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Opacit´ e

Dans le document La forme ou l'arithmetique du temps (Page 48-54)

1. Travaux pratiques de r´ ecriture d’une transition ´ ecrit-lu

1.7. Opacit´ e

de l’instant final par son repli imaginaire(( sous )) son instant l’initial. Par exemple :

Si

d

. . .alors . . .

d

Alors . . .

dd

Alors . . .

d

. . .

d

. . .

dd

. . .

La ligne suivante re-´ecrit les ordres des lignes pr´ec´edentes . . . etc.

1.7. Opacit´e

ou transparence chrono-logique lue d’un pli ana-logique ´ecrit-r´ecrit Il est montr´e au sous chapitre pr´ec´edent que le(( pli )) constitue l’unit´e imaginaire chrono-logique lue comme transition pratique ana-logique entre d´efinition r´ecrite et forme transitoire premi`ere ´ecrite. Ainsi toute forme transitionnelle d’ordre ´ecrit-lu- r´ecrit [temporalit´e spatiale] comme :

(( : [ {

imagine [lit-r´ecrit], marque le passage, d’un espace ´ecrit-lu distinct `a un autre espace r´ecrit-lu distinct. En effet quand un texte se {lit `a haute voix} [phono-logiquement], { :} ne se prononce pas, efface le lu-r´ecrit {deux points}(43), mais se lit comme une (( temporisation )) [unification, (( pose, suspension )) de la voix] dans l’autre-pratique [lecture `a haute voix, d´eclamation phonologique]. L’ouverture d’un guillemet [sans (( s ))], d’une parenth`ese, d’un crochet, d’une accolade ouvre `a un (( changement de ton )) [d’unit´e de fractionnement temporel, fr´equence du son, rythme phonologique]. Ces (( espaces )) {lu-r´ecrit-lu} sont des (( plis de l’´ecrit )) ou lu-temporel [d´efinitionnels lus- r´ecrits]. Ce sont, par ´evidence ´ecrite-lue, les op´erateurs logiques lus-r´ecrits de l’´ecrit-lu. Ils sont (( ouverture logique )) [pr´esentation] ´ecrite :

[ ( { ((

d’un espace d´efinitionnel (( autre-lu )) que [re-]ferme le signe ´ecrit en image inverse [´enantiomorphe chiral ] de re-pr´esentation finale :

)) ) } ]

(43)Ce sont toutes les formes ´ecrites paradoxalement(( muettes )) auxquelles doivent se former les

(( apprenants )). Tout apprenti lecteur doit se former aux propositions paradoxales suivantes : (( e muet)), (( deux-points ne se disent pas )), (( apr`es un point `a la ligne, la voix se suspend )) ou [encore plus paradoxal](( . . . laisser tomber la voix )), (( lire des yeux )), (( suivre avec le doigt )), (( lire. . . la page suivante)). . .

42 CHAPITRE 1. TRAVAUX PRATIQUES DE R ´ECRITURE D’UNE TRANSITION ´ECRIT-LU

Cette fermeture de dur´ee-lue pr´ec´edente est bien image instante finale [´ecrit-r´ecrit dans un miroir] de l’espace ´ecrit instant d’ouverture(44). L’instant premier ´ecrit [ou-

verture] est (( image instante directe )), l’instant second ´ecrit [fermeture] est (( image instante de dur´ee indirecte)) qui ferme la dur´ee lue sur l’espace ´ecrit. Ainsi les plis {´ecrit-lu-´ecrit} et/ou {lu-´ecrit-lu} ne sont autres que les re-pr´esentations ´ecrites po- laris´ees d’une transition imaginaire double [duale] espace-temps, temps-espace. La (( distance spatiale )) entre deux lettres est (( dur´ee lue diphtongue )), l’unit´e spatiale graphique (( caract`ere )) est dur´ee instante (( lettre lue )). La re-lecture [re-d´efinition de la dur´ee ´ecrite] imagine soit (( l’opacit´e )) soit (( la transparence )) de ces (( fran- chissements formels)) [kinesth´esie, transitions] que sont les plis de re-pr´esentations chrono-logiques espace ´ecrit – temps lu.

