• Aucun résultat trouvé

R. COLLEY. — Nachweis der Existenz der Maxwellschen electromotorischen Kraft, Yme (Sur l'existence de la force électromotrice de Maxwell Yme); Wied. Ann. der Physik, t. XVII, p. 55; 1882

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "R. COLLEY. — Nachweis der Existenz der Maxwellschen electromotorischen Kraft, Yme (Sur l'existence de la force électromotrice de Maxwell Yme); Wied. Ann. der Physik, t. XVII, p. 55; 1882"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238074

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238074

Submitted on 1 Jan 1883

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

R. COLLEY. - Nachweis der Existenz der Maxwellschen electromotorischen Kraft, Yme (Sur l’existence de la force électromotrice de Maxwell Yme); Wied. Ann. der

Physik, t. XVII, p. 55; 1882

G. Martin

To cite this version:

G. Martin. R. COLLEY. - Nachweis der Existenz der Maxwellschen electromotorischen Kraft, Yme (Sur l’existence de la force électromotrice de Maxwell Yme); Wied. Ann. der Physik, t. XVII, p.

55; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.182-184. �10.1051/jphystap:018830020018201�.

�jpa-00238074�

(2)

182

180° et

peut

se

déplacer

ainsi

jusqu’aux

deux tiers de la barre ; mais la valeur de k

qui

se

rapporte

à la distribution du

magnétisme

dans la

région

nord du barreau est en

général

constante. Si les mêmes barres sont ensuite échauffées avec le

pôle

sud en

bas,

non

seulement la

ligne

neutre se

rapproche

encore

davantage

du

pôle nord,

mais encore la valeur de ~~

change

d’une

température à

une

autre.

3° Tant

qu’on

ne

dépasse

pas la

température

de

180°,

les valeurs

de M

correspondant

à l’état normal pour

chaque température

sont

représentées

par des fonctions de la forme

x

et fi

sont des constantes

positives

ou

négatives.

Au

contraire,

pour les états normaux

correspondant

à la

température

de

300°,

il

faut

employer

deux formules

différentes,

la

première

entre et

190°,

la seconde entre

igoo

et 300°.

L’auteur avait émis

l’hypothèse

que la variation du

magnétisme

due à la

température

était

proportionnelle

à la variation de la con-

ductibilité

électrique

de l’acier. Les recherches dont nous venons

de rendre

compte,

établissent que les deux

propriétés

varient

d’après

des lois toutes différentes. Ainsi les

rapports

du

magné-

tisme normal et de la conductibilité à 20° aux mêmes

quantités

aux

températures

élevées sont,

d’après

M. Poloni :

E. BOUTY.

R. COLLEY. 2014 Nachweis der Existenz der Maxwellschen electromotorischen Kraft, Yme (Sur l’existence de la force électromotrice de Maxwell Yme); Wied.

Ann. der Physik, t. XVII, p. 55; 1882.

Considérant un courant

électrique

comme un

phénomène

de

transport,

Maxwell

applique

à ce mouvement les

équations géné-

rales de

Lagrange (,~’lectrzetty

and

l~Tcc~-netis~n,

t.

II,

p.

195).

Il

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020018201

(3)

183

arrive ainsi à diviser

l’énergie cinétique

d’un courant en trois

termes

qu’il désigne

par

1-’’’0 Te, Tme.

L’étude de

T me perme t

de

prévoir

deux sortes de

phéno-

menes :

Un mouvement du conducteur

qui

doit se

produire lorsque

l’intensité du courant vient à

varier;

Une force électromotrice

Îinie qui

doit

prendre

naissance

dans un conducteur en mouvement

lorsque

son mouvement s’ac-

célère ou se ralentit.

Le Mémoire de M.

Colley

a pour but de prouver

expérimenta-

lement l’e~istence de

Y me,

au moins chez les

électrolytes.

La

partie

mobile du circuit se compose d’un tube T contenant de l’iodure de cadmium

qui

tombe

guidé

par deux fils tendus AB

Fig. r.

et CD dans du sable

B,

d’une hauteur de

i~,~2.

