HAL Id: jpa-00237336
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237336
Submitted on 1 Jan 1877
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
P. GLAN. - Ueber ein neues Photometer (Nouveau photomètre) ; Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p. 351 ;
1877
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. P. GLAN. - Ueber ein neues Photometer (Nouveau photomètre) ; Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p. 351 ; 1877. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1), pp.354-356.
�10.1051/jphystap:018770060035401�. �jpa-00237336�
354
La
signification
des lettres est la même que dans le tableaupré- cédent,
si ce n’estqu’on y
aremplacé 0, température
de la satura-tion,
par -, celle de lacongélation.
Le
pouvoir frigorifique
est icitrès-considérable,
et croît avecla
quantité
deglace employée;
pour les dissolutions d’azotate dansl’eau,
aucontraire,
lepouvoir frigorifique
diminuequand
onemploie
un excèsd’eau,
parce que laquantité
de chaleur absorbéependant
la dissolution croît lentement avec laquantité
d’eauaj ou tée ,
et leproduit c ( I + p)(t 2013 t’)
croîtplus rapidement ;
presque toute la chaleur absorbée est
employée
à refroidir la dis-solution. A.
TEHQUEM.
P. GLAN. 2014 Ueber ein neues Photometer (Nouveau photomètre) ; Ann. de Pogg.,
nouvelle série, t. I, p. 35I ; I877.
Quand
on veut comparer entreelles,
aupoint
de vme de leurintensité,
deux sources lumineuses de colorationdifférente,
il con-vient
d’employer
unappareil spectral
et d’effectuer des mesurespour le
plus grand
nombrepossible
de couleurssimples.
Pourrendre la
comparaison facile,
il fautpouvoir
rendreégales
les deuxintensités dans la
région
duspectre
que l’on étudie. On yparvient,
soit comme l’a
indiqué
Vierardt en faisant varier l’intensité de l’un desspectres
par unélargissement
convenable de la fente d’ad-mission,
soit en utilisant à cet effet unphénomène
depolarisation.
C’est à cette dernière méthode que s’est arrêté M. Trannin
(1),
c’est aussi celle
qu’emploie
M. Glan.Le nouveau
photomètre
se compose d’abord d’un collimateurportant
deux fentesd"admission, placées
sur leprolongement
l’unede l’autre. En arrière de la lentille du collimateur est un
prisme
de
Wollaston, disposé
avec son arêteréfringente perpendiculaire
aux fentes. Grâce à cette
disposition,
les deux faisceaux issus d’une même fente sont déviés en sens contraire dans le sens de lalongueur
decelle-ci,
et, pour une distance convenable du colli-mateur au
prisme,
les deux faisceaux moyensprovenant
chacun de(1) Voir Journal de Physique, t. V, p. 297.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060035401
355
F une des fentes et
polarises
dans des azimutsrectangulaires
se trouvent
rigoureusement juxtaposés
dans le sens de leur lon- gueur. En traversantl’appareil spectral ,
ils fourniront deuxspectres,
danslesquels
les raiescorrespondantes
seront sur le pro-longement
l’une de l’autre.Pour
égaliser
les intensités à comparer, on a recours à unNicol,
interposé
entre leprisme
de Wollaston etl’appareil spectral.
Soient1 et i les intensités des deux faisceaux pour iine certaine
couleur,
a et a’ des coefficients d’extinction à déterminer ultérieurement et
qui peuvent
être considérés comxne des constantes del’appareil ;
enfin a
l’angle
que fait la sectionprincipale
du Nicol avec celle duprisme
deWollaston, quand
les intensités reçues par l’cx;ilparais-
sent
égalez
on ade même pour une autre
couleur,
d’où
Si l’on convient de
prendre
pour unité d’intensitécorrespondant
à
chaque
couleur celle que cette couleurpossède
dans l’un desspectres (par exemple
lespectre solaire
onpeut apprécier
ainsile
rapport
des intensités des diverses couleurs dans lespectre
que l’on étudie.Mais,
pour avoir ces intensités en valeurabsolue,
ilreste à évaluer le
rapport
des coefficipnts d’extinction - . On vparvient
en éclairant les deux fentes par une même lumières. On aalors dans
1 equatlon (I) I - i,
et parsuite «
a -- cot2 U.L’appareil
étantdisposé à
la manièreordinaire,
on a sensible-ment a =
a’ ;
si l’on veut évaluer le coefficient d’extinction d’unesuhstance,
pour les diversescouleurs,
on éclairera les deux fentesavec une lumière
identique
et l’oninterposera
la substance à étudier derrière leprisme
deWollaston,
sur letrajet
de l’un desfaisceaux;
alors on déterminera pourchaque
couleur l’azimut356
a
d’egaliLëy
et en déduira le coefficientd’extinction CI ’
corres-pondant.
E. BOUTY.F. ZÖLLNER. 2014 Ueber die Einwendungen von Clausius gegen das Weber’sche Gesetz (Sur les objections faites par Clausius à la formule de Weber); Annales de Pogg., t. CLX, p. 5I4; I877.
Dans un Mémoire inséré au Journal de
Borchardt,
t.89-,
M. Clausius a cherché à
quelles conséquences
conduirai!, la for- mule de Weber relative àl’a,,traetion des électricités en mouvement si l’onsupposait
l’électriciténégative
immobile dans lecircuit
etl’électricité
positive
seule en mouvement(cette
manière de conce-voir le courant a été
proposée
par M.Neumann,
sous lc nomd’hy- pothèse unitaire).
Il a trouvé que, dans ce cas, un courant devrait modifier la distributionstatique
de l’électricité sur les corps environ- nants,indépendamment,
bienentendu,
de la modification causée par laprésence
de l’électricitélilJre,
et il en conclut quel’hypothèse.
unitaire est inconciliable avec la formule de Weber.
1B1. Zôllner montre, par des
exemples numériques,
que les forces électromotricesauxquelles
M. Clausius fait allusionéchapperaienl
1à toute tentative de mesure par leur
petitesse
si ellesexistaient,
eten conclut que, dans la limite des vérifications
expérimenuales, l’ap- plication
de la formule de Weber conduit à des résultatsidentiques,
que l’on
parte
del’hypothèse
unitaire ou del’hypothèse, plus gé-
néralement
répandu,
du mouvement en sens contraire des deux fluides.A. POTIER.
R. CLAUSIUS. 2014 Ueber die Behandlung der zwischen linearen Strömen und Leitern stallfiadenden ponderomotorischen und elektromotorischen Kräfte nach dem elek-
trodynamischen Grundgesetz (Calcul des actions réciproques des courants basé sur
un nouveau principe d’electrodynamique); Annales de Pogg., nouvelle série, t. I,
p. I4 ; I877.
La formule élémentaire