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W. DIETRICH. — Ueber das Verhältniss der Intensitäten der beiden Natriumlinien (Sur le rapport des intensités des deux lignes du sodium); Ann. der Physik und Chemie, t. XII, p. 519; 1881

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237864

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237864

Submitted on 1 Jan 1881

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W. DIETRICH. - Ueber das Verhältniss der

Intensitäten der beiden Natriumlinien (Sur le rapport des intensités des deux lignes du sodium); Ann. der

Physik und Chemie, t. XII, p. 519; 1881

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. W. DIETRICH. - Ueber das Verhältniss der Intensitäten der beiden Natriumlinien (Sur le rapport des intensités des deux lignes du sodium); Ann. der Physik und Chemie, t. XII, p.

519; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.506-506. �10.1051/jphystap:0188100100050601�.

�jpa-00237864�

(2)

506

K.-L. BAUER. 2014 Zur Behandlung der Lehre von spherischen Spiegeln und Lin-

sen (Étude des miroirs sphériques et des lentilles); Carl’s Repertorium, t. XVI, p. 28; 1880.

Cette étude repose sur les

propriétés

des

proportions

harino-

niques :

elles permettent de discuter facilement les aberrations

longitudinales

dans les miroirs

sphériques.

Je citerai aussi une construction nouvelle des

images

dans les

miroirs

sphériques

concaves ou convexes. Décrivons du

foyer

comme

centre, avec un rayon

= f,

une circonférence; menons le diamètre

perpendiculaire

à l’axe

principal

MN,

et joignons

M au

point

lumi-

neux

placé

sur l’axe P : la droite 31P rencontre la circonférence en un certain

point

X. Si nous

joignons

ce

point

X à l’autre extré-

mité N du diamètre MN, le

point

de rencontre de cette droite et

de l’axe

principal

est

l’image

P’ du

point

P.

Une construction

analogue

peut

s’appliquer

aux lentilles.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

W. DIETRICH. 2014 Ueber das Verhältniss der Intensitäten der beiden Natriumlinien (Sur le rapport des intensités des deux lignes du sodium); Ann. der Physik und Chemie, t. XII, p. 519; 1881.

Le

photomètre

dont l’auteur s’est servi consiste en deux nicols,

le

premier

mobile, le second fixe, entre

lesquels

on

interpose

une

plaque

à deux rotations. Une lentille donne de la

plaque

à deux

rotations une

image

que l’on amène à coïncider avec le

plan

de la

fente d’un spectroscope. On obtient ainsi deux spectres super-

posés et l’on peut

toujours disposer

le

premier

nicol de telle sorte

que la raie Da de l’un ait même intensité que la raie DB de l’autre.

On trouve comme moyenne de 12 observations :

J. MACÉ DE LÉPINAY.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100050601

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