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L’évolution de cette recherche impose une grande réflexion pour définir certains concepts et notions importants indispensables à l’art-thérapie. Ces éléments sont définis par plusieurs experts et par différentes sciences, mais seulement quelques-unes seront retenues pour bien cadrer la recherche.

 Hôpital

Jadis, les hôpitaux ou les hospices ont connu non seulement un changement dans leur système, mais aussi une évolution de leur mission, de leur objectif ; leur personnel et leur statut ont profondément évolué au fil du temps. L’hôpital acquiert clairement le statut qui est le sien aujourd’hui à partir du XXe

siècle. Sa définition évolue en fonction du temps et du besoin. Il est passé d’un établissement d’assistance charitable à un outil indispensable d’une politique de santé publique au profit de la population dans son ensemble. L’évolution de la médecine, le progrès des moyens de communication, celui des différentes institutions de la sécurité sociale et les progrès des techniques de soins médicaux ouvrent la voie à la création d’un réseau d’établissements hiérarchisés participant à la politique générale de la santé.

Actuellement, il se définit par la qualification de son personnel et la qualité de ses équipements strictement spécialisés qui deviennent sans conteste les buts fondamentaux du développement du système sanitaire. Parmi les diverses définitions de l’hôpital, celle donnée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est équilibrée en deux branches qui manifestent des intérêts spécifiques : d’une part, il est un « établissement desservi de façon

permanente par au moins un médecin et assurant aux malades, outre l’hébergement, les soins médicaux et infirmiers »98 et, d’autre part, « l’hôpital est l’élément d’une organisation de

caractère médical et social dont la fonction consiste à assurer à la population des soins médicaux complets, curatifs et préventifs, et dont les services extérieurs irradient jusqu’à la cellule familiale considérée dans son milieu ; c’est aussi un centre d’enseignement de la médecine et de recherche biosociale. »99

96

Convention signée le 4 mai 1999, op. cit

97

Xavier COLLAL, chargé de mission « Culture à l’Hôpital » au ministère de la Culture et de la Communication, (Délégation au développement et aux affaires internationales), acte séminaire au ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées, des 30 et 31 mars 2004, p. 19.

98 Robert-Frédéric BRIDGMAN, « Hôpital », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 13 mars 2017.

URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/hopital/

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33 Auparavant, l’hôpital avait une définition plus large. Il était identifié comme une maison hospitalière dotée de certains objectifs où l’on recevait les pèlerins, où l’on donnait des soins gratuits aux malades, aux blessés, ou à toute personne dont l’état de santé réclamait une surveillance et/ou une intervention de soins. Il avait aussi la charge de prendre soin des infirmes, des pauvres, des orphelins et aussi des vieillards indigents. Cette réflexion s’élargit dans la définition donnée par le Professeur Catherine Puigelier : l’hôpital est un

« établissement ayant vocation à recevoir des personnes afin de bénéficier de soins. Il peut s’agir d’un établissement public ou d’un établissement privé. L’hôpital a donné lieu à un droit spécialisé : le droit hospitalier. »100 Avec l’insertion de la culture dans les établissements de santé, l’hôpital devient un lieu où l’on bénéficie de soins de santé et d’activités artistiques et culturelles.

 Le patient

Le patient désigne une personne qui est examinée de façon médicale, autrement dit qui se voit administrer un traitement médical ou paramédical. Étymologiquement, le mot patient désigne une personne « qui supporte patiemment les défauts d’autrui »101, ou en faisant appel à son origine le mot patient provient du verbe latin « patior, pati », qui signifie : « Celui qui

souffre. » Dans ce sens, le patient reprend la définition précitée d’une personne soignée. Le

terme de patient se trouve dans un arsenal des définitions, il change selon le professionnel qui l’examine. Il peut être décliné de plusieurs manières : il devient « sujet »dans la recherche médicale ou « client » chez les Anglo-saxons. Dans la pratique de l’automédication, une nouvelle terminologie l’incarne avec plus d’ampleur puisqu’elle fusionne « Action » et

« Patient » et devient simplement : « Actient ». Dans les ateliers de théâtre à l’hôpital, le

malade est considéré beaucoup plus comme un artiste ou un comédien que comme un patient.  La santé

La notion de santé est définie par l’Organisation mondiale de la santé d’une manière très générale telle que : « La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social

et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »102 Cette définition historique date de 1946 et depuis elle n’a pas fait l’objet de modification.

