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G. QUINCKE. — Ueber elektrische Ströme bei ungleichzeitigem Eintauchen zweier Ouecksilberelektroden in verschiedene Flüssigkeiten (Sur les courants électriques produits en plongeant l'une après l'autre deux électrodes de mercure dans divers liquides); Ann

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237068

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237068

Submitted on 1 Jan 1875

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G. QUINCKE. - Ueber elektrische Ströme bei ungleichzeitigem Eintauchen zweier

Ouecksilberelektroden in verschiedene Flüssigkeiten (Sur les courants électriques produits en plongeant l’une après l’autre deux électrodes de mercure dans divers liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 161-205;

1874

G. Lippmann

To cite this version:

G. Lippmann. G. QUINCKE. - Ueber elektrische Ströme bei ungleichzeitigem Eintauchen zweier Ouecksilberelektroden in verschiedene Flüssigkeiten (Sur les courants électriques produits en plongeant l’une après l’autre deux électrodes de mercure dans divers liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 161-205; 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.248-251.

�10.1051/jphystap:018750040024801�. �jpa-00237068�

(2)

248

que

l’image

de la croisée de fils du collimateur soit ramenée sur le

prolongement

de l’axe

optique

de la lunette . De même la deuxième lunette devra recevoir un

déplacement.

On voit aisément que l’on a, aux

quantités près

du second

ordre,

en

désignant

par A

l’angle

du

prisme,

C’est au moyen de cette formule

qu’ont

été calculées les valeurs de n.

La

température

de l’étuve a varié de 1 g à

95 degrés,

et son excès

sur la

température

ambiante de zéro à

76 degrés.

Ces

températures

étaient évaluées au moyen de thermomètres

placés

au dedans et au

dehors de l’étuve. On avait constaté

expérimentalement

que l’ac-

tion de la chaleur de l’étuve sur l’air extérieur était

insensible,

et

que la dilatation du

prisme

n’introduisait dans les résultats

qu’une

erreur

négligeable.

E. BOUTY.

G. QUINCKE. 2014 Ueber elektrische Ströme bei ungleichzeitigem Eintauchen zweier

Ouecksilberelektroden in verschiedene Flüssigkeiten (Sur les courants électriques produits en plongeant l’une après l’autre deux électrodes de mercure dans divers

liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIII, p. 161-205; 1874.

L’auteur donne ce nom aux courants

électriques qu’on

peut ob- tenir

(1)

au moyen d’un écoulement de mercure, ainsi que

je

l’ai

montré en

1873.

Une masse de mercure A contenue dans un en-

tonnoir de verre s’écoule en filet discontinu par le bec effilé de l’entonnoir. Ce bec

plonge

dans de l’eau pure ou acidulée

placée

dans un verre dont le fond est recouvert d’une couche de

mercure B.

Deux fils de

platine

a

et fi

servent à mcttrc les masses de

mercure A et B en

communication,

soit avec un

électromètre,

soit

avec un

galvanomètre.

L’électromètre

indique

que a est

négatif

par rapport

à ~ . Le galvanomètre indique

un courant

qui

va de B en A

à travers le circuit

métallique.

M.

Quincke répète

cette

expérience

--- ---

(1 ) Voir .Iorzrual de Pl~~~siqtte, t. III, p. 4 l, fige 2.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040024801

(3)

avec des dissolutions

plus

ou moins concentrées d’ acide

sulfurique, azotique,

ou

chlorlydrique,

avec de

l’ammoniaque,

des dissolutions

salines,

avec de l’eau pure et

privée d’air,

avec de

l’alcool,

avec de

la

glycérine.

Tous ces

liquides

ont donné le mème résultat. Pour

s’assurer que ces courants ne sont dus ni à une action

chimique

ni à un

dépôt d’impuretés

gazeuses ou autres, 31.

Quincke

a em-

ployé

du mercure, des vases et des

liquides soigneusement puri il~,s ~

il a

opéré

avec de l’eau

distillée, purgée

d’air par

l’ébullition,

et

même maintenue à l’ébullition

pendant l’expérience ;

le

pliéno-

mène

électrique

est resté le mème. 31.

