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Drude's Annalen der Physik

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(1)

HAL Id: jpa-00240919

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240919

Submitted on 1 Jan 1904

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Drude’s Annalen der Physik

M. Lamotte

To cite this version:

M. Lamotte. Drude’s Annalen der Physik. J. Phys. Theor. Appl., 1904, 3 (1), pp.55-64.

�10.1051/jphystap:01904003005501�. �jpa-00240919�

(2)

55

La ligne neutre que présente une lame de sucre normale à un

axe, observée en lumière jaune convergente entre deux nicols croi- sés, n’est pas absolument noire. On obtient l’extinction complète en

faisant tourner l’analyseur, ci gauche, de 22° pour 1 centimètre

d’épaiss eur si la lame est, comme d’ordinaire, obtenue par clivage ou

à dro ire, de 64°, quand la lame est perpendiculaire au second

axe. La rotation due au sucre amorphe, calculée d’après celle d’une solution concentrée, serait de 101,2 à droite.

En lumière circulaire, blanche ou homogène, on distingue une spirale qui, sur une lame suffisamment épaisse normale à l’axe droit, peut faire un tour complet.

Pour faire passer deux fois de suite la lumière en sens inverse à travers une même lame, on place, entre la lame et le miroir horizon- tal de l’appareil de Norremberg, une lentille dont le plan focal est

sur ce miroir. Les rayons de retour sont alors parallèles aux rayons d’arrivée et l’on distingue, à l’intérieur du premier anneau, une spi-

rale affectant la forme d’un S vu par réflexion.

En lumière monochromatique, une lame de sel de Seignette a présenté un pouvoir rotatoire, à droite, de 12° par centimètre.

C. RAVEAU.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK;

T. XII, n° W ; 1903.

E. MARX. 2013 Ueber die Kondensatorentladung in verzweigten Systemen bei

Periodenzahlen 10-7 - 10-8 und das dielektrische Verhalten einiger Flüssigkei-

ten in diesem Frequenzbereich (Decharge des condensateurs dans les systemes

ramifiés pour les periodes 107- et i0-S; propriétes dielectriques de quelques liquides pour ces périodes).

-

P. 491-535.

Lorsqu’un courant sinusoidal de periode T se partage entre les

deux branches d’une derivation dont les resistances sont R1, R2 et les

self-inductions L1, 1 L2, les intensites efficaces sont 6gales dans les

deux branches, quand on a :

Supposons que l’une des branches soit formee par une resistance

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01904003005501

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56

electrolytique : sa self-induction est negligcable et sa resistance independante de sa periode. Si l’autre branche est formee par une bobines en fil metallique, sa self-induction varie peu avec la periode,

mais sa resistance apparente se modifie d’une manicre notable ( Stc-

fan et Rayleigh).

En reglant la resistance electrolytique, on peut obtenir l’égalité

d’intensit6 dans les deux branches de la derivation, et 1’eqllatl011 (I) permet de calculer la periode.

,

11 faut que les longueurs de fil employees soient petites vis-ä-vis

de la longueur d’onde et que la mesure des intensites ne déperide pas de la phase. 11 faut aussi eliminer les oseillations ä longue periode

de la bobine d’induction en intercalant un condensateur de faible

capacrté sur les fils addueteurs.

Le circuit de décharge comprend les deux resistances en deriva-

tion, separees l’une de l’autre par un condensateur qu’on peut

mettre en volonte dans l’une des deux branches de la derivation et deux éléments thermoélectriques, run dans une branelie, l’autre dans t’autre. Ces deux éléments sont relies, en opposition, aux deux enrou-

lements d’llll galvanometre differentiel. Quant on a regle la resis-

tance electrolytique defacon que les intensites soient egales, le gal-

vanometre differentiel reste au zero.

On obtient les oscillations ä l’aide d’un excitateur rectangulaire

comprenant un condensateur. On prend d’abord un condensateur in lame d’air dont on calcule la capacite par la formule de Kirchhoff.

On regle la resistance electrolytique de maniere ä ramener le galva-

nometre dinerentiel au zero. Puis on remplace le condensateur par

un autre contenant le liquide et dont les armature sont ä ecartemen t variable. On modifie cet ecartement jusqu’à ce qne la valeur de la resistance qui ramene le galvanometre au zero soit la meme que dans le premier cas. Les deux capacités sont alors egales.

