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SCHÜNGEL.— Ueber Aenderung der Tonhöhe durch Ortsveränderung der Schallquelle und eine darauf gegründete Bestimmung der Fortpflanzungsgeschwindigkeit des Schalles (Sur le changement de hauteur des sons par suite du déplacement du centre d'ebranlement, et

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237077

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237077

Submitted on 1 Jan 1875

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SCHÜNGEL.- Ueber Aenderung der Tonhöhe durch Ortsveränderung der Schallquelle und eine darauf

gegründete Bestimmung der

Fortpflanzungsgeschwindigkeit des Schalles (Sur le changement de hauteur des sons par suite du déplacement du centre d’ebranlement, et sur la

détermination de la vitesse du son à l’aide de ce premier phénomène) ; Annales de Poggendorff, t. CL, p. 356,

1873

A. Terquem

To cite this version:

A. Terquem. SCHÜNGEL.- Ueber Aenderung der Tonhöhe durch Ortsveränderung der Schallquelle und eine darauf gegründete Bestimmung der Fortpflanzungsgeschwindigkeit des Schalles (Sur le changement de hauteur des sons par suite du déplacement du centre d’ebranlement, et sur la déter- mination de la vitesse du son à l’aide de ce premier phénomène) ; Annales de Poggendorff, t. CL, p. 356, 1873. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.26-28. �10.1051/jphystap:01875004002601�.

�jpa-00237077�

(2)

26

rapidité

de

l’échauffement

et la

quantité

de

liquide introduite (bien

que celle-ci soit

très-petite,

on voit

après

le trouble la colonne bais-

ser

rapidement

et

l’évaporation

se

faire).

C’est cette

température

que 1’I. Avenarius considère comme celle de volatilisation

complète

ou de chaleur latente interne nulle.

Les

températures

ainsi observées pour

quatre liquides

ont été : -.

Si,

d’autre

part,

on construit les formules

cinpiriques

donnant : -.

1 ° la chaleur latente de

vaporisation;

le travail extérieur cor-

respondant

à cette

vaporisation,

et

qu’on

cherche pour

quelle

tem-

pérature

ces deux

quantités

sont

égales,

on trouve :

résultats

satisfaisants,

d’autant

plus

que ces derniers nombres ré- sultent de formules

empiriques

étendues au delà des limites pour

lesquelles

elles ont été calculées.

A . POTIER.

SCHÜNGEL.2014 Ueber Aenderung der Tonhöhe durch Ortsveränderung der Schallquelle

und eine darauf gegründete Bestimmung der Fortpflanzungsgeschwindigkeit des

Schalles (Sur le changement de hauteur des sons par suite du déplacement du

centre d’ebranlement, et sur la détermination de la vitesse du son à l’aide de ce

premier phénomène) ; Annales de

Poggendorff,

t. CL, p. 356, 1873.

M.

Buys-Ballot cllerclia,

il y a

quelques années,

à vérifier direc-

tement la théorie de

Doppler

sur le

changement

de hauteur des

sons perçus,

produit

par le

déplacement

du corps sonore. Un ob-

servateur

placé

à une station de chemin de fer écoutait le son

rendu par un cor dont

jouait

un second observateur

placé

sur une

locolotive en 11101iVCI1leIlt; il

comparait

le son entendu à un son

fixc

identique

à celui du cor. Le résultat fut à peu

près nul,

à cause

de la diminution

rapide

de l’intensité du son

produit

et des bruits

étrangers qui

viiireiit troubler l’audition.

L’auteur de ce travail a

opéré

par une autre méthode

déjà

connue :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01875004002601

(3)

27

il a

pris

deux

diapasons,

l’un faisant 512 vibrations par

seconde,

et

1 autre

ào8, produisant

par suite

quatre

battements par

seconde;

le

diapason

le

plus

grave se trouvait

placé

sur un chariot uiobile

qui

se

rapproche

de

l’observateur,

le nombre de battements diminue.

Il sutlit

donc,

pour vérifier la formule

théorique,

de déterminer : i° la vitesse de

déplacement

du

chariot;

la durée exacte des bat-

tements entendus. 31.

Schungel

a

employé

dans ce but un

procédé graphique, qui cependant,

il le reconnaît, ne

présente

pas toute la

précision

désirablc et

pourrait

être

perfectionne.