Les deux élec- trodes en

cadmium, plongeant

dans la

solution,

donnent un cou-

rant. Deux fils

G,

isolés et roulés ensemble pour éviter l’incluctior~

(4)

184

terrestre

pendant

la

chute,

conduisent ce courant à un

galvano-

mètre Thomson 11211C11 d’un commutateur.

Le calcul du

phénomène permet

de

prévoir :

une

première

déviation

et

=

Odiv, 35 correspondant

à un courant descendant.

suivie d’une déviation de sens contraire

62

=

o~’°, 9~t.

La

pren1ière correspond

à la chute du

tube,

la seconde à sa

pénétration

dans

le sable. Or

1 expériences

donne 0,2 ou

o, 3

pour

et, o, 6

ou

0,8

pour

6~.

Ces deux nombres sont dans le

rapport voulu,

mais

trop

faibles de

;.

1~~.

Colley

montre que cet écart est attribuable à une constante

trop faible_

intr odui te dans ses formules.

Par suite des

trépidations

du

sol, l’aiguille

du

galvanomètre

os-

cillait

continuellement;

M.

Colley

a donc soin de montrer que l’on

ne

peut

attribuer à ces

trépidations,

pas

plus qu’à

l’ébranlement causé par la chute du

tube,

les déviations observées. Elles oint

toujours

le sens

indiqué

par la

théorie, changent

de

signe chaque

fois que l’om tourne le commutateur et

disparaissent

dès que l’on fait tomber le tube en

interceptant

le courant

qui

va au

galvano-

mètre. G. MARTIN.

E. COHN. 2014 Ueber den Widerstand polarisirter Zellen (Sur la résistance des cellules

électrolytiques polarisées); Wied. Annalen der Physik, t. XIII, p. 665; 1881.

On sait que F. ~011I1’’al.1sC11 a démontré

expérimentalement

que des courants

alternatifs,

se succédant

rapidement,

ne

produisent

aucune

polarisation

dans une cellule

électrolytique,

pourvu que les électrodes soient suffisamment

grandes.

Ce fait

permet,

de mesurer la résistance d’une

cellule polarisée’

par m2 cazcnant constant.

Pour

cela,

Fauteur forme un

pont

de

iYheatstoiie,

dont troi s branches on t la même résistance et dont la

quatrième

branche c~’

comprend

la cellule et n

daniells;

le

pont proprement

dit ren- ferme un

élecLrod~,namomèLre;

le circuit

principal

tin inducteur à

courants sinusoïdaux. En

modifiant,

au moyen d’un

rhéostat,

la

résistance de la branche

d,

on

peut

faire en sorte que le fonction-

nen)ent de l’inducteur ne modifie pas la déviation de

l’électrodn-

nan1on1ètre;

à ce moment, les résistances des

quatre

branches

sont

égales ;

on a donc la résistance de la cellule

augmentée

de

Références

Documents relatifs

taines limites pour le platine sont encore valables pour les autres métaux purs, et que les propriétés de ces corps ,e rapprochent de plus en plus de celles

Log transformed data for paired measurements using culture and the enzyme-based assay in absence of chlorine or copper, same data as presented in Fig.. Linear

Sterilität kann ebenso gut durch eine sterile Abnahme des Spermas wie durch den Zusatz von Lysosym oder Chloramphenikol. erreicht

(*) Pour ne pas alourdir les notations, désormais nous mettrons toujours les données-frontière sous la forme /i ,/2» [(/i ^f^)} respectivement pour le pro- blème de Dirichlet dans

Gehen wir jetzt zu dem I)roblenle yon der Bewegnng eines Punkies,.. Wenn die Integrationskonstante h einen positiven Werth hat, So bezeichnet diese Glcichung eine

Die notwendige und hinreiehende Bedingung dafiir, dass eine in D eindeutige und beschr/inkte nichtkonstante analytische Funktion existiert, ist, dass das lineare Mass der

Infolgedessen ist das Integral über F längs einer geschlossenen Kurve y ebenfalls immer positiv, ausser wenn y mit dem ein- oder mehrfach in positiver Richtung

Wir beweisen, dass die (nebst ihren Ablei- tungen erster und zweiter Ordnung) stetigen periodischen Lösungen Z(u), der Integro- Differentialgleichungen (82) stetige