11 iinportc que l’amortissement des oscillations soit faible et constant.

Dans l’intervalle de longueurs d’onde compris entre 10 et 34 cen- timetres, le benzol et l’eau n’exercent aucune dispersion.

M. LAMOTTE.

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G. AECK.ERLE1N. 2013 Ueber die Zerstäubung galvanisch glihenäer Metalle (Pulvc-

risation des metaux rendus incandescents par un cuurant électrique).

z

P. 535-553.

Un fil de platine se pulverise dans une atnl0sphere d’hydrogene,

contrairement ä ce qu’ont trouve Elster et Geitel. relais la pulverisa-

tion est plus lente que dans le vide, ce qui tient plutot ä la pression qn’il la nature particuliere de 1’llydrogene. En efl’et, dans l’air ä la

meme pression, la pulverisation est aussi plus difficile et les deux phenonlenes ne presentent aucune difference essentielle.

La conductibilite du gaz est unipolaire, et la polarite varie avec

les circonstances experimentales : la pulverisation ne suit pas ces variations.

Le palladium se pulverise en quantite notable, sans qu’un courant appreciable traverse le gaz.

Un champ electrique n’exerce aucune action directrice sur les par- ticules pulverisees ; il n’y a non plms aucun rapport entre les quantites

de metal pulverise et la quantile d’électrieité transportée.

Un fil porté ä une temperature elevee autrement que par un cou- rant ne se pulverise pas ; mais l’élevalion de temperature favorise la pulverisation. Une charge staticlue du fil chaud n’a aucun effet.

Le degagement des gaz occlus dans le platine ou le palladium

n’est pas une condition necessaire ni suffisante de la pulverisation.

1l1. LA:BIOTTE.

E. LADENBURC. 2013 Untersuchungen über die entladende Wirkung des ul tra- violetten Lichtes auf negativ geladene Metallplatten im Yakuun1 (Recherches

sur la deperdition provoquee par la lumiere ultra-violette sur les plaques de

metal chargees negativement dans le vide).

-

P. 558-578.

Pour comparer F action des rayons ultra-violets sur deux metaux

differents, M. Ladenburg emploie une methode differentielle. Les deux plaques sont toutes deux chargees ä 2013 1000 volts, par l’inter- mediaire de grandes resistances réglables ä volonte. Les extremites de ces resistances sont reliees aux deux paires de quadrants d’un electrometre, et on amene 1’electl°ometre au zero en leur donnant des valeurs convenables.

On realise d’abord cette condition en prenant deux plaques du

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58

meme metal (aluminium) a l’une desqu>11>s on sllbstituc ensuitc une

plaque du metal ä étudier.

L’activite photo-electrique d’un metal depend essentiellement de l’etat de la surface : elle est maximum lorsque le métal a requ le plus

fin poli. 11 semble que la fatiguc des clectrodes soit due ä une cor-

rosion de la surface par les rayons ultra-violets.

Lorsque la plaque est d’abord ä l’etat neutre, elle prend sous l’ac-

tion des rayons ultra-violets une charge positive, dont la grandeur

varie avec la nature du metal. On peut ainsi avec deux metaux dif- ferents construire une pile photo-électrique.

La grandeur de l’effet photo-6leetrique ne depend ni de 1’angle

d’incidence des rayons ni de leur azimut de polarisation. 11 y a donc lieu de supposer que ces rayons penetrent jusqu’ä une certaine pro- fondeur dans le metal. Les expériences le verifient : les rayons les

plus actifs (X = 0,220 u.) penetrent jusqu’ä une profondeur egale ä

environ 8 fois la longueur d’onde.

M. LA MOTTE.

A. HEYD WEILLER. - Zur Theorie der magneto-elastichen BYechselbeziehungen (Contribution ä la theorie des rapports reciproques du magnetisme et de 1’elas- ticite).

-

P. 602-6ü8.

Soit 1, la longueur d’un fil de fer, p, la traction par unite de section ä laquelle il est soumis, E, son module d’elasticite, x, sa susceptibilite magnetique. On a :

ä condition que dx dp et d2x dp2 ne soient pas tres petits. apres les expe-

riences effectuées jusqu’ici, la courbe (x, p) prdsente un maximum

et un minimum, entre lesquels se trouve un point d’inflexion ; il

semble qu’il y ait encore au delä du maximum et au delä du minimum deux autres points d’inflexion. 11 s’ensuit que dx dp et d2x dp2 et, apres les

6quations ei-dessus, dl dH et dE dH ont des si gnes differents dans les dif-

ferentes régions de la courbe,

(6)

59 Suivant la valeur initiale du champ, une augmentation de ce champ peut donc entrainer un accroissement ou une diminution de 1-a longueur du fil ou de son module d’elasticite. Dans le meme

intervalle, les variations sont de signe contraire pour le fer d’une

part, le nickel et le cobalt de l’autre.

