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Sitzungsberichte der Mathematisch-Naturwissenschaftlichen Classe der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften in Wien; 1882

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238082

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238082

Submitted on 1 Jan 1883

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Sitzungsberichte der

Mathematisch-Naturwissenschaftlichen Classe der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften in Wien;

1882

G. Gripon

To cite this version:

G. Gripon. Sitzungsberichte der Mathematisch-Naturwissenschaftlichen Classe der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften in Wien; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.192-196.

�10.1051/jphystap:018830020019201�. �jpa-00238082�

(2)

On

peut

supposer que le

tul~e,

rendu

fragile

par cette baisse

ten~pérature,

n’avait pu résister à

l’augmentation

de

pression

due à

la volatilisation du

liquide.

Il est

cependant plus probable

que la rupture est due à la dilatation de l’acide

carbonique

solide et que

cette rupture se

serait produite

sans

explosion

au moment tout

le

liquide

aurai été solidifié. C. DAGUENET.

Sitzungsberichte

der Mathematisch-Naturwissenschaftlichen Classe der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften in Wien; 1882

A. v. ETTINGHAUSEN. 2013 Évaluation du coefficient diainagnétique du bismuth

~

métallique en mesure absolue, p. i.

Dans une

première

série

d’expériences,

on compare l’action inductrice du bismuth à celle d’un solénoïde. Dans la deuxième et

la

troisième,

on mesure les moments de rotation d’un barreau de bismuth

placé

dans le

champ magnétique

d’une

spirale

traver-

sée par un courant. On cherche enfin l’action directe

qu’exerce

à

distance le corps

diamagnétique.

Les deux

premières

méthodes

comportent plus

de

précision

que les deux autres.

La valeur trouvée du coefficient

diamagnétique

est

comprise

entre

13, 5

et

14, 5

X 1 o-G.

Ces nombres

sontbeaucoup plus petits

que ceux

que l’on

donne

or dinairement.

J. STEFAN. - Sur l’action magnétique du fer agissant comme écran, p. ~3.

On fait osciller un aimant sous l’action de la terre en le

plaçant

dans un

cylindre

creux en fer et l’on mesure l’affaiblissement

qu’éprouve

alors la

con1posante

horizontale du

magnétisme

ter-

restre. Il est environ le dixièlne de la valeur absolue de cette com-

posan te.

e) Comptes rendus des séances de 1’_4cadérnie Ùnpériale des Sciences de YTienne.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020019201

(3)

193

L’auteur cite

plusieurs expériences

d’induction.

Un fil conducteur roulé en hélice est dans un

champ magné- tique.

On v fait naître des courants induits d’intensités sensi- blement

égales

en enlpvaiil l’hélice

du champ,

ou en la laissant en

place

et en la recouvrant d’un

cylindre

creux en fer

qui

détourne

. vers ses

parois

les

lignes

de force

qui

traversaient l’hélice.

Un

c’ylindre

de fer entouré d’un fil conducteur roulé en hélice

est dans un

champ magnétique.

On a un courant

d’induction,

si

l’on fait tourner à la

fois,

autour de l’axe du

cylindre,

le fer et

l’hélice. On a encore un courant si le fil est seul mis en mouve- ment. Le courant

disparaît lorsque

le

cylindre

tourne seul dans

l’hélice immobile.

Un mouvement de translation donne des résultats différents. Une hélice de fil

enveloppe

une

portion

d’un anneau de fer

placé

dans

un

champ magnétique.

On a un courant si l’hélice se

déplace

le

long

de l’anneau immobile. Le courant

change

de sens

lorsque

l’anneau

glisse

dans l’hélice en repos. La rotation simultanée de l’hélice et de l’anneau autour de l’axe de ce dernier ne donne au-

cun courant, bien que les

portions

du fil

placées

à l’intérieur de l’anneau soient soumises à des forces

magnétiques

moindres que les

parties

extérieures.

A. WASSMUTH. -- Sur la force portante électromagnétique, p. 12.

Deux électro-aimants senri-circulaires sont en contact par leurs surfaces

polaires;

on compare la force

portante

T au moment ma-

gnétique

UL de l’unité de

volume, exprimée

en mesures absolues.

Le

quotient T présente

un minimum dans le

voisinage

de la sec-

li- ~n

tion

placée

à

égale

distance des surfaces

polaires ;

il croît lente-

ment, à

partir

de

là,

avec des valeurs croissantes

de pn

Le

quotient T n

n’est pas constant. Sa

yaleur,

d’abord consjd(~-

rable,

diminue très

rapidement

et atteint un minimum

lorsque

le

magnétisme

n’est

plus

que les

o, ~o

de ce

qu’il

était tout

d’abord. Sa

valeur,

dans la section neutre, est donnée par la for- mule

(4)

c~ est la

grandeur

des surfaces de contact, ;~ l’accélération de la pesanteur.

L’expérience

montre que, si l’on

place

entre l’aimant et son

contact une laine de mica très mince et si l’aimantation n’est pas trop

forte,

la force

portante augmente

notablement de

4kg, 7 à gkg,

par

exemple.

Il en est de

même,

mais à un

degré moindre,

avec

une aimantation

plus

intense.

