P. RIESS. — Beitrag zur Kenntniss der schwachen electrischen Fünken (Sur les étincelles électriques faibles) ; Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 378, 1875

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Submitted on 1 Jan 1876

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P. RIESS. - Beitrag zur Kenntniss der schwachen electrischen Fünken (Sur les étincelles électriques faibles) ; Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 378, 1875

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. P. RIESS. - Beitrag zur Kenntniss der schwachen electrischen Fünken (Sur les étincelles

électriques faibles) ; Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 378, 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5

(1), pp.295-296. �10.1051/jphystap:018760050029501�. �jpa-00237207�

295 On entendait bien de

Villejuif le

^{canon de}

Montlhéry,

^{mais assez}

difficilement de

Montlhéry

^{celui de}

Villejuif,

bien que le ^vent soufflât faiblement de

Villejuif

^à

lB1ontlhéry.

^{La raison en est pro-}

bablement que

Villejuif

^{est dans la}

plaine,

tandis que

3Iontlliéry

est d’abord à 80

pieds

au-dessus de

Villejuif, puisque,

derrière la

pièce

^{de canon, se} trouvaient des murailles

verticales,

^{servant de}

support

^à la tour, ^et

renvoyant

^{le son du côté de}

Villejuif,.

^De

,plus, pendant

les nuits où a été faite

l’expérience,

^{le ciel était}

^clair,

il y avait de la

rosée,

^{et la} diminution de

température

^{dans l’air}

se faisait de haut en bas.

Or, quand

^ces conditions sont

satisfaites,

l’auteur s’est

assuré,

par ^des

expériences directes,

non-seulement que le ^son n’a aucune tendance _{à monter,} on l’a vu tout à

l’heure,

mais en’core _que l’effet d’un vent

léger

^{est inverse de ce}

qu’on pourrait ^croire,

^et que les ^sons

produits

^au niveau du sol s’en- tendent moins loin dans la direction du vent

qu’en

^{sens contraire.}

La difl’érence ^a été une fois de

40o

^{mètres à} 25o env iron pour ^un timbre

électrique placé

^{à 1}

pied

au-dessus du sol.

E. DUCLAUX.

P. RIESS. 2014 Beitrag ^zur Kenntniss der schwachen electrischen Fünken (Sur ^les

étincelles électriques faibles) ; ^{Annales de} Poggendorff, ^{t. CLVI,} p. 378, I875.

Les étincelles

électriques,

que W. Riess ^nomme

.faibles-,

^se pro- duisent sous certaines

conditions,

^{au lieu des} étincelles ordinaires

ou fortes.

M. Riess les a obtenues entre les deux électrodes d’une machine de

Holtz,

^domt les bouteilles étaient

très-épaisses

^{et avaient}

de

petites

armatures. Aucune solution de

continuité,

^autre que celle

qui sépare

^les

électrodes,

^ne doit exister dans le

circuit;

^{les élec-}

trodes étant terminées par des boules

égales,

^la

tige qui porte

^l’élec- trode

négative

^{doit être un} peu

plus longue

que l’ autre . ^Les deux

pôles

^{sont donc}

chargés

^de

quantités

différentes

d’électricité,

^le

pôle négatif plus

que le

positif,

^{et cette} condition seule est

importante;

si la

tige positive

^est

plus longue

que

l’autre,

^on pourra ^encore obtenir des étincelles faibles en

approchant

^une

pointe

de la boule

positive,

de manière à la

décharger partiellement.

Tandis que l’in- troduction dans le circuit d’une résistance considérable diminue

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050029501

296

singulièrement

^{l’éclat et} le bruit de

chaque ^étincelle ordinaire,

^elle

est ^sans influence sur les étincelles

faibles;

^{celles-ci ne sont ac-}

compagnées

^{que d’effets}

thermiques

^ou

magnétiques

insensibles.

A. POTIER.

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