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II. LORBERG. - Ueber Wärmeleitung in einem System von Cylindern, und über die experimentelle Bestimmung der Leiutingsfähigkeit des Wassers (Sur la conductibilité calorifique dans un système de cylindres et sur la détermination expérimentale de la conducti

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237929

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237929

Submitted on 1 Jan 1882

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II. LORBERG. - Ueber Wärmeleitung in einem System von Cylindern, und über die experimentelle

Bestimmung der Leiutingsfähigkeit des Wassers (Sur la conductibilité calorifique dans un système de cylindres

et sur la détermination expérimentale de la

conductibilité de l’eau); Ann. der Physik und Chemie, t.

XIV, p. 291 et 426; 1881

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. II. LORBERG. - Ueber Wärmeleitung in einem System von Cylindern, und über die experimentelle Bestimmung der Leiutingsfähigkeit des Wassers (Sur la conductibilité calorifique dans un système de cylindres et sur la détermination expérimentale de la conductibilité de l’eau); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV, p. 291 et 426; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.237-239.

�10.1051/jphystap:018820010023701�. �jpa-00237929�

(2)

237

térale

K1 représente

la conductibilité à la

température T1-T2 2, k2

la

même

grandeur

à la

température T2-T3 2.

En

prenant pourles

deux

plaques

à comparer deux

plaques

de la même substance et de même

épaisseur,

ces formules permettent de calculer la valeur du coeffi- cient de variation x. Cette méthode a donné pour l’air

nombre notablement

plus petit

que celui de M. v’Íin kelnlann

( ’ ).

L’auteur a

comparé

les conductibilités de divers

liquides (eau, alcool, glycérine,

huile

d’olive,

essence de

citron)

à celle de l’air : les valeurs relatives

clu’il

obtient

présentent

un accord suffisant

avec les résultats des mesures absolues de M. H. F. Weber

(2).

E.

BOUTY.

II. LORBERG. - Ueber Wärmeleitung in einem System von Cylindern, und über

die experimentelle Bestimmung der Leiutingsfähigkeit des Wassers (Sur la con- ductibilité calorifique dans un système de cylindres et sur la détermination expé- rimentale de la conductibilité de l’eau); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV,

p. 291 et 426; 1881.

A propos du

grand

Mémoire de 31. II.-F. AVeber sur la conduc- tibilité des

liduides, analysé précédemment

dans ce Journal

(3).

M.

Lorberg

traite

théoriquement

le

problème

sui vant :

Étant

donné un sj slèn1e de it

cylindres

de même rayon et de substance

différente) superposés

par leurs bases et

qui

ont à

l’origine

e11 tous leurs

points

une même

température

tio, on

(1) WINKELMANN, Pogg. Ann., t. CLVII, p. 514, et t. CLIX, p. 177: 1876.

C) H.-F. W EllER, Annalen der Physik und Chernie) t. Ã, p. J03 (1880), et Jour- Izal de Ph.ysique) t. IX, p. i6g (1880).

(3) Voir Journal de Plzysilzce, t. IX, p. i6g; 1880.

J. de Phys., série, t. 1. (Mai 1882.) 16

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010023701

(3)

238

porte sllbitelnent à 00 la base du

c)’lindre inférieur

et on

place

en 7nêtne tenlps tout le

sostème

clans line enceinte maintenue

cc

o° ;

déterminer la clistriblltion de-s

températures

variables

dans l’un

quelconque

des

cylinclres

au bout d’un temps t

qiiel-

conque.

M.

Lorberg admet,

contrairement à

l’opinion

de

Poisson, qu’à

la

surface de contact des deux corps

différents.,

solides ou

liquides,

il

n’y

a aucune différence finie de

température,.

G’est ce que M. We- ber avait aussi

admis,

à

l’exemple

de la

plupart

des

ph)

siciens con.

temporains ;

il est bon toutefois de

rappeler

que, si d’une

part

M. G.

Wiedemann

( 1 ) a

cru

pouvoir

déduire

d’expériences

à cet

égard

due, pour deux

métaux,

la

température

varie d’une manière con-

tinue,

mème à la surface de

séparation, Angström

est arrivé à la

conclusion contraire pour le cas de deux métaux

(2)

et

Despretz (3)

pour celui de deux

liquides.

