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K. VIERORDT. — Ueber Schallstärkmessung (Sur la mesure de l'intensité du bruit); Ann. der Physik, t. XVIII, p. 491; 1883

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238088

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238088

Submitted on 1 Jan 1883

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K. VIERORDT. - Ueber Schallstärkmessung (Sur la mesure de l’intensité du bruit); Ann. der Physik, t.

XVIII, p. 491; 1883

E. Gripon

To cite this version:

E. Gripon. K. VIERORDT. - Ueber Schallstärkmessung (Sur la mesure de l’intensité du bruit);

Ann. der Physik, t. XVIII, p. 491; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.230-231.

�10.1051/jphystap:018830020023001�. �jpa-00238088�

(2)

230

Si l’on

présente

alors un tambour à

quelque

distance des extré- mités B et D de la barre et du

tube,

et

qu’on

vienne à le

frapper

avec une

baguette,

on voit

l’aiguille

du

galvanomètre

se dévier

violemment dans le sens où elle se dévie

quand

on chasse avec le

doigt

la vis V’

qui appuie

sur l’extrémité C de la

tige

de bois.

La vibration sonore transmise

rapidement par le

bois a

repoussé

la

pointe V’, supprimé

le contact entre

V. et

(1.’. Comme à ce mo-

ment la vibration à travers l’air du tube n’a pas encore atteint la membrane

A,

le levier ab est resté en

place,

le courant

qui

passe dans le fil 1, 2 continue seul à

agir

sur

l’aiguille qui

est violemment

déviée.

Il

*est

aisé de

comprendre

comment, si l’on ne

disposait

que d’un

galvanomètre

à un seul

fil,

on

pourrait

réussir

l’expérience

en faisant entrer les deux leviers ab et a’ b’ dans la construction d’un pont de Wheatstone.

K. VIERORDT. 2014 Ueber Schallstärkmessung (Sur la mesure de l’intensité du bruit); Ann. der Physik, t. XVIII, p. 491; 1883.

Pour avoir des sons dont on

puisse

mesurer

l’intensité,

on fait

tomber successivement sur la même

plaque

sonore deux boules

de

poids

différents

P, p.

On donne aux hauteurs de chute des va-

leurs

H, li,

telles que les deux bruits aient même intensité. On

trouve

qu’elle

n’est pas

proportionnelle

à la hauteur de la chute

et, par

suite,

à

l’énergie

que celle-ci a fait

acquérir

au corps cho- quant ; elle serait

plutôt proportionnelle

à

Jfi

ou h°·~.

Oberbeck avait donné à

l’exposant

ê de h la valeur

o,6.

Il le

calculait à l’aide de la formule

empir ique

Wundt et Tiseber concluent de leurs

expériences qu’en géné-

ral la mesure de l’intensité du bruit est

impossible.

Vierordt a fait un

grand

nombre

d’expériences

en

variant,

au-

tant que

possible,

la nature de la

plaque

vibrante et du corps cho- quant.

La moyenne des valeurs de : est

o,6o7.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020023001

(3)

231

Lorsqu’on

fait croître la hauteur de la

chute,

pour une même

boule,

la valeur de e varie

Irrégulièrement;

elle semble croître

avec la hauteur.

Une

partie

de

l’énergie

est seule

employée

à faire naître la vi- bration de la

plaque.

L’autre

partie

sert sans doute : 10 à relever la

température

du

corps,

pendant

le

choc;

à

produire

des déformations perma-

nentes ou

temporaires ;

31 enfin à donner à la boule un mouvement

de translation sur la

plaque après

le choc. E. GRIPON.

A. WULLNER. 2014 Zur Dispersion farblos durchsichtiger Medien (Sur la disper-

tion par les milieux transparents incolores); Ann. der Physik, t. XVII, p. 580;

1882.

En

s’appuyant

sur la

théorie,

donnée par

Helmholtz,

de la dis-

persion

anomale

( 1 ),

l’auteur est conduit à la relation suivante

entre l’indice v et la

longueur

d’onde ~. pour les corps ne

possé-

dant pas de

pouvoir

absorban t sensible :

P, Q

et

am

sont trois constantes. Cette

formule, appliquée

aux in-

dices du

spath

mesurés par M.

Mascart,

à ceux du

flint-glass

et du

sulfure de carbone mesurés par

Verdet,

de Peau par M. van der

Willigen,

etc., se trouve

parfaitement

vérifiée. En outre, pour la

plupart

des

substances,

on est conduit pour P et

Q

à des valeurs très voisines. La forlnule

simplifiée

par

l’hypothèse

P ._-_

Q

n’est

autre que celle

proposée

par Lommel : suffisante pour le flint de

Rosetti,

elle ne l’est

plus

pour le sulfure de carbone.

La formule

complète

est encore suffisante pour la dissolution de sulfate de cuivre et la dissolution

alcoolique

d’alizarine : l’écart atteint au

plus 2,5

unités du

quatrième

ordre décimal. Dans ces

deux cas encore, la différence

P - Q

est très

petite.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

( t ) HELMHOLTZ, Pogg. Annal., t. CLIV, p. 582 (r8~+ ) et Journal de Ph.ysÍqlle)

ire série, t. IV, p. 216 (1875).

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