 Droit à la santé

« Le droit à la santé comprend l’accès, en temps utile, à des soins de santé acceptables, d’une qualité satisfaisante et d’un coût abordable. »103

 La culture

Selon l’article 2 de la Déclaration de Fribourg, la culture est définie selon trois axes complémentaires :

« a. le terme "culture" recouvre les valeurs, les croyances, les convictions, les langues, les savoirs et les arts, les traditions, institutions et modes de vie par lesquels une personne ou un groupe exprime son humanité et les significations qu’il donne à son existence et à son développement ;

100

Catherine PUIGELIER, « Dictionnaire juridique », collection paradigme, pp. 473-474.

101

CNRTL : http://www.cnrtl.fr/etymologie/patient

102 Préambule à la Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé, tel qu’adopté par la Conférence internationale sur la Santé, New

York, 19-22 juin 1946 ; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États et entré en vigueur le 7 avril 1948, (Actes officiels de l’Organisation mondiale de la Santé, n° 2, p. 100), p. 1.

103

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b. l’expression "identité culturelle" est comprise comme l’ensemble des références culturelles par lequel une personne, seule ou en commun, se définit, se constitue, communique et entend être reconnue dans sa dignité ;

c. par "communauté culturelle", on entend un groupe de personnes qui partagent des

références constitutives d’une identité culturelle commune, qu’elles entendent préserver et développer. »104

Selon Antonin Artaud, la culture est liée à l’homme comme une partie de son physique et elle est indispensable à son être. Il affirme qu’« il faut insister sur cette idée de la

culture en action et qui devient en nous comme un nouvel organe, une sorte de souffle second. »105 Il affirme encore largement cette idée de la non-séparation de l’homme et sa culture dans une protestation concrète : « Protestation contre l’idée séparée que l’on se fait de

la culture, comme s’il y avait la culture d’un côté, et, la vie de l’autre ; et comme si la vraie culture n’était pas un moyen raffiné de comprendre et d’exercer la vie. »106

Il élargit son argumentation et garde l’idée que prendre la culture en observation ne se focalise pas sur la vie de la culture elle-même, mais plutôt de ce qu’elle produise de force sociale : « Le plus

urgent ne me paraît pas tant de défendre une culture dont l’existence n’a jamais sauvé un homme du souci de mieux vivre et d’avoir faim, que d’extraire de ce que l’on appelle la culture, des idées dont la force vivante est identique à celle de la faim. »107

 Droit à la culture

Revenons à la même Déclaration de Fribourg qui, dans son article premier, précise certains principes fondamentaux du droit à la culture qui mettent tous les êtres humains sur un même pied d’égalité : « Les droits énoncés dans la présente Déclaration sont essentiels à la

dignité humaine ; à ce titre ils font partie intégrante des droits de l’Homme et doivent être interprétés selon les principes d’universalité, d’indivisibilité et d’interdépendance.