~uincke

croit

pouvoir l’expliquer

par une condensation

(accroissenlcnt

de

densité )

gra-

duelle de l’eau au contact du mercure ; les courants de courte durée obtenus en

plongeant

l’un

après

l’autre deux fils de

platine

dans

un même

liquide

seraient dus à la même cause; de là le nom que l’auteur a donné aux courants

produits

avec le niercure

(~).

Le reste du Mémoire de 1B1.

Quincke

a pour

objet (ainsi

que l’in-

dique

un

sous-titre)

de réfuter les conclusions dont

j’ai publié

les

premiers

résultats en

1873 (2).

Je démontrais deux lois

expéri-

mentales bien distinctes : 10 soit A la constante

capillaire (coefli-

cient de

l’équation

de

Laplace)

a la surface du contact du mercure avec de l’eau acidulée

(Tï

de volume d’acide

sulfurique);

soit x

la diflërence

électrique qui

a lieu à la même surface

lorsque l’équi-

libre

électrique

est

établi,

en entendant par différence

électrique

la différence des valeurs clue lc

potentiel électrique possède

de part

et d’autre de la surface

( 3 ) .

Si l’on niainticnt x constant, par des communications

électriques convenables,

de manière que x ait

une

prelnière

valeur fixe ro, on observe que A

prend

une valeur

Ao exactement déterminée. On sait que les tentativcs faites pour (1) On remarquera que l’appareil fournit une quantité indéfinie de trai-ail élec-

trique, à condition que l’on reporte de B en A le mercure écoulé. Le travail elec-

trique est produit aux dépens du travail de la pesanteur. Si la hauteur du mercure en A n’est pas trop grande, on observe le fait suivant : quand on interrompt le circuit entre A et «, le mercure cesse de couler; quand on referme le circuit, ia ( Il Il il’ du

mercure recommence en méme temps que le courant électrique, et ainsi (h ~uim.

L’appareil constitue une sorte de pile qui ne dcp~’nsc th> travail que si 1 e cour.mt elec-

trique se produit. (G. L.)

(!:) Comptes rendus de l’_-~rmlarrri~ clc~~ Scierrces, t. L1~~~I; ~nnules de Poggendorff,

t. CXLIX; Journal de Physique, t. III.

(3 ) Ce qu’on appelle force électromotrice de polarisation est égal à .t , à une con-

stante près.

(4)

250

mesurer A ont

toujours

montré que A était

variable;

M.

Quincke,

en

particulier,

a observe ces

1-a1-iations ;

il les a attribuées et les attribué encore

aujourd’hui,

maïs à tort, à l’action

d’impuretés

accidentelles.

Quand

on maintient x constant, A ne varie

plus.

A

chaque

valeur de x

correspond

ainsi une v aleur de

A,

et une seule.

En d’autres termes, A est fonction continue de x. C’est là une pre- mière loi

expérimentale.

2° Au lieu de

disposer

de x et de lnesurer

A,

on fait varier

l’aire s de la surface et l’on mesure x. On constate alors que x croît

ou diminue en même

temps

que s. C’est la seconde loi. Parlni les

expériences qu’elle suggère, je

citais celle de l’entonnoir. Le sens de

ces définitions et de ces énoncés a

échappé ii

31.

Quincke.

Ce

physi-

cien mesure les constantes

capillaires

du mercure non pas dans un même

liquide,

mais dans seize

liquides différents;

ces mesures sont

faites par son ancienne

méthode,

c’est-à-dire en mesurant les di- mensions d’ume goutte de mercure étalée sur le fond d’une auge en

glace,

et sans se

préoccuper

aucunement des conditions

électriques

de

l’expérience;

il s’ensuit que pour chacun des seize

liquides

A

pré-

sente une infilité de valeurs. D’autre part, ~1.

