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Souen / La diminution

Dans le document Le Livre des Transformations (Page 131-140)

En haut KEN L'IMMOBILISATION, LA MONTAGNE En bas TOUEI LE JOYEUX, LE LAC

L'hexagramme montre une diminution du trigramme inférieur au pro-fit du trigramme supérieur, car le 3ème trait, qui était fort à l'origine, est passé à la place supérieure, et le trait faible qui, primitivement, occupait cette dernière position, l'a remplacé (130). Le trigramme inférieur s'est donc amoindri au bénéfice du trigramme supérieur. C'est un amoindrissement pur et simple : si l'on diminue la base d'un édifice et que l'on en renforce les murs supérieurs, l'ensemble y perd de sa solidité. De même une diminution de la prospérité du peuple au profit des gouvernants constitue un amoin-drissement pur et simple. Et l'hexagramme tout entier tend à montrer la manière dont ce déplacement de la prospérité peut s'opérer sans que les sources de cette dernière dans le peuple et ses couches inférieures en soient taries.

130 Cet hexagramme et le suivant sont respectivement considérés comme des modifications des n°s 11, Tai, "La paix" et 12, Pi, "La stagnation".

Le jugement

LA DIMINUTION alliée à la sincérité produit une suprême fortune sans blâme.

On peut y persévérer"

Il est avantageux d'entreprendre quelque chose.

Comment mettre cela en pratique ?

On peut utiliser deux petites coupes pour le sacrifice.

La diminution ne signifie pas nécessairement quelque chose de fâ-cheux. L'augmentation et la diminution viennent à leur heure. Il importe de comprendre le temps et de ne pas vouloir dissimuler la pauvreté sous une vaine apparence. Si, en un temps de maigres ressources, une vérité inté-rieure vient à s'exprimer, on ne doit pas rougir de sa simplicité. Elle est pré-cisément la disposition correcte qui confère la force intérieure par laquelle on peut de nouveau entreprendre quelque chose. On n'a pas à nourrir de pen-sées amères si l'éclat extérieur de la civilisation et même la réalisation des formes religieuses doivent souffrir de la simplicité. On doit emprunter à la force du sentiment intérieur ce qu'il faut pour suppléer au défaut d'appa-rence extérieure. La fermeté de la conduite aide alors à passer sur ce que la simplicité de la forme peut avoir d'excessif. Devant Dieu un faux éclat est inutile. D'humbles moyens peuvent suffire à traduire les dispositions du coeur (131).

131 Cf. L'obole de la veuve dans l'évangile de St Luc. n'entraîne pas de blâme.

L'image

Au-dessous de la montagne est le lac : image de la DIMINUTION.

Ainsi l'homme noble maîtrise sa colère et refrène ses instincts.

Le lac s'évapore au pied de la montagne. Il s'amoindrit ainsi au profit de la montagne qui se trouve enrichie par son humidité. La montagne est l'image de la force têtue qui peut se condenser en colère. Le lac est l'image d'un enjouement non maîtrisé qui peut évoluer en impulsions passionnées, même au détriment des forces vitales. II importe alors de diminuer : la colère doit être atténuée grâce à l'arrêt, et les impulsions, réfrénées par des limita-tions. Grâce à cette diminution des puissances inférieures de l'âme, ses as-pects supérieurs se trouvent enrichis.

Les traits

Neuf au commencement signifie :

Si les affaires sont terminées, s'en aller vite Il faut toutefois se demander

jusqu'à quel point on doit diminuer les autres.

C'est une attitude dépourvue d'égoïsme et bonne, lorsqu'on s'est ac-quitté de ses devoirs immédiats et importants, que de mettre sa force au ser-vice des autres et, sans en faire état ou s'en prévaloir, de porter prompte-ment secours là où c'est nécessaire. Mais l'homme placé à un poste supé-rieur auquel on vient ainsi en aide doit bien se demander jusqu'à quel point il est en droit d'accepter cette aide sans causer de préjudice essentiel à son serviteur ou à son ami secourable. Ce n'est que là où existe une telle délica-tesse de sentiment que l'on peut se donner sans hésitation et totalement.