En conséquence :

a. ces droits sont garantis sans discrimination fondée notamment sur la couleur, le sexe, l’âge, la langue, la religion, la conviction, l’ascendance, l’origine nationale ou ethnique, l’origine ou la condition sociale, la naissance ou toute autre situation à partir de laquelle la personne compose son identité culturelle ;

b. nul ne doit souffrir ou être discriminé en aucune façon du fait qu’il exerce, ou n’exerce pas, les droits énoncés dans la présente Déclaration ;

c. nul ne peut invoquer ces droits pour porter atteinte à un autre droit reconnu dans la Déclaration universelle ou dans les autres instruments relatifs aux droits de l'homme ;

d. l’exercice de ces droits ne peut subir d’autres limitations que celles prévues dans les instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme ; aucune disposition de la présente Déclaration ne peut porter atteinte aux droits plus favorables accordés en vertu de la législation et de la pratique d’un État ou du droit international ;

e. la mise en œuvre effective d’un droit de l’Homme implique la prise en compte de son adéquation culturelle, dans le cadre des principes fondamentaux ci-dessus énumérés. »108

104

« Les droits culturels, Déclaration de Fribourg », adoptée à Fribourg, le 7 mai 2007, p. 5.

105 Antonin ARTAUD, « Le Théâtre et son double (1938) », extraits de la préface, éditions Gallimard, 1964, p. 10 et s. 106 Ibid., p. 13.

107 Ibid., p. 9. 108

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A] DÉFINITION DES CONCEPTS DU THÉÂTRE ET DE THÉÂTRE

THÉRAPEUTIQUE

 Le théâtre

La notion du théâtre peut être définie comme un art de la représentation d’un drame, genre dramatique ou bien même d’un genre littéraire ou de la comédie. C’est dans l’édifice que se déroulent le théâtre, les manifestations théâtrales qui sont bien sûr les spectacles.

Autrefois, la définition du mot théâtre désignait pareillement la partie cachée du public par le rideau qui est le plateau ou la scène. Ainsi, dans un sens figuré, le concept du

« théâtre » désigne un endroit où se déroule un événement important.

En principe, ce concept a bien évolué avec des arts dits pluridisciplinaires dans le monde d’aujourd’hui. Les grands personnages du monde du théâtre comme les metteurs en scène n’hésitent pas à dire que pour qu’il y ait vraiment du théâtre, il suffit d’avoir un champ, un temps, un acte et un public. Ainsi, une définition simple peut être retenue, à savoir que le théâtre est un procédé pour exprimer autrement la vie sociale.

 L’art

L’art a connu plusieurs approches lui offrant des définitions particulières, mais celle du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales est la plus utilisée par des grands artistes : « Ensemble de moyens, de procédés conscients par lesquels l’homme tend à une

certaine fin, cherche à atteindre un certain résultat. »109

L’ouverture que donne cette définition montre que l’art est une activité strictement humaine qui aboutit à des produits qui s’adressent aux émotions, aux sens, aux intuitions tout comme à l’intellect ou à la vue qui résume la fin de l’activité d’art. Il n’y a pas une pratique bien définie ou identique pour identifier l’art. L’exercice d’art en soi a un seul objectif : c’est d’atteindre le beau. Par opposition à la nature, l’art reste un savoir-faire conçu par l’homme dans sa puissance et dans sa réflexion scientifique et indépendante.

 L’art-thérapie

La Fédération Française d’Art-Thérapie donne une définition de cette notion d’une manière très scientifique en l’approchant de la médecine : « L’art-thérapie est une pratique de

soin fondée sur l’utilisation thérapeutique du processus de création artistique. »110

Elle précise qu’il est très difficile de donner une définition à l’art-thérapie puisqu’il est très complexe. Il se met au service de la médecine ou du processus de soins pour des raisons de communication et/ou pour stimuler en masse des facultés d’expressions, mais aussi de dynamiser les mouvements créatifs des patients. Le théâtre de type d’art-thérapie intervient dans la vie du malade en qualité de soins psychiques ou de difficultés psychologiques ou comme tout patient en situation de fragilité telle que : la maladie, le vieillissement, le handicap, l’exclusion sociale, la dépendance, le traumatisme ou l’accompagnement, etc.

