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3- Chaque nouvelle forme d’action collective émerge d’un contexte d’actions collectives anciennes

2.4. LA FONCTIONNALITE D’UN PRODUIT D’ARTISANAT D’ART D’ART

2.4.2. Le signe fonctionnel d’un produit d’artisanat d’Art

Pour comprendre le sens du signe fonctionnel d’un produit d’artisanat d’Art, même si l'on se base sur la théorie des différents besoins, encore faut-il le percevoir.

Quelles sont les conditions de compréhension pour identifier le sens fonctionnel, de la part d’un client, voire d’un individu? Intéressons-nous au fonctionnement de la pensée du client et au signe qui peut déclencher un acte d’identification de la fonctionnalité du produit. Plus tard, nous appellerons ce signe, «signe fonctionnel du produit d’un métier d’artisanat d’Art», et nous développerons l’idée ici.

Le sens du signe fonctionnel, en philosophie, est l’explication de la nécessité de faire de l’ordre dans nos pensées (Descartes, 1963). L’individu l’effectue lors d’une phase de compréhension en passant par la représentation d’un produit d’artisanat d’Art. D’après Descartes (1963), l’ordre se distingue au naturel et est nécessaire à la pensée pour avoir son esprit en accord, en harmonie et en similitude.

Alors que l’ordre est également arbitraire par rapport aux choses. Cela signifie, par exemple, qu’un client qui est confronté à un bol en céramique pense d’abord à un objet en céramique en général, puis à un bol. La pensée naturelle renvoie l’individu à son esprit qui cherche une similitude dans sa mémoire, pour pouvoir faire ensuite le pas suivant l’ordre, qui est d’attribuer un sens fonctionnel au produit même. «Voici un objet en céramique, c’est un bol».

La notion de similitude dans la mémoire de notre client apparaît sous le terme «semblable» chez Foucault (1966). L'auteur la considère comme «une catégorie fondamentale du savoir» (p. 68). D’après lui, elle s’organise selon deux

81 Ibid.

82 Ibid.

groupes de variables: le premier ayant trait à la forme et au contenu de la connaissance; le second étant lié à l’identité que l’on peut donner à l’objet et à la capacité qu’à l’esprit d’un individu de différencier l’objet d’un autre de même genre.

Ces dernières variables renvoient à une activité de l’esprit et permettent aussi de s’en éloigner. C’est-à-dire que le client du bol en céramique n’est pas sensé trouver une référence exacte dans ses connaissances antérieures. Il suffit de se souvenir d’«… une impression passée» (Foucault, 1966, p.83) que l’individu a déjà vécue.

Sans un renvoi au passé, la comparaison du déjà vécu dans le savoir n’est pas possible. Le client ne sait alors pas à quoi sert l’objet proposé.

La possibilité de trouver une similitude pour identifier la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art change si le client est accompagné par quelqu’un, voire confronté à un expert (artisan ou vendeur informé) qui pourrait l’aider à comprendre le sens fonctionnel. Or, ici, nous partons du principe que l’identification de la fonctionnalité même du produit d’un métier d’artisanat d’Art doit se faire par le seul regard du client. Donc, «…la vérité trouve sa manifestation83 et son signe dans la perception évidente et distincte» (Foucault, 1966, p.70). Mais quel type de signe permet une identification claire de la fonctionnalité d’un produit de métier d’artisanat d’Art?

Le signe peut soutenir l’analyse de l’identification de la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art. D’après Foucault (1966), le signe est naturel, conventionnel, et poursuit différents types de liaison. Mais il faut un certain nombre de variables pour que nous ayons un signe dans la compréhension de la fonctionnalité d’un objet d’artisanat d’Art. Nous avons repris pour cela les trois premières variables du même auteur: le signe se trouve à l’intérieur de la connaissance de l’individu, la forme est liée à ce qu’elle signifie et, finalement, la distinction se situe entre le signe naturel et le signe conventionnel.

Dans la première variable du signe, Foucault (1966) nous apprend que le signe est soit «…découvert ou affirmé ou secrètement transmis» (p.73). Donc,

83 La manifestation est ici à comprendre au sens large. Elle inclut l’ensemble d’une mise en scène d’un produit, l’objet dans son environnement naturel. Mais, pour l’instant, considérons cet environnement naturel comme un environnement donné qui comprend le produit seul, voire d’autres objets qui l’entourent.