Neuf à la deuxième place signifie : La persévérance est avantageuse.

Entreprendre quelque chose est source d'infortune.

Sans se diminuer soi-même on peut augmenter les autres.

Une noble conscience de soi et un sérieux plein de logique et sans compromissions sont les dispositions indispensables si l'on veut servir les autres. Celui qui se renie pour exécuter la volonté d'un supérieur affaiblit sa propre position sans pour autant aider durablement l'autre. Cela est mau-vais. Servir sans faire litière de soi-même est la première condition pour rendre aux hommes des services de valeur durable.

Six à la troisième place signifie :

Quand trois hommes voyagent ensemble, leur nombre diminue d'une unité.

Quand un homme voyage seul, il trouve son compagnon.

Lorsque trois sont ensemble, la jalousie se déclare. Il faut alors qu'un s'en aille. Une étroite union n'est possible qu'entre deux hommes. Mais lors-qu'un homme est solitaire, il trouve toujours son compagnon qui le com-plète.

Six à la quatrième place signifie :

Lorsqu'on atténue ses défauts, on fait que l'autre vient en hâte et se réjouit.

Pas de blâme.

Souvent nos défauts empêchent des hommes même bien intentionnés de venir vers nous. Ces défauts sont souvent renforcés et aggravés par l'en-tourage dans lequel nous nous trouvons. Si, au prix d'une victoire sur nous-mêmes, nous en venons à nous abaisser et à nous en défaire, nous libérons les amis bien disposés d'une pression intérieure et nous faisons qu'ils s'ap-prochent de nous avec une hâte d'autant plus grande, ce qui entraîne une joie réciproque.

O Six à la cinquième place signifie : Quelqu'un l'augmente à coup sûr.

Dix couples de tortues ne peuvent s'opposer à lui.

Suprême fortune.

Quand le sort destine quelqu'un au bonheur, celui-ci vient sans faute.

Tous les oracles, comme ceux que donnent les écailles de tortue, doivent, par leurs signes favorables, s'accorder avec la faveur qui est son lot. Il ne doit craindre devant rien, car une volonté supérieure a décidé son bonheur.

Neuf en haut signifie :

Lorsque quelqu'un est augmenté sans diminution des autres cela est sans blâme. La persévérance apporte la fortune.

Il est avantageux d'entreprendre quelque chose.

On obtient des serviteurs,

mais on ne possède plus de maison séparée.

Il y a des hommes qui dispensent des bénédictions au monde entier.

Tout accroissement de force, toute augmentation qui leur échoit tourne au bien de l'ensemble des hommes et ne signifie donc pas une diminution pour les autres. Par un travail persévérant et plein de zèle on parvient au succès et l'on trouve les concours dont on a besoin. Mais ce qu'on réalise n'est pas quelque avantage personnel et limité : c'est un bénéfice public et accessible à tous.

42. Yi / L'augmentation

En haut SOUEN LE DOUX, LE VENT

En bas TCHEN L'ÉVEILLEUR, LE TONNERRE

L'idée de l'augmentation s'exprime par le fait que le trait inférieur fort du trigramme supérieur est descendu et s'est placé au bas du trigramme in-férieur. L'idée fondamentale du Livre des Transformations s'exprime égale-ment dans cette conception : régner véritableégale-ment, c'est servir. Un sacrifice de l'être supérieur qui réalise une augmentation de l'être inférieur est appelé augmentation pure et simple, pour indiquer l'esprit qui, seul, est en mesure d'aider le monde.

Le jugement

L'AUGMENTATION. Il est avantageux d'entreprendre quelque chose.

Il est avantageux de traverser les grandes eaux.

