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J. STEFAN. — Ueber die Beziehung zwischen den Theorien der Capillarität und Verdampfung (Relations entre les théories de la capillarité et de la vaporisation); Wied. Ann., t. XXIX, p. 655

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00238926

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238926

Submitted on 1 Jan 1888

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J. STEFAN. - Ueber die Beziehung zwischen den Theorien der Capillarität und Verdampfung (Relations entre les théories de la capillarité et de la vaporisation);

Wied. Ann., t. XXIX, p. 655

Ch. Rivière

To cite this version:

Ch. Rivière. J. STEFAN. - Ueber die Beziehung zwischen den Theorien der Capillarität und Verdamp- fung (Relations entre les théories de la capillarité et de la vaporisation); Wied. Ann., t. XXIX, p. 655.

J. Phys. Theor. Appl., 1888, 7 (1), pp.87-89. �10.1051/jphystap:01888007008701�. �jpa-00238926�

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87 flamine dans le plan de l’orifice. Ce mouvement devient rectiligne

à 6"" de l’orifice, les maxima de vitesse et de compression n’ont

pas un mouvement identique de progression dans l’intérieur du

tuyau, et, dans la tranche considérée, ces mouvements diffèrent, en

temps, d’un quart de la durée de la vibration.

La différence de phase des deux mouvements diminue de plus

en plus, à mesure due l’on s’approche d’une surface nodale.

Le procédé que nous décrivons ne donne que des indications

approchées.

La place qu’occupe la flamme, lorsque sa trajectoire est recti- ligne, change avec la pression du gaz qui l’alimente. Elle se rap-

proche du plan de l’orifice lorsque cette pression dirninue; peut- être l’atteindrait-elle, si la pression décroissait indéfiniment.

Si l’on place la flamme au centre de l’orifice et si on la déplace

dans le sens radial pour la rapprocher des parois, le plan de l’el- lipse, qui était d’abord vertical, s’incline de plus en plus et finit

par devenir horizontal. La direction de la vitesse de vibration passe donc progressivement de la verticale à l’hôrizontale. La surface de l’onde, normale à cette direction, n’est plus plane, mais

convexe..

C’est ce qu’avait supposé 1B1. Helmholtz dans sa théorie des

tuyaux sonores. E. GRIPON.

J. STEFAN. 2014 Ueber die Beziehung zwischen den Theorien der Capillarität und Verdampfung (Relations entre les théories de la capillarité et de la vaporisation);

Wied. Ann., t. XXIX, p. 655.

Les phénomènes capi llaires ont été attribués, par Laplace, à

des attractions entre les particules d’un même liquide. Soit f’ la

résultante de ces attractions par unité de masse en

un

point’du liquide, .~ la direction de cette résultante, c’est-à-dire la normale à la surface, p la densité supposée constante et p la pression;

l’équation fondamentale de l’Hvdrostatidue peut s’écrire

en l’intégrant, on a

P2 désignant, la pression à l’intérieur, pj la pression à la surface et

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01888007008701

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A le travail des actions moléculaires sur 1’uniué de masse qui

serait transportée de la surface à l’intérieur du liquide.

M. Stefan joint à l’hypothèse de Laplace celle d’une attraction

moléculaire identique entre un liquide et les particules de sa va-

peur qui se trouvent dans le voisinage de sa surface; il en résulte

que, pour écarter les particules liquides de la surface et les trans-

former en particules gazeuses libres, il faut dépenser le même tra-

vail que pour les amener de l’intérieur du liquide à la surface,

c’est-à-dire un travail ~-1. Si l’on suppose enfin la molécule gazeuse

.identique, au point de vue de l’énergie, à la molécule liquide, ce

travail doit être équivalent à la chaleur latente de vaporisation.

On arrive donc ainsi à déduire de cette dernière donnée la diffé-

rence de pression ~~ - ~~ .

Le calcul, appliqué à l’éther à o°, donne

lVIais les hypothèses, sur lesquelles repose cette évaluation, ne

sont sans doute pas toutes exactes. Si l’on tient compte de l’in- fluence que la pression doit avoir sur la densité du liquide, on

trouve une différence plus grande encore.

M. S tefan cherche aussi à évaluer cette différence en attribuant

au liquide et à sa vapeur la méme loi de compressibilité repré-

sentée par la formule

Il est alors facile, connaissant le coefficient de compressibilité

dans chacun des états, de calculer la pression qui doit régner à

l’intérieur du liquide; on trouve

Si enfin on joint anx hypothèses précédentes la supposition

qu’me molécule n’ait d’action que sur celles qui sont dans son

voisinage immédiat, le travail nécessaire pour accroître la surface

libre d’une quantité égale à la section moyenne d’une molécule

devra être équivalent à la chaleur nécessaire pomr vaporiser cette

molécule, ce qui fournira une relation entre sa section et son

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89 volume et permettra, par suite,

y

de calculer son diamètre moyen.

On trouve ainsi, toujours pour l’éther,

2I . IO-9.

CH. RIVIÈRE.

R. LAMPRECHT. 2014 Ueber die Einwirkung des Magnetes auf electrische Entla-

dungen in verdünnten Gasen (Action des aimants

sur

la décharge électrique

dans les gaz raréfiés); Wied. Annalen., t. XXIX, p. 580.

L’auteur étudie, en vue d’une application aux décharges élec- triques qui s’effectuent, en présence d’un aimant, les formels d’é-

quilibre d’un conducteur soumis à des actions magnétiques quel-

conques et obéissant, d’autre part, à des liaisons déterminées :

1° Si le conducteur est un fil parfaitement flexible fixé à ses

deux extrémités, le rayon de courbure o en

un

point est lié à la

tension T du fil, à l’intensité 1 du courant, à la force magnétique f

et à l’angle a que fait la force magnétique avec la direction du fil,

par la relation

?° Si le conducteur est une tige élastique fixée dans une direc-

tion déterminée à l’une de ses extrémités, on a, K désignant

un

coefficient d’élasticité de flexion,

3° Enfin, si l’on imagine la décharge comme

un

jet de particules

électrisées sur lesquelles l’aimant agirait suivant la loi de Biot et

Savart, on trouve

m désignant la masse mauérielle, ~. la masse magnétique et v la

vitesse d’une particule.

On voit que, dans les trois cas, l’application de la loi de Biot et

Savart conduit à des résultats analogues; en particulier, la direc-

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