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Théorie de la grammaire générale

Dans le document Cogito, sujet, subjectivité chez Foucault (Page 187-194)

Chapitre II La représentation : miroir humain

I. Théorie de la grammaire générale

Le rationalisme classique contribue ou plutôt constitue au moins deux choses du savoir du monde : l’équivalence entre les choses et la pensée et celle entre la pensée et les mots. Ces deux équivalences s’établirent par le jeu de la représentation. Comme la grammaire de représentation nous l’a montré, cette double représentation n’est point une reproduction visible de toutes les choses ou de toutes les pensées en leurs propres exactitudes, mais en l’exactitude de la mesure et de l’ordre, des signes qui ne sont donnés que par la connaissance. C’est une représentation des idées qui se représente elle-même, qui s’analyse « en se juxtaposant, partie par partie, sous le regard de la réflexion »2. Elles ne s’entraînent pas selon toutes les règles du monde auquel elles empruntent leurs premiers sens, mais selon une seule et simple règle de la mathesis. De plus, à la base de cet espace à peine propre de la pensée elle-même, elles se confient totalement au langage qui, à son tour, les domine discrètement. Il convient de dire que la mathesis se réalise par le langage.

1 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p89 2 Ibid., p92

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Alors quelle est l’existence de ce langage à l’âge classique ? Avant de demander comment se fait la réalisation de la mathesis, nous nous demandons comment il existe. Mais Foucault nous dit qu’« à la limite, on pourrait dire que le langage classique n’existe pas. Mais qu’il fonctionne. »3 Dans ce cas là, qu’est-ce qu’une existence du langage au sens foucaldien ? Si la

représentativité rend l’être propre du langage invisible ou au moins transparent, quelle est l’existence propre du langage ? « Un graphisme mêlé aux choses ou courant au-dessous d’elles », « des sigles déposés sur les manuscrits ou sur les feuilles des livres », c’est sa forme médiévale qui demeure la ressemblance propre des choses par sa propre existence, non par l’imagination du cogito, qui oblige à « un langage second » pour déchiffrer les marques de la nature comme découvrir la nature elle-même. « L’être du langage précédait, comme d’un entêtement muet, ce qu’on pouvait lire en lui et les paroles dont on le faisait résonner ». L’être du langage se trouve dans les êtres qui parle, qui manifeste, qui donne des marques visibles ou invisibles à la vue de l’homme, il n’est pas dans son propre être; en ce sens, il est tout à fait naturel que l’être du langage se situe dans les êtres qui ne parlent pas, l’être du langage n’est pas langage.

La pensée de la Renaissance apporte deux choses à propos de cet être du langage. D’une part, il est le Texte premier, l’érudition des anciens, il est le préalable absolu de tous les textes, il est ce que Dieu donne dans la nature ; d’autre part, quand il n’y a aucune marque qui manifeste, ce n’est pas que Dieu ne parle pas, ou que le langage n’existe pas, c’est qu’il ne parle pas à la connaissance de l’homme, c’est qu’il faut découvrir le secret et faire parler ce qui sommeillait dans le Texte premier. Ce dernier fait naître le commentaire, ce premier le rend infini. Bien que l’être du langage s’efface ou plutôt se rend invisible et transparent par le jeu de représentation à l’âge classique, son sous-produit reste perpétuel : le commentaire (interprétation, déchiffrement) infini se transforme en la recherche infinie de la vérité absolue, le langage second qui interprète l’énigme du langage de la nature devient la représentation représentante des signes verbaux qui parlent de sa discursivité. Dans le sens que le langage de l’âge classique ne se présente plus dans l’énigme des marques naturelles, il s’éloigne de l’être du langage de la Renaissance ; dans le cas où il se charge encore de la représentation qui « interprète » le monde, il n’est pas encore arrivé au monde de la signification qui s’exécute dans la pure discursivité des idées abstraites. C’est pour ces deux raisons qu’« on pourrait dire que le langage classique n’existe pas »4. Il ne reste plus son existence, mais que sa fonction.

3 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p93 4 Ibid., p93

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Ainsi la vocation de critique pour analyser la discursivité de la pensée s’est substituée à la tâche de commentaire pour découvrir le secret de la nature, comme si celle-ci a été une progression de celle-là. Puisque la pensée prétend à la représentation exacte de la nature, la critique est douée d’un double rôle : d’un côté, elle interroge le fonctionnement et le mécanisme pur du langage comme « un grand jeu autonome des signes »5 ; d’un côté comme

de l’autre, elle s’inquiète de son but original de re-présenter, de faire apparaître la vérité de la nature sous la forme connaissable sans le moindre doute de la possibilité6, de se faire

transparent, mais transparent pour la présence du vrai. Le fameux problème classique sur l’opposition de la forme et du contenu que Kant évoque et envisage n’est pas si primordial sous le charme et la beauté de la mathesis, l’âge classique occupe les deux rôles de la critique sans les opposer d’une façon abstraite, comme Foucault le dit, « sans dissociation et comme d’un bloc ».