Le sacrifice que les êtres supérieurs offrent pour l'augmentation des êtres inférieurs fait naître dans le peuple un sentiment de joie et de gratitude qui est extrêmement précieux pour l'épanouissement de la communauté.

Quand les hommes s'attachent ainsi à leurs guides on peut entreprendre quelque chose ; même des affaires difficiles et dangereuses réussiront. C'est pourquoi, en de telles époques d'ascension dont l'évolution est accompagnée de succès, il importe de travailler et d'utiliser le moment. Ce temps res-semble à celui du mariage du ciel et de la terre, lorsque la terre participe à la force du ciel et qu'elle façonne et réalise les êtres vivants. Le temps de l'aug-mentation ne dure pas, c'est pourquoi il convient de le mettre à profit pen-dant qu'il est là.

L'image

Vent et tonnerre : image de L'AUGMENTATION.

Il en est ainsi de l'homme noble : s'il voit le bien, il l'imite, s'il a des défauts, il s'en défait.

En observant la manière dont le tonnerre et le vent s'augmentent et se renforcent mutuellement, on apprend le moyen de s'augmenter et de s'amé-liorer personnellement. Si l'on découvre quelque chose de bon chez les autres, on doit l'imiter et s'approprier ainsi tout ce qu'il y a de bon sur la terre. Si l'on voit en soi quelque chose de mauvais, on s'en défait. On se li-bère ainsi du mal. Ce changement moral est l'augmentation la plus impor-tante de la personnalité.

Les traits

Neuf au commencement signifie :

Il est avantageux d'accomplir de grandes actions.

Suprême fortune. Pas de blâme.

Lorsqu'on se sent grandement encouragé d'en haut, on doit employer l'accroissement de forces ainsi obtenu à accomplir une grande tâche en vue de laquelle on n'aurait peut-être trouvé, s'il n'en avait pas été ainsi, ni la force, ni le goût de la responsabilité. Parce qu'on est libre de recherche per-sonnelle, on réalisera une grande fortune et, en obtenant cette grande for-tune, on demeurera exempt de reproches.

O Six à la deuxième place signifie : Quelqu'un l'augmente certainement.

Dix couples de tortues ne peuvent pas s'opposer à lui.

Une persévérance durable apporte la fortune.

Le roi le présente devant Dieu. Fortune.

La véritable augmentation survient quand l'homme réalise en lui même les conditions qu'elle exige : réceptivité et amour du bien. Ce que l'on poursuit vient alors spontanément avec la nécessité des lois naturelles. Là où l'augmentation est ainsi en accord avec les lois suprêmes de l'univers, aucune constellation de contretemps ne peut l'entraver. Une seule chose im-porte : c'est qu'un bonheur inattendu ne nous tourne pas la tête, mais que nous le fassions nôtre par la force intérieure et la fermeté. Ainsi nous pren-drons de l'importance devant Dieu et devant les hommes et nous pourrons accomplir une oeuvre pour le bien du monde.

Six à la troisième place signifie :

On se trouve enrichi par des expériences malheureuses.

Pas de blâme si tu es sincère, que tu marches au milieu et fasses au prince un rapport muni d'un sceau.

Un temps de bénédiction et d'enrichissement est si puissant dans ses résultats que même des expériences qui autrement seraient malheureuses servent au bien de ceux qui les subissent. Ils deviennent exempts de fautes et, du fait qu'ils agissent conformément à la vérité, ils acquièrent une telle autorité intérieure qu'ils exercent une influence comme s'ils étaient confir-més par une lettre et un sceau.

Six à la quatrième place signifie :

Si tu marches au milieu et que tu fasses un rapport au prince, il suivra.

Il est avantageux d'être employé lors du transfert de la capitale.

Il est important qu'il y ait des hommes servant d'intermédiaires entre dirigeants et dirigés. Ce doivent être des personnalités dépourvues d'égoïsme, notamment en temps d'augmentation où le profit émane du guide

pour aller au peuple. Aucune partie de la bénédiction ne doit être retenue de façon égoïste, mais elle doit tourner véritablement tout entière au bien de ceux à qui elle est destinée. Une telle personnalité de médiateur qui exerce également une bonne influence sur le guide est particulièrement importante aux époques où il s'agit d'entreprises considérables, décisives pour l'avenir, qui requièrent l'assentiment intérieur de tous les participants.

