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A. SCHULLER. — Ueber die Bildungswärme des Wassers (Sur la chaleur de formation de l'eau ) ; Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 226 ; 1881

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237911

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237911

Submitted on 1 Jan 1882

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A. SCHULLER. - Ueber die Bildungswärme des Wassers (Sur la chaleur de formation de l’eau ) ; Ann. der Physik

und Chemie, t. XIV, p. 226 ; 1881

Ch. Gomien

To cite this version:

Ch. Gomien. A. SCHULLER. - Ueber die Bildungswärme des Wassers (Sur la chaleur de formation

de l’eau ) ; Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 226 ; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1),

pp.192-193. �10.1051/jphystap:018820010019201�. �jpa-00237911�

(2)

192

3. Distillation des

liquides

se

séparant

en deux couches.

1 ° Il

n’y

a que deux

liquides.

Point d’ébullition constant en tre les

limites n 1 et ’Î2,

en

général plus

bas que celui des composants.

Il y a

plus

de deux

liquides.

Plus de

point

d’ébullition con-

stant. CH. GOMIEN

A. SCHULLER. 2014 Ueber die Bildungswärme des Wassers (Sur la chaleur de for- mation de l’eau ) ; Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 226 ; 1881.

Ce Mémoire est une

réponse

aux

critiques

que le D’ Von

der Than

adresse,

dans ses recherches de Thermochimie

(1),

au

travail fait sur le même

sujet

par

l’auteur,

en collaboration avec le Dr Wartha

(2).

Il remarque d’abord que l’on peut

distinguer

deux chaleurs de

combustion,

l’une

EP

à

pression

constante, l’autre Ev à volume con-

stant. C’est cette dernière

qu’a

déterminé Ile. Von der Than. La

différence

Ep -

Ev

représente

le travail extérieur

produit

dans le

changement

de

volume ; d’après l’auteur,

elle est

égale,

pour l’unité de masse

d’eau,

à

403cal.

La vraie chaleur de formation peut se

déduire,

soit de

Ev,

soit de

Ep.

31. Von der Than se contente de retrancher de Ev la chaleur latente de la vapeur à o°, ce

qui

donne un résultat

inexact,

car la

liquéfaction

devait commencer à

960,4;

il faut donc introduire la chaleur totale de la vapeur. Il faut échauffer les gaz à

96°,4,

ce

qui absorbe 2013N1cal, puis

les

combiner,

ce

qui dégage

la chaleur cher- chée

E,

laisser

refroidir

à

96°,4,

et laisser la vapeur se

condenser, jusqu’à

00, ce

qui dégage N 2 cal.

Donc On trouve

M. Schuller déduit E de

EP. L’oxygène

et

l’hydrogène (fi-. 1)

arrivent dans une chambre à combustion

composée

de deux par-

(1) VON DER THAN, Wied. Ann., t. XIII, p. 84 et io5; 1881.

(’) SCIIULLER et WARTHA, Wied. Ann., t. II, p. 377; 187ï’

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010019201

(3)

193

ties;

ils s’unissent dans la

partie supérieure, qui

est

à 225°,

en

dégageant :

10

M1cal employées

à les

chauffer,

leur chaleur de

combinaison

E,

M2 cal correspondant

à la condensation de trois volumes en

deux ;

la vapeur d’eau formée passe dans la

partie

infé-

Fig. i.

rieure à o, où elle abandonne

M2cal;

donc

L’auteur trouve ainsi

E = 28810.

M. Schuller

signale

enfin une cause d’erreur dans la méthode de M. Von der

Than,

cause

qui expliquerait

les différences de leurs résultats. C’est l’ébranlement causé par

l’explosion, laquelle

com-

munique

au calorimètre une

quantité

de chaleur

étrangère.

CH. GOMIEN.

J. RUSSNER. - Ueber die Wärmeausdehnung des Schwefels, Kautschuks, Hart- gummis und des Paraffins, etc. (Dilatation thermique du soufre, du caoutchouc,

du caoutchouc durci, de la gutta-percha et de la paraffine. Emploi du caout-

chouc durci pour la construction de pendules compensateurs); Carl’s Reper- torium, t. XVIII, p. 152 ; 1882.

M. Russner a étudié la dilatation de ces

substances,

entre ol et

100°, au moyen de la méthode du thermomètre à

poids,

en em-

ployant,

comme

liquide auxiliaire,

soit l’eau, soit le mercure.

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