espace-´ecrit | lu-temps | r´ecrit-espace

L’opacit´e [ (( (1680). Propri´et´e d’un corps qui ne se laisse pas traverser par la lumi`ere))] du pli est la re-pr´esentation classique de la transition temporelle :

{page ← | → page}

L’espace ´ecrit pr´ec´edent [page pr´ec´edente] est re-couvert [effac´e] spatio-temporellement par la page r´ecrite ´emergente. Une page (( fait ombre )) `a l’autre. La d´efinition ´

emergente du pli-lu r´ecrit en effacement [annule] l’image lue de la forme ´ecrite [page] pr´ec´edente. La page ´emergente est unification r´ecrite, en son d´ebut, du pli-d´efinition de(( contenu lu )) pr´ec´edent [dur´ee lue pr´ec´edente] ; elle est (( potentialit´e )) [´emergence] de d´eveloppement d´efinitionnel de l’unit´e lue [contenu d´efinitionnel unifi´e, 1] de la page pr´ec´edente qu’elle efface en ´ecrit [qu’elle annule, couvre]. Le lecteur est appel´e `

a :

{ pratiquer un pli sur la page instante }

Suivant(45) la (( direction instante )) de ce pli, le texte de la page est totalement

ou en partie masqu´e [effac´e par l’autre face] et il est n´ecessaire de le d´eplier pour re-venir `a l’espace premier de l’´ecrit lisible. Ce pli de page ouvre cependant `a tout ou partie de l’´ecrit de l’autre face de la page. Cette(( opacit´e de fait )) de la page ´ecrite- r´ecrite est op´erateur chrono-logique mˆeme de {page ´ecrite } qui n´ecessite une(( mise en page)) afin que les contenus d´efinitionnels lus forment une unit´e homog`ene de la page ´

ecrite-r´ecrite. C’est cette (( opacit´e )) mˆeme qui forme le support d’unit´e ´ecrit-r´ecrit, sa qualit´e, sa distinction de l’autre-´ecrit : le lecteur peut v´erifier cet imp´eratif formel en se formant en r´edacteur sur les deux faces d’un(( papier pelure )) [ou calque]. La re- lecture en est sinon impossible du moins difficile par la(( sommation )) [embrouillement, complexit´e] des formes ´ecrites-r´ecrites des deux faces [non-effacement ´ecrit-r´ecrit =

(44)Il est `a remarquer que seul { : } ouvre un espace sans autre fermeture que le point { . } suivant.

Autrement dit { : } ouvre une unit´e d´efinitionnelle proposition lue jusqu’au point qui d´elimite l’´emergence de la(( proposition lue suivante )).

1.7. OPACIT ´E 43

transparence]. Quel lecteur n’a pas (( jongl´e )) avec les pages d’un ouvrage pour en comparer les instants ´ecrits [deux formules successives sur trois pages distinctes] ? L’op´eration de comparaison d’´ecrits dans l’opacit´e d’une page interdit formellement chrono-logiquement toute (( superposition spatiale )) de ces ´ecrits et n’op`ere donc que la vitesse et la fr´equence(46) des (( tourn´es de page )). Par exemple le lecteur est

appel´e `a v´erifier instamment la proposition suivante :

– re-lire la d´efinition du d´eterminant (( complication )) trois pages plus haut et comparer avec sa re-´ecriture instante

(( Complication : (1377 ; bas lat. complicatio, de complicare. V. Compliquer). Caract`ere de ce qui est compliqu´e V. Com- plexit´e, embrouillement. . . . ))

– chercher la/les diff´erences [les distinctions].

