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L. PFAUNDLER. — Ueber die Berechnung der Temperaturcorrectiom bei calorimetrischen Messungen (Calcul de la correction de température dans les mesures calorimétriques); Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 237; 1880

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HAL Id: jpa-00237848

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237848

Submitted on 1 Jan 1881

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L. PFAUNDLER. - Ueber die Berechnung der

Temperaturcorrectiom bei calorimetrischen Messungen (Calcul de la correction de température dans les

mesures calorimétriques); Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 237; 1880

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. L. PFAUNDLER. - Ueber die Berechnung der Temperaturcorrectiom bei calorimetrischen Messungen (Calcul de la correction de température dans les mesures calorimétriques);

Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 237; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10

(1), pp.46-48. �10.1051/jphystap:018810010004601�. �jpa-00237848�

(2)

46

toutes la méthode des moindres carrés et trouvé, pour la chaleur

spécifique

vraie h de l’eau à t

degrés,

A == 1 + 0,

000425l.

La

comparaison

des nombres observés et calculés par cette for- mule montre la nécessité d v introduire un terme en

12@

1»ais les

expériences

ne sont pas assez

précises

pour

qu’on puisse

en dé-

terminer le coef’ficient.

Lc nombre

0,000425 est peu

différent de celui

0,000384,

déduit

par M. Pfaundler de la deuxième série

d’expériences

de M. 13auln-

gartner.

C. DAGUENET.

L. PFAUNDLER. 2014 Ueber die Berechnung der Temperaturcorrectiom bei calorime-

trischen Messungen (Calcul de la correction de température dans les mesures calo- rimétriques); Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 237; 1880.

Dans cette

Note,

M. Pfaundler se propose démontrer : m

qu’on

peut

faire à la nouvelle formule donnée par M. Wüllner

(1)

des ob-

jections,

même dans les cas pour

lesquels

elle est

spécialement

établie;

2" que le

procédé indiqué

par l’auteur

(2), qui

n’est autre

que celui de

Regnault,

est au contraire

complètement

à l’abri des

causes d’erreur

signalées

par 1BJ. iiiiillnei et des

critiques qu’ol peut

adresser à sa nouvelle formule.

1 ° M. Wüllner calcule la chaleur

perdue

en

prenant

la surface

rayonnante

totale du calorimètre, y

compris

la surface de

l’eau,

et

représentant

par E le

pouvoir émissif moyen

de cette surface to-

tale. Or les

expériences

faites dans le but de chercher la meilleure forme à donner aux calorimètres ont montré que le

rayonnement

d’une surface

liquide, qui

se

complique

du refroidissement

produit

par

l’évaporation,

est tout différent de celui d’une surface métal-

lique ;

la variation de

température peut

même

changer

de

signe

suivant que le calorimètre est

plus

ou moins

plein. Supposons

en

effet le calorimètre à une

température

inférieure à la

température ambiante ;

le

liquide reçoit

1 de la clialeur du dehors et t em

perd

par

évaporation.

Pour une certaine hauteur du

liquide,

il pourra y avoir

compensation.

(1) Voir Journal de Physique, t. VII, p. 39 (2) Muller’s Lehrbuch, 2. lie P;trt., p. 304.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018810010004601

(3)

47 Si l’on diminue la

quantité

de

liquide,

il y a

perte;

si on

l’aug-

mente, il y a

gain

de chaleur. La

perte

par la surface

liquide

croit

plus rapidement

que la différence de

température;

on ne

peut

donc considérer le

pouvoir

émissif comme constant.

Une seconde

objection

est

plus

grave. La correction

proposée

par M. M’ülliier suppose v différent de zéro : le calorimètre est

donc à une

température

0 inférieure à la

température

ambiante 1.

M. Wüllner admet que la

portion

du vase

baignée

par l’eau rayonne

seule,

c’est-à-dire

quel’autre partie

est à la

température X :

or cette

paroi métallique

est en contact par la

partie

infërieure

avec un

liquide

à la

température 9 ;

elle doit

prendre

une

tempéra-

ture Intermédiaire entre t et

0,

et l’élévation du niveau du

liquide,

en

supprimant

une

partie

de la surface

interne,

diminue la surface

en contact avec l’air au lieu de

l’augmenter.