Après

avoir

établie à l’aide

des fonctions de

Bessel,

les

équations générales

du

problème qu’il

s’était

posé,

M.

Lorberg

étudie en

particulier

le cas de trois cylindres

SilperlJOSes, qui

est celui des

expériences

de 31. H.-F’. Weber. Il élève

quelques objections

sur

le mode de calcul

employé

par l’auteur : en

particulier,

on sait que pour

produire

la

température

de ol à la base du

cylindre

de cuivre

inférieur de son

appareil (4),

31. H.-F. Weber

déposait

le sis- tème formé par les deux

plaques

de cuivre et le

liquide interposé

sur une

plaque épaisse

de

glace ;

il admettait ensuite dans ses

calculs clu’on peut négliger

le

-temps

que met la

température

de zéro

à se

propager jusqu’à

la base

supér i eur e

du

cylindre infér ieur, qui

n’a que 0cm, 5

d’épaisseur.

Calculant à nouveau les

expériences

de

Weber relatives à

l’eau,

81.

Lorberg

montre que cette

hypothèse

n’est pas absolument

légitime,

et

qu’il

en résulte une correction

notable à apporter aux résultats. M. Weber donne pour coefficient de conductibilité de l’eau à et à

18°, tirés

de deux des

expériences

dont il a

publié

les

détails, k0=0,0768, k,8===o,0867.

A ces

(1)

WIEDEMANN, Pogg. Ann., t. XCV, p. 337; i855.

(2) ANGSTRÖM, Pogg. Ann., t. LXXXVIII, p. 1853.

(3) DESPRETZ, Conzptes rendus des séances de l’ Académie des Sciences, t. LXXII,

p. 434; 1871.

(4) Journal de Physique, t. IX, p. 171; i88o.

(4)

239 nombres il faudrait substituer

ko = 0,08266,k18= o,ooio8. Ajou-

tons tout de suite que M.

Lorberg,

aussi bien que 81.

Weber,

avant

intégré

les

équations

du

problème correspondant

à

l’expé-

rience en supposant les conductibilités

indépendantes

de la tem-

rature, ces nombres ne permettent de calculer en toute

rigueur

ni la

valeur absolue du coefficient de conductibilité pour une

tempéra-

ture

donnée,

ni le coefficient de variation de la conductibilité de

l’eau avec la

température.

E. BOUTY.

R. WEBER. 2014 Die Warmeleitungsvermögen von Gneiss und seine Abhängigkeit

von der Temperatur (Conductibilité calorifique du gneiss, sa variation avec la température ) ; Inaugural Dissertation, Zürich, 1878.

La méthode

employée

par 81. R. Weber offre

beaucoup

d’ana-

logie

avec celle dont MM.

Ayrton

et

Perry

ont fait usage dans un

Mémoire que nous avons

analysé précédemment (1).

Une

sphère

de

gneiss,

dont tous les

points

sont

primitivement

à la même tem-

pérature,

est

portée

subitement dans une enceinte

pleine

d’air sec

et dont la

température

est maintenue à une autre valeur constante.

On

observe,

à l’aide de soudures

thern1o-électriques,

les

tempéra-

tures variables au centre de la

sphère

et en un

point

très voisin de

la surface. Les mesures ne doivent être effectuées

qu’à partir

d’un

temps assez

lonb,

à

partir

du début de

l’expérience,

pour que la

température

M en un

point quelconque

de la

sphère

varie suivant

une formule

exponentielle

u = N e-mt,

et que les

températures

au centre et à la surface soient dans un

rapport sensiblement constant. Ces conditions se trouvaient réa- lisées au bout d’une heure environ dans les

expériences

de M. Tz.

Weber.

Dans un

premier

groupe

d’expériences,

la

température

initiale

était celle de la

salle,

et le vase de cuivre formant enceinte était

porté

à

97°

ou

g8°

par un courant de vapeur

d’eau ;

dans un second

groupe, les conditions cLaicnt

renversées ;

la

température

initiale

(1) Voir Journal de f)hysique) t. VIII, p. 101; 1879.

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