A. WASSMUTH. 2013 Sur la chaleur spécifique du fer aimanté, et sur l’équivalent mécanique de la diminution du magnétisme produite par la chaleur, p. 112.

M. Stefan a

démontré, en 1874,

que la chaleur

spécifique

du

fer est

plus grande

à l’état d’aimantation

qu’à

l’état naturel.

Appe-

lons

Ao

le travail de l’aimantation nécessaire pour donner au

fer,

y

pris

à 0°, un moment

magnétique maximum m, -~

la

température

à

laquelle

le mornent in est

nul, C,

y c les chaleurs

spécifiques

moyennes du fer aimanté ou non, 1

l’équivalent mécanique

de la

chaleur :

L’auteur déduit de

quelques expériences

et t

A. WASSMUTH. 2013 Sur une application de la théorie mécanique de la chaleur

au phénomène de l’aimantation, p. 167.

Le moment d’un

milligramme

de

fer,

soumis à une force ma-

gnétique, dépend

de sa

température

et de la

pression qu’il

sup-

porte.

Une diminution de

hression,

une élévation de

température

in-

fluent sur le moment d’un des sens

opposés.

La

compression dégage

des

quantités

de chaleur à peu

près égales,

que le fer soit ou non aimanté.

Le

fer,

soumis dans le vide à une force

magnétique faible,

doit

se refroidir. Il

s’échaufferait,

au

contraire,

sous la

pression

atmo-

sphérique

et l’action cl’une aimantation

plus puissante

(5)

195

E. LECHER. - Sur l’émission et l’absorption, p. 57.

L’auteur calcule les

pouvoirs

absolus émissif et absorbant d’un corps en fonction des

pouvoirs

réflecteurs diffusifs et du

pouvoir

émissif des

corps environnants.

En admettant que le

pouvoir

absorbant absolu soit constant à toutes les

températures,

il en

conclut :

Qu’un

corps envoie des radiations de toute

réfrangibilité, quelle

que soit sa

température,

et il trouve la confirrnation de cette loi dans les travaux des

physiciens

sur la

photométrie

et la

chaleur

rayonnante;

La distribution dans le

spectre

des radiations émises est in-

dépendante

de la

température.

L’auteur cite

quelques expériences à l’appui

de cette loi. Il

place

entre deux

piles

formant un

appareil thermométrique *différentiel

une lame de

platine

incandescente sur ses deux faces et trouve

que les

pouvoirs

absorbants de certains corps

interposés

entre la

lame et les

piles

conservent à peu

près

le même

pouvoir

absor-

bant,

bien

qu’on

fasse varier la

teinpérauuire

de la lame.

Des

lampes électriques

à incandescence lui donnent des

spectres

de même

qualité , quelle

que soit la

température

du fil de char-

bon.

Il conclut que le

pouvoir

émîssif d’un corps

quelconque

est,

pour toute

température,

une même fraction de la fonction

qui

ex-

prime

le

pouvoir

émissif d’un corps noir.

L. BOLTZlB1ANN. - Photographie directe des vibrations sonores, P. 2’12.

Le corps vibrant est une lame mince de

fer, analogue

à celle

d’un téléphone

et

qui

recouvre une

capsule pleine d’air; elle porte,

en son

milieu,

une lame de

platine

très

mince, perpendiculaire

à

son

plan

et lui

communique

les vibrations

quelle reçoit.

On

éclaire fortement la lame avec la lumière solaire et, à l’aide d’un

microscope solaire,

on forme sur un écran

1 ïn1age

de l’ombre de cette lame.

En recevant la lumière sur une lentille

cylindrique,

on transforme

(6)

cette

image rectiligne

en un

point

que l’on

reçoit

sur un

cylindre

tournant recollyerl d’un

papier photographique

sensible.

Lorsqu’on parle

devant

l’appareil vibrante

r0l11bre se

déplace

et dessine sur le

papier

une

ligne

sinueuse

qui correspond

aux

vibrations sonores.

Les

voyelles

donnent une sinusoïde

simple

ou la courbe d’inter- férence de deux sinusoïdes.

Les courbes des consonnes ont

quelque analogie

avec les

figures

données par la lettre r dans les

expériences

de 1~I.

Koenig.

G. GRIPON.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Philosophical

Magazine.

Se série. - Tome XV. -- ~Iar" IR83.

S.-P. L.BjSGLEY. -

_Absorption

sélective de l’énergie solaire) ~. 153.

W. BIILY. - Sur les spectres

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H. LiMB. - [,a base de la

statique, p.

187.

G.-T. RILEY. - Sur les phénomènes

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p. 19L

~.-M. "TORTHINGTOX. - !l2ouvenaerzt horizontal des corps

flottants

sous

L’infLue~2ce

des

forces capillaires,

p. I98.

F.-G. SMITII. - Pile secondaire ou accumulateur

électrique

à haute pression) p. 203.

R.-Il.-N. BOSA~Q(JET. - Sur

laforce n2a~o2cto7jiotrice, ~.

205.

R.-Il.-N. BOS~1QC~:T. -

Disposition

pour diviser les

règles,

p. 2 fi.

Références

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