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SYN. KOCH. — Ueber die Abhängigkeit der Reibungsconstante des Quecksilbers von der Temperatur (Sur les variations de la constante de frottement intérieur du mercure avec la température); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 1; 1881

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HAL Id: jpa-00237907

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237907

Submitted on 1 Jan 1882

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SYN. KOCH. - Ueber die Abhängigkeit der

Reibungsconstante des Quecksilbers von der Temperatur (Sur les variations de la constante de frottement

intérieur du mercure avec la température); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 1; 1881

R. Blondlot

To cite this version:

R. Blondlot. SYN. KOCH. - Ueber die Abhängigkeit der Reibungsconstante des Quecksilbers von der Temperatur (Sur les variations de la constante de frottement intérieur du mercure avec la température);

Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 1; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.186-187.

�10.1051/jphystap:018820010018601�. �jpa-00237907�

(2)

186

J’ai

imaginé

une modification

(fig. 2),

dans

laquelle

on

emploie

le

galvanomètre

et le pont de

Wlieaustone ;

mais

je

ne l’ai pas

encore mise à

l’épreuve.

Dans cette

modification,

la lame est ren-

versée,

et l’extrémité inférieure est

plongée

dans un

liquide

à

grande

résistance. En face de cette extrémité et à une distance aussi

petite qu’on voudra,

se trouve une

pointe métallique,

les

deux servant comme électrodes. L’extrémité de la lame a un mot- vement de i-1 à peu

près,

pour une variation de 10

C. ;

par

conséquent,

la variation de

résistance,

au lieu d’être de

quelques millièmes,

comme dans l’instrunent du

professeur Langley,

peut

être de o

jusqu’â

I o00 ohms.

En résumé, l’instrument que

je

viens de décrire a les

avantages

suivants :

Sensibilité presque

illimitée;

9-’

Promptitude d’action ;

3° Facilité de

réglage ;

!.t° Simplicité

extrême.

SYN. KOCH. 2014 Ueber die Abhängigkeit der Reibungsconstante des Quecksilbers

von der Temperatur (Sur les variations de la constante de frottement intérieur du mercure avec la température); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 1;

1881.

MM. E.

Warburg

et E. Villari ont vérifié que la loi de Poiseuille

s’applique

à l’écoulement du mercure par les tnbes

capillaires ;

toutefois la valeur du coefficient de frottement intérieur donnée par le

premier

de ces auteurs étant sensiblement la moitié de celle

qu’a

donnée le

second,

de nouvelles

expériences

étaient néces-

saires.

La méthode de M. Koch consiste à mesurer le

temps employé

par une

quantité

donnée de mercure pour passer d’un réservoir dans un autre à travers un tube

capillaire,

sous une

pression

connue

et à une

températures

déterminée.

Les

expériences

ont été faites à des

températures qui

ont varié

de - 210 à +

340° ;

le diamètre des tubes

capillaires

a varié de

OCIll 0 1 J à 0cm,

oo5,

en nombre ronds.

Les résultats de l’observation peuvent se

représenter

exactement

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010018601

(3)

187 par

l’équation suivante,

où t

désigne

la

température

et 03BCt le coeffi- cient de frottement intérieur en unités absolues C. G. S.

Ainsi,

comme on l’avait trouvé pour d’autres

liquides,

la con-

stanle de frottement-diminue

quand

la

température s’élève, rapide-

ment

d’abord,

lentement ensuite. Les valeurs

numériques

s’accor-

dent du reste avec celles de M.

Warburg.

R. BLONDLOT.

STRECKER. - Ueber die specifische Wärme des Chlors- Brom-, und Iodgases (Sur la chaleur spécifique du chlore, du brome et de l’iode gazeux); Ann. der

Physik und Claemie, t. XIII, p. 20 ; 1881.

L’auteur détermine le

rapport

K des chaleurs

spécifiques,

à

pression

constante et à volume constant, da

chlore,

du brome et

de

l’iode, pris

à l’état gazeux, en

comparant,

par le

procédé

de

Kundt,

les

longueurs

d’ondes

qu’un

même son

produit

dans l’air

et dans l’un des gaz considérés.

Les

expériences

se font à des

températures comprises

entre 20°

et

3goO.

On calcule la vitesse du son en prenant pour vitesse dans l’air à ol le nombre 33 1 m, 2 .

On a trouvé que les

rapports K, correspondant

aux gaz consi-

dérés,

ne varien t pas sensiblement avec la

tempéra ture,

et

qu’ils

se

rapprochent

des valeurs

théoriques, qui

sont : pour le

chlore, 1,323;

pour le

brome,

i , 2go, et pour

l’iode, 1,300.

Le tableau suivant résume les résultats obtenus :

Les valeurs de K et de la chaleur

spécifique

à volume constant

rapportée

à l’air diffèrent de celles que l’on trouve pour les gaz

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