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J.-H. KAYSER. — Ueber den Einfluss der Intensität des Schalles auf seine Fortpflanzungsgeschwindigkeit ( Influence de l'intensité du son sur sa vitesse de propagation); Ann. der Physik, nouvelle série, t. VI, p. 465; 1879

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237702

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237702

Submitted on 1 Jan 1880

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J.-H. KAYSER. - Ueber den Einfluss der Intensität des Schalles auf seine Fortpflanzungsgeschwindigkeit (

Influence de l’intensité du son sur sa vitesse de

propagation); Ann. der Physik, nouvelle série, t. VI, p.

465; 1879

E. Masse

To cite this version:

E. Masse. J.-H. KAYSER. - Ueber den Einfluss der Intensität des Schalles auf seine Fortpflanzungs- geschwindigkeit ( Influence de l’intensité du son sur sa vitesse de propagation); Ann. der Physik, nouvelle série, t. VI, p. 465; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.38-40.

�10.1051/jphystap:01880009003801�. �jpa-00237702�

(2)

38

de différentes

manières, qu’elles

subissent l’attraction ou la

répul-

sion du corps électrisé

qu’on

en

approche.

Enfin l’auteur a constaté que les feuilles

d’or,

une fois

chargées,

ont conservé leur

divergence pendant

treize mois sans

diminution ;

l’appareil, pendant

tout ce

temps,

était resté

plongé

dans de l’eau.

Un vide au millionième

d’atmosphère

constitue donc un milieu

qui

isole

parfaitemen t,

tout en transmettant l’attraction et la

répulsion électriques.

L’auteur pense que le vide

interplanétaire jouit

des mêmes pro-

priétés.

G. LIPPMANN.

J.-H. KAYSER. 2014 Ueber den Einfluss der Intensität des Schalles auf seine Fortpflan- zungsgeschwindigkeit ( Influence de l’intensité du son sur sa vitesse de propagation);

Ann. der Physik, nouvelle série, t. VI, p. 465; I879.

L’auteur

rappelle

un travail

précédent (1) qui

l’avait conduit à

un résultat en

complet

désaccord avec les conclusions de

Regnault.

Il avait trouvé pour la vi tessc du son dans un espace

libre,

à

o°,

Dans une nouvelle série de

recherches,

il a étudié l’action de l’intensité sur la vitesse du son et il arrive à la nier

complètement.

Nous passons sous silence

plusieurs

modes

d’expérimentation infructueux,

pour arriver de suite au

principe

de la méthode

qu’il

a

employée

en dernier

lieu,

sur les conseils de M. Helmholtz.

Dans un

tuyau

rendant la même note d’une

façon continue,

une

tranche vibrante donnée repasse

après chaque

demi-vibration par la même

phase;

il s’ensuit que deux tranches

passant

au même instant par une

phase

déterminée sont distantes l’une de l’autre d’un

multiple

de

demi-longueur

d’onde.

Pour rendre visible l’état vibratoire d’une tranche gazeuse du

tuyau,

M.

Kayser

a

imaginé

un

procédé

excessivement

ingénieux.

Dans une

plaque

très mince de mica il

découpe

une

petite

lan-

guette,

dont il colle l’une des extrémités à une sorte d’anneau de

(1) Aun. derPhysik, nouvelle séi°ie, t. II, p. 218; 18,7.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01880009003801

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cuivre

pouvant glisser

dans l’intérieur du

tuyau.

Cette lamelle de

mica,

par ses

vibrations,

suit les

phases

de la tranche gazeuse au niveau de

laquelle

on l’a amenée.

Une sorte de rasette,

analogue

à celles des

tuyaux

à

anche,

permettait

de faire varier la

longueur

de la

languette

de mica et

de l’accorder avec le son rendu par le

tuyau.

Regarde-t-on

ensuite un

point

lumineux de la lamelle au travers

d’un

microscope

à vibrations isochrones mis en

activité,

on

obtient,

par la comhinaison des deux mouvements

vibratoires,

une

figure

de

Lissajous.

De très faibles

changements

dans l’une des

phases produisent

de notables

changements

dans la

figure.