Pour op´erer cette(( comparaison )) de r´ecrit-lu-r´e´ecrit, le lecteur n’a d’autres solu- tions que de tourner alternativement les pages [plier d´eplier temporellement], ou de faire une copie [re-´ecrit] d’un (( original )), puis de confronter en un espace unique(47)

l’autre original `a l’une copie, l’une copie `a l’autre original dans un va et vient spatio- temporel forme-d´efinition, d´efinition-forme [un-autre, autre-un]. De mˆeme si s’op`ere en lecture une fermeture instante quelconque d’espace de pr´ec´edence))(48), se recherche

imp´erativement dans la pr´ec´edence ´ecrite l’ouverture instante de cet espace. Si ne se re-trouve pas cette ouverture formelle premi`ere de cette fermeture ´emergente, il y a (( opacit´e )) chrono-logique de sens [direction] de cette fermeture ana-logique [ins- tant ´ecrit final] sans ouverture ana-logique pr´ec´edente [initial ´ecrit]. Cette fermeture ana-logique est chrono-logiquement (( opaque )) de son ouverture ana-logique. Toute (( inhomog´en´eit´e )) chrono-logique {´ecrit→lu} op`ere une (( opacit´e )) [transition opaque] {forme-d´efinition}, {espace-temps}. L’op´eration chrono-logique de distinction unitaire n’est autre que transition opaque { forme-d´efinition }, {espace-temps}(49). Il existe (46)Vitesse : v = x/1

t. Nombre-instant de transitions fractionnement-distinction par unit´e de

distinction-fractionnement [dur´ee unitaire d’action d´efinitionnelle temporelle].

Vitesse {tourn´e de page}= Nombre-instant {tourn´es de page}/ Unit´e { dur´ee d’action d´efinitionnelle}[rotation de la terre : Heure/ minute/seconde].

Fr´equence : ν = 1t/x. Unit´e d’action [dur´ee unitaire d´efinitionnelle temporelle] distingu´ee-fractionn´ee

par nombre-instant de transition fractionnement-distinction.

Fr´equence{tourn´e de page}= Unit´e {dur´ee d’action d´efinitionnelle}/ Nombre-instant {tourn´e xx de page}.

(47)Le (( jeu des sept erreurs )) dans les magazines est un exemple de ce type de confrontation-

comparaison d’une opacit´e. Les deux dessins `a comparer sont toujours cˆote `a cˆote sur un mˆeme espace-page.

(48)Exemple instant de guillemet ferm´e sans ˆetre ouvert. Effacement de l’ouverture ou plutˆot(( opa-

cit´e)) temporelle sur cette ouverture.

(49)L’acte premier de tout acteur-lecteur est d’ailleurs d’´eclairer le livre et ´eventuellement de mettre

des lunettes pour(( distinguer )) correctement l’opacit´e des (( contours ´ecrits )) de l’opacit´e de la page qui les supporte.

44 CHAPITRE 1. TRAVAUX PRATIQUES DE R ´ECRITURE D’UNE TRANSITION ´ECRIT-LU

une dualit´e op´eratoire [deux polarisations-lues] de cette (( essence opaque )) [opacit´e ´

ecrite-r´ecrite formelle] :

– Une opacit´e instante de transition dur´ee-dur´ee.

– Une opacit´e dur´ee de transition instant-instant.

Le premier cas(( polarise )) le lecteur `a la transition instante dur´ee ´ecrit-lu → contenu- r´ecrit :

{ pages ´ecrites = dur´ee lu } = { un contenu lu-r´ecrit } [Contenu ou quantit´e de pages lues(( jusqu’`a )) l’instant page Xe] Le deuxi`eme cas(( polarise )) le lecteur `a la transition instant lu→ instant r´ecrit :

{ une page instante = autre page instante } = { un tourn´e de page ´ecrit-r´ecrit } [nombre-instant ou num´ero de page]

L’op´erateur ana-logique (( opacit´e )) est donc (( espaceur chrono-logique forme- d´efinition)) que peut sch´ematiser la forme suivante [cloisonnements de sens] :

→ | ← → | →

Dans l’ordre logique classique, le lecteur se place comme sujet premier [op´erateur de prime polarisation] `a l’ordre de l’´ecriture-lecture en s’effa¸cant chrono-logiquement : le lecteur lit l’´ecrit. Le lecteur-sujet de l’objet dual de transition ´ecriture-lecture s’es- pace de cette dualit´e en s’effa¸cant comme op´erateur des polarisations op´eratoires de cette dualit´e [´ecriture-lecture, lecture-r´ecriture]. C’est cet espacement-effacement de l’op´erateur premier de la dualit´e(( autre )) qui est (( opacit´e ))(50) :