M. 1.,AlBlOTTE.

A. HEYD V1-’EILLER. - Ist die Magnetisierungszahl der Eisen-und Mangansalzlö-

sungen abhängig von der Feldstarke ? (La susceptibilite magnetique des sels de fer et de manganese en dissolution depend-elle de l’intensite du rllö,Inp?)

-

P. 608-621.

,

La susceptibilite de ces dissolutions reste constante ä 10 0/0 pres quand le champ varie de 0,1 ä 1,2 C. G. S.

Dans les champs intenses de 1 ä 40.000 C. G. S., la variation de la susceptibilité, tres faible pour le chlorure ferrique, plus marquée

pour les chlorures manganeux et ferreux, atteint 30 a 40 0/0 pour le

sulfate ferreux.

,

M. LAMOTTE.

G.-C. SCHMIDT. - Der dunkle Kathodenraum (La region cathodique obscure).

P. 622-653.

La region cathodique obscure represente un espace les ions sont rarefiés. On peut comparer ce phenolnène aux variations de concentration qui se produisent au voisinage des electrodes pendant 1’electrol.yse.

On met cette rarefaction en evidence en mesurant le temps néces-

saire pour charger un condensateur ä 1’aide d’une sonde qu’on

amene successivement daus les différentes r6gions de la decharge,

ou plus exactement sur laquelle on amene ces diverses regions en déplaçant la cathode.

Tant que la sonde est dans la region obscure, il faut un temps

extremement long pour que le condensateur prenne une charge appreciable.

Plus la sonde s’approche des lueurs negatives, plus la charge est rapide. Le nombre des ions, träs faible dans la region obscure, croit

donc rapidement vers les lueurs negatives ou les rayons catho-

diques.

(7)

60

En faisant arriver des rayons cathodiques, dvs rayons-canal ou

des rayons de RÖntgen dans la region obscure, on peut y faire naitre des ions positifs. Les dimensions de la region obscure dimi- nuent, en meme temps que la clute de potentiel cathodique et, si les

ions ainsi crees sont en nombre suffisant, la region obscure disparait.

L’action des rayons catliodiques est plus encrgiqne que celle des

rayons-canal : c’est-a-dire qu’ils abaissent davantage le potentiel de decharge.

Quand on fait croitre la farce electromotricc a partir de valeurs

tres faibles, 1’intensit.e du conrant de decharge croit rapidement d’abord, puis moins cite, reste constante pendant un certain inter- valle et croit de nouv eau.

I,a conductibilite transversale du gaz croit avec l’intensita dn courant principal et avec la rarefaction du gaz.

L’aclion ionisante des rayons cathodiques est moins grande que celle des rayons-canal : cette propriete n’est pas en contradiction

avec le fait signale ci-dessus, que les premiers agissent davantage

sur la region obscure. 11 est facile de l’expliquer en considerant les

trajets que doivent eifeetuer les ions.

On peut aussi diminucr les dimensions de la region obscure autour

d’une kathode en utilisant les rayons émis par cette cathode elle- memc. 11 suifit de les rejeter vers la region obscure ä l’aide d’un reilecteur metallique ou d’un aimant.

L’effet est d’atitatit plus prononce que la region obscure est plus grande, c’est-a-dirc que les ions sont plus 1’arefles autour de la

catliode.

M. LA MOTTE.

l;. RAY «% OI,C01"1’. - Ueber die Anwendung von Gleichstrompolarisation bei

Kohlrauschs Methode zur Messung elektrolytischer Leitungswiderstande (Em- ploi de la polarisation par le courant continu dans la mesure des resistance

electrolytiques par la methode cle Kohlrausch). 2013 P. 653-661.

La methode de Iiolilrausch exige que les electrodes aient la plus grande capacite de polarisation possible. D’ordinaire on realise cette condition en platinant les electrodes.

On obtient le meme resultat en polarisant ces electrodes par un courant continu auxiliaire.