l’individu a appris, à un moment donné, la signification de certains signes dans sa vie. Chaque client cherche la signification d’un signe proposé par le produit d’un métier d’artisanat d’Art. D’après le même auteur, l’individu est capable d’attribuer avec une certaine probabilité, et par la suite avec une certitude, une signification au signe. Il s’agit de définir le rapport entre le signe et le signifié. Foucault (1966) parle d’un rapport entre le signe et le signifié qui va «…de la plus faible probabilité à la plus grande certitude» (p.74). Ceci est possible parce que l’individu cherche d’abord la référence de la signification du signe dans ses connaissances antérieures. Et, par la suite, il lui attribue un sens, dont la signification même au signe. L’individu parcourt un certain chemin de perception qui lui permet d’avoir une certitude dans l’attribution de la signification du signe à l’objet d’un métier d’artisanat d’Art. Donc, ce rapport admet une identification de la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art avec une certitude. Parce que le client a trouvé la signification du signe qui permettait d’identifier la fonction de l’objet.

Cependant, d’après Berkeley (1944), le signe en lui-même ne suffit pas pour comprendre finalement la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art. Une association d’idées n’est pas liée par une cause à effet84, mais par un indice à un signe qui permet sa signification. Il faut encore un indice pour comprendre la signification du signe, dont la fonctionnalité représentée de l’objet. C’est-à-dire que le fait qu’une chaise soit faite par un tapissier n’est pas automatiquement le signe du confort. C’est l’indice qui indique que l’on peut s’asseoir sur cet objet et y trouver du confort.

Regardons la deuxième variable, «…l’efficacité du signe…» (Foucault, 1966, p.73), qui est la forme de la liaison du signe avec ce qu’il signifie. Foucault (1966) part du principe que «…l’esprit analyse, le signe apparaît. Parce que l’esprit dispose de signe, l’analyse ne cesse de se poursuivre.» (p.75). Ici, l’individu indique la signification à une catégorie de ses connaissances. Le client découvre un vase en céramique dans une vitrine, par exemple. Il a déjà vu un certain nombre de vases en céramique. Donc, il va l’attribuer, dans ses pensées connues, à un produit d’artisanat d’Art. Par la suite, il va continuer son analyse en son for intérieur en le séparant de la

84 Ibid.

catégorie des vases en céramique déjà connus et le considérer comme un nouveau vase pas encore vu sous sa forme présentée.

Le signe naturel est à distinguer de la convention (Foucault, 1966) dans sa dernière variable. L’un est décrit comme difficilement maîtrisable par l’esprit d’un individu, car il est «…prescrit, rigide, incommode…» (p.76). D’après le même auteur, le signe de convention est construit par l’homme, donc compréhensible. Au contraire du signe naturel, car il s’agit dans notre cas de comprendre les différents matériaux qui sont fournis par la nature - le signe de convention est «…dans la plénitude de son fonctionnement» (p.76), parce que nous le voyons comme résultat à travers le produit d’artisanat d’Art.

Les variables, qui sont alors nécessaires pour qu’un signe devienne efficace dans la compréhension de la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art sont: le début de la signification qui se fait à partir de la connaissance du client qui rattache l’objet à la catégorie des objets de décoration et le distingue en le reconnaissant comme un objet de décoration d’un métier d’artisanat d’Art par exemple. Et finalement, il s’agit d’un signe de convention, car la fonctionnalité est construite par l’artisan et, ainsi, est compréhensible pour le client.

D’ailleurs, nous pouvons déduire du débat des variables du signe qu’en cas de manque d’une «…impression passée…» (Foucault, 1966, p.83), le client atteint la limite de la perception de la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art. Donc au moment où l’objet de décoration n’est plus identifié comme fonctionnel85 par le client, il n’appartient plus au domaine étudié d’un produit de métier d’artisanat d’Art. Il est évident que le risque d’offrir un nouveau produit fonctionnel qui n’est pas encore connu par le client existe ainsi aussi.

La littérature du comportement en Marketing, nous livre une explication face à ce type de risque dans le domaine de la consommation alimentaire (Gallen, 2001). D’après l’auteur, le consommateur ressent le besoin de reconnaître la fonctionnalité de l’aliment. Il recourt à un besoin de réassurance qui est lié à l’incertitude. Dans notre cas, on peut considérer qu’il s’agit d’une volonté de la part du client de vouloir identifier l’utilité du produit d’un métier d’artisanat d’Art. Le

85 Ceci est indépendamment du type de fonctionnalité de l’objet. Donc nous parlons de la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art en général ici.

décalage entre ce que le client imagine et ce que l’objet représente en réalité est appelé «dissonance cognitive» (Festinger, 1985) : si l’écart entre les

«…représentations mentales…» (Gallen, 2001, p.68) des clients et la représentation commerciale de notre objet de recherche est trop grand, le client pourrait alors renoncer à l’achat du produit.