Le

pendule

d’une

llorlogc

à

secondes,

en fermant un instant un

courant,

produit

des

points régulièrement espacés

sur la bande de

papier

d’un

récepteur

Morse. La

poignée

du

manipulateur

du même

télégraphe, quand

elle est

abaissée,

ferme un second courant, ut fait tracer ainsi par lc

style

du

récepteur

sur la même bande cle pa-

plcl’

une

ligne continue,

dont la

longueur, comparée

al 1 écartemcnt

. des

points équidistants

dont il a été

question précédemment,

donne

la durée

pendant laquelle

la

poignée

a été maintenue abaissée. Ce même courant passe

également

dans un second électro-aimant dont le contact se trouve attiré.

1)’tiii autre

coté,

au chariot

qui porte

le

diapason

mobile est fixé

un fil

qui

vient s’enrouler dans la gorge d’unc

poulie

tournant

autour d’un axe vertical. L’attraction du contact, a l’aide de leviers convenablement

disposés,

fait appuyer contre la circonférence de

cette

poulie

un

galet

mis

préalablcment

en rotation à l’aide d’une

grande

rouc llorizolltale niue à la main et d’unc corde sans fin.

Quand,

au

contraire,

le contact s’écarte de

l’électro-aimant,

un

couteau arrête instantanément la

poulie qui produisait

le 1110U,"e- ment du chariot.

On

empêche

autant que

1)ossiblc

tous les sons

étrangers

de se

produirc,

et l’on inunit en outre l’oreille d’un résonnatcur corres-

pondant

aux sous des deux

diapasons.

La

poignée

du

manipulateur qui,

en ferniaiit le courant, met le

diapason

en

marcher,

est abaissée a l’i115ta1~t

précis

l’on entendu

un

maximum,

et la laisse relever au moment (1’un autre

maximum, après

avoir

compté

un certain nombre de battements. La

longueur

de corde enroulée donne le chemin parcouru par le

cliariot,

et,

commc le

temps

se trouve inscrit sur la bande de

papier,

«lI t’n dé-

duit la vitesse de

déplacement

du

diapason

ainsi que la durée des

(4)

28

vibration,

en tenant

compte

du nombre de battements

qu’on

a

comptés.

La formule à vérifier est la SUiyallte : -.

n’ est le nombre de vibrations perçues

pendant

le

déplacement

de

la source, ii le nombre réel de

vibrations,

V la vitesse du son, et v

celle du chariot. On av ait n

= ~ 08, v

en moyenne û

o"1, gg ;

on

avait admis pour ~7 a zéro

332 ln, 87,

et dans les conditions de l’ex-

périence 3l~ ~ m, ~ i ;

le calcul donne exactement 11’

=5og,~.

Or la moyenne des valeurs de n’ obtenues par

l’expérience

était

exactement

5og, 4.

Les différences sont donc moindres que 0,1 de

vibration; mais,

si l’on fait

le calcul, inverse,

et que l’on veuille déterminer V par la forinule 1 =

~, on vOltque 1 approXlnlatlon n est plus sufilsaJlte,

~L’-rL

à cause du dénominateur ii’ - n

qui

est très-faible.

1V1.

Schüngel

pense néanmoins

qu’on pourrait

ainsi

expérirnen-

talement déterminer la vitesse du son, en

perfectionnant

son appa-

reil,

et en

particulier

en donnant au chariot un mouvements

plus régulier,

continu et

indépendant

du

procédé employé

pour l’in-

scription

du

temps ;

le nombre de battements resterait ainsi

toujours

le

même,

et l’oreille

apprécierait plus

exactement leur durée.

A.

TERQUEM.

J. NORMAN LOCKYER. - On the molecular structure of vapours in connexion with their densities (Sur la structure moléculaire des vapeurs en relation avec leur den-

sité); Proceedings of the Royal Society, t. XXII, p. 374.

1. J’ai

essayé

de

résoudre, â

l’aide du

spectroscope,

la

question

de savoir si les vapeurs des corps

simples

au-dessous des

plus

hautes

températures

sont

réellement homogènes,

et si les vapeurs des différents éléments

chimiques

sont toutes, à une même

tempéra-

ture, dans une condition moléculaire semblable. Dans la

présente Note., je

demande la

permission d’exposer

devant la Société

royale

les résultats

préliminaires

de mes recherches.

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