Quincke

met les fils

x. 6

de

l’appareil

à entonnoir en communication avec les

pôles

d’un

électromètre

Thomson,

et il obtient pour la force électromotrice de

l’appareil

des nombres

qui dépendent

de la nature du

liquide

et de

la vitesse d’écoulement. 11’I.

Quinckc

ne dit pas comment il a rap-

proché

ces nombres des

prcmiers ;

il énonce seulement le résultat :

« Il

n’y

a aucune relation entre la force électromotrice et la con- stante

capillaire

du mercure et du

liquide

environnant o

(voir

p.

204).

Le résultat

négatif

obtenu par l’auteur n’a rien

qui

doive

étonner, puisque

les forces électromotrices et les constantes

capil-

laires dont il

parle

sont fournies par des

appareils

entièrement in-

dépendants

les uns des autres. La loi

poursuiv ie

par l’auteur eût d’ailleurs été différente de la

première

et de la seconde des deux

lois,

que

je rappelais plus haut ;

mais elle

eîit,

à ce

qu’il semble, participé

de l’une et de

l’autre,

et contenu en

plus

un nouvel élé-

ment variable dont

je

ne

parle

pas, la nature et la concentration du

liquide.

L’autcur a

également

exécuté un

très-grand

nombre

d’expériences

avec

l’appareil (fig.

i , Journal de

Plz~~si yce,

t.

III,

p.

41),

mais

en mesurant d’autres

grandeurs

à la

place

de la force électromo-

.

(5)

trice

qui

a lieu en :B1. J./ auteur retrouve dans ces

expériences

les

variations de

~~, qu’il

a observées

autrefois;

il en conclut que ces variations sont ducs à des

impuretés apportées

par

l’atmosphère

ou

par le

liquide,

et

qu’il

est

impossible d’éditer;

enfin il conclut de là que les

phénomènes capillaires

ne

pourront jamais

servir à la nie-

sure du

phénomène électrique.

- Cette dernière conclusion m’est pas fondée sur des

expériences

faites avec l’électromètre

capillaire ;

l’auteur n’a pas tenté de construire cet

appareil.

G. LIPPMANN.

THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS.

VOLUME VII ; 1874.

Enw.IRD-~-C. PICKERING. - Mesure de la quantité de lumière polarisée par réflexion par le ciel et par une ou plusieurs lame5 de verre, p. 02.

Pour mesurer la

quantité

de lumière

polarisée

par

réflexion,

l’auteur a cl’abord

essayé

le

polarimètre d’Arago, gradué,

comme on

le fait souvent, en

s’appuyant

sur la loi de Malus. Pour

cela,

on fait

tomber sur la

pile

de

glaces

un faisceau lumineux

qui

a traversé un

Nicol, puis

unc lame cristallisée dont la section

principale

est dans

le

plan

d’incidence de la

pile

de

glaces.

Si m est

l’angle

de la section

principale

du Nicol avec le

plan d’incidence,

la

proportion

de lumière

polarisée qui

traverse la

pile

de

glaces

est cos 9-w. On tourne alors la

pile

d’un

angle tel, qu’clle

ramène toute la lumière à être

naturelle;

cet

angle correspond

à une

proportion

cos 2 (j) de 1LIII11C’rc

polarisée.

En faisant cette

graduation, Pickering

trouva que,

jusqu’à

60

degrés,

la

pile

se

comportait il

peu

près

comme le veut la

théorie,

mais que l’écart devenait

tel,

pour des iUt’linaisons

plus grandes,

que

l’usage

de l’instrument était prcsclue

impossible.

Il l’a

relnplacé,

pour ses

recherclics,

par la dis-

position

suivante.

Un tube

d’environ o-,3o de longueur porte a l’une de

ses extrémités

un

prisme biréfringent,

et al l’autre une

plaque percée

d’une ouvcr-

ture

rectangulaire

de dimensions

telles,

due ses deux

images

dans le

prisllB(’ biréfringent

soient en contact sans

empiéter

1 une surl’autre.

On

regarde

ces deux

Images

ai ec un i-Nicol portant un index

qui

se

meut sur un cercle div isé. Le tubc lui-même est monté en altazilnut

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