D’apres 1’auteur, on y trouve des avantages : on peut employer

(8)

61 des electrodes de platine poli, de moindre surface, mesurer des

resistances plus petites, remplacer le telephone par un galvano-

metre ä vibrations.

. LAMOTTE.

R. DEFREGGEII. -- Kathodengefalle in Ileliuin

(Chute de potentiel cathodique dans l’héium). 2013 P. 662-665.

Dans l’helium, aucun reaction chimique n’est ä craindre entre ce

gaz et les electrodes.

-

La chute de potentiel cathodique est plus faible que dans tours les

autres gaz (de 177 volts ponr Cu, ä 1.25 pour 1BIg).

1VI. L AMOTTE.

J. SI’SCIIEGL.§YENN. - Uber die Absorption des Lichtes in den mit Metall-

dampf gefarbten Flammen (Absorption de la lumiere dans les flammes colorees par des vapeurs metalliques;.

-

P. 5 19-590.

L’auteur s’est propose de rechercher si le rapport de 1’remission ä

1’absorption dans une flammemoiioeliromatique est égal ä remission

du corps noir ä la meme temperature, conformement ä la loi de Kirchhofi. La formule de Wien (1) reliant l’ö1xlission 1 du corps noir ä la température absolue T pour une radiation de longueur d’sonde

peut etre mise sous la forme lineaire 1

oü 03B2 et C2 sont des constantes, e la base des loganthmes neperiens.

Wanner(2) a etabli la legitimite de cette relation dans le spectre visible, et donne pour la valeur de C2, 11. 530.

Après avoir vainement essayé de plusieurs metlzodes plus precises,

l’auteur a dü s’arrater ä la suivante, assez grossiere. On 6value au spectrophotometre, par Öomparaison avec la radiation correspondante

du spectre emis par une lampe ä incandescence alimentee par un

courant constant: 11 l’intensité i1 d’une flamme de chalumeau coloree par un jet d’air contenant une solution pulverisee de bromure de

(1) 1Vied. Ans., t. LVIII ; p. 662; 1896.

(2) Ann. del’ Phys., t. 11, p. 141 ; I900 -,- J. de Phys., 3e serie, t. IX, p. 541 ; 1900.

(9)

62

sodium ou de chlorure de litliium (’) (les sels moins volatils donnaient

une intensite insufl’isante) ; 1’intensite i2 d’une flamme identique placee entre la premiere et la fente du spectrophotometre ; l’inten-

site i, quand les deux flammes brulent ensemble. L’intensite A de la lumière absorbee par la deuxieme flamme est evidemment donnee par l3 = i1 + i2 2013 A, d’ où l’ on tire a = A i1 = i1+i3-i2 i1 et par consequent le rai1port i2 a, dont il s’agit de suivre la variation avec la

temperature ; celle-ci était donnee par un couple thermoelectrique (platine-platine rhodie) , étalonne par la méthode d’Holborn et Day (2).

Dans les deux cas etudies, la relation entre log i2 a et1T est lineaire,

mais C2 avec Li a pour valeur 23 OUO, ce qui indique une variation

de i a beaucoup plus rapide que celle dLi corps noir; pour Na, C2 = 11 832; i a croit moins vite que pour le corps noir. La loi de Kirchhoff ne s’applique donc pas aux flammes colorees ; ce resultat

n’est pas surprenant, si 1’on admet avec Pringsheim (3) que les flammes ne sont capables d’6mission lumineuse que lorsqu’il s’y produit des r6aetions chimiques, tandis que la loi de Kirchhoff s’ap- plique ä un corps dont le rayonnement est ä la seule elevation de la température.

CARL FORCH. - Über gewisse Relegmässigkeiten der Molekuiarvolumma von

anorganischen Salzen in .wässeriger Lösung (Quelques regles relatives aux

volumes moleculaires des sels inorganiques en solution aqueuse). - P. 591-601.

Soient p, le poids specifique d’une solution saline, nx et ne les

nombres de molecules-grammes de sel et d’eau dans 1 litre de solu-

tion, S et E les poids moleculaires, vs et ve les volumes moleculaires

correspondants. On a :

et si l’on admet que les molecules des deux corps se comportent (1) Zeitschr. für Phys. Chen2., t. XXXIX, p. 111; 1901.

(2) Ann. der Phys., t. 11, p. 505 ; 1900.