En

déplaçant

enfin la

languette

de mica dans le

tuyau jusqu’à

ce

qu’on

revoie la

figure déjà obtenue,

le

trajet qu’elle

effectue est évidemment

égal

à une

demi-longueur

d’onde.

On

peut

arriver à ce même résultat d’une

façon peut-être plus

commode. La lame de mica se trouve à l’extrémité ouverte du

tuyau,

dont l’autre extrémité est fermée par un

piston

mobile.

Si l’on

déplace

le

piston,

le

tuyau

rendant un son, on obtiendra

toujours

la même

figure chaque

fois que le

piston

aura été

dérangé

d’une

demi-longueur

d’onde.

Pour obtenir un son constant dans le

tujTau,

le résonnateur choisi fut un

diapason électrique placé

devant l’extrémité ouverte.

On faisait varier

l’amplitude

des oscillations de ce

diapason,

et

par suite l’intensité de son, en se servant d’un nombre variable d’éléments Grove. On

pouvait

admettre d’ailleurs que

l’amplitude

des oscillations de la colonne d’air du

tuyau

était

proportionnelle

à celle de la

petite

feuille de mi ca. Une échelle divisée

permettait

de mesurer les

amplitudes

de celle-ci.

L’auteur ne trouva pas de différence dans la vitesse du son en

faisant varier l’intensité.

M.

Kayser

croit

pouvoir expliquer

le désaccord de ses conclu-

sions avec celles de

Regnault

en

remarquant qu’il

a

toujours opéré

sur des sons

musicaux,

tandis que le

physicien français

se servait

d’ondes

d’explosion.

«

Or, dit-il,

les ondes

d’explosion,

dans les-

quelles

des molécules gazeuses sont

projetées

fort

loin, présentent

un état

beaucoup plus compliqué

que celui des ondes

musicales,

et leur nature est tout autre. Au commencement de la

production

de

pareilles ondes,

M. Mach a montré

qu’on

trouve une vitesse de

(4)

40

transmission, laquelle

n’a rien de commun avec la vitesse du son.

Dans de semblables

conditions,

les lois de la transmission des ondes sonores

peuvent

être

complètement

modifiées. »

E. MASSE.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Philosophical Magazine.

56 série. - Tome VIII. - Décembre 1879.

NICHOLS. - Nouvelle

explication

de la couleur du ciel, p. 425.

ILoSSETTt. - Recherches

expérirnentales

sur la

teiiipéiature

(lit

Soleil,

p. 438.

FREDERICK GUTHRIE. - Induction

magnéto-électrique,

p. 449.

LORD RAYLEIGH. - Recherches

l’Optique

iclatives

spécialeinent

ait spectro- scopr, p . 477.

Il.-F. WEBER. - Recherches sur la loi élémentaire de

l’hydrodiffusion,

p.

487.

5e série. - Tome VIII. - Décembre 1879. - Supplément.

SILVANUS P. THOMPSON. - Action cles ailnants sur les conducteurs mobiles des courants, p . 5o5.

OLIVER J. LODGE. - Déternzination de la variation de la conductibilité ther-

Inique

des mzétaux, au mnyen de la courbe des

telnpératures

premanentes d’rcne

tige fine chauffée

à une extrénzite, p. 51o.

Il.-F. WEBER. - Recherches sur la loi élénzentrtire de

l’hydrodiffusion,

p. 523.

F. HOSSETTI. - .Recherches

expérimentales

su?, la

température

da Soleil,

p.

537.

VY. CIIANDLEN ROBERTS. - Sur tcne

analogie

entre la conductibilité

thernzicjue

et l’action des

alliages

d’étain et cle cuivre sur la balance (findllction, p. 551 . OLIVER J. LODGE. - Note sur la détermination de la résistance

électnilrce

de

certains

alliages

de cllipre et d’étain, p. 554.

LOUIS SCnBVENDLER.- Métliode

silnple,

pour zctiliser une

fraction

mininedu

cotcrant

principal produit

par une nzaciiirrc

dynamo-électrique,

rle.strnée aux

usages

télégraphiques,

p. 558.

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