Le calcul de la

tempé-

rature de cette

paroi

serait très

compliqué.

Au lieu d’avoir recours à une correction fort

incertaine,

il vaut

Inieux

s’arranger

de

façon

que v soit sensiblement nul.

M. Wüllner fait remarquer avec raison que la valseur en eau

du calorimètre n’est pas la même avant et

après

l’im1ersion du

corps;

dans le

procédé simplifié indiqué

par M.

Pfaundler,

on tient

compte

de cette différence dans le calcul de la

température

finale

du corps;

mais,

comme on la

néglige

dans la correction de rayon- iieiiient, l’auteur avoue que le calcul n’est pas tout à fait exact.

Le

procédé

de

Regnault (1864),

décrit de nouveau par M. Ber- thelot

(1),

est le

plus

exact de tous etàl’abri de toutes les

objections.

Dans ce

procédé,

on mesure à des intervalles

réguliers

la varia-

tion de

température pendant

le refroidissement du corps,

puis

on

ramène le

calorimètre,

y

compris

le corps, à la

température

ini-

tiale,

on le fait repasser par toutes les

tenlpératures

observées dans la

première expériences,

on mesure les

pertes

de chaleur et on re-

présente

ces

quantités

de chaleur par une courbe. Si la

tempéra-

ture finale observée est t, la correction de

température EAt,

la

température

exacte est 1 + EAt et on a la forlule

(1) Annales de Chimie et de Plo sique. Íl serie, t. XXIX, 1). W

(4)

48

Cette méthode est

parfaitement rigoureuse, puisque

les conditions

sont les mêmes dans les deux

expériences.

L’inconvénient de re- froidir le calorimètre

jusqu’à

la

température

initiale

après

le mé-

lange

a donné l’idée d’abaisser cette

température

pour diminuer la

perte

d’eau par

évaporation :

de là la méthode

sirnplifiée

de Re-

gnault publiée

par lui en 1866.

Dans cette

méthode,

on

applique

la formule

précédente;

seule-

ment dans le calcul de EAt : 10 on suppose

que la

courbe des

pertes

de chaleur est

remplacée

par une droite déterminée par deux ordon- nées voisines l’une de la

température initiale,

l’autre de la

tempé-

rature

finale;

on ne tient pas

compte

de la variation de la sur-

face

rayonnante (objection

de M.

Wülllier);

on suppose que la

température

extérieure est constante,

puisqu’on

introduit dans le calcul les

températures

au lieu des différences de

température.

Les

quantités négligées d’après

i et 3 sont peu

importantes

dans des

expériences

bien

faites;

l’autre est très

petite

si le volume

et la valeur en’ eau du corps sont

petits

par

rapport

aux mêmes

quantités

relatives au calorimètre. On

peut,

dans ce cas, le

remplir presque jusqu’au

bord et supposer toute la

paroi

à la

température

0 :

l’erreur est très

faible, quand

même v ne serait pas très

petit.

Dans

le cas

contraire,

il faut

employer

la

méthode complète de Regnault

et

prendre

le

plus petit possible.

Quant

à la formule de M.

Wiillner,

elle est

théoriquement

in-

complète

et

trop compliquée

pour être d’un

emploi général

dans

la

pratique.

C. DAGUENET.

S. DOUBRAVA. 2014 Untersuchungen über die beiden electrischen Zustände

(Recherches sur les deux états électriques); Prague, 1881.

L’auteur construit de

petits

électromètres fondés sur la

répulsion qui

a lieu entre corps électrisés de même

signe ;

il les

charge

assez

fortement pour

qu’il

y ait une forte

déperdition

à leur surface sous

forme

d’aigrette

ou par convection. Dans ces

conditions,

il trouve

qu’une charge positive produit

une

plus grande

déviation

qu’une charge négative

de même

potentiel.

Une seconde série

d expériences porte sur la longueur

relative des

aigrettes positives

et

négatives produites

soit au milieu de

l’air,

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