(3) Wied. Ann., XLV, p. 428; 1892;

-

J. de Phys., 36 serie, t. 111, p. 188 ; 1894.

(10)

63

comme des individus independants :

vs et v, sont fonctions de la concentration ; on peut en calculer des valeurs approchees lorsque, pour deux concentrations voisines, les poids specifiques sont tres voisins; on peut alors admettre, en effet,

que, dans cet intervalle, i,s et ve conservent une valeur constante, cor-

respondant ä la moyenne des concentrations 1 et2, qui limitent l’in-

tervalle ; ces quantit6s sont alors donnees par :

L’auteur a ealeu16, pour un assez grand nombre de sels, les Vs et 1Je

correspondant ä differentes concentrations, et V - v, (V étant le

volume moleculaire dans Fetat solide) qui represente la contraction moleculaire du solide en presence du liquide. Pour le sucre, vs ne

diffère pas beaucoup de V. Avec les electrolytes, les differences

s’accusent, et MgSO4 donne, pour les concentrations inferieures ä 0,1 molécule par litre, des valeurs negatives de ve et vs, ce qui est

1’indication d’unE action reciproque des mo16eules des substances en

presence.

Dans ce cas, l’hypothese f’ondamentale n’est pas acceptable.

11 semble que la valeur de V - vs soit fixe pour les metaux d’un même groupe, vis-ä-vis de radicaux de meme valence; par

exemple, pour K, Na, Ag et les radicaux monovalents (halogenes,

.

Az03, ClO3, BrO3) ä la concentration de i equivalent par litre, on a 7,6 ± 0,95 ; pour les memes radicaux et les metaux divalents autres que le cadmium (Ca, Sr, Ba, Mg, Zn, Mn, Pb), on a 12,4 + 0,96.

Malheureusement les valeurs des poids specifiques des solutions que donnent les tables actuelles sont ou trop peu nombreuses ou

trop incertaines dans bien des cas, pour que l’on puisse etre conduit

ä des conclusions bien nettes. 11 y aurait interet ä reprendre, pour tous les sels et dans de larges intervalles de concentration, des

determinations exactes, de poids specifiques.

P. LUGOL..

(11)

64

I3. WALTER. 2013 Bemerkungen zu der Abhandlung von .1. Wallot : « Die Abhän- gigkeit der Brechungsexponenten der Salzlosungen von der Konzentration »

(Remarques au sujet du travail de J. Wallot, «Relation entre les indices die refraction des solutions salines et la conccntration »).

-

P. 671-612.

Dans le travail cité (’), M. Wallot reproche ä la relation decou- verte par l’auteur

-

proportionnalité entre la variation de l’indice de

refraction et la concentration d’mn grand nombre de solutions salines

-

d’etre une simple formule sans aucune signification theo- rique. Elle a cependant conduit ä constater que des solutions équi-

moleculaires des sels étudies (KCI, NaCl, AzH4Cl, KAz03) ont ä

peu pres le meme indice, tandis qu’une molecule d’un sel d’acide

bibasique, tel que Na2SO4, comparee ä une molecule de NaCI, com- munique ä l’eau une action retardatrice presque double. Ce fait a

une certaine importance theorique, en ce sens qu’il constitue une

relation analogue ä la loi de Faraday d’appès laquelle la decomposi-

tion electrolytique des sels d’acides monobasiques exige une meme quantite d’electricite, celle des sels d’acides bibasiques une quantite

double. P. LUGOL.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE ;

6e série, T. V : mai et juin 1903.

J.-J.-E. DURACK. 2013 On the Sperifie Ionization produced hy the corpuscules given vut by Radiual (Sur l’ionisation spécifique produite par les corpuscules

émis par le radium). - P. 550-561.

J. TOWNSEND. 2013 Même sujet. - P. 696-699.

Dans uri mémoire précédent, M. Durack a montré que les corpus- cules dans un faisceau de rayons de Lénard produisent en moyenne 0,4 ions positifs et négatifs dans la traversée de 1 centimètre d’air, à la pression de 1 millimètre de mercure ; si on suppose qu’un corpus- cule crée un couple d’ions à chaque collision avec les molécules

(1) J. de Phys., 41 série, t. II, p. 820; 1903.

(2) Cf. WALTER, Jahrbuch. del’ Hamb. BVissensch. Ansl., t. IX, p. 245, 1891 ;

2013

et aussi Disse1’lalions d’Iéna.

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