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J.-C. POGGENDORFF. — Fernere Thatsachen zur Begründung einer endgültigen Theorie der Elektromaschine zweiter Art (Nouveaux faits pour servir à la théorie des machines électriques de seconde espèce); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 78; 1875

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237154

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237154

Submitted on 1 Jan 1876

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Begründung einer endgültigen Theorie der

Elektromaschine zweiter Art (Nouveaux faits pour servir à la théorie des machines électriques de seconde

espèce); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 78; 1875

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. J.-C. POGGENDORFF. - Fernere Thatsachen zur Begründung einer endgültigen Theorie

der Elektromaschine zweiter Art (Nouveaux faits pour servir à la théorie des machines électriques de

seconde espèce); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 78; 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1),

pp.130-133. �10.1051/jphystap:018760050013001�. �jpa-00237154�

(2)

I30

Spectre

de la

IU111ière

dit

pôle négati~.

G. SALET.

J.-C. POGGENDORFF. 2014

Fernere Thatsachen zur Begründung einer endgültigen

Theorie der Elektromaschine zweiter Art (Nouveaux faits pour servir à la théorie des machines électriques de seconde espèce); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 78;

I875.

Ces nouvelles recherches

peuvent

être considérées connue la suite de celles dont il a été rendu

compte

dans ce Journal

(t. III, h. 225).

Le lecteur est

prié

de se

reporter

à cet

article (1)

pour les défini- tions.

Les nouveaux

phénomènes

observés

paraissent,

pour la

plupart,

à lVI.

Poggendorff, inexplicables actuellement;

mais ils montrent

certainement que les faces intérieures des

plateaux

sont abondam-

ment

chargées

d’électricités

qui

doivent

jouer

un rôle

ilnportant

dans la machine de Holtz. Les voici :

I.

Si,

la machine étant en activité

depuis quelque temps,

on ar-

rête le

plateau

antérieur avec le

doigt (après

avoir desserré l’écrou

qui l’entraîne

dans son mouvement de

rotation),

la machine col-

tinue à

fonctionner,

le courant

persistant

dans le conducteur du

plateau postérieur.

(1) Se reporter aussi à l’analyse d’un second Mémoire, qui a été donnée dans un numéro précédent du Journal de Physique, par M. Daguellet, t. V, p. 68.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050013001

(3)

Si, après

avoir arrêté le

plateau antérieur,

on le fait tourner dans

le sens direct avant de remettre la machine en

marche,

de go, 180

ou 360

degrés,

le courant se

reproduit

dans le même sens dès que l’on recommence à faire tourner le

plateau postérieur.

Si,

au

contraire,

on fait tourner le

plateau

antérieur de gU, I80

ou 36o

degrés

dans le sens

inverse,

le courant se trouve renversé.

Si, pendant

que le

plateau postérieur

tourne avec sa vitesse nor-

male,

on fait lentement tourner avec le

doigt

le

plateau antérieur,

on voit le courant diminuer

progressivement,

s’ annuler

quand

le

déplacement

est de

It5 degrés, puis changer

de

signe;

si on laissait

trop longtemps

le

plateau

antérieur à

It5 degrés,

la machine se dé-

chargerait.

II. On a

supposé jusqu"ici qu’après

l’arrèt et le

déplacement

du

plateau

antérieur le sens du mouvement de rotation de la machine n’était pas

changé ;

en le faisant tourner dans le sens

rétrograde,

on

observe exactement les mêmes faits.

III.

Si, après

avoir arrêté et

déplacé

le

plateau antérieur,

on le

visse de nouveau de manière à l’entraincr dans le mouvement de

rotation,

on trouve

qu’un déplacement

de go

degrés

dans le sens

direct ou inverse est

produit

par le renversement du courant, tandis

qu’un déplacement

de 180 ou 36o

degrés

en sens inverse

produit

cette inversion.

Si l’on

déplace

le

plateau

antérieur de go

degrés

à

gauche,

/?e/2- dant que le

plateau postérieur

tourne à droite de go

degrés,

il y a

inversion ;

si ces deux

opérations

sont faites

successivement,

il

n’y

a pas

d’inversion.

Un

déplacement

de

45 degrés

est sans influence.

Si l’on

déplace

le

plateau

antérieur de I80

degrés

à

gauche, puis

de i8o

degrés

à

droite,

il

n’y

a pas

d’inversion;

si l’on

change

l’or-

dre de ces deux

opérations,

le renversement se

produit.

On remarquera

qu’ici

on a

toujours

deux courants, un dans cha- que

conducteur;

ces deux courants se renversent

ensemble,

talldis

que si l’on fait tourner la

machine,

tantôt dans un sens, tantôt dans

l’autre,

sans

déplacement préalable

d’un des

plateaux,

un seul des

Y

deux courants est renversé.

