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P. RIESS. — Ueber die Bestimmung der Entladungsdauer der Leydener Batterie (Détermination de la durée de la décharge de la bouteille de Leyde); Annales de Poggendorff, t. CXLIX, p. 474; 1873

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HAL Id: jpa-00237011

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237011

Submitted on 1 Jan 1874

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P. RIESS. - Ueber die Bestimmung der Entladungsdauer der Leydener Batterie (Détermination de la durée de la

décharge de la bouteille de Leyde); Annales de Poggendorff, t. CXLIX, p. 474; 1873

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. P. RIESS. - Ueber die Bestimmung der Entladungsdauer der Leydener Batterie (Déter- mination de la durée de la décharge de la bouteille de Leyde); Annales de Poggendorff, t. CXLIX, p. 474; 1873. J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1), pp.66-67. �10.1051/jphystap:01874003006600�.

�jpa-00237011�

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66

P. RIESS. 2014 Ueber die Bestimmung der Entladungsdauer der Leydener Batterie (Dé-

termination de la durée de la décharge de la bouteille de Leyde); Annales de Pog- gendorff, t. CXLIX, p. 474; I873.

31. Riess

critique

la confusion

faite, d’après lui,

par la

plupart

des

observ ateurs,

entre la durée de la

décharge électrique

et la durée

de la lumière de

l’arc; lorsqu’une décharge

a lieu entre deux boules

métalliques, l’étincelle

contient une certaine

quantité

de

poussière, qui

reste incandescente

lorsque

la

décharge

a

cessé,

et par

suite,

la

durée

apparente

de celle-ci se trouve

prolongée.

Il fonde ces cri-

tiques

sur les observations suivantes.

1 ° Dans les

expériences

de

Feddersen,

faites par la méthode de ii

heatstone,

avec intercalation d’une colonne d’eau dans le

circuit,

la durée de la lueur est

proportionnelle

à la

quantité

d’électricité

déchargée,

dès que la colonne d’eau

dépasse 45

millimètres

(la

ten-

sion de l’électricité restant la

même);

cette loi cesse d’être vérifiée pour les

petites colonnes; mais,

en même

temps,

la

décharge

est

beaucoup plus rapide,

les électrodes

plus attaquées,

et la

température

de l’arc

plus élevée,

circonstances

qui prolongent

la durée de l’in-

candescence. Les

expériences

de MM. Lucas et

Cazin, dans lesquelles

le circuit tout entier était bon

conducteur,

s’écartent encore

plus

de

la loi de

proportionnalité.

2° La durée de la

décharge

ne

paraît

pas, a

priori,

devoir dé-

pendre

de la nature des

électrodes,

et

cependant

MM. Lucas et

Cazin trouvent des nombres variant de

248 à 162,

toutes choses

égales d’ailleurs,

cn faisant

jaillir

l’étincelle entre diflérents mé- taux.

3° Enfin les mêmes

expérimentateurs

ont

trouvé,

contrairement à

Feddersen,

que l’insertion d’un fil de fer dans le circuit diminuait d’autant

plus

la durée de la lueur que le fil était

plus long;

cette

contradiction ne

peut s expliquer

par la diminution de la

tempéra-

turc il

laquelle

était

portée

la

poussière métallique

arrachée aux

électrodes par la

décharge.

_NI. 1’tiess en conclut

qu’il n’y

a aucune relation entre la durée de

la

décharge

et celle de la lueur

observée,

et est conduit à

préférer,

pour la détermination de la

première, l’emploi

du thermomètre

électrique

ou de

l’électrodynamètre;

il admet que la chaleur dé-

veloppée

dans le

premier

instrument est

proportionnelle

au carré

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01874003006600

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67 de la

quantité q d’électricité,

et en raison inverse du

temps z

de la

décharge;

comme, d’autre

part,

cette

quantité

de chaleur est pro-

portionnelle

au carré de q, et en raison inverse de la surfaces de la

batterie,

cela revient à admettre que la durée de la

décharge

est pro-

portionnelle

à cette

surface;

d’oû z = A s =

A q y,

y étant la densité

électrique,

et A

proportionnel

à la résistance totale du

circuit ;

de

sorte que, si p est cette

résistance,

on

peut

poser

=a pq y.

M. Riess ne cite pas à ce

sujet d’expériences

faites avec le ther-

momètre ;

il

rappelle

seulement des

expériences

de 31.

Webcr,

dans

lesquelles

la

décharge

d’une batterie passe successivement dans un

galv anométrc

et un

électrodynamomètre.

Si l’on admet que le cou-

rant ainsi

produit

est constant, d’intensité

il

et dure un

temps

z, il

est clair:

1° que

la déviation a du

galvanomètre

est

proportionnelle

à z X

il

ou à é; que la déviation A du

dynamomètre

est propor-

2 d2

tionnelle

à z X

i2,

ou à

q2 z de

z sorte que le

quotient -

.1 est propor- tionnel

à z;

si la formule

proposée

est

acceptable,

ce

quotient

sera

donc

proportionnel

à

pd y, et d A

devra être

proportionnel à P y.

M. We-

y.

ber a

trouve,

en

effet,

que pour j, constant le

rapport dy AP

ne variait

pas sensiblement.

L’emploi

de

l’électrodynanlomètre parait préférable

à celui du

thermomètre pour arriver à une dé termination absolue du

teinps z ;

mais les deux

apparcils

sont

sujets

à cette même

objection :

que les formules ci-dessus ne sont

rigoureuses

que dans le cas où le courant

peut

être considéré comme constant

pendant

le

temps

z, sinon on trouv era pour z des valeurs trop

petites.

A. POTIER.

W. BEETZ. 2014 Bifilarelectroscope für Vorlesungsversuche

(Électroscope

bifilaire

pour les expériences de cours); Carl’ s Repertorium, t. IX, p. 18,; I873.

Une

aiguille

mince en gomme

laque,

de 15 centimètres de

long,

est

suspendue

par deux fils de soie à un

petit étrier;

les deux fils

ont une

longueur

de 5o centimètres et sont distants de L centi- mètre.

L’aiguille porte

à son extrémités une balle de sureau.

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