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WOLCOTT GIBBS. — Ueber eine neue optische Constante ( Nouvelle constante optique); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 120; 1875

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237144

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237144

Submitted on 1 Jan 1876

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WOLCOTT GIBBS. - Ueber eine neue optische Constante ( Nouvelle constante optique); Annales de

Poggendorff, t. CLVI, p. 120; 1875

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. WOLCOTT GIBBS. - Ueber eine neue optische Constante ( Nouvelle constante optique);

Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 120; 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.102-104.

�10.1051/jphystap:018760050010201�. �jpa-00237144�

(2)

I02

, pour que

l’équilibre

s’établisse. En

fait,

la vérification des lois ci- dessus est tout à fait satisfaisante.

M. L. Donati étudie

ensuite,

mais giosso modo et sans creuser

la

question

autant

qu’elle

mériterait de

I’être,

la variation du ma-

gnétisme

dans une masse de fer

doux,

servant de noyau à une bo- bine inductrice. Ce noyau ne s’aimante ou ne se désain1ante pas

instantanément;

à la fermeture ou à l’ouverture du courant et aux

variations

temporaires

de son

magnétisme correspondent

des varia-

tions

proportionnelles

de force électromotrice dans la

spirale

in-

duite. Celle-ci se meut au moyen du

dispositif

de

plus

haut. La

variation du

magnétisme peut

se

représenter

par une

expression

de

la forme

Mais cette

expression

donne

plutôt

le sens du

phénomène du’ellc

n’en fait connaître la nature. L’effet mesuré est, en

effet,

assez com-

plexe.

De

plus

ces forces électromotrices mesurées

correspondent

aux variations du

potentiel électromagnétique

du noyau sur la

spirale induite,

et, pour en déduire les variations du

magnétisme

lui-même ou

plutôt

de sa fonction

potentielle,

il faudrait con-

naître la distribution des masses

magnétiques

et tenir

compte

d’un

autre fait peu connu, étudié dans un travail de

l’auteur, qui

sera

analysé prochainement :

le mouvement de

propagation

de l’aiman-

tation dans la masse de fer doux est un

sujet qui

réclame de nou-

velles études. A. DUCLAUX.

WOLCOTT GIBBS. 2014 Ueber eine neue optische Constante ( Nouvelle constante optique); Annales de

Poggendorff,

t. CLVI, p. I20; I875.

Landolt

(1)

avait cru

pouvoir

établir que, pour une lumière de

réfrangibilité

donnée et une même substance

transparente,

la

quantité n I

est une constante

indépendante

de la

température.

Dans cette

formule,

n

représente

l’indice de réfraction et d la den- sité.

M. Wiillner

(2)

a effectué des recherches très-étendues pour véri- l ’) LANDOLT, Annales de Poggendor1f’, t. CXXII, p. 5I5.

(’) WULLNER, Ibid., t. CXXXIII, p. 1.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050010201

(3)

I03 fier la loi de Landolt. Il a déterminé les indices n pour un

grand

nombre de substances et pour les trois raies

C, F, H,

à diverses

températures.

Les trois observations

correspondantes

ont servi à

calculer les coefficients de la formule de

Cauchy

enfin on a calculé les

quotients A-I d.

Le résultat de cet

important

travail est que la loi de Landolt ne

peut

être considérée que comme

approchée,

soit

qu’on

fasse varier la densité

par l’action

de la cha-

leur,

soit que, dans le cas d’un

liquide,

on la modifie par voie de

mélanges.

L’auteur considère la

quantité

J définie par

l’équation

dans

laquelle

ni et 112 sont les indices de la substance considérée pour les lumières de

longueur d’onde À1

et

03BB2;

et, se fondant sur les résultats des

expériences

de

M. Wüllner,

il établit que cette

quantité

est constante aux

quantités près

de l’ordre des erreurs

d’expérience.

Ainsi,

pour l’eau entre zéro et

£o degrés,

J varie seulement de

287,1 à 285,8:

pour le sulfure de carbone de zéro à

48 degrés,

de

495, 2

à

493,6; pourl’alcool,

de zéro à 3o

degrés,

de

389,4

à

38g,6.

Les varia-

tions de la constante de Landolt sont sans

comparaison plus

consi-

dérables.

Ainsi,

pour le sulfure de

carbone, A-I d

varie de

640,7

à

603.

Si l’on

mélange

un

poids p

de

liquide

pour

lequel

J à une va-

leur de

J1,

à un

poids

P2 d’un autre

liquide

caractérisé par

J,,

on a

pour le

mélange

On

pourrait

donc substituer la détermination de J à

l’analyse

quan-

titative, chaque

fois que

JI

et

J 2

ont des valeurs suffisamment écar- tées l’une de l’autre. Pour l’eau et le sucre, on a

respectivement J,

=

286,2

et

J2=

29j, 2;

l’analyse

faite de cette manière

perdrait

toute

espèce

de

précision.

On peut se demander si

l’écluation (2)

est

applicable

aux combi-

naisons. Dans ce cas elle se vérifie non

plus

d’une manière

rigou-

(4)

I04

reuse, mais seulement d’une manière

approchée à th ou 2 100.

Elle

souflrc même

quelques exceptions,

que l’on trouvera

signalées

dans

le Mémoire

original. On y

trouvera aussi une Table

provisoire

des

quantités

J relatives aux

principaux

éléments.

Il est facile d’attribuer un sens

physique précis

à la

quantité J, qui

se trou;e ainsi

susceptible

d’une détermination

expérimentale

directe. Considérons un

spectroscope

et

plaçons

en avant du

prisme

une lame de la substance

transparente étudiée, d’épaisseur égale

à

i

millimètre,

de manière

qu’elle intercepte

la moitié du faisceau incident. Le

spectre

sera sillonné de

franges

connues sous le nom

de

franges

de

Tcclbot,

et le nombre de ces

franges compris

entre

les rayons de

longueur d’onde À1

et

03BB2

sera

justement

le facteur entre

parenthèses

dans la valeur de J. De là le nom de constante inter-

férentielle proposé

par l’auteur pour

désigner

cette

quantité.

E. BOUTY.

N. SCHILLER ET R. COOLEY. 2014 Ein versuch, über die elektrodynamische Wiritung

des Polarisationsstromes (Expérience sur l’action électrodynamique des courants de polarisation); Annales de

Poggendorff,

t. CLV, p. 467; I875.

Un élément Daniell est

impuissant

à

décomposer l’eau;

cepen-

dant,

si l’on fait

communiquer

les électrodes d’un voltamètre avec

les

pôles

d’un élément

Daniell,

le

galvanomètre indique

un courant

qui

s’affaiblit et cesse

rapidement.

MM. N. Schiller et R.

Cooley

ont cru utile de vérifier que, pour ce courant d’intensité

variable,,

l’intensité

électrodynamique

était la même dans la

partie

métal-

lique

et dans la

partie liquide

du circuit. A. POTIER.

J.-L. HOORWEG. 2014 Ueber den Gang der Lichtstrahlen durch ein Spectroskop (Sur le

passage des rayons lumineux à travers un spectroscope ) ; Annales de Poggendorff,

t. CLIV, p. 423; I875.

L’auteur étudie le cas où le rayon incident n’est pas

compris

dans un

plan perpendiculaire

à l’arête

réfringente

du

prisme,

et il

établit que

l’obliquité

du rayon ne

peut

provoquer de

déplacement

des

lignes spectrales,

ni

expliquer

aucune des apparences observées par M1B1.

Vogel, Huggins

et le P.

Secchi,

et attribuées par eux au

mouvement de la source lumineuse. E. BOUTY.

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