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V. DVOŘÁK. — Ueber die Schallgeschwindiglseit des Wassers in Röhren (Sur la vitesse du son dans les colonnes liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIV, p. 157; 1875

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HAL Id: jpa-00237173

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237173

Submitted on 1 Jan 1876

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V. DVOŘÁK. - Ueber die Schallgeschwindiglseit des Wassers in Röhren (Sur la vitesse du son dans les colonnes liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIV, p.

157; 1875

A. Terquem

To cite this version:

A. Terquem. V. DVOŘÁK. - Ueber die Schallgeschwindiglseit des Wassers in Röhren (Sur la vitesse du son dans les colonnes liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIV, p. 157; 1875. J. Phys. Theor.

Appl., 1876, 5 (1), pp.195-196. �10.1051/jphystap:018760050019501�. �jpa-00237173�

(2)

I95 Cette force n’est pas

dirigée

suivant ee’ et l’action de e, sur e’

n’est pas

égale

à celle de ef sur e; mais le travail

produit

par un dé-

placement

infiniment

petit

des masses

électriques

peut se mettre

sous la forme

et est, par

conséquent,

une dinerentielle exacte, seul

avantage

de

ces formules sur celle de Weber.

POTIER.

V.

DVO0158ÁK. 2014

Ueber die Schallgeschwindiglseit des Wassers in Röhren (Sur la vi-

tesse du son dans les colonnes liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIV, p. 157;

I875.

1VI.

Dvorak

avait

tenté, depuis longtemps, l’expérience

que firent MM. Kundt et Leh1ann

(1),

de

faire vibrer,

par

communication,

des colonnes

liquides.

Au lieu de limaille de

fer,

M. Dvoàk

employa

de la

poudre

il

tirer, privée

du nitre par le

lavage.

En fai s an t vibrer

longitudinalement

un tube de verre

rempli d’eau,

on obtient des stries dans la

poudre,

lnais peu

régulières.

M. Dvorak

réussit mieux par la méthode suivante :

Il

prit

un tube horizontal de 2 mètres de

long,

ayant une extré- mité fermée à la

lampe,

et l’autre extrémité ouverte

repliée

verti-

calement,

environ de la

largeur

d’une

main;

on

remplit

d’eau le

tube,

de telle sorte que la

partie

verticale ne soi t

qu’en partie

rem-

plie.

On ébranle ensuite fortement la colonne d’air

qui

reste en

soudant avec la

bouche;

on

change

la hauteur du son en

ajoutant

ou ôtant de 1 eau. La

poudre,

mise dans le

tube,

montre,

après quatre

ou

cinq ébranlements,

des rides

très-régulières;

néanmoins

la distance des noeuds était

irrégulière,

et de là M. Dvorak conclut que l’on ne

peut employer

les

figures

données par les

poudres

dans

des

tuyaux fermés,

pour déterminer la vitesse du son dans les li-

quides.

_

(I) Voir Journal de Physique, t. Y, p. I59, 18,6.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050019501

(3)

I96

Pour avoir une colonne libre aux deux

extrémités,

il recourba le

même tube à l’extrémité fermée sur une

longueur

très-faible

(la largeur

d’un

doigt),

et y laissa une grosse bulle d’air. La colonne d’eau formait ainsi une colonne ouverte aux deux

bouts,

et donna

des vibrations

énergiques

avec des noeuds

équidistants.

31. Dvofàk mesura le son

produit

a l’aide du

monocorde,

et en

déduisit,

ainsi que de la mesure de la distance de deux

noeuds,

la

vitesse du son dans

l’eau,

renfermée dans des tubes de diamètres

divers,

avec des

épaisseurs

de

parois

variables. Voici le résultat de

ses recherches :

On ne constata pas de double réfraction aux noeud. M. Dvoak n’est pas d’accord avec M. Kundt sur la nécessité de

prendre

de

l’eau absolument

privée

d’air. Les

petites

bulles d’air se

transpor-

tent

rapidement pendant

les vibrations vers les noeuds où elles for-

ment de grosses bulles.

Cagniard

de Latour avait

déjà

observé que, dans un tube

rempli

d’eau et vibrant

longitudinalement,

les bulles

d’air se

déplacent

le

long

des

parois,

et que l’air

dissous

dans le li-

quide

se

dégage pendant

les vibrations de ce dernier.

On voit que 31. Dvoák n’est pas

complétement

d’accord avec

MM. Kundt et Lehmann sur la manière

d’opérer.

L’insuccès du

premiers physicien

avec des tubes fermés ne doit tenir

qu’à

ce que

le fond d’un tube fermé à la

lampe

n’est pas assez inébranlable pour donner des ondes réfléchies un peu

intenses, quand

on eiii-

ploie

un mode d’ébranlement aussi faible. Celui

qu’ont employé

MM. Kundt et

Lelmnann,

consistant à faire vibrer le

liquide,

à l’aide d’une

tige

de verre ébranlée

longitudinalement,

est le

plus énergique

et le

plus

efficace pour obtenir des sons élevés et in-

tenses. A.

TERQUEM.

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