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Submitted on 1 Jan 1875
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E. BUDDE. - Thermoelectrische Studien (Recherches thermo-électriques); Annales de Poggendorff, t. CLIII,
p. 343; 1874
A. Potier
To cite this version:
A. Potier. E. BUDDE. - Thermoelectrische Studien (Recherches thermo-électriques); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 343; 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.287-288.
�10.1051/jphystap:018750040028701�. �jpa-00237087�
287
KÜLP. 2014 Ueber die Inductions-Wirkungen von ungleich harten Magnetstaben (Sur
l’action inductrice d’aimants de differentes duretes); Annales de Poggendorff,
t. CLIII, p, 315; 1874.
10 On mesure le moment
magnétique
d’un aimant,puis
on luiaccole un barreau de fer doux de même
longueur ;
on mesure denouveau le moment
magnétique
dusystèmes :
dans tous les cas,quel
que soit le recuit de l’aimant
primitif,
lc nioinent est affaibli etréduit à f¡; ou £ de sa valeur
prilllitiBc.
2~ Le barreau accolé est en acier ; le moment
magnétique
dusystème
croit avec la dureté du barreau accolé et peut rtrejus- qu’aux
trois quarts du momentprimitif.
3° Si l’on
accole,
lespôles
de même nom du même côté, deuxbarreaux aimantés, la perte relative de moment du
système
estd’autant
plus grande
que la dureté des deux aimants estplus
dit1ë-rente.
Tout cela est conforme aux théories reçues.
A. POTIER.
E. BUDDE. 2014 Thermoelectrische Studien (Recherches thermo-électriques);
Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 343; 1874.
Lorsqu’un
courant passe à travers utlcsoudure,
il seproduit (ou s’absorbe)
dans l’unité de temps, en cepoint,
unequantité
de cha-leur 8
proportionnelle
à l’intensité i du courant et à une fonctionf’( t. )
de la
température
de la soudure ; cette fonction estd’ailleurs,
envertu dcs
principes généraux
de laThcrmodynamidue, proportion-
nelle à la dérivée de la force électro-motrice de la soudure et à sa
température
absolues ; d’autre part, l’élévation detempérature
dela soudure, toutes choses
égales
d’ailleurs, estproportionnelle
à laquantité
de chaleurproduite
dans son voisinage. Si lc courantpasse du fer dans le cuivre,
puis
du cuivre dans lcfer,
les diné-rences des
températures
des deux soudures seront6 = Kif(t) ;
si l’on
supprime
alors le courant, la dillérence destempératures produira
un courantthcrillo-électrique
d’intensitéproportionnelle
0 Ki 1
à y .f ( t~ ou à 2013 .Î =(t), et dont le sens, d’après
la loi de Peltier,
est
d’après
la loi dePeltier,
esttoujours opposé
au courantprimitif.
Pour ~ ~rifier cette
formulc,
?1I. Budde fait passer un courant maintenu constant dans unespirale
dont les tours sont nli-fer,Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040028701
288
mi-cuivre ; un
interrupteur automatique
estplacé
dans le circuit,de telle sorte que les extrémités de la
spirale
sont en communica- tion, tantôt avec lapile,
tantôt avec legalvanomètre,
celui-ci nerecevant que les courants
tl1ermo-électriques.
On observe alorsque, si l’on chauffe la
spirale
danslaquelle
passe le courant à destempératures
diverses, la déviation dugalvanomètre
suit bien la loiindiquée
ci-dessus ; elle devient nullclorsque
lepoint
neutre(2~5 degrés)
est atteint, pour augmenter ensuite,toujours
en con-servant le même
signe ;
en comparant les valeurs obtenues et cellesqui
résultent del’emploi
de la formuleci-dessus,
1B1. Budde a ob-tenu une vérification satisfaisantc.
A. POTIER.
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