O Neuf à la cinquième place signifie : Si vraiment tu as un coeur bon, ne questionne pas. Suprême fortune.

En vérité le bien sera reconnu comme ta vertu.

Le bien véritable ne compte pas et ne questionne pas sur le mérite et la reconnaissance, mais il agit en suivant une nécessité intérieure. Un tel coeur vraiment bon se trouve récompensé en ce qu'il est reconnu, et ainsi son in-fluence bienfaisante se répandra sans obstacle.

Neuf en haut signifie :

Il ne procure d'augmentation à personne.

Quelqu'un assurément le frappe.

Il ne conserve pas son cœur constamment ferme.

Infortune.

Le sens de la situation est que les supérieurs devraient augmenter les inférieurs en renonçant à eux-mêmes. Quand on néglige ce devoir et que l'on n'est utile à personne, on sort aussi de l'influence bienfaisante des autres et l'on se trouve vite isolé. On s'attire ainsi des attaques. Une disposition qui n'est pas en harmonie durable avec les exigences de l'époque apportera né-cessairement l'infortune avec elle.

Confucius dit à propos de ce trait : "L'homme noble met sa personne en repos avant de se mouvoir. Il se recueille dans son esprit avant de parler.

Il affermit ses relations avant de demander quelque chose. Ayant mis ces trois choses en ordre, il est en parfaite sécurité. Mais si quelqu'un est brusque dans ses mouvements, les autres ne coopèrent pas avec lui. S'il est agité dans ses paroles, celles-ci ne trouvent aucun écho chez les gens. S'il demande quelque chose sans avoir auparavant noué des relations, les gens ne lui donnent pas. Si personne n'est avec lui, alors ceux qui veulent lui nuire s'approchent."

43 Kouai / La percée (la résolution)

En haut TOUEI LE JOYEUX, LE LAC En bas K'IEN LE CRÉATEUR, LE CIEL

L'hexagramme signifie d'une part une percée après une longue tension accumulée, comme la brèche qu'un fleuve fait à travers ses digues, comme un nuage qui crève. Sur le plan des situations humaines, c'est l'époque où les hommes vulgaires sont en voie de disparition. Leur influence décroît et une action résolue fait que le changement des conditions amène la percée.

Ce signe est rattaché au 3ème mois (avril-mai).

Le jugement LA PERCÉE.

On doit résolument faire savoir la chose à la cour du roi.

Elle doit être annoncée conformément à la vérité.

Danger.

On doit informer sa propre ville.

Il n'est pas avantageux de recourir aux armes.

Il est avantageux d'entreprendre quelque chose.

Même si, dans une ville, il n'y a qu'un homme vulgaire à la place d'au-torité, il peut accabler les hommes nobles. Même si dans le coeur une seule passion reste nichée, elle peut obscurcir la raison. La passion et la raison ne peuvent coexister, c'est pourquoi un combat sans merci est indispensable si l'on veut établir le règne du bien. Toutefois il existe dans le combat résolu du bien pour écarter le mal des règles déterminées qui ne doivent pas être per-dues de vue si l'on veut obtenir le succès.

1. La résolution doit reposer sur l'union de la force et de labienveillance.

2. Un compromis avec ce qui est mauvais n'est pas possible ; le mal doit en toutes circonstances être discrédité ouvertement. De même les passions et les défauts personnels ne doivent pas être embellis.