Reste donc à comprendre les conditions pour que le signe fonctionne. Un signe est perçu comme probable ou plus ou moins éloigné de sa signification (Foucault, 1966) dans le processus de l’identification de la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art par le client. Ipso facto, la signification se fait dans un espace donné, entre «…l’idée d’une chose et l’idée d’une autre…» (p.78). Un client qui découvre le produit d’un métier d’artisanat d’Art dans une vitrine peut se faire alors plusieurs idées sur sa fonctionnalité par exemple. Par conséquent, le client ajoute encore la définition du rapport entre le signifiant et le signifié qui se trouve dans un espace86 pour comprendre la fonctionnalité de l’objet. La notion d’espace est ici à comprendre comme un espace de représentation commerciale du produit d’un métier d’artisanat d’Art. Il est à comprendre comme une indication que le client décide ou pas d’intégrer dans son processus d’interprétation lorsqu’il attribue une signification fonctionnelle au produit.

Cette comparaison se fait entre «…la chose qui représente…» et «…la chose représentée…»87. Donc une comparaison de la fonctionnalité du produit d’un métier d’artisanat d’Art entre ce que l’artisan propose comme fonctionnalité de l’objet et entre ce qui est perçu comme fonctionnalité en regardant l’objet. La figure suivante illustre alors le fonctionnement du signe pour identifier la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art :

86 Ibid.

87 Ibid, p. 78.

Imaginons alors le cas d’un vase en céramique qui est exposé seul dans la vitrine de la boutique d’un artisan d’un métier d’artisanat d’Art. L’artisan d’Art qui expose le vase le propose comme un produit de décoration, voire comme un support pour des fleurs par exemple. Le client qui s’arrête devant la vitrine et qui regarde le vase découvre un produit qu’il va comparer à ce qu’il connaît déjà en matière de vases. Et c’est seulement une «…ressemblance…» (Foucault, 1966, p.82) entre ce que le client a trouvé dans sa mémoire et ce que le produit représente qui permet une identification de la fonctionnalité du vase dans la vitrine exposée. Barthes (1957) parle aussi du premier niveau de lecture du système de signe que le client pratique ici.

Ainsi, le signe88 fonctionnel s’articule autour de trois axes: la fonctionnalité proposée par le produit en passant par l’artisan d’Art qui l’expose dans un espace commercial. La fonctionnalité représentée par le produit qui se trouve seul dans cet espace et qui représente une fonctionnalité à travers l’objet même. Et finalement

88 D’ailleurs Foucault (1966) dit clairement «…le signe c’est la représentativité de la représentation tant qu’elle est représentable.» (p.79). L’idée du fond de la représentativité de la fonctionnalité à travers le produit d’artisanat d’Art se retrouve dans notre modèle. Le même auteur lie aussi toutes les représentations entre elles, «… comme des signes…» (p.80).

Fonctionnalité représentée par le produit Fonctionnalité comparée par le produit

Figure 1 : Modèle du signe fonctionnel d’un produitd’artisanat d’Art Fonctionnalité proposée par l’objet

la fonctionnalité comparée par le produit, ou le client utilise la fonctionnalité qui est représentée par celui-ci et le confronte à son savoir en passant par ce type d’objet.

Allons un peu plus loi concernant l’axe de la fonctionnalité comparée du produit de notre modèle. La comparaison est aussi traitée comme la

«…ressemblance…»89 (Foucault, 1966, p.82). Il la définit comme une apparition de

«…ce qui est à connaître et qui est le plus éloigné de la connaissance elle-même»

(p.82). La comparaison passe donc par la recherche de similitudes entre le produit et ce que le client connaît déjà du produit d’artisanat d’Art exposé. Elle se situe du côté de l’imagination90 qui se nourrit de la ressemblance.

Une analyse des connaissances du client passe donc aussi par l’imagination

«… qui fait apparaître ce qui n’est pas… et mettre au jour le continu»91. Si le client ne connait pas encore la fonctionnalité proposée par le produit, il faut de l’imagination pour avoir de nouvelles idées sur ce à quoi peut bien servir l’objet d’un métier d’artisanat d’Art qui est exposé seul dans une vitrine commerciale, par exemple. Par conséquent, cet acte mental de comparaison pour identifier la fonctionnalité de notre objet par le client, se fait, d’un côté, par une analyse des ressemblances et, de l’autre côté, grâce à de l’imagination. Reste à savoir pourquoi.

Le comportement du client qui se trouve confronté à un produit d’artisanat d’Art fonctionnel «… devient dysfonctionnel, irrationnel et subjectif…» (Baudrillard, 1968, p.80). Tout un chemin de perception et de compréhension doit être parcouru pour que la fonctionnalité de l’objet soit comprise. C’est tout un monde de significations qui interprète le signe (Baudrillard, 1968), dont la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art. Nous pouvons considérer ici le signe comme un déclencheur visuel qui permet une identification de la fonctionnalité de l’objet d’un métier d’artisanat d’Art.

