HAL Id: jpa-00238009
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Submitted on 1 Jan 1882
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K. VIERORDT.- Die Photometrie der Fraunhofer’schen Linien ( Photométrie des lignes de Fraunhofer) ; Ann.
der Physik und Chemie, t. XIII, p. 338; 1881
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. K. VIERORDT.- Die Photometrie der Fraunhofer’schen Linien ( Photométrie des lignes de Fraunhofer) ; Ann. der Physik und Chemie, t. XIII, p. 338; 1881. J. Phys. Theor.
Appl., 1882, 1 (1), pp.49-49. �10.1051/jphystap:01882001004901�. �jpa-00238009�
49
sphérique
futremplacé
par un système de quatreaiguilles
aiman-tées de 5mm de
longueur, placées
suivant les arêtesparallèles
ethorizontales d’un très
petit
cube enliège.
Si lalongueur
des ai- guilles est 2,3 fois celle des arêtes du cube, ce systèmeéquivaut
à un aimant infiniment
petit, placé
au centre du cube. Il est encore moins pesant, pour un même momentmagnétique,
que lasphère.
La moyenne des résultats très concordants montra que l’étalon donné par l’Association
britannique
comme valant un ohm vauto,
9893 X
109 unités absolues(C.
G.S.),
résultat assez voisin decelui obtenu par M. Rowland
(0,9911
X109).
H. PELLAT.K. VIERORDT.- Die Photometrie der Fraunhofer’schen Linien ( Photométrie des lignes de Fraunhofer) ; Ann. der Physik und Chemie, t. XIII, p. 338; 1881.
A mesure
qu’on élargit
la fente d’un spectroscopie, les raies lesplus
finesdisparaissent
d’abord,puis
les raies un peuplus
sombres,et enfin les raies
principales disparaissent
à leur tour. Leslargeurs
de la fente, nécessaires pour fairedisparaître
ainsi les raiesprinci- pales,
sont entre elles comme les nombres 365(raie B),
220(raie C),
353(raie D),
185(raie E) ,
600(raie F),
620(raie G).
Les inverses de ces nombres mesureraient,
d’après
l’auteur, les in-tensités lumineuses de ces raies, par rapport à l’intensité de la ré-
gion
avoisinante du spectre.On peut
objecter
à cette manière de voirqu’elle
suppose que la sensibilité de l’oeil, pourapprécier
la différence d’éclat de deux surfaces voisinescr ==
const. , seraitexprimée
par le mêmeQ
nombre pour toutes les radiations du spectre. Or on peut affirmer
qu’il
n’en est rien(1).
J. MACÉ DE LÉPINAY.(1) C’est ce que l’on peut établir de la manière suivante : considérons les deux ombres d’une tige opaque produites sur un écran en projetant sur elle des quantités Q de lumière jaune, Q’ de lumière bleue. On pourra toujours choisir Q’
de telle sorte que les deux ombres paraissent également éclairées, et l’on pourra écrire Q = Q’. Augmentons alors la proportion de lumière jaune, de manière qu’elle
devienne Q,. D’après l’expérience fon damentale décrite par Helmholtz (Opt. physio-
J. de Plays., 26 série, t. 1. (Janvier 1882.) 4
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