3. Le combat ne doit pas être mené par la violence. Là où le mal est stigmati-sé, il pense à recourir aux armes, et si on lui fait le plaisir de lui rendre coup pour coup, on a le dessous, car on est soi-même impliqué dans la haine et la passion. C'est pourquoi il importe de commencer par sa propre maison et prendre garde aux défauts que l'on a soi-même stigmatisés. Ainsi les armes du mal s'émoussent d'elles-mêmes quand elles ne trouvent pas d'adver-saires. Et même nos propres défauts ne doivent pas être combattus directe-ment. Tant que nous luttons contre eux, ils demeurent victorieux.

4. La meilleure manière de combattre le mal, c'est un progrès énergique dans le bien.

L'image

Le lac s'est élevé dans le ciel image de LA PERCEE.

Ainsi, l'homme noble dispense la richesse au-dessous de lui et craint de se reposer sur sa vertu.

Quand l'eau du lac s'est élevée dans le ciel, on peut craindre de voir un nuage. L'homme noble prend cela pour un avertissement et prévient à temps un effondrement brutal. Celui qui voudrait entasser des richesses pour lui seul sans penser aux autres connaîtrait un effondrement. Toute accumula-tion est en effet suivie d'une dispersion. C'est pourquoi l'homme noble com-mence déjà à disperser pendant le temps où il accumule. De même, dans le développement de son caractère, il veille à ne pas se raidir et à ne pas s'entê-ter, mais à demeurer réceptif aux impressions par un constant et rigoureux examen de lui-même.

Les traits

Neuf au commencement signifie :

Puissant dans les orteils qui marchent en avant.

Si l'on va et que l'on n'est pas à la hauteur de l'affaire on commet une faute.

Aux époques d'avance résolue, c'est le tout premier début qui est par-ticulièrement difficile. On se sent plein d'élan pour une avance rigoureuse, mais la résistance est encore très puissante. Il importe de mesurer sa propre force et de ne pas s'engager plus loin que l'endroit où l'on est assuré du suc-cès. Aller aveuglément de l'avant est mauvais, car c'est précisément au début qu'un choc en retour inattendu a les conséquences les plus néfastes.

Neuf à la deuxième place signifie : Cri d'alarme. Armes le soir et la nuit.

Ne crains rien.

Etre prêt, tout est là. La résolution est inséparable de la prévoyance.

Lorsqu'on est attentif et réfléchi, il n'est pas besoin de s'émouvoir et de s'ef-frayer. Lorsqu'on est constamment vigilant tant qu'il n'y a pas encore de danger, on est armé lorsque le danger s'approche et l'on n'a pas à craindre.

L'homme noble est sur ses gardes devant ce qui n'est pas encore en vue et attentif à ce que l'on n'entend pas encore ; c'est pourquoi il demeure au mi-lieu des difficultés comme s'il n'y avait pas de difficultés. Si quelqu'un cultive son caractère, les hommes s'attachent spontanément à lui. Si la raison triomphe, les passions se retirent d'elles-mêmes. Etre circonspect et ne pas oublier son armure, c'est là le vrai chemin de la sécurité.

Neuf à la troisième place signifie :

Etre puissant dans les os des joues apporte l'infortune.

L'homme noble est fermement résolu.

Il marche solitaire et rencontre la pluie.

Il est arrosé et l'on murmure contre lui.

Pas de blâme.

La situation dans laquelle on se trouve est ambiguë. Tandis que tout le monde est engagé dans le combat résolu contre le vulgaire, on se trouve seul à avoir une certaine relation avec un homme du commun. Si l'on voulait alors se montrer extérieurement fort et se tourner contre lui avant que les conditions aient mûri ; on ne ferait que rendre la situation tout entière péril-leuse, car l'homme vulgaire recourrait alors à des contremesures anticipées.

La tâche de l'homme noble est ici des plus difficiles. Il doit être intérieure-ment résolu et, dans son commerce avec l'homme vulgaire, se tenir éloigné

La tâche de l'homme noble est ici des plus difficiles. Il doit être intérieure-ment résolu et, dans son commerce avec l'homme vulgaire, se tenir éloigné

Dans le document Le Livre des Transformations (Page 131-140)