IV. Si la rotation de la

machine, après

le

déplacement

de la roue

(4)

I32

a lieu dans le sens

rétrograde,

il y a

toujours

renversement d’un seul des courants, à savoir : du courant vertical si le

déplacerment (de

I80 ou 36o

degrés)

a eu lieu dans le sens

rétrograde,

du cou-

rant horizontal dans le cas contraire.

V. Si l’on

ajoute

le conducteur diamétral

oblique,

de manière

qu’il

soit

placé

devant les cadrans II et

IV,

on

obtient,

par une ro- tation en sens direct de la

machine,

un courant dans l’arc vertical

et un courant dans le

conducteur;

celui-ci se renv erse

quand

on

déplace

de 180 ou 36o

degrés

vers la

gauche

le

plateau

antérieur.

VI. Le conducteur étant dans sa

position normale,

c’est-à-dire devant les cadrans 1 et

III,

si om le fait tourner dans le sens di-

rect de go

degrés

pour le ramener ensuite à sa

position première,

le courant de l’arc horizontal sera renversé.

Si on le fait tourner de I 8o

degrés,

le courant sera ou ne sera pas

renversé,

suivant que le

déplacement

aura eu lieu dans le sens ré-

trograde

ou le sens direct.

Il faut avoir soin de maintenir la machine en marche

pendant qu’on déplace

le conducteur diamétral et surtout ne pas le laisser

trop longtemps

dans une

position

verticale.

VII.

Enfin,

si l’on

déplace

à la fois les deux

plateaux

de i 8o de-

grés

dans le même sens, les courants sont renversés tous les

deux, lorsqu’on

remet la machine en marche

dans

le sens

direct;

si on la

fait marcher dans le sens

rétrograde,

le courant est renversé dans l’arc vertical seul.

On n’observe

plus

d’inversion du courant

quand,

au lieu de faire

tourner le

plateau

antérieur sur lui-même pour le

déplacer

dans un

sens ou dans

l’autre,

on

l’éloigne

du

plateau postérieur

pour faire

cette

opération;

on

peut

encore, en faisant tourner le

plateau

au-

tour d’un axe

horizontal, changer

les faces externe et

interne,

sans

que l’allure de la machine soit

changée.

Les

peignes

ne

jouent

aucun rôle dans ces

phénomènes.

On

peut

les enlever

pendant qu’on opère

les

déplacements

sans rien chan-

ger aux

conséquences ;

si on les conserve et

qu’on

intercale un tube

de Geissler dans les arcs

qui

les

réunissent,

on

peut

voir que, pen- dant le

déplacement

du

plateau antérieur,

il existe des courants

dans les deux arcs.

(5)

Dans l’arc

vertical

un

déplacement

à

gauche

du

plateau

antérieur

produit

un courant, tant que le

déplacement

reste inférieur à i 8o de-

grés ;

le courant est de sens contraire à celui

qui

se

produit pendant

la marche

normale;

dans l’arc horizontal le courant est

également

de sens contraire

pendant

que le

plateau

antérieur est

déplacé

de

go

degrés ;

au

delà,

le courant

change

de sens.

A. POTIER.

IL NUOVO CIMENTO.

2e

SÉRIE,

TOME XIII ; 1875.

L. DONATI ET G. POLONI. - Sur le magnétisme temporaire d’une barre de fer,

p. 83-96 et 226-265.

Le fait étudié est celui

qu’ont

étudié aussi MM. Trève et Jamin.

Sur une

longue

barre de fer se trouvent enfilées une

spirale

induc-

trice et une

spirale

induite

qu’on peut approcher

ou

éloigner

de la

première ;

le courant induit est d’autant

plus faible,

et sa

produc-

tion subit un retard d’autant

plus grand

que les deux

spirales

sont

plus

distantes. Il est naturel de considérer ce fait comme le ré- sultat d’un mouvement lent de

progression

du

magnétisme

à l’in-

térieur de la barre.

On a alors cherché par

l’expérience :

i" la loi de la distribution

permanente

ou finale du

magnétisme

dans la

barre;

20 la loi de la

distribution variable avec le

temps

dans

chaque

section

pendant

la

période qui

suit l’introduction du courant dans la

spirale

induc-

trice. On a laissé constantes toutes les

conditions,

telles que forme

et dimensions de la

barre, position

de la

spirale magnétisante,

in-

tensité du courant

qui

la

parcourt,

etc. Dans ces

conditions,

si x

est la distance de la

spirale

inductrice à la

spirale induite,

t le

temps

pendant lequel le

courant a

passé,

F la déviation observée au

gal-

vanomètre relié à la

spirale

induite au moment de

l’interruption

du

courant, on a

où 1 et v sont des coefficients

positifs

et constants, It

et 03BC’

des coeffi-

cients

positifs,

fonction de x, et p

et p’

des constantes telles que

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