HAL Id: jpa-00237930
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Submitted on 1 Jan 1882
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R. WEBER. - Die Warmeleitungsvermögen von Gneiss und seine Abhängigkeit von der Temperatur
(Conductibilité calorifique du gneiss, sa variation avec la température ) ; Inaugural Dissertation, Zürich, 1878
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. R. WEBER. - Die Warmeleitungsvermögen von Gneiss und seine Abhängigkeit von der Temperatur (Conductibilité calorifique du gneiss, sa variation avec la température ) ; Inaugural Dissertation, Zürich, 1878. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.239-240.
�10.1051/jphystap:018820010023901�. �jpa-00237930�
239 nombres il faudrait substituer
ko = 0,08266,k18= o,ooio8. Ajou-
tons tout de suite que M.
Lorberg,
aussi bien que 81.Weber,
avant
intégré
leséquations
duproblème correspondant
àl’expé-
rience en supposant les conductibilités
indépendantes
de la tem-rature, ces nombres ne permettent de calculer en toute
rigueur
ni lavaleur absolue du coefficient de conductibilité pour une
tempéra-
ture
donnée,
ni le coefficient de variation de la conductibilité del’eau avec la
température.
E. BOUTY.R. WEBER. 2014 Die Warmeleitungsvermögen von Gneiss und seine Abhängigkeit
von der Temperatur (Conductibilité calorifique du gneiss, sa variation avec la température ) ; Inaugural Dissertation, Zürich, 1878.
La méthode
employée
par 81. R. Weber offrebeaucoup
d’ana-logie
avec celle dont MM.Ayrton
etPerry
ont fait usage dans unMémoire que nous avons
analysé précédemment (1).
Unesphère
de
gneiss,
dont tous lespoints
sontprimitivement
à la même tem-pérature,
estportée
subitement dans une enceintepleine
d’air secet dont la
température
est maintenue à une autre valeur constante.On
observe,
à l’aide de souduresthern1o-électriques,
lestempéra-
tures variables au centre de la
sphère
et en unpoint
très voisin dela surface. Les mesures ne doivent être effectuées
qu’à partir
d’untemps assez
lonb,
àpartir
du début del’expérience,
pour que latempérature
M en unpoint quelconque
de lasphère
varie suivantune formule
exponentielle
u = N e-mt,
et que les
températures
au centre et à la surface soient dans unrapport sensiblement constant. Ces conditions se trouvaient réa- lisées au bout d’une heure environ dans les
expériences
de M. Tz.Weber.
Dans un
premier
grouped’expériences,
latempérature
initialeétait celle de la
salle,
et le vase de cuivre formant enceinte étaitporté
à97°
oug8°
par un courant de vapeurd’eau ;
dans un secondgroupe, les conditions cLaicnt
renversées ;
latempérature
initiale(1) Voir Journal de f)hysique) t. VIII, p. 101; 1879.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010023901
240
était de
98-
et l’enceinte était refroidie à 25° par unegrande
massed’eau.
Les valeurs des conductibilités If et lz intérieure et extérieure obtenues dans les deux cas sont très différentes. M. R. Weber en conclut que les deux conductibilités varient assez
rapidement
avecla
température :
la conductibilité intérieuredécroît,
la conduc-tibilité Il
croit;
mais les formules deFourier, employées
par l’au-teur, supposant ces
quantités inyariables,
il en résulteraitsimple-
ment que, si les
expériences
sont exacte, les formules ne son tpoint applicables
aux corps mauvaisconducteurs,
etqu’il
fau-drait
intégrer l’équation
différentielle du mouvement de la chaleuren laissant Il et k variables. Or cela n’a été fait
jusqu’ici qu’en
supposant
les variations de ces coefficients trèspetites
parrapport
à leur valeur moyenne.
M. R. Weber a soumis une
sphère
deparaffine
aux mêmes essaisque la
sphère
degneiss.
Pour laparaffine
les coefficients lz et À- calculés par les formules de Fourier croîtraient tous deux avec latenlpérature,
et la variation de k serait huit foisplus rapide
quepour le
gneiss (1 ). Tous
ces résultats sont trèséloignés
de ceuxque l’on a annoncés
jusqu’ici,
et demanderaient à être confirmés.E. BOUTY.
ARCHIVES DES SCIENCES PHYSIQUES ET NATURELLES (DE
GENÈVE).
Tomes V et VI; 1881.
M.-AV. MEYER. 2013 Noie sur l’emploi du microphone clans le service de l’heure astroixoniique, t. V, p. 25.
Sur l’enregistrement des battements de secondes d’une pendule au moyen du microphone, t. N-1, p. 418.
Un
microphone
fixé sur lesupport
intérieur d’unependule
astro-(’ ) On aurait pour le gneiss
ct pour la paraffine