C. STEPHAN. — Beiträge zu den Beziehungen zwischen Fluiditat und galvanischen Leitungsvermögen (Étude des relations entre la fluidité et la conductibilité électrique); Wied. Annalen der Physik, t. XVII, p. 673; 1882

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Submitted on 1 Jan 1883

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C. STEPHAN. - Beiträge zu den Beziehungen zwischen Fluiditat und galvanischen Leitungsvermögen (Étude des

relations entre la fluidité et la conductibilité électrique);

Wied. Annalen der Physik, t. XVII, p. 673; 1882

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. C. STEPHAN. - Beiträge zu den Beziehungen zwischen Fluiditat und galvanischen Leitungsvermögen (Étude des relations entre la fluidité et la conductibilité électrique); Wied. An- nalen der Physik, t. XVII, p. 673; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.187-188.

�10.1051/jphystap:018830020018701�. �jpa-00238077�

187 L’examen de ^ces nombres montre que, pour le chlorure ^et le bro- n1ure, ~~T

augmente

^d’abord

lentement,

^{subit une variation}

brusque

au

point

^de

^fusion, puis augmente

^très

rapidement.

^{Les deux} corps

se

comportent

^d’une

façon analogue.

L’iodure,

^au

contraire,

^ne

présente

pas de variations

brusques

au

point

^de

^fusion,

^{mais cette variation a lieu vers}

^150°;

^à

partir

de

là,

^{W diminue très}

rapidement.

On

sait, d’après

^les

expériences

^{de Radwill}

(1), qu’à

^{cette tem-}

pérature

l’iodure passe de l’état

amorphe

^{à l’état}

cristallin,

^tandis

que le chlorure ^et le bromure cristallisent au moment de la solidi- fication. Hittorf ^a constaté

(2 )

des résultats

analogues

pour les corps

Ag‘-’ S

^et

Ca~ S,

^à io5o pour

l’un,

^à

1750

pour l’autre. Il semble donc que le

changement

^{de structure} moléculaire de ces

corps ait

plus

d’influence sur la conductibilité que le

changement

d’é tat.

Ces sels

possèdent,

^{même à la}

température ordinaire,

^{la con-}

ductibili té

électrolytique;

^on

peut

facilement ^mesurer la

polarisa-

tion

produite

soit par ^{un courant comme} l’a fait

l3raun,

_{soit par}

une machine de I-$oltz modifiée par

Kundt,

^{comme dans les}

expé-

riences récentes de l’auteur. La conductibilité

augmente

^{de l’io-} dure ^au

chlorure,

la diffusion du chlore et du brome fait diminuer

rapidement

^la

polarisation

^{dans le chlorure et} le bromure et l’on peut ^constater directement dans l’iodure des traces d’iode au

pôle

positif.

^{C. DAGUENET.}

C. STEPHAN. 2014 Beiträge ^{zu den} Beziehungen zwischen Fluiditat und galvani-

schen Leitungsvermögen

(Étude

des relations entre la fluidité et la conductibi- lité électrique); ^{Wied. Annalen der} Physik, ^t. XVII, p. 673; ^1882.

L’auteur ^a

comparé

^{à diverses}

températures

les coefficients de frottement, et de conductibilité de dissolutions de chlorures de

potassium, sodium, lithium ’

d’iodures de

potassium

^{et de}

sodium,

très étendues et

mélangées

^de

proportions

^variables

^d’alcool,

^et

(’ ) Pl’oceed. r°oy. ,Soczety~, ^{t. XXV et t. XXXI.}

( 2 ) Pogg. Ann., ^{t. L~XXI~T.}

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020018701

188

il a confirme la relation établie par divers

physiciens

^{entre ces}

coefficients.

Pour mesurer le coefficient de

frottement,

^on détermine le

temps

nécessaire _pour

remplir

^du

liquide

^une

pipette

^{dont le}

volume est connu, ^et l’on calcule le coefficient par les formules de Poiseuillc.

La relation entre ce coefficient _T, et la

température

^est de la forme

dans

laquelle

les coefficients diminuent à mesure que la propor- tion d’alcool

augmente.

On mesure la conductibilité par la méthode de Kohlrausch ^avec des courants

d’induction,

^le

pont

^de Wheatstone et un

téléphone.

On trouve :

i°

Que

^la conductibilité des dissolutions additionnées d’alcool augmente ^{avec la}

proportion

^de

^sel,

^mais

plus

lentement que celle des dissolutions aqueuses ;

2°

Que

^les coefficients de

température

^{son t} sensiblement les mêmes pour la fluidité ^et la conductibilité des

dissolutions;

3° On

peut

déduire la conductibilité des dissolutions

mélangées

d’alcool de celle des dissolutions aqueuses

correspondantes,

^en

multipliant

celles-ci par ^un coefficient

qui dépend

seulement du dissolvant et non du sel

dissous;

4° Depuis

l’eau pure

jusqu’à

^un

mélange

^en

parties

^à peu

près égales

^{d’eau et}

d’alcool,

^la conductibilité est sensiblement pro-

portionnelle

^à la fluidité du

liquide;

ponr des

propor tions

^d’al-

cool

plus ^fortes,

^{elle est} inférieure à la valeur

qu’indiquerait

^cette

loi. ^- C. DAGUENET.

P. VOLKMANN. 2014 Ueber die Coh0153sion von Salzlösungen (Cohésion ^{des disso-}

lutions salines); Wied. Annalen der Physik, ^t. XVII, p. 353; ^1882.

Les

appareils emploies

pour la ^mesure des hauteurs Iz dans les tubes

capillaires

^{sont ceux} décrits dans ^un Mémoire antérieur

( ).

( 1 ) Voir, ^{Journal de} Pjaysiyue, ²⁶ série, ^t. 1, p. 2~)T, les résultats précédemment

obtenus par ^31. V olknlann.

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