 1.0 1,0 3.790,582 75 100

Exercice 1904 . . . . j » 1903 . . . . Différence en faveur de

» » » » 1901 1903

Bordereaux 18,800 ' 19,798

9^2 Berne, le 31 Janvier 1905'.

Déchets F r . 3,790,5S2 75

» 3,719,804 45 F r . 70,778 30

l i u i ' c a t i i l'<-«lir:«l clOM i n : i I MI-<\-. d ' o r i ; t <l"i»i-i;<'ii<.

La Maison G. Slissmann du Caire, porte à la con- naissance duv public et des intéressés en particu- lier qu'il lui est arrivé très souvent l'année der- nière, et ces derniers temps encore, de recevoir des lettres où il était question d'autres maisons portant le même nom et qui n'ont aucun rapport avec la sienne. Elle prie donc les susdits de ne pas confondre celle-ci avec les autres et, pour parer à toute inadvertance, elle les prie de vouloir pren- dre note que son adresse est "nWo i.™

G. S l i s s m a n n , Le Caire

et elle décline toute responsabilité des engage- ments pris par d'autres maisons ayant le même nom.

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