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FR. WACHTER. — Ueber die materiellen Theile im elektrischen Funken (Des particules solides dans l'étincelle électrique); Wied. Annlen der Physik, t. XVII, p. 903; 1882

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238101

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238101

Submitted on 1 Jan 1883

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FR. WACHTER. - Ueber die materiellen Theile im elektrischen Funken (Des particules solides dans l’étincelle électrique); Wied. Annlen der Physik, t.

XVII, p. 903; 1882

Ch. Gomien

To cite this version:

Ch. Gomien. FR. WACHTER. - Ueber die materiellen Theile im elektrischen Funken (Des particules solides dans l’étincelle électrique); Wied. Annlen der Physik, t. XVII, p. 903; 1882. J. Phys. Theor.

Appl., 1883, 2 (1), pp.283-284. �10.1051/jphystap:018830020028301�. �jpa-00238101�

(2)

283 1 ° Pour

chaque angle d’incidence,

on trouve dans la lumière (liffractée une variation de la différence de marche de o

à -

lors-

2

c~u’on

passe des

spectres

diffractés

positifs (du

côté des rayons in- cidents

prolonges)

aux

spectres négatifs.

Pour chacune de ces

directions,

la différence de

phase

est la

même que pour un rayon lumineux

qui

serait directement réfléchi dans cette même direction par la matière

qui

constitue le réseau.

3° Cette même loi

s’appliclue également

au

rapport

des intensi- tés des deux

composan tes

du mouvement

elliptique.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

FR. WACHTER. 2014 Ueber die materiellen Theile im elektrischen Funken (Des particules solides dans l’étincelle électrique); Wied. Annlen der Physik,

t. XVII, p. 903; 1882.

L’étincelle

électrique

est

toujours produite

par une seule des deux

électricités ;

le

transport

des

particules

solides

qui

la con-

stituent est donc

effectué,

tantôt par l’électricité

positive,

tantôt

par la négative,

suivant les

circonstances, toujours

par

conséquent

dans un sens déterminé. L’électricité

positive

ne

peut produire

d’étincelle

qu’autant

que la

pression

de l’air est

supérieure

à IOmm

de mercure. L’électricité

négative

peut en fournir pour des pres- sions

comprises

entre 63’1"’1 ot o"’,

005,

suivant la distance de l’élec- trode à la

paroi

du tube de verre se fait

l’expérience

et, par

conséquent,

suivant le diamètre de ce

tube;

le

transport

des par- ticules solides par l’électricité

négative, qui

se manifeste par un

dépôt

sur la

paroi

du tube et par la fluorescence du gaz, est beau- coup facilité par

l’interposition

dans le circuit d’un micrométre à

décharges.

Dans l’air de

plus

en

plus raréfié,

la

quantité

de

particules

trans-

portées

va en diminuant s’il

s’agit

de l’électrode

positive,

en crois-

sant s’il

s’agit

de la

négative.

L’électricité

positive transporte

les

particules

matérielles

beaucoup plus

loin que la

négative; ainsi,

y

sous la

pression

de

6:)1ll1ll,

l’étincelle

positive peut

franchir un espace de

~o4onlln ,

l’étincelle

négative

un espace de

omlll, G

seu-

lement,

par

conséquent 3 ~oo

fois moindre.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020028301

(3)

284

M. Wachter établit un certain nombre de caractères distincLif’,

entre les

particules transportées

par l’électricité

positive

et par

l’électricité

négative.

Les

particules

matérielles arrachées à l’électrode

positive

te

sont

toujours

en des

points déterminés,

les

plus rapprochés

J(.

l’autre

électrode ;

la forme de

pointe

ou de boule donnée à l’élec- trode favorise le

départ

de ces

particules.

A l’électrode

négative

l’arrachement des

particules

se

produit

sur une surface d’autamt

plus grande

que la

pression

de l’air est

plus faible;

il est favorisé

par la netteté de la surface de

l’électrode,

c’est-à-dire par l’absence de toute trace

d’oxyde

sur cette électrode. Les

particules positive

suivent

toujours,

entre les deux

électrodes,

le chemin

qui pré-

sente

la

moindre résistance et

peuvent,

par

suite,

décrire une

trajectoire curviligne quelconque;

les

particules négatives s’échap-

pent toujours

normalement à la surface de l’électrode et ne s’~~-

c artent j amais

de la

trajectoire rec tili gne .

Un aimant

puissant agit

sur les

premières

comme sur les snh-

stances

dian1agnétiques;

sur les

secondes,

comme sur les corps

paramagnétiq~,ies.

Les

particules positives,

tantôt deviennent

incandescentes,

tantôt ne le deviennent pas ; elles ont des dimensions

parfaitement

mesurables au

microscope

et semblent arrachées par une action

mécanique.

Les

particules négatives

ne deviennent

jamais

incan-

descentes, échappent

à toute mesure par leur ténuité et semblent t

entraînées par volatilisation. Si l’on vient à échauffer les élec- trodes par

exemple,

par le passage d’un courant, on constate que le

transport

des

particules négatives

en est

accéléré,

tandis que rien de

pareil

ne se

produit

à l’électrode

positive.

Enfin ~I. Wachter conclut de ses

expériences

sur des électrodes

liquides

clue les

particules négatives

formen t une couche cond uc- trice

vaporisée

entourant

l’él~^ctrode,

et facilitant le passage dc~

l’électricité de l’électrode aux molécules gazeuses, tandis

qu’il

n’en est pas ainsi pour les

particules posi tives.

Quand

on

emploie

comme électrodes des substances mauvaises

conductrices,

le passage de l’électricité ne

produit

pas d’arrache-

ment des

particules.

CH. GOMIEN.

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