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Submitted on 1 Jan 1881
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L. LORENZ. – Ueber die Refractionsconstante (Sur la constante de réfraction); Ann. der Physik und Chemie,
nouvelle série, t. XI, p. 70; 1880. K. PRYTZ. -
Experimentelle Untersuchungen cherches expérimentales sur la constante de réfraction) : ibid., t. XI, p. 104; 1880
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. L. LORENZ. – Ueber die Refractionsconstante (Sur la constante de réfraction);
Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 70; 1880. K. PRYTZ. - Experimentelle Untersuchungen cherches expérimentales sur la constante de réfraction) : ibid., t. XI, p. 104; 1880. J.
Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.88-89. �10.1051/jphystap:018810010008800�. �jpa-00237888�
88
L. LORENZ. -- Ueber die Refractionsconstante (Sur la constante de réfraction);
Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. XI, p. 70; 1880.
K. PRYTZ. 2014 Experimentelle Untersuchungen über die Refractionsconstante (Re-
cherches expérimentales sur la constante de réfraction) : ibid., t. XI, p. 104; 1880.
Le
point
dedépart
de la théorie de la réfraction de )1. Lorenzpeut
étre considéré comme uneinterprétation
del’hypothèse
deFresnel sur 1 entraînement
partiel
de l’éther.Lorsque
la densitéd’un corps
varie,
parexemple
par variation detempéra ture
ouchangement d’état,
la distribution de l’éther condensé autour dechaque
molécule du corps nechange
pas, etquant à l’espace
inter-moléculaire,
il contient dans tous les cas de l’éther dont la densitéest
égale
à cellequ’il possède
dans le vide. Si l’ondésigne
para la constante de la formule de
dispersion
deCauchy,
l’auteur ar-rive à trouver que l’on doit avoir dans cette
hypothèse
la rela-tion
v étant le volume de l’unité de masse du corps, P une constante
qu’ il appelle
la constante deréfraction.
De nombreuses mesures ont été faites par MM. Lorenz et
Prytz
surun
grand
nombrc de gaz, vapeurs à i oo°et liquides correspondants,
. moins pour vérifier la loi énoncée que pour déterminer pour
chaque
corps les valeurs des
quantités P,,,, PLi,
définies par les relationsnNa, ml,l
représentant
les indices de la substance parrapport
à la lumièrehomogène
de l’alcool salé et à la bande rouge du li- tliium.La méthode
expérimentale suivie,
soit dans le cas des vapeurs, soit dans celui de l’eau entre 0° et30°,
n’est autre que la méthode interférentielle des lamesépaisses
de 1B1. Jarnin. Sans entrer dansle détail soit
des.expériences,
soit des résultatsobtenus, j’indique-
rai
parmi
ces derniers ceuxqui présentent
un intérêtparticulier.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018810010008800
89 Dans le cas de l’eau
liquide,
entre o° et30°,
M. Jamin avait an-nonce que,
malgré
1 existence d’un maximum dedensité,
l’indicede réfraction, ariait
toujours
dans le même sens pour destempé-
ratures croissant à
partir
de o°. Lorenz trouve pour les indices mesurés un résultat tout à faitanalogue ; niais,
par contre, si Fon calcule les valeurs dc la constante pour les diversestempératures,
on constate
qu’elle
passe par une valeur maximum à4°.
Pour les divers gaz
étudiés,
les valeurs des indices concordent bien avec celles trouvées par Biot eu.A..rago, Dulong
et M. Mas-carl. L air
atmosphérique
faitexception :
toutes les mesures ontconduit pour ce gaz à des valeurs des indices sensiblement
plus
faibles. La
dispersion
de l’azote estdiaprés M.
Lorenz moindre quc celle de l’air. M. Mascart trouve un résultat contraire. Du reste, les indices de l’azote ont été calculés par lI. Lorenz au moyen des nombres obtenus pour l’air et pour l’oxygène.J. MACÉ DE LÉPINAY.
AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS.
Ier semestre. - Volume XIX. 2014 Année 1880.
WALTER-N. HII,L. -
Electrodynamomètre
pour la mesure des courants intenses, p. 10.Cet
électrodynamomètre
se compose de deuxgrandes
bobinesiixes,
verticales etparallèles,
faites d’un ruban de cuivredeom, 037
de
large
et deImm, 5 d’épaisseur.
Entre elles estsuspendue
parun fil de soie à coudre la bobine
mobile,
constituée par un ruban de cuivre de muneépaisseur
que leprécédent
etlarge
deom, 049.
Au lieu de mesurer la déviation
éprouvée
par cette dernière bobinequand
un courant traversel’appareil,
on mesure la force nécessaire pour la ramener à saposition d’équilibre.
Dans ce but, deux filshorizontaux
qui passent
sur despoulies parfaitement
travaillées et très libres s’atlachcnl d’unepart
aux deux côtésopposés
de labobine et
portent
de l’autre unplateau.
On ramènel’aiguille
danssa