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E. EDLUND. — Ueber die elektrische Ströme welche bei dem Strömen der Flüssigkeiten durch Röhren entstehen (Sur les courants produits par le passage d'un liquide dans un tuyau); Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p. 161, 1877

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HAL Id: jpa-00237308

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237308

Submitted on 1 Jan 1877

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E. EDLUND. - Ueber die elektrische Ströme welche bei dem Strömen der Flüssigkeiten durch Röhren entstehen

(Sur les courants produits par le passage d’un liquide dans un tuyau); Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p.

161, 1877

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. E. EDLUND. - Ueber die elektrische Ströme welche bei dem Strömen der Flüssigkeiten durch Röhren entstehen (Sur les courants produits par le passage d’un liquide dans un tuyau); Ann.

de Pogg., nouvelle série, t. I, p. 161, 1877. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1), pp.287-288.

�10.1051/jphystap:018770060028701�. �jpa-00237308�

(2)

287

pondant

à diverses vitesses des faces frottantes. La

plus petite

vi-

tesse sur

laquelle

on ait fait des déterminations est de o,0002 de

pied

par

seconde,

et la

plus grande

o,o i de

pied

par seconde. Les surfaces étudiées ont été: acier sur

acier,

sur

laiton, sur agate, sur hêtre,

etc. , les surfaces étant

sèches,

mouillées ou huilées. Dans le cas de l’acier frottant sur du hêtre huilé ou

mouillé,

on a trouvé un accroissement du frottement d’au moins 20 pour I00

quand

on faisait diminuer la vitesse dans les limites ci-dessus

indiquées :

il

paraissait

d’ailleurs

que, pour la

plus grande

de ces

vitesses,

la valeur limite était sen-

siblement

atteinte ;

mais il est

impossible

de fixer

quel

serait l’ac- croissement entre la

plus

faible vitesse

expérimentée

et le repos absolu. Pour l’acier ou

l’agate mouillée,

l’accroissement était beau- coup moins

marqué,

et dans le cas de l’acier sur l’acier huilé on a cru constater une

légère

modification en sens

inverse;

mais il serait nécessaire d’examiner ce dernier

point

de

plus près.

Dans

tous les autres cas, le frottement a paru

parfaitement

constant et

indépendant

de la vitesse. Ainsi on a pu constater une différence dans le sens

prévu, quand

il y a réellement une différence entre le frottement

statique

et le frottement

cinétique.

Ce résultat rend extrêmement

probable

la continuité du

phénomène.

E. EDLUND. 2014 Ueber die elektrische Ströme welche bei dem Strömen der Flüssig- keiten durch Röhren entstehen (Sur les courants produits par le passage d’un li-

quide dans un tuyau); Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p. I6I, I877.

On fait passer un couran t de

liquide

dans un tube de verre;

deux fils d’or traversent la

paroi

en deux

points,

et sont réunis par

un fil

passant

sur un

galvanomètre.

En éliminant l’influence de la

polarisation

des fils

d’or,

on

peut

s’assurer que le courant observé dans le

galvanomètre

n’est pas causé par le frottement de l’eau sur les électrodes ou sur les

parois

du vase elle

coule,

que son intensité croît avec la vitesse du

liquide

et est

indépendante

de la

section du tube et de la distance des extrémités des fils. Si l’on

introduit,

outre le

galvanomètre,

des résistances dans le

circuit,

l’intensité varie dans le

rapport

inverse des résistances totales.

Les courants ainsi obtenus ont la même

origine

que les courants

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060028701

(3)

288

obtenus par M.

Quincke,

en faisant passer le

liquide

à travers un

diaphragme

poreux, et sont du même ordre de

grandeur.

Quant

à leur cause, M. Edlund admet que l’éther est

partielle-

ment entraîné par

l’eau,

comme l’air par un corps poreux; que par suite la densité de l’éther doit être

plus grande

dans les

parties

antérieures du

tube,

de même

qu’un piston

poreux,

qui

se meut

dans un tube

plein d’air,

le raréfie derrière lui et le

comprime devant ;

et,

d’après

sa

théorie,

un fil

métallique

dont les deux extrémités

sont en contact avec de l’éther à des densités différentes est néces- sairement parcouru par un courant.

Cependant

il annonce que l’eau et l’alcool

produisent

des courants

de sens inverse.

A. POTIER.

J. MOSER. 2014 Die Spectren der chemischen Verbindungen (Spectres des combinaisons

chimiques); Ann. de Pogg., t. CLX, p. I77; I877.

L’auteur a étudié trois

spectres d’absorption :

ceux du

brome,

de l’iode et de l’acide

hypoazotique,

et déterminé

¡les

variations

qu’ils éprouvent quand

on

augmente l’épaisseur

de la couche ab-

sorbante,

ou que l’on élève la

température.

La

plus

ou moins

grande épaisseur

de la couche de vapeur tra- versée par la lumière ne modif e pas

l’aspect général

du

spectre :

toutes les

raies,

sans

exception, augmentent

d’intensité

quand

l’é-

paisseur augmente ;

pas une seule ne s’afl’aiblit ni ne

disparaît.

Au

contraire, quand

on élève la

température,

les diverses

portions

du

spectre

sont différemment

affectées ;

la

plupart

des bandes d’ab-

sorption augmentent

en

intensité,

mais

quelques-unes

s’afl’aiblis-

sent.

Ces

changements

sont du même ordre que ceux que l’on observe à haute

température

dans les

spectres

d’émission. Les

spectres

d’ab-

sorption peuvent,

au même titre que les

premiers,

être considérés

comme invariables et

caractéristiques.

Mais,

aux

températures

très-élevées où les

spectres

d’émission

sont observés

d’ordinaire,

les éléments de la

plupart

des

composés chimiques

doivent être dissociés. Aussi les raies

caractéristiques

des divers métaux fournies par leur azotate, leur chlorure ou leur

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