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ZÖLLNER.— Ueber einen elektrodynamischen Versuch (Expérience d'électrodynamique); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 138

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237046

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237046

Submitted on 1 Jan 1875

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ZÖLLNER.- Ueber einen elektrodynamischen Versuch (Expérience d’électrodynamique); Annales de

Poggendorff, t. CLIII, p. 138

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. ZÖLLNER.- Ueber einen elektrodynamischen Versuch (Expérience d’électrodynamique);

Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 138. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.183-183.

�10.1051/jphystap:018750040018301�. �jpa-00237046�

(2)

183

HUGO KRUSS. 2014 Ueber ein neues Ocular (Nouvel oculaire);

Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 601.

Cet oculaire est formé d’une lentille

divergente

de flint com-

pri se

entre deux lentilles convergentes de crown, de

façon

que les faces en contact ont même rayon de courbure et par

conséquent

se touchent en tous leurs

points. Voici, exprimées

en

lignes,

les

valeurs des quatre rayons de courbure distincts ; le

signe

-+- se

rapporte aux courbures

qui présentent

leur convexité du côté de 1’oeil de l’observateur :

-

Cet

oculaire, qui

a presque la

simplicité

d’une

loupe,

a été con-

struit et

essayé

chez ~teinheil. Il s’est montré très-sensiblement

achromatique

et

aplanétique,

avec un

champ

d’une trentaine de

degrés.

L’auteur pense

qu’il pourrait

être

appliqué

avec succès aux

lunettes

astronomique,

surtout comme micromètre oculaire.

E. BOUTY.

ZÖLLNER.2014 Ueber einen elektrodynamischen Versuch (Expérience d’électrodynamique);

Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 138.

NI. Zt~llner

répète l’expérience

bien connue de

Faraday produi-

sant la rotation d’un courant vertical autour d’un aimant vertical dans l’axe

duquel

passe le courant, en substituant à la branche

rigide

mobile une chaine

légère

en cuivre dont l’extrémité flotte

sur un bain de mercure,. On voit que la chaîne est

toujours

tirée

par la

partie rigide,

au lieu de

l’entraîner,

comme cela aurait

lieu si les forces

électriques

étaient concentrées à l’extrémité de la chaîne

plongeant

dans le

mercure ~ Glütstelle~ .

Il en conclut la

fausseté de

l’hypothèse

d’ Helmholtz sur le

siége

de ces forces

(voit- ll~~ona~sbenic7ite,

6 février

1873)

et la nécessité d’admettre la formule

d’Ampère. L’expérience

peut être rendue

plus frappante

en

cliarg eant

l’anneau

qui

repose sur le mercure ; en

changeant

le

sens du courant, on voit la chaîne se tendre tantôt dans un sens,

tantôt daus l’autre. A. POTIER.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040018301

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