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VICTOR VON LANG. — Ueber die Abhängigkeit des Brechungsquotienten der Luft von der Temperatur (Relation de l'indice de réfraction de l'air et de la température); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 448 1874

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HAL Id: jpa-00237067

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Submitted on 1 Jan 1875

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VICTOR VON LANG. - Ueber die Abhängigkeit des Brechungsquotienten der Luft von der Temperatur

(Relation de l’indice de réfraction de l’air et de la température); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 448

1874

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. VICTOR VON LANG. - Ueber die Abhängigkeit des Brechungsquotienten der Luft von der Temperatur (Relation de l’indice de réfraction de l’air et de la température); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 448 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.246-248.

�10.1051/jphystap:018750040024600�. �jpa-00237067�

(2)

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VICTOR VON LANG. 2014 Ueber die Abhängigkeit des Brechungsquotienten der Luft von

der Temperatur (Relation de l’indice de réfraction de l’air et de la température);

Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 448 1874.

On ne

possédait

sur ce

sujet, jusqu’aux

recherches récentes de M. Mascart

(1),

que le travail célèbre eflectué entre les limites de

température - i ’, 5

et 12

degrés

par Biot et

Arago ( 2),

et étendu

par Biot à la

température

de 25

degrés.

De ces

expériences,

Biot

croyait pouvoir

conclure que la

puissance

réfractive n’ -1 était

proportionnelle

à la densité du gaz, conformément a une con-

séquence

déduite par Newton de la théorie de l’émission. L’indice de l’air à zéro

étant, d’après

Biot et

Arago,

no =

i,ooo2g45,

on

aurait

alors,

pour

représenter

la variation de l’indice 7Z avec la

température ( 3 ) ,

Maïs on

représente plus rigoureusement

les résultats de ces an- ciennes

expériences

par une formule à trois termes : soit la for-

mule

proposée

par 1B’1. Fizeau

(’"),

soit les forinules

calculées par von

Lang,

en se servant pour réduire les

expériences

du coefficient de dilatation de l’air

( 0,003~5 ) employé

par Biot

et

Arago.

La formule

(3)

se rapporte aux

expériences

faites en

commun par ces deux

physiciens;

la formule

( l~ )

à l’ensemble de celles-ci et des

expériences

de Biot.

Les rechcrches de 1_VT. Mascart introduisent un élément nouveau

de

complication ;

ce sav ant a

prouvé

que l’indice n n’est pas

rigou-

(’ ) M.BSCART, Comptes rendacs, t. LXXVIII, p. 617-

1’) BioT et ARAGO, lllémoires de l’Iustitrzt, t. VII, i, p. 3oi; BIOT, Id., t. ~’Il, 2, p. 39.

(~ ) Toir la Note de 31. 1Blascart dans les Comptes rendus.

(~ ~ FIZE.~L..~nnaZeS de Chimie et de Ph,~~sique, lte série, t. II, p. i 5$.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040024600

(3)

247

reusement

proportionnel

à la

pression

du gaz à

température

con-

stante. Dans le cas où la

pression

demeure

invariable,

la formule

na ,

1.., 1 d8 8 d, 1 1 f

n _-_ - -- -- ne

s’applique qu’à

la condition

d’y remplacer

le cocf

1 -r- a t

ficient de dilatation a de

chaque

gaz par un

coefficient P plus grand, qui

pour l’air est

o,3~3.

L’indice de réfraction de l’air serait ainsi donné par la

formule (’)

Les recherches de 31. von

Lang, opérécs

à la même

époque

que celles de M.

3Iascai~t,

n’ont

porté

que sur la variation de Il avec

la

température,

et que sur un seul gaz, l’air. Elles conduisent el une formule à trois termes,

analogue

el

(2), ~3 ~ et (4),

la for-

inule

Voici le

principe

de ces

expériences

de M. von

Lang.

Considérons une étuve fermée cn avant et en arrière par ducs

glaces planes,

et écliauilée latéralement par un courant d’eau chaude. Cette étuve est

placée

au centre d’un cercle divisé hori- zontal. Elle

reçoit

normalement sur la facc antérieure un faisceau lumineux

parallèle,

issu d’un collimateur muni d’une croisée de fils. Ce faisceau est reçu sur un

prisme isoscèlc~, porté

au centre du

cercle,

de

façon

que le

plan

bissecteur de son dièdre contienne l’axe du

collimateur;

et il est réfléchit à droite et à

gauche

par les faces latérales du

prisme.

Les faisceaux réflécl1Îs traversent la

glace postérieure

de

l’étuvc;

ils sont enfin reçus dans deux

luncttcs, portées

sur

cercle,

et munis d’un mouvemcnt de

rappel à

vis

micrométrique.

Si l’étuvc était à la

température ambiante,

le faisceau r(~fl{.("hi par l’une des faces du

prisme

traverserait

obliquement

la

glace,

inince

postéricurc,

sans

éprouver

de

déviation; mais,

des

qu’on

élèn c

la

température

de l’air

intérieur,

le faisceau sc

rapproche

de la

normale en sc réfractant à sa sortie de l’étu~-e, et la lunette destinée

a le recevoir doit être

déplacée

d’unc

quantité angulaire

Ë, pour (1) M. Von Lang donne, sans doute par suite d’une erreur de calcul,

n = I ~0002t~23 - 0,000001 321 t.

(4)

248

que

l’image

de la croisée de fils du collimateur soit ramenée sur le

prolongement

de l’axe

optique

de la lunette . De même la deuxième lunette devra recevoir un

déplacement.

On voit aisément que l’on a, aux

quantités près

du second

ordre,

en

désignant

par A

l’angle

du

prisme,

C’est au moyen de cette formule

qu’ont

été calculées les valeurs de n.

La

température

de l’étuve a varié de 1 g à

95 degrés,

et son excès

sur la

température

ambiante de zéro à

76 degrés.

Ces

températures

étaient évaluées au moyen de thermomètres

placés

au dedans et au

dehors de l’étuve. On avait constaté

expérimentalement

que l’ac-

tion de la chaleur de l’étuve sur l’air extérieur était

insensible,

et

que la dilatation du

prisme

n’introduisait dans les résultats

qu’une

erreur

négligeable.

E. BOUTY.

G. QUINCKE. 2014 Ueber elektrische Ströme bei ungleichzeitigem Eintauchen zweier

Ouecksilberelektroden in verschiedene Flüssigkeiten (Sur les courants électriques produits en plongeant l’une après l’autre deux électrodes de mercure dans divers

liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 161-205; 1874.

L’auteur donne ce nom aux courants

électriques qu’on

peut ob- tenir

(1)

au moyen d’un écoulement de mercure, ainsi que

je

l’ai

montré en

1873.

Une masse de mercure A contenue dans un en-

tonnoir de verre s’écoule en filet discontinu par le bec effilé de l’entonnoir. Ce bec

plonge

dans de l’eau pure ou acidulée

placée

dans un verre dont le fond est recouvert d’une couche de

mercure B.

Deux fils de

platine

a

et fi

servent à mcttrc les masses de

mercure A et B en

communication,

soit avec un

électromètre,

soit

avec un

galvanomètre.

L’électromètre

indique

que a est

négatif

par rapport

à ~ . Le galvanomètre indique

un courant

qui

va de B en A

à travers le circuit

métallique.

M.

Quincke répète

cette

expérience

--- ---

(1 ) Voir .Iorzrual de Pl~~~siqtte, t. III, p. 4 l, fige 2.

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