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F. AUERBACH.— Ueber Tonschwingungen fester Körper in Gegenwart der Flüssigkeiten (Vibrations sonores des solides en présence des liquides); Ann. der Physik, t. XVII, p. 964; 1882

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HAL Id: jpa-00238130

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238130

Submitted on 1 Jan 1883

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F. AUERBACH.- Ueber Tonschwingungen fester Körper in Gegenwart der Flüssigkeiten (Vibrations sonores des

solides en présence des liquides); Ann. der Physik, t.

XVII, p. 964; 1882

Ch. Gomien

To cite this version:

Ch. Gomien. F. AUERBACH.- Ueber Tonschwingungen fester Körper in Gegenwart der Flüssigkeiten (Vibrations sonores des solides en présence des liquides); Ann. der Physik, t. XVII, p. 964; 1882. J.

Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.422-423. �10.1051/jphystap:018830020042201�. �jpa-00238130�

(2)

422

déplacement lXIl%1’,

les variations de x sont

toujours

assez faibles pour

qu’on puisse

considérer x’ comme sensiblement constant; par

exemple,

x étant

égal

à

4-, la plus grande

différence entre x’ et x sera de om, 20.

On voit donc que ce

déplacement

d est

proportionnel

à e. On

voit de

plus

que la sensibilité

augmente

avec oc

jusqu"a-

ce que b - a - 1 sin u =

o ; pour cette valeur de oc CD serait

horizontal, l’appareil

n’mirait

plus

de zéro. Pour une valeur

plus grande

de (1.,

on verrait facilement

qu’il n’y

aurai t

plus

pour ce

ménisque qu.’une position d’équilibre instable,

et le

ménisque

amené en un

point

du tube se

déplacerait

en

général

soit d’un côté soit de

l’autre jusqu’à

sortir de AB.

Si l’on incline le tube en sens contraire en élevant l’extrémité étroite

B,

on diminue la sensibilité.

On

peut

donc avec les vis calantes

régler l’appareil

pour une sensibilité déterminée. Avec un

déplacement

de

o~,

i so pour une force électromotrice d’un

volt,

le zéro est

parfaitement fixe,

et les

arrêts du

ménisque

sont très nets.

F. AUERBACH.2014 Ueber Tonschwingungen fester Körper in Gegenwart der Flüssigkeiten (Vibrations sonores des solides en présence des liquides); Ann.

der Physik, t. XVII, p. 964; 1882.

L’auteur a cherché à déterminer l’influence des

liquides

sur la

hauteur des sons rendus par des vases

cylindriques

de verre rem-

plis

en totalité ou en

partie.

Il mesurait le nombre de vibrations des sons au moyen du uonocorde. Ses

premières expériences

ont

porté

sur l’eau. Il y a

toujours

abaissement du son

produit.

81. A-uerbach

appelle

abaissement

géométrique

du son le

rapport

du nombre de vibrations du vase vide à celui du vase

plein

et

abaissement

arithmétique

du son le

rapport

de la différence de

ces deux nombres de vibrations à celui du vase vide.

Le

premier

est, pour un vase

rempli

de

liquide,

d’autant

plus petit

que le son est

plus aigu,

sensiblement

indépendant

de la hau-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020042201

(3)

423

teur du vase et d’autant

plus grand

que le diamètre de ce vase est

plus petit.

Le second varie sensiblement en raison inverse de la racine carrée du I10I11bI’e de vibr ations du son rendu par le vase

vide,

ainsi que de la racine carrée du diamètre de ce vase. Si l’on considère la

longueur

d’onde du son rendu par le vase

vide,

on

peut

admettre que l’abaissement

arithmétique

du son

dépend

uni-

quement

du nombre de

longueurs

d’onde contenues dans le rayon du

cylindre

et

qu’il

est inversement

proportionnel

à la racine car-

rée de ce nombre.

L’abaissement du son

dépend

aussi de la hauteur du

liquide quand

le vase n’est pas

rempli ;

mais il est loin de lui être propor- tionnel.

Pour

produire

un abaissement moitié moindre que celui

qui correspond

au vase

plein,

il faut une colonne de

liquide

dont la

hauteur est

comprise

entre

les

et

les ’

de la hauteur totale.

M. Auerbach a enfin

expérimenté

sur des

liquides

autres que l’eau. Il a déterminé l’abaissentent

spécifique

du son pour ces différents

liquides ,

c’est-à-dire le

rapport

de l’abaissement pro- duit par le

liquide

à l’abaissement

produit

par l’eau. Dans une

première approximation,

on

peut

supposer

qu’il dépend unique-

ment de la densité du

liquide;

on trouve

qu’il

croît avec cette

densité,

mais moins

rapidement.

Si l’on tient

compte

des diffé-

rences

observées,

on remarque que cet abaissen1ent

spécifique dépend

aussi de la

compressibilité

du

liquide

et est d’autant

plus grand qu’elle

est

plus

faible.

On

peut regarder

pour

chaque liquide

l’abaissement

spécifique

du son comme une constante

caractéristique analogue

à la vitesse

du son, et l’ordre des

liquides rangés

suivant la

densité,

la vitesse

du son et l’abaissement

spécifique

du son, est le même dans les

trois cas.

Enfin si l’on calcule la variation de l’abaissement du son avec la hauteur du

liquide d’après

les résultats trouvés pour

l’eau,

on

trouve, en

général,

des nombres très concordants avec ceux que donne

l’expérience,

sauf pour le mercure. Les

expériences

faites

par l’auteur ne lui ont pas

permis

de formuler à

l’égard

des dif-

férences

présentées

par le mercure une conclusion

précise.

CH. GOMIEN.

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