Une autre définition a été donnée par l’Association Française de Recherche et d’Applications des Techniques Artistiques en Pédagogie et Médecine, école d’art-thérapie de Tours. Elle définit en large la notion de l’art-thérapie comme « L’exploitation du potentiel

109 http://www.cnrtl.fr/definition/art 110

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artistique dans une visée thérapeutique et humanitaire. »111 Cette démarche thérapeutique demande la présence des concepts originaux, des moyens et des méthodes distinctes de la nature pour que cette pratique ait une valeur scientifique et paramédicale.

Les ateliers d’art-thérapie se présentent comme un théâtre, mais il faut garder à idée que le théâtre n’est pas un jeu comme tous les autres. C’est un moyen de faire apparaître et comprendre « Qui suis-je ? », « Ce que je peux faire », et ensuite « Ce que je peux être ». Cela représente chez les patients et généralement chez les enfants un moyen de développement de l’hyperactivité individuelle ou en groupe et les aide à la gestion des troubles de comportements par le détour d’une approche ludique et artistique.

 Les médiations thérapeutiques

C’est ici qu’un espace de communication entre soignant et soigné est créé ayant pour but de médiations thérapeutiques. Attention, il faut garder à l’esprit que la médiation thérapeutique indique l’usage des créations et/ou des expressions exclusivement artistiques dans un but autre qu’esthétique. Le théâtre fait partie des disciplines utilisées dans la thématique de santé en qualité d’art-thérapie à fins thérapeutiques. La médiation thérapeutique ou la thérapie médiatisée appliquée à l’hôpital dans une visée thérapeutique est par définition appelée art-thérapie.

1) Les ressources humaines

Dans le monde professionnel, chaque entreprise ou association expérimente sa propre culture et son environnement, ce qui signifie un langage bien approprié et une préoccupation différente. Cela présume une ressource humaine spécifique d’un métier à l’autre. Le théâtre qui exploite ou qui emprunte un chemin non identique dont l’humour, le drame, etc., amène son public à une meilleure compréhension et à une mémorisation d’un message véhiculé pour des raisons spécifiques. Il est concevable qu’une personne se trouve devant un comédien et qu’elle puisse s’identifier à un message ou à une situation, mais aussi au discours. Le théâtre entrepris ici n’est pas celui des grands théâtres. L’art connu par ses effets dramatiques apaise ses forces et cache ses griffes au bénéfice du patient. Il tente de faire ressortir ses côtés pacifiques pour assurer la santé du malade. Contrairement à ce que disent certaines personnes, le théâtre thérapeutique dans les centres hospitaliers ne se limite pas seulement aux acteurs et aux metteurs en scène. Au contraire, les ateliers théâtre demandent différentes compétences. De la sorte, il est logique de faire appel à beaucoup de personnels pour faire tourner le projet. Il y a aussi le travail des coulisses où tout le monde s’active sans cesse, même si d’autres ne sont pas reconnus, une des raisons pour lesquelles le personnel de l’art-thérapie est beaucoup plus sélectif. Sa liste comprend soit dans ses ateliers ou ses représentations les professionnels suivants :

 Les soignants

- À l’aide d’une thérapie

La personne qui soigne ses patients à l’aide d’une thérapie est thérapeute, elle joue un rôle d’accompagnateur ou de médiateur. Sur une base de thérapie, il existe plusieurs types de thérapeutes comme le kinésithérapeute, l’équithérapeute, le psychothérapeute,

111 Julie COLLIN GUILLAUME, « Une expérience d’Art-thérapie à dominante arts plastiques auprès de personnes atteintes d’hémopathie malignes », mémoire de fin d’études du Diplôme Universitaire d’Art-Thérapie de la Faculté de Médecine de Tours, 2012, p. 22.

37 l’ergothérapeute ou encore le thérapeute familial ou de couple. Tous ces professionnels ont en commun l’usage de l’art-thérapie envers leurs patients.