Sujet-un => {objet dual} => un-objet ou

Sujet {distinction-fractionnement}objet

Ces (( opacit´es ana-logiques ´ecrites )) sont (( implications chrono-logiques )), images ´

ecrites de transition lu→lu d’une prime proposition ordonn´ee ´ecrit-lu-r´ecrit. {A=>B}relu

C’est la polarisation op´eratoire effac´ee qui imagine [unifie] les diff´erentes opa- cit´es(51)du syst`eme ´ecrit-lu-r´ecrit unitaire [ph´enom`ene observable synth´etique] qu’elle (50)Pour imager cette partie difficile : qui n’a pas tent´e d’imaginer(( ce qui peut bien se passer derri`ere

la cloison, la porte, le paravent. . . )) ? Cette (( s´eparation )) est bien opaque de ce qu’elle fractionne l’espace sujet formel [l’ˆetre] de l’existence d´efinitionnelle de l’espace objet. L’espace phonique [uni- taire] direct [les sons qui arrivent de l’autre cˆot´e] laisse(( imaginer )) ce qui se passe dans l’espace visuel imaginaire indirect du sujet polaris´e `a cet autre espace [ (( ils criaient tellement fort dans l’appartement voisin, qu’on pouvait imaginer la sc`ene dans la pi`ece mˆeme))].

(51)Un d´eveloppement logique inhomog`ene `a [au raisonnement de] l’op´erateur premier de polarisation

est d’ailleurs d´efini (( obscur, opaque, peu clair, peu transparent )) par l’op´erateur mˆeme de cette opacit´e.

1.7. OPACIT ´E 45

op`ere en fractionnement [analyse] des distinctions de niveaux [couches, ordres] formels [un formel- autre d´efinitionnel, une page en cache une autre](52).

Inversement, la transparence [ (( 1380, de transparent, ph´enom`ene par lequel les rayons lumineux visibles sont per¸cus `a travers certaines substances)) d’o`u (( transpa- rent : qui laisse passer la lumi`ere et paraˆıtre avec nettet´e les objets qui sont plac´es derri`ere))] est effacement du pli et r´ecriture de l’´ecrit-lu (( par transparence )). L’espace de transparence r´ecrit [re-couvre] l’´ecrit premier sans en effacer la d´efinition lue. La transparence est forc´ement (( persistance )) [dur´ee formelle] de l’instant initial (( sous )) [transition] l’espace d´eterminant final. L’instant-espace final {page r´ecrite transpa- rente} est effacement et l’espace-instant{page ´ecrite opaque} est re-unifi´e [re-couvert de son effacement transparent, 1±0 =1] en une dur´ee lu-r´ecrite (( identique )) `a la dur´ee pr´ec´edente ´ecrite-lue [originale, initiale]. La page (( vide )) de sa transparence est(( potentialit´e )) [´emergence] de re-production ou super-position {d´efinition-forme} (( sur )) la pr´ec´edence ou ´ecrit-lu-r´ecrit.

Le lecteur est appel´e `a :

{d´ecalquer la forme suivante}

d

Pour se (( plier )) `a l’ordre enjoint, le lecteur doit op´erer sa transition [se plier] `

a l’ordre de grapheur. L’op´erateur-acteur polarise la transition ana-logique de dua- lit´e chrono-logique lecteur-grapheur. Il s’efface dans l’acte de cette dualit´e ordonn´ee, il est (( transparence )) de la transition grapheur-graphie [identit´e d’acteurs instants d’une dur´ee d’action]. L’op´erateur [sujet op´erateur temporel d’objet] op`ere la(( super- position)) [spatiale] d’une feuille de papier calque [ou transparent] (( sur )) l’opacit´e pr´ec´edente [page instante] ; puis r´eop`ere l’espace second [le calque] en re-passant en r´ecrit la d´efinition premi`ere ´ecrite dans la polarit´e du pli :

graphie-grapheur[pli]-(re)graphie graphie > (re)graphie

Il inf`ere de cette op´eration une seule et mˆeme unit´e temporelle ´ecrite-lue-r´ecrite qui identifie 1 graphie ana-logique ´ecrite et 1 d´eveloppement chrono-logique graphique lu-r´ecrit :