89 D’après Foucault (1966), la notion de la ressemblance en philosophie était d’abord liée au système des signes au 16e siècle. Par la suite, elle est assimilée au savoir et liée à l’imagination, «…selon les formes de l’identité, de la différence et de l’ordre.» (p.86).

90 Ibid.

91 Ibid, p.87.

Baudrillard (1968) parle aussi du symbolisme de l’objet. Le symbole est d’abord un signe (Hegel, 1970). Il n’est pas ici un signe qui représente un symbole au sens de Hegel (1970) car le produit d’un métier d’artisanat d’Art n’est pas un signe qui relève de caractéristiques permettant une signification explicite. D’après Hegel (1970), le signe est symbole quand l’apparence et le contenu du signe se retrouvent réunis dans la même idée auprès du récepteur du signe. Il cite le renard qui est signe du symbole caractère humain «rusé» par exemple. Alors que le produit d’un métier d’artisanat d’Art ne se suffit pas à lui-même pour être signe d’un symbole explicite. Mais la signification est liée à l’expression du symbole. Donc l’expression du symbole dépend encore du contexte de la mise en scène du produit d’artisanat d’Art. Par conséquent, le symbole se trouve dans le signe et est déclenché par son expression par le biais de la représentation commerciale. Ceci rejoint l’idée de déclencheurs visuels nécessaires pour activer le signe dans le processus de perception de la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art auprès du client.

Mais, d’après Baudrillard (1968), le symbolisme d’un objet disparaît de toute façon au moment de l’interprétation des signes. Il appelle ceci «…une naturalité maîtrisée…» (p.91). «Cette naturalité est donc le corollaire de toute fonctionnalité.

C’est la connotation moderne du système d’ambiance» (Baudrillard, 1968, p.91). Le système d’ambiance est à considérer comme un élément faisant partie de l’espace qui peut entourer un produit d’artisanat d’Art. Par conséquent, il est de nouveau à considérer comme une indication probable qui s’intègre dans le processus d’interprétation du client lorsqu’il identifie la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art. Elle se maîtrise en identifiant les signes de l’objet et en lui attribuant ainsi les différentes significations, dont l’identification fonctionnelle du produit d’un métier d’artisanat d’Art.

À la fin de ce processus mental, le comportement reste certes subjectif, mais n’est plus à considérer comme irrationnel et dysfonctionnel chez le client qui a compris la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art qui se trouve en face de lui.

Son comportement reste subjectif, car le client doit encore admettre la fonctionnalité du produit d’artisanat d’Art ou pas. Le choix final lui appartient. Si le client ne veut pas reconnaître un vase comme un vase, il n’en sera pas un pour lui.

Baudrillard (1968) nous explique aussi à ce sujet qu’il y a des aspects philosophiques négatifs et positifs dans nos connaissances. D’après lui, les

négatifs viennent de la nature et représentent un désordre dans nos pensées. Alors que les positifs font allusion au pouvoir de construire de l’ordre à partir de nos impressions. L’individu cherche de la compréhension dans l’objet (Descartes, 1963).

Alors que la nature propose des exceptions et des différences92. D’une manière explicite, il y a des choses qui échappent à notre compréhension et d’autres qui sont construites par nous-mêmes, donc nous les connaissons. Alors qu’ici le client ne devrait avoir aucun problème pour reconnaître la fonctionnalité d’un produit d’un métier d’artisanat d’Art et qui est représentée de toutes manières commerciales possibles, par exemple. Mais n’oublions pas que «…la perception des évidences n’est qu’un cas particulier de la représentation en général…» (Foucault, 1966, p.86).

Par conséquent, nous posons les sous-questions de recherche suivantes :

Quels sont les déclencheurs visuels qui font partie du signe fonctionnel et qui permettent une identification fonctionnelle d’un produit d’artisanat d’Art à travers le regard du client?

Comment attribuer par la suite le signe fonctionnel à la définition du produit d’artisanat d’Art ?

Pour conclure, nous avons vu, dans notre débat théorique, qu’il y a des déclencheurs visuels qui font partie d’un signe, qui permettent une identification de la fonctionnalité d’un produit d’artisanat d’Art. En se référant à notre modèle (voir Figure 1), nous parlons par la suite directement du signe fonctionnel. Une fois que nous connaissons ces déclencheurs qui sont intégrés dans le signe fonctionnel, nous pouvons les attribuer à la définition du produit d’un métier d’artisanat d’Art.

92 Ibid.