 L’art-thérapeute112

Il faut retenir que l’art-thérapeute est un professionnel paramédical exerçant son rôle sous le patronage ou l’autorité médicale. Il peut être désigné comme un éducateur. Il a l’obligation de suivre les normes médicales prévues dans le secteur sanitaire et médicosocial ou d’exercer sous l’autorité d’un directeur d’un établissement de santé ou médico-social. Les symptômes majeurs recherchés en art-thérapie sont les troubles de relation, d’expression, de communication et de socialisation. Il dispose dans sa profession des outils spécifiques qui lui permettent d’établir un diagnostic d’observations et d’évaluations.

 La médecine expérimentale - Le médecin113

Il a non seulement sa place de médecin traitant du patient, mais aussi de collaborateur dans le théâtre ou dans les ateliers thérapeutiques. Il prescrit à son patient une autorisation de participer aux ateliers théâtre. Il prévoit la santé mentale ou physique de son patient, le traitement (la thérapie) et aussi la prévention des pathologies. Il coordonne la démarche à suivre et supervise la santé de son patient. Sa présence dans l’art-thérapie reste indispensable.

 L’infirmier114

L’infirmier est un professionnel paramédical dont le rôle est propre, défini sur prescriptions médicales. Ainsi, il exerce sa profession en termes de collaboration. Son rôle est bien clair dans le Code de déontologie relatif à la profession d’infirmier et ses actes, ses exercices et ses devoirs sont regroupés dans son ensemble sous la force d’un même « Décret

de compétences »115. En revanche, il y a toujours des confusions dans certains services de

soins du patient qui confient à certains infirmiers de gérer des ateliers d’art-thérapie. Tout en sachant que le Décret de compétences ne mentionne point l’art-thérapie comme acte ou exercice infirmier, mais plutôt comme une activité à but socio-thérapeutique ou également des techniques cadrées dans la médiation et à visée thérapeutique ou psychothérapeutique.

 Les métiers de la scène116 - Le metteur en scène

Il est le dirigeant et c’est sur lui que repose la charge de mettre la pièce en scène. Toutes les décisions artistiques lui reviennent. Il doit chercher un accord avec l’auteur ainsi que le producteur pour définir quelques techniques et le jeu de tous les acteurs. Il est le responsable de l’harmonie et de l’enthousiasme de la représentation du spectacle.

- Les acteurs

Ils sont chargés dans toute circonstance de jouer la pièce, de faire un jeu de rôle selon leur personnage. Ils peuvent être des thérapeutes, des patients, des médecins, des proches du patient, des acteurs professionnels et/ou des volontaires.

112 Arrêté du 7 décembre 2016 portant approbation de certaines dispositions des statuts de la Société Coopérative Solidarité Versailles Grand

Âge, JORF n° 0288 du 11 décembre 2016, texte n° 29.

113 Décret n° 2012-694 du 7 mai 2012 portant modification du Code de déontologie médicale, JORF n°0108 du 8 mai 2012 page 8479, texte

n° 97.

114

Circulaire DGS/PS3/DH/FH1 n° 96-31 du 19 janvier 1996 relative au rôle et aux missions des aides-soignants et des auxiliaires de puériculture dans les établissements hospitaliers.

115 Le Décret de compétence du 11 février 2002 relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier a ét é abrogé et

remplacé par le décret n°2004-802 du 29 juillet 2004. Journal officiel n°183 du 8 août 2004 p. 37087 : texte n° 37086.

116 Arrêté du 15 juin 2012 fixant le programme d'enseignement de théâtre pour les classes à horaires aménagés théâtre, JORF n° 0153 du 3

38 - Les figurants

Il y a aussi des figurants sur scène qui sont comme les acteurs, ils occupent la scène et jouent un rôle dans la pièce, mais ne parlent pas tout au long de l’histoire.

- Le doyen

Il doit être l’acteur le plus ancien du groupe, mais cela ne signifie pas qu’il doit être forcément le plus âgé. Il est intégré dans le comité d’administration, et en cas d’absence de l’administrateur principal, il doit le remplacer. Il peut également être retenu comme chef du