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A. WINKELMANN. — Ueber den Einfluss der Temperatur auf die Verdampfung und auf die Diffusion von Dämpfen (Influence de la température sur l'évaporation et la diffusion des vapeurs); Wied. Ann., t. XXXVI, p. 93; 1889

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00239049

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00239049

Submitted on 1 Jan 1890

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A. WINKELMANN. - Ueber den Einfluss der

Temperatur auf die Verdampfung und auf die Diffusion von Dämpfen (Influence de la température sur

l’évaporation et la diffusion des vapeurs); Wied. Ann., t.

XXXVI, p. 93; 1889

E. Haudié

To cite this version:

E. Haudié. A. WINKELMANN. - Ueber den Einfluss der Temperatur auf die Verdampfung und auf die Diffusion von Dämpfen (Influence de la température sur l’évaporation et la diffusion des vapeurs); Wied. Ann., t. XXXVI, p. 93; 1889. J. Phys. Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.112-114.

�10.1051/jphystap:018900090011201�. �jpa-00239049�

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pas encore rigoureusement obtenu un régime constant de h , mais

il a été tenu compte de l’erreur.

Les résultats trouvés montrent que les écarts entre la formule de M. Stefan et l’expérience n’offrent aucun caractère systéma- tique et restent inférieurs en valeur absolue à 2~0 pour 100, tandis que la formule de Dalton donne des valeurs toutes trop faibles et les écarts varient entre ~,g et W,a pour 100 ( 1).

La formule de 1VI. Stefan est donc plus exacte que celle de Dalton.

L’auteur a cherché, en terminant, à contrôler entre elles ses

différentes séries d’expériences, en comparant les valeurs qu’elles

fournissent pour le coefficient de diffusion de la vapeur d’eau dans l’air. Les nombres trouvés varient entre o, 2o i et 0,215. L’accord

n’est pas très grand, mais le fait n’est pas surprenant, car chaque expérience ayant duré souvent plus de douze heures, la tempéra-

ture moyenne obtenue au moyen des deux températures extrêmes

est nécessairelnent incorrecte. E. HAUDIÉ.

A. WINKELMANN. 2014 Ueber den Einfluss der Temperatur auf die Verdampfung

und auf die Diffusion von Dämpfen (Influence de la température sur l’évapo-

ration et la diffusion des vapeurs); Wied. Ann., t. XXXVI, p. 93; I889.

En 1884 (2), l’auteur a déjà étudié cette question de l’évapora-

tion et de la diffusion d’une vapeur dans un gaz à deux tempéra-

tures différentes. Mais alors il se proposait surtout de rechercher l’effet de la variation du rapport dans lequel se trouvent mélangés

le gaz et la vapeur. Il a été amené à conclure que le coefficient de diffusion est indépendant de la proportion des gaz composants.

Pour ramener à zéro les coefficients de diffusion Dt obtenus pour les températures des diverses expériences, il se servait de la

( i) M. Winkelmann n’a pas songé à comparer avec l’expérience la formule de M. Lavât

_

__

(1) Wied. Ann., t. XXII, p. i et 152, 188~; travail analysé par 11Z. Bouty dans

le Journal de Physique, 28 série, t. IV, p. 514; 1885.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090011201

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formule

Mais les déterminations de l’exposant in n’avaient été effectuée

par Lohschmidt et Obermayer que pour un petit nombre de mé- langes. Elles variaient de i~4~ ~ a,o5o. Dans les autres cas, l’au-

teur a dû alors adopter pour in, sans pouvoir la contrôler, la va-

leur 2 assignée par la théorie cinétique des gaz.

Le travail actuel a précisément pour objet de faire connaître la

variation d’un certain nombre de coefficien ts de diffusion avec la

température et, par suite, de fournir quelques déterminations nouvelles de m.

La méthode est restée exactement la même, ’tant pour mesurer les vitesses d’évaporation que pour en déduire les coefficients de diffusion. Les résultats sont cependant plus précis parce qne les

expériences ont été beaucoup plus nombreuses, et aussi parce

qu’on s’est approché beaucoup plus des conditions exigées ; les

variations du rapport ~2 (voit- l’analyse précédente) ont été très

faibles.

Les pressions étaient de l500mm à i 6oomm, et les températures

des deux expériences nécessaires dans chaque cas pour permettre

de déterminer les deux quantités Do et m étaient voisines de 20°

et i oo°.

,

Les expériences ont porté sur trois mélanges de vapeur d’eau

et d’air, d’hydrogène ou d’acide carbonique, et ont conduit aux

résultats suivants :

M. Winkelmann s’était déjà servi des valeurs de 1884, relatives

au coefficient de diffusion, pour calculer par la théorie de M. Stefan le coefficient de frottement intérieur et, par suite, le chemin

moyen d’une molécule d’un gaz ou d’une vapeur ( ). Il répète les

mêmes calculs sur les nombres actuels pour en déduire les expo-

(’) Journal de Physique) 2e série, t. IV, p. 517; c885.

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sants r2 de la fprmule

qui donne la variation du coefficient de frottement des gaz avec la

température.

D’après la théorie cinétique, si l’on fait abstraction de l’hypo-

thèse introduite en dernier lieu par Max "vell, ’1l doit être propor- tionnel à la racine carrée de la température absolue, c’est-à-dire

qu’on doit avoir tz = o,5. La nnéthode actuelle s’accorde avec

toutes les méthodes antérieures pour donner une valeur plus grande; pour l’air, c’est o, ~6.

Ce résultat peut s’expliquer par la supposition que le chemin moyen d’une molécule croît avec la température, ce que Stefan

et Meyer interprètent en admettant que, lorsque la température s’élève, les centres de gravité des molécules se rapprochent davan-

tage au moment du choc et le rayon de la sphère d’activité

diminue.

Sous ce rapport, la vapeur d’eau se comporterait comme l’azote

et l’air, dont le rayon de la sphère d’activité diminue moins rapi-

dément que celui de l’acide carbonique. E. HAUDIÉ.

A. SCHRAUF. 2014 Ueber die Verwendung einer Schwefelkugel zur Demonstration

singularer Schnitte an der Strahlenfläche (Sur l’emploi d’une sphère de soufre

pour mettre en évidence les sections singulières dans la surface de l’onde) ; Wied. Ann., t. XXXVII, p. I27; I889.

Le soufre est particulièrement avantageux pour ces expériences,

par suite de sa forte biréfringence

On déduit de ces nombres les valeurs suivantes pour les angles

d’ouverture des cônes de double réfraction conique

L’auteur emploie un cristal de soufre taillé en forme de sphère

de icm, 5 de diamètre, reposant sur la plate-forme d’un goniomètre

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