Ce bloc est celui de la représentation qui est à la fois le représentant des signes verbaux et le représenté de la connaissance, c’est un bloc ordonné du langage. Mais pourquoi le langage ? Pourquoi, parmi tant de signes représentatifs, l’âge classique choisit-il les signes verbaux comme sa doublure de pensée rationnelle et sa couture du monde et des idées ? La réponse se trouve chez ce sujet connaissant, dans le cogito qui fait naître les mots et s’ordonne par eux. Selon Hobbes, ce sont les individus quelconques qui en premier ont choisi les notes pour rappeler la scène des représentations par lesquelles ils connaissent pour la première fois quelque chose ; ces notes sont imposées par la convention, par la violence ou par l’enseignement à la communauté.

Ce qui est positif dans ce processus est que le sens des mots formé de cette manière réside dans « la pensée des individus pris un par un »7, autrement dit, originellement, il provient au

début du cogito, le cogito dans le sens strict : il y a primitivement et nécessairement quelque « je » ; et en plus, ce « je » doit penser, doit être le lieu où les idées émergent et en état de les recevoir dans la scène totale et comblée de diversité de la représentation, « personne ne peut les appliquer immédiatement comme signes à autres choses qu’aux idées qu’il a lui-même dans l’esprit »8. C’est à cette scène de l’émergence et de la réception que le langage éclate et

se distingue de tous les autres signes. D’un côté, la pensée en sa totalité comme l’être de la nature n’a aucun moyen de répéter la nature proprement, elle est nouée avec le temps,

5 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p94

6 L’inquiétude sur la possibilité de représentation commence notamment par Kant, mais cela est le problème

de la modernité, nous l’examinerons dans le chapitre suivant.

7 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p96

8 John Locke, Essai sur l’Entendement humain, 1729 ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition

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l’espace, l’occasion particulière. Si l’on suit l’opinion de Condillac, cette succession donne à chaque instant sa totalité, « si l’esprit avait pouvoir de prononcer les idées ‘comme il les aperçoit’, il ne fait aucun doute qu’il les prononcerait toutes à la fois »9. Si l’on suit l’opinion

de Destutt de Tracy, les pensées se succèdent trop vite qu’on n’a aucune chance « d’en observer ni d’en retenir l’ordre »10. Dans tous les deux cas, malgré les points-clés différents --

l’un sur l’expression de la pensée, l’autre sur la conscience de la pensée -- ces scènes de la représentation sont en flux et en bloc dans la pensée. De l’autre côté, pour les avertir ou les désigner au bon moment, il faut faire des signes efficaces ; et la façon la plus efficace d’agir est le cri, de faire du bruit par ses propres moyens, au prix de perdre la totalité de la nature qui est en tout cas inaccessible et intransmissible.

Néanmoins, le langage à la base du cri ou du son ne contredit pas la représentation comme extérieur ou réflexion, ni les autres signes -- « gestes, pantomimes, versions, peintures, emblèmes »11-- arbitraires ou artificiels, lorsqu’il est lui-même à la fois une représentation et un signe. Ce que Foucault souligne à ce point, c’est la successivité de sons, « les sons, en effet, ne peuvent être articulés qu’un à un »12, c’est pour cette raison que la prononciation de la pensée tout en même temps, comme chez Condillac, n’est pas possible, et à la vitesse de la pensée, comme chez Destutt de Tracy, est encore plus fantastique. C’est à ce point de succession que le langage est « étranger à la représentation ». Certes, la pensée en totalité est inaccessible et intransmissible, en outre, elle est elle-même successive d’une certaine manière. Or, la réorganisation en succession des signes est une double déformation : elle perd non seulement la totalité, mais encore la discontinuité dans le temps -- si les signes verbaux sont à la base de sons, et dans l’espace -- si les signes verbaux sont à la base d’images. Ce premier « substitue à la comparaison simultanée des parties un ordre dont on doit parcourir les degrés les uns après les autres », de même, ce dernier substitue à la comparaison multidimensionnelle des parties un ordre unidimensionnel. Cette mise en ordre du son ou de l’image13 au profit de

marquer les idées reconnaissables, instaure profondément les deux fameuses catégories du sujet : le temps linéaire et l’espace plat. L’âge classique crée ce nouveau domaine épistémologique comme « grammaire générale », la grammaire non pas dans le sens logique ou linguistique comme celle des Modernes, ni dans le sens chosifié comme celle de la

9 Condillac, Grammaire, 1775 ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p97 10 Destutt de Tracy (1754—1836), Élément d’idéologie, 1800; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris,

Édition Gallimard, 1966, p96, note 4

11 Destutt de Tracy, op.cit. ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p97, note 3 12 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p96. Ici, Foucault analyse surtout le

langage fondé sur le son. À propre du langage qui fonde sur l’image, il ne l’analyse que dans les diversités des langues.

