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JULIUS THOMSEN. — Chemische Energie und electromotrische Kraft verschiedener galvanischer Combinationen (Énergie chimique et force électromotrice dans divers systèmes de piles); Ann. der Phyzik und Chemie, t. XI, p. 246; 1880

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00237860

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237860

Submitted on 1 Jan 1881

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JULIUS THOMSEN. - Chemische Energie und electromotrische Kraft verschiedener galvanischer

Combinationen (Énergie chimique et force

électromotrice dans divers systèmes de piles); Ann. der Phyzik und Chemie, t. XI, p. 246; 1880

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. JULIUS THOMSEN. - Chemische Energie und electromotrische Kraft ver-

schiedener galvanischer Combinationen (Énergie chimique et force électromotrice dans divers systèmes

de piles); Ann. der Phyzik und Chemie, t. XI, p. 246; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1),

pp.502-503. �10.1051/jphystap:0188100100050202�. �jpa-00237860�

(2)

502

suré les forces électromotrices

thernlo-électriques

entre le

graphite

et les autres sortes de charbon. Il n’a pu trouver aucune relation

entre la résistance ou ses variations avec la

température

et les

autres

propriétés physiques

du charbon.

Le

graphite

a la

plus petite résistance,

la

plus grande

variation

de celle-ci avec la

température,

et est

électronégatif

vis-à-vis de

tous les autres

charbons;

il a aussi la

plus grande

conductibilité

calorifique.

Il n’est

cependant

pas le

plus

riche en carbone.

R. BLONDLOT.

L. SCHWENDLER. 2014 On some experiments instituted to supply all the lines terminating at the Calcutta Telegraph Office with currents tapped from the main

current produced by a dynamo-electric machine (De quelques expériences faites dans le but d’alimenter les lignes aboutissant au Telegraph Office de Calcutta par

un courant dérivé sur le courant principal d’un électromoteur); Journal of the

asiatic Society of Bengal, vol. XLIX, Part II, p. 167; 1880.

En prenant une dérivation

(de 1 350) sur

le courant

principal

d’une

machine Siemens servant à

l’éclairage

de la station de

Howrah,

on

a pu, sans affaiblir d’une

façon appréciable

l’in tensité

lumineuse,

alimenter les onze

lignes télégraphiques

partant de Calcutta

(situé

à

1 mille, 75

de

Ho,yrah).

L’intensité du courant, mesurée au

départ,

à

Calcutta,

et à la station d’arrivée

(Juhbulpore,

863

milles;

Co-

conada,

800

milles ; Agra,

85o

milles, etc.),

s’est montrée constam-

ment bien

plus

forte due celle du courant fourni par une

pile

de

60 éléments

Minolta

habituellement

employée

pour le service de la

ligne.

Il

paraît

donc

possible,

au

point

de vue

pratique,

de se

servir,

pour la

télégraphie électrique,

d’une dérivation

prise

sur le courant

principal

d’un électromoteur. Ce courant

principal

peut être em-

ployé

pour

l’éclairage,

le

chauffage

ou pour la force motrice.

H. PELLAT.

JULIUS THOMSEN. 2014 Chemische Energie und electromotrische Kraft verschiedener galvanischer Combinat ionen (Énergie chimique et force électromotrice dans divers

systèmes de piles); Ann. der Phyzik und Chemie, t. XI, p. 246; 1880.

L’auteur s’est

proposé

de résoudre la

question

sui vante: « La quan- tité de chaleur totale

qui provient

des réactions

chimiques qui

se

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100050202

(3)

503

produisent

dans une

pile

à deux

liquides correspond-elle

en tota-

lité ou seulement en

partie

à la chaleur totale

dégagée

par le cou-

rant dans le circuit ? »

Pour résoudre la

question,

il faut connaître les

quantités

de cha-

leur

dégagées

par les réactions

chin1iques

de la

pile employée.

M. Thomsen les a déterminées dans un travail antérieur

(1).

Pour

déterminer la chaleur totale

produite

par le courant, l’auteur fait passer dans une

spirale

de

platine immergée

dans l’eau d’un calo- rimètre un courant rendu constant au moyen d’une boussole des sinus et d’un rhéostat. Il détermine ensuite les constantes du cir- cuit et cherche d’autre part combien de gaz tonnant est mis en li- berté en une minute par le courant

employé.

Dans le cas de la

pile

de Daniell on trouve, pour la

quanti té

to-

tale de chaleur

dégagée

dans le circuit

pendant

la

décomposition

de 1 éq de sulfate de

cuivre,

50

292cal (rapportées

au gramme

d’eau).

La chaleur

dégagée

par les réactions

chimiques

est 50130cal. La

différence ne monte pas à

o, 3

pour i oo. Pour les sept autres

piles employées,

les écarts sont souvent

plus considérables,

mais peuvent

s’expliquer

facilement. La totalité de

1",étzei-gle chimique

est dolle

e17zplo.rée à

la

production

dit courant.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

G. JOHNSTONE STONEY. 2014 On the physical units of nature (Sur les unités phy- siques naturelles); Phil. Magazine, 5e série, t. XI, p. 381; 1881.

On sait

qu’un

Comité de l’Association

britannique

a

proposé

un

système

de mesures,

adopté

tout récemment par le

Congrès

in-

ternational des

électriciens,

et dans

lequel

les unités

électriques

sont

exprimées

en fonction des unités

mécaniques

de

longueur

de

temps et de masse.

L’auteur, qui

était membre du Comité de l’Association

britannique,

propose de renverse le

problème

et

d’exprimer

les unités

mécaniques

en fonction de certaines quan- tités

électriques.

Ce

système, proposé

par

l’auteur, implique

la

connaissance du nombre de molécules

d’hydrogène

rnises en li-

herté par un courant

électrique égal

à

l’unité;

ce nombre, Jnalheu-

(1) Pogg. -4tin., t. CXI ; 1860.

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