1{ graph`eme} = {morph`eme} 1

L’unit´e temporelle chrono-logique forme-d´efinition est bien (( identification )) de l’es- pace ana-logique unique de pr´ec´edence ´ecrit-r´ecrit :

{mod`ele}-{calque}

(52)D’o`u le(( mythe subjectif )) [polarisation imaginaire `a un sujet unique d’une dualit´e objective] qui

´

ecrit les paradoxes conditionnels suivants :(( Si j’avais su. . . )), (( Si j’avais ´et´e l`a. . . )), (( si j’´etais. . . )), (( si je veux. . . )), (( je n’y comprends rien. . . )) etc. C’est ce (( mythe subjectif )) de la logique classique qui ouvre `a la mystification(( psycho-logique )) et donc l’infinit´e de ses d´eveloppements chrono-logiques non-ana-logiques [illogiques ?].

46 CHAPITRE 1. TRAVAUX PRATIQUES DE R ´ECRITURE D’UNE TRANSITION ´ECRIT-LU

qui d´etermine simultan´ement l’identit´e double :

opacit´e = 1 = transparence {

d

} = 1

Le d´epliement [d´eveloppement, explication] ana-logique du calque de (( sa )) page mod`ele d´eveloppe l’espace complexe chrono-logique de ce d´epliement temporel unitaire distinguant ainsi la forme originale [mod`ele initial] et forme re-produite re-d´efinie r´ecrite [copie finale, d´ecalqu´ee indic´ee (( > ))]. Ce d´epliement d´eveloppe la complexit´e de la transitions pli-d´e-pli en dur´ees ´ecrites de cette dualit´

dd

e :

>

Glissement direct droit {transparence initial – opacit´

d

e final}

>

d

Glissement direct gauche {opacit´e final – transparence initial}

d

<

e

D´epliement [tourn´e] indirect droit {opacit´e initial – final transparence}

<

ed

D´epliement [tourn´e] indirect gauche {final transparence – opacit´e initial}

suivent tous les re-d´eveloppements chrono-logiques temporels [univers des pola- risations possibles] de ce prime d´eveloppement ana-logique spatio-temporel. Ces (( transparences )) logiques sont (( applications logiques )) images lues-re-´ecrites d’une prime proposition ordonn´ee ´ecrite-lue-r´ecrite. La dur´ee du d´eveloppement logique d´epend du nombre-pli des op´erations ana-logiques [ana-lytiques] de pliage-d´epliage- re-pliage-re-d´epliage. . . qui est dur´ee-somme de persistance chrono-logique de l’unit´e initiale [synth`ese], mais qui par essence op´eratoire est dur´ee-diff´erence [ana-lyse] de ces sommes. Ceci signifie, pratiquement, que toute re-production [re-´ecriture] transparente

forme ´ecrite | d´efinition lue | r´ecrite-formellement

modifie au final imperceptiblement son initial ; la somme de ces diff´erences confine `a la distinction des sommes produites. Tr`es simplement, tout syst`eme de re-production a sa propre limite d’exemplaires [´edition] dans le maintien de la (( fid´elit´e )) [unit´e unique, unie et unitaire] `a l’original(53). Tout syst`eme chrono-logique

de persistance d´efinitionnelle de l’unit´e formelle imaginaire ana-logique de d´epart est

(53)Un(( n´egatif )) photographique (( reste )) exploitable un certain nombre d’ann´ee suivant la qualit´e

de(( transparence )) de son support [g´elatine]. Un clich´e offset permet le (( tirage )) d’environ 3000 exemplaires.

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