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Renaissance, mais dans le sens verbal, « la Grammaire générale, c’est l’étude de l’ordre verbal dans son rapport à la simultanéité qu’elle a pour charge de représenter »14.

Cet ordre verbal est celui du discours, pourtant, ce n’est pas un ordre des signes verbaux qui correspond au réfléchi immédiat de la pensée, il est encore plus loin de l’ordre ou plutôt du désordre des marques naturelles, il n’est qu’une simple suite qui dispose les signes verbaux en ordre linéaire. Puisque c’est une transformation d’ordres divers de pensée en une seule et même ligne, il existe plusieurs formes de linéarisation. C’est à ce point que naissent les langues différentes et étrangères l’une à l’autre, ces différences et étrangetés consistent justement en cette « incompatibilité » ou plutôt « singularité », autrement dit, en l’arbitraire de leur succession. Néanmoins, cet arbitraire en vue des langues diverses, cette spontanéité non universelle ne veut pas dire qu’il est « une réflexion à l’état sauvage », au contraire, il est complètement analysé et organisé dans chaque langue. « Le langage est spontané, irréfléchi »15 en général, mais la langue est artificielle et réfléchie en singularité. Avant qu’il soit rendu communicable dans la convention et dans l’habitude de l’homme, il est d’abord la communication entre la représentation analysée et la réflexion spontanée. Cela produit des conséquences concrètes dans le savoir à l’époque classique.

D’abord, les sciences du langage se partagent et se collaborent pour constituer une Grammaire générale. D’un côté, la Rhétorique établit le lien entre les images des idées et les mots du langage (le son), entre les figures spontanées et les métaphores conventionnelles. Par conséquent, les signes verbaux sont doués de fragments d’espace, le langage se spatialise petit à petit. De l’autre côté, la Grammaire établit le lien des mots en ordre successif, plus précisément, dans le mouvement successif des sons selon le flux du temps. En conséquence, les fragments d’espace en signes verbaux se lient étrangement selon la série successive du temps. Cette combinaison de l’espace et du temps n’est pas celle de la nature, mais celle du langage, ou plus précisément, celle de l’artifice, d’une représentation réorganisée qui décompose et compose d’une certaine manière.

De plus, la Grammaire générale rend possible l’Idéologie. Ce que signifie « générale » est l’université, la Grammaire générale indique un rapport universel à la fois entre le langage et la représentation, c’est ce que Foucault appelle « Langue universelle » 16 , et entre la

représentation et l’esprit, c’est ce que Foucault appelle « Discours universel »17. La « langue

14 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p97 15 Ibid., p97

16 Ibid., p98 17 Ibid., p99

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universelle » présuppose que toutes les représentations peuvent et doivent se représenter par les signes verbaux, elle est ainsi capable d’analyser et de synthétiser les représentations par l’analyse et la synthèse des signes verbaux, si bien que « toutes les relations éventuelles » des fragments de la représentation peuvent être indiqués, et par la suite, tous les ordres possibles de la pensée sont connus par le langage. Le « Discours universel » présuppose que tous les mouvements « naturels et nécessaires » de l’esprit peuvent et doivent se définir par les représentations analysées ou synthétisées, si bien que toutes les connaissances de l’esprit doivent se soumettre dans l’organisation de la représentation. Si bien qu’un « fondement de toutes les connaissances » s’établit sur les mouvements naturels et nécessaires de l’esprit, autrement dit, le cogito cartésien, et en même temps ces connaissances partagent « cette origine manifestée en un discours continu », en d’autres termes, le cogito discursif devient l’origine des connaissances. Comme Destutt de Tracy le dit, « ce centre unique de toutes les vérités est la connaissance de ses facultés intellectuelles »18.

Et ces deux liens ne s’établirent que du fait que le cogito emprunte le pouvoir du langage qui est à la fois le dénominateur et le dominateur par l’exposition, c’est-à-dire par la langue qui « déploie tous les ordres possibles dans la simultanéité d’un seul tableau fondamental », ou par l’imposition, c’est-à-dire par l’idéologie du langage qui « reconstitue la genèse unique et valable pour chacune de toutes les connaissances possibles en leur enchaînement ». De là à l’âge classique, les projets de « Langage universel » et d’« Encyclopédie » foisonnent sans cesse. Pourtant, ces deux projets ne sont que les versions humaines et praticables pour remplir l’imagination de l’« Encyclopédie céleste » et du « Texte premier » ; si cette dernière est rendue peu à peu insoutenable, ce n’est pas parce qu’elle est extravagante, les projets d’Encyclopédies alphabétiques et des pasigraphies à l’époque ont la même extravagance ; c’est plutôt parce qu’elle a échoué dans le domaine de la société, dans les communications entre les signes de la nature et les compréhensions de l’homme, et ainsi entre les hommes. L’Idéologie apparemment scientifique n’efface que cette incommunicabilité, elle ne dissipe guère l’extravagance de l’imagination de la vérité absolue et universelle, elle n’est qu’une réalisation d’imagination dans le langage. « Sur ce fond d’une Encyclopédie absolue, les humains constituent des formes intermédiaires d’universalité composée et limitée […] quel qu’ait été le caractère partiel de tout ces projets, quelles qu’aient pu être les circonstances empiriques de leurs entreprises […] l’épistémè classique […] n’avait en revanche de rapport à l’universel que par l’intermédiaire du langage »19.

18 Destutt de Tracy, op. cit., ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p99, note 1 19 M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p101

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Ensuite, la conséquence étonnante de la « Langue universelle » et du « Discours universel » est que désormais la communication entre la représentation analysée et la réflexion spontanée se réduit étrangement à une équivalence, et que la connaissance organisable s’adapte strictement au langage linéaire. La Grammaire générale des représentations analysées devient la logique de l’esprit, et sa nature arbitraire et spontanée, qui s’inscrit dans une linéarisation inévitablement incomplète et partielle, devient le caractère « incontrôlée » ou plutôt non universelle, de cette logique20. Elle devient la pensée de la pensée, une pensée analysable de

la pensée simultanée, spontanée, irréfléchie, ce premier substitue ce dernier, en d’autres termes, le cogito cartésien en ordre de langage remplace audacieusement le cogito naturel en son propre être. La philosophie de cette Grammaire générale devient « une philosophie inhérente à l’esprit », le langage devient à juste titre la « forme initiale de toute réflexion, thème premier de toute critique ». Le principe « aucun langage sans connaissance » devient le principe « aucune connaissance sans langage ». Tout cela parce que la connaissance et le langage, désormais, n’ont qu’une seule et même origine et principe de fonctionnement dans la représentation, c’est celle de l’esprit, du cogito raisonné. « C’est par les mêmes procédés qu’on apprend à parler et qu’on découvre ou les principes du système du monde ou ceux des opérations de l’esprit humain, c’est-à-dire tout ce qu’il y a de sublime dans nos connaissances »21.

Néanmoins, l’activité de la connaissance -- « savoir », et l’activité du langage -- « parler » ne sont pas originellement sous la forme réfléchie. Les sciences à l’âge classique ne sont plus

scientia chez les anciens comme simplement l’activité de connaissance, elles sont déjà

constituées par des langues bien faites. Les « langues bien faites » ne le sont pas dans la mesure où elles sont faites par la science d’elles-mêmes, mais au contraire, elles sont faites avant que la science n’apparaisse, elles sont seulement réordonnées par la décomposition et la composition. C’est pour cette raison que « nulle d’entre elles ne suit exactement » l’ordre analytique, ainsi que l’âge classique exige que la langue elle-même soit bien faite afin qu’elle puisse expliquer, juger et réajuster les fragments de la connaissance, et les rendre « en toute clarté, sans ombre ni lacune ». Et cette « langue bien faite » n’est pas « bien faite » par elle- même ou par l’« esthétique », elle s’organise par « la grammaire d’être prescriptive », autrement dit, la Logique, l’ordre analytique. « Les meilleurs traités de Logique, au XVIIIe

siècle, avaient été écrits par des grammairiens »22. De même, il convient de dire aussi que les

20 Condillac, Grammaire ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966, p98

21 Destutt de Tracy, Élément d’Idéologie ; cf., M. Foucault, Les mots et les choses, Paris, Édition Gallimard, 1966,

p101, note 1

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meilleurs traités du cogito sont ceux des logiciens, et cela ne se limite pas seulement au XVIIIe siècle.

En dernier lieu, la Grammaire générale s’établit et conduit